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Pour faire patienter les suiveurs de cette manifestation de la plus haute importance pour le milieu de l’Education nationale avant qu’elle ne débute, un buffet qui était garni de boissons fraîches et désaltérantes. Une excellente idée que vantait là, la directrice adjointe du lycée Jacques-Amyot, accueillant à Auxerre les invités dans une salle de classe surchauffée ! Qu’importe : la lutte contre la violence en milieu scolaire, assortie d’une signature de convention quadripartite, méritait bien quelques gouttes de sueur, perlant sur les fronts !

 

AUXERRE : Une grande première que celle-là ! Et la traduction manifeste, en cette période de rentrée scolaire, que les services de l’Etat prennent à bras le corps un sujet au cœur de l’actualité, celui de la violence dans les établissements qui accueillent notre progéniture.

Une violence exacerbée de plus en plus par les réseaux sociaux (le harcèlement) et leurs propos empreints d’incivilité et de non-respect envers autrui. Parfois, à la limite de l’insoutenable et supportable, qui peut conduire à la recrudescence de drames à l’instar du suicide de ce jeune lycéen persécuté dans un établissement de Poissy.

Le panel choisi pour cette conférence de presse – elle devait ensuite se muer en une réunion d’état-major de la sécurité relative aux questions scolaires accueillie tous les ans dans les locaux du lycée Jacques-Amyot en mode privatif – était représentatif de toutes les composantes étatiques en la matière : préfecture (participation de Clémence CHOUTET la nouvelle directrice de cabinet du préfet arrivée il y a peu), gendarmerie (avec le nouveau colonel commandant le groupement départemental de l’Yonne, Nicolas NANNI), police, autorités judiciaires avec la direction de la protection judiciaire de la jeunesse de la Nièvre et de l’Yonne, incarnée par Laurence HOUZARD, mais aussi le procureur de la République d’Auxerre, Hugues de PHILY, ravi de la mise en place d’une telle initiative.

Bref, aux côtés du préfet Pascal JAN – plutôt décontracté ayant tombé la veste à cause de la chaleur persistante et de retour à la vie officielle après quelques jours d’un salvateur repos- participaient également les acteurs de l’enseignement public et privé, dont le nouveau DASEN (Directeur académique des services de l’Education nationale), Jean-Baptiste LEPETZ., qui pour une durée de quatre ans, a succédé à Vincent AUBER, parti sous d’autres cieux et de nouvelles fonctions.

 

Les « chevaliers blancs » de la protection sécuritaire des élèves…

 

Respectant les usages protocolaires, le haut fonctionnaire de l’Etat prit soin de brosser en préambule le tableau et la genèse de ce rendez-vous, devant aboutir in fine à la signature d’une convention quadripartite. Sous l’écoute attentive de l’auditoire, dont certaines personnes prenaient scrupuleusement des notes sans qu’elles soient pour autant des journalistes.

Une convention permettant de coordonner toutes les parties signataires du document, à savoir la prévention, le traitement de la délinquance et de la violence en milieu scolaire mais aussi d’apporter une aide tangible aux familles, le plus souvent fragilisées par ce contexte douloureux visant l’intégrité de leur enfant et bien évidemment les professionnels de la communauté éducative, situés en première ligne en termes de l’observation et de la vigilance, voire de la formation à posséder pour être les premiers contre-feux.

L’air grave, le regard azuréen plus endurci au fil de ses propos, Pascal JAN le rappellera fermement en guise d’introduction : « aucune violence physique ou verbale, ni aucune atteinte aux principes de la République, en sauraient être admises dans les établissements scolaires de l’Yonne… ».

Clair et limpide dans la formulation, les doutes ne sont pas permis ! Naturellement, il était capital de matérialiser cette coopération existante par un acte fort et scriptural entre ces différents acteurs, intervenant tels des « chevaliers blancs » sous l’égide de la protection sécuritaire de tous les élèves qu’ils soient collégiens, lycéens, étudiants, voire dans les écoles du primaire.

 

 

Lutter contre toutes les formes de violences physiques et…numériques

 

Désormais, car le dispositif entre en vigueur au quasi instant « t » où il a été dévoilé et validé, contrôles inopinés sur le terrain et mesures visant à améliorer la sécurité des établissements de l’Yonne vont se multiplier tels de mirifiques petits pains. Afin d’éradiquer et de prévenir les conduites à risque ou illicites qui mettraient en danger l’existence quotidienne des élèves fréquentant les écoles de notre territoire.

En aparté, le préfet de l’Yonne évoqua l’origine de cette convention, partie d’une réflexion associant à la fois l’Etat, la Justice et l’Education nationale.

« Par le passé, précise-t-il, il y a déjà eu une convention. Mais, cette fois-ci, on insiste beaucoup sur les actions de prévention, de formation, mais également d'actions à visée pédagogique. Toutefois, l’idée n'est pas de stigmatiser tel ou tel établissement ou tel ou tel élève dans un établissement donné. L’idée, c’est vraiment que la communauté éducative et les parents sachent que l'Education nationale, la Justice et l'Etat travaillent de concert pour lutter contre les violences, sous toutes ses formes, qu’elles soient violences physiques, évidemment, le harcèlement ou le cyber-harcèlement, qui est malheureusement d'actualité, mais aussi tout ce qui concerne les addictions, celles aux stupéfiants ou à l'alcool en forte recrudescence sur notre territoire… »..

Une convention qui fonctionne par arborescence, avec différentes entrées et ne s’appliquant pas nécessairement dans les lieux où il y a des problèmes déjà identifiés – c’est là où se situe la nouveauté selon Pascal JAN – mais bel et bien à titre préventif et de façon inopinée un peu partout sur le territoire afin de vérifier que tout soit en règle dans l’établissement ainsi contrôlé.

A cela, ces actions de contrôle s’agrémenteront de campagnes de sensibilisation et de formation auprès du jeune public tant sur le trafic de stupéfiants (et ses dangers pour la santé) que sur le harcèlement qui fait aussi des ravages chez les adolescents.

Se voulant tout de même rassurant, le représentant de l’Etat a réaffirmé que ces violences en milieu scolaire n’étaient pas un phénomène généralisé.

« Il ne faut quand même pas non plus exagéré, soulignera-t-il, mais il est nécessaire aujourd’hui de se prémunir contre une tendance du laisser-faire. De ce point de vu là, la démarche répond à une demande sociale, à ce que les établissements scolaires soient des sanctuaires, des lieux où les jeunes puissent apprendre et gérer paisiblement leur temps d’études dans un cadre serein et sans pression, sans craindre les problèmes de l’extérieur… ».

Bref, toutes les composantes de l’Etat veillent donc au grain pour mieux rassurer élèves, enseignants et parents en multipliant ces initiatives et actions sur le terrain. La peur pourrait peut-être bien changer de camp parmi les harceleurs et les revendeurs de produits illicites, ayant choisi les scolaires comme cible numéro un…

 

Thierry BRET

 

 


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Il est urgent de se poser les bonnes questions. Notamment, celles qui s’appliquent au financement durable de la pratique de l’apprentissage en France. Envisagée par le gouvernement, la baisse des niveaux de prise en charge des « coûts contrats », susceptible d’entrer en vigueur ces jours-ci, met en péril l’avenir de la formation par apprentissage selon la Chambre de Métiers et de l’Artisanat de Bourgogne Franche-Comté…

 

DIJON (Côte d’Or) : Il est vent debout, le réseau des Chambres de Métiers et de l’Artisanat hexagonal ! A l’instar de l’antenne régionale de Bourgogne Franche-Comté, il demande instamment au gouvernement de faire machine arrière et de reporter sine die la possibilité de réduire les niveaux de prise en charge des « coûts contrats », s’appliquant à l’apprentissage.

Une décision étatique qui pourrait entrer en ligne de compte dès ces prochains jours et qui ne satisfait nullement les responsables des chambres consulaires. Réaction immédiate du président de la CMA régionale, Emmanuel POYEN : « Les conséquences de cette baisse serait désastreuse pour l’outil formation de Bourgogne Franche-Comté, explique-t-il, et surtout pour nos jeunes, avec plus de 2 600 apprentis qui font de notre territoire le plus grand centre de formation par apprentissage… ».

 

Une baisse de 8 % du financement…

 

En terme clair, si la mesure entrait en application, ce serait toute la voie de l’excellence qui serait ainsi mise à mal, selon l’organisme consulaire. Mais, ce n’est pas tout : les chambres de métiers réitèrent leur appel à lancer une véritable concertation sur le financement durable de l’apprentissage dans le pays.

L’inquiétude est réelle depuis le mois de juillet. Date à laquelle l’Etat a signifié son désir de revoir la copie en procédant à une nouvelle des prises en charge. Une baisse de près de 8 % du financement des formations emblématiques de l’artisanat de premier niveau, c’est-à-dire le CAP.

 

 

Vers la fermeture des CFA de proximité ?

 

Si tel était le cas, cela affecterait 55 % de l’effectif des apprentis en France. En outre, cela signifierait que 57 % des formations deviendraient déficitaires. Concrètement, toutes les formations par apprentissage de la boulangerie, de la charcuterie, de la peinture, de la carrosserie, de la plomberie, de la coiffure ou encore de l’esthétique – elles sont toutes liées à un CAP – deviendraient déficitaires !

Impensable, pour les dirigeants de la Chambre de Métiers et de l’Artisanat régionale : « les conséquences de cette baisse seraient absolument catastrophiques pour l’ensemble des centres de formation de nos huit départements… ».

Cela engendrerait de fait une diminution de la qualité des formations, la fermeture des CFA de proximité, la disparition de certaines formations qui accueillent peu d’effectifs – elles sont déjà fortement déficitaires -, la fin à terme de la majorité des formations qui se situent déjà dans le rouge !

 

Une décision en totale contradiction avec la volonté de l’Etat

 

Emmanuel POYEN ne comprend pas la situation. D’un côté, il y a ce besoin croissant de main d’œuvre et de compétences au sein des entreprises artisanales, les enjeux de la reprise d’entreprise et de l’autre côté le gouvernement assène un coup terrible à la voie de l’excellence. S’il choisit cette option. C’est à rien y comprendre sauf au niveau de la contradiction alors qu’Emmanuel MACRON avait affiché sa volonté il y a peu d’atteindre le million d’apprentis en France à l’horizon 2027 ! Une mesure qui serait aux antipodes de l’objectif initial fixé par le gouvernement de favoriser les premiers niveaux de formation qui possèdent la plus forte plus-value en matière d’insertion dans l’emploi.

Bref, c’est un sérieux coup de semonce qui vient d’être donné là aux défenseurs de la formation artisanale et de ses valeurs. Certes, la plupart des formations permettent de s’octroyer des marges qui favorisent le retour à l’équilibre des formations déficitaires, celles-ci étant minoritaires en France. Or, si ce numéro d’équilibriste financier est encore envisageable aujourd’hui, qui sait s’il le sera demain…

 

Thierry BRET

 


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Ce n’est pas une surprise : l’été reste la période idéale et propice aux passations de pouvoirs et à la prise de nouvelles responsabilités, au sein des clubs service. Ainsi, il incombe désormais au jeune Pierre-Nicolas JOLIOT, membre du club Auxerre Phoenix, d’endosser la vêture de président de zone à l’occasion de cette nouvelle saison qui démarre.

 

AUXERRE : L’exercice se décline aux quatre coins de l’Hexagone à pareille époque. Parmi les 25 000 bénévoles qui, au sein des 1 200 clubs, s’engagent à mener des opérations d’intérêt général au service de l’humanisme et de la solidarité. On appelle cela des passations de pouvoirs entre deux exécutifs qui reprennent les rênes de la structure associative.

Dans le cas présent, ce n’est pas un changement de gouvernance à la tête d’un club. Mais, d’une zone. Celle-ci correspond à un secteur géographique qui permet de découper dans chaque district régional des périmètres précis permettant à une dizaine de clubs – parfois, c’est moins – de travailler ensemble et dans la même direction. Au profit d’une noble et juste cause. Partant du postulat qu’il existe quinze districts régionaux, composant le district national 103 – l’Hexagone, en quelque sorte – on imagine aisément que ces zones internes aux régions se sont multipliées comme des petits pains au fil des années, facilitant la construction de l’édifice Lions qui récolte tout de même la bagatelle de 20 millions d’euros chaque année, via ses nombreuses actions sociales réalisées sur le terrain !

 

 

Sensibiliser et recruter de nouveaux membres

 

On en dénombre annuellement près de 5 000 de ces animations altruistes et généreuses dont les fonds sont intégralement reversés aux causes de grande et plus petite envergure.

Dans sa zone, Pierre-Nicolas JOLIOT – on le connaît pour être à la manœuvre avec sers camarades de club derrière le succès de « la Soupe des Chefs », l’évènementiel de la Foire Saint-Martin à Auxerre, entre autres…- aura pour objectif de sensibiliser les clubs à poursuivre leurs actions solidaires, à recruter de nouveaux membres investis de cette mission sociétale du partage et de l’humilité, à jouer le rôle de partenaire de la cité et à être en adéquation avec les besoins de la jeunesse en étant à son écoute. Bref, les valeurs incarnées par le mouvement, le « lionisme », qui a pris racine en Europe, et en France en particulier, dès 1948. Un rôle qui va comme un gant à ce juriste, expert dans des biens des domaines…

 

Thierry BRET

 

 


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Après le « Paris-Nice » de Joigny, « L'Auberge du Pot d'Etain » à l'Isle-sur-Serein, récemment évoquées dans nos colonnes, voici la troisième de nos reprises récentes d'hôtels-restaurants icaunais. Preuve supplémentaire, s’il en est, du caractère gourmand de notre département.

 

MONTIGNY-LA-RESLE : « Le Soleil d’Or » fut longtemps incarné par le couple BAUJARD, Myriam en salle et le chef Jean-Paul aux fourneaux. Référencé au Michelin - à une époque encore pas si lointaine où le guide passait dans nos campagnes ! - il y est évoqué un chef qui connaissait ses gammes, travaillant avec beaucoup de soin et de justesse ses produits : biscuit de brochet aux écrevisses sauce au safran de l'Yonne, feuilleté de ris de veau aux champignons, sans oublier l'incontournable tête de veau, si prisée par la clientèle icaunaise. Oui, mais ça......c'était avant.

 

Deux formules, l’une à vingt euros, l’autre à trente-deux

 

Voici quelques mois, un jeune couple courageux a repris cet établissement propret et entretenu. Mention spéciale pour la maîtresse de maison, aimable, souriante et professionnelle...car tel n'est pas toujours le cas !

Au déjeuner, la première formule est à 20 euros. L'autre menu est proposé à 32 euros. Ce midi-là, le plat du jour de la formule était une jolie tourte feuilletée au jambon.

Après la période des pluies estivales, il eût été agréable de profiter de la terrasse. Las ! La lourdeur ambiante nous amène dans une jolie salle, fort lumineuse, et dans laquelle les fenêtres sont équipées de jolis stores boisés à lames. L'apéritif est servi avec des olives, on est  peut-être  en droit de s'attendre à mieux.

 

 

Mais où est donc passé le lapin !?

 

 

Les entrées sont fort bonnes : le « poke bowl » aux consonances asiatiques est une assiette aussi soignée que colorée. Quant au « mille-feuille » déstructuré, mousse de chou-fleur, pickles de légumes, c'est un plat équilibré et bien assaisonné avec la croustillance des mini-feuilletés. Il se dégage de cette entrée une belle harmonie. Le chou-fleur, c'est si bon !
Au menu une mention attire l'intérêt : un rable de lapin sur l'os. Cette viande délicieuse a disparu - ou presque - des cartes de nos restaurants. On se demande bien pourquoi : adieu civet-purée, lapin à la moutarde ou encore à la tomate !

Petit bémol sur le morceau servi : le chef n'y est pour rien ! Car, ces barquettes vendues en grande distribution ne contenant que des rables donnent une viande un brin insipide – mais où est donc le lapin !? Et manque de saveur.

 

 

 

Viva la caponata sicilienne !

 

Elle eût mérité une légère marinade, histoire de la relever, et peut-être aussi d'être un brin poêlée, histoire de la colorer quelque peu. Mais le plat est bon, néanmoins, accompagné d'une originale « caponata » (variante sicilienne de la ratatouille, ce plat exquis de légumes est servi confit, avec des olives noires). Etait-ce le hasard ou bien une habitude locale, mais voici quelques années, en circulant à moto entre Thuir, le pays du Byrrh, et Collioure, celui des anchois dans le Roussillon, j'avais remarqué que la « caponata » était présente sur  un nombre conséquent de menus. Dans l'Yonne, son pays d'adoption d'un jour,  elle était délicatement confite et fort goûteuse. 

 

Simple et efficace au niveau gustatif !

 

Petite mention, aussi pour le rosé gouleyant de la Côte Saint-Jacques du vigneron Alain VIGNOT. Un parfait accord mets et vin, avec ce flacon issu du pinot gris. Il donne en Alsace un vin doux, propice à l'apéritif.

Ensuite, ce fut une belle ardoise de fromages, avant un dessert des plus harmonieux : un sablé breton et abricot. Sur le sablé repose quelques lamelles d'abricot cru, elles sont surmontées d'un sorbet de ce fruit sublime, symbole de l'été s’il en est. Un délicieux dessert : simple et efficace au niveau gustatif.
On règle la note à l'aimable et jeune patronne, dotée d'un terminal de paiement des plus modernistes (on peut se demander s’il ne fait pas aussi batteur à œufs et lustreuse à godasses avec ses multiples fonctions !).
Attention en traversant la très fréquentée RN 77 en sortant ! A côté de notre stationnement, à l'ombre de l'église, se tient l’aire locale de vélos électriques ! Et surtout qu'on se le dise : « Le Soleil d'Or » est entre de bonnes mains, et continue son chemin !

 

 

En savoir plus :

 

Les - : avec l'apéro, ce serait bien d'avoir autre chose que des olives ! Même si on le sait, dans nombre de restos, il n'y a plus rien !

Les + : le service est aimable et attentionné. Quant au rapport qualité-prix, il est excellent. 

 

 

 

Contact :

 

Le Soleil d’Or

Hôtel-restaurant

3, Route d'Auxerre

89 MONTIGNY-LA-RESLE

Tel : 03.73.53.09.10.

 

Gauthier PAJONA

 

 


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Bien joué ! Le colonel du SDIS 89, Sébastien BERTAU, sur le fil du rasoir, a su reprendre la balle au bond, au moment où le gong final allait clore le séminaire de rentrée du MEDEF de l’Yonne, consacré aux femmes cheffes d’entreprises. « Il a osé » prendre la parole à l’ultime minute de la manifestation pour inciter la gent féminine à postuler auprès des services départementaux des sapeurs-pompiers. Logique : la filière ouvre ses portes à la féminisation de ses personnels…

 

AUXERRE: Pro de la communication, le colonel Sébastien BERTAU, directeur du service départemental d’incendie et de secours de l’Yonne ? Assurément, oui ! Le patron des sapeurs-pompiers de l’Yonne a profité de la toute dernière minute de la manifestation du jour, le colloque de rentrée du MEDEF 89 consacré aux femmes cheffes d’entreprises, pour évoquer devant un auditoire en très large majorité de femmes les besoins de féminisation de la structure.

A date, 21 % des sapeurs-pompiers sont issus des rangs de la gent féminine en France (et encore, il y a beaucoup de personnels infirmiers). Or, le responsable du SDIS de l’Yonne aimerait accroître cette tendance ; son message aura été on ne peut plus clair : « osez Mesdames, devenir lieutenant ou capitaine des sapeurs-pompiers ! ».

Sachant que des conventions de partenariat ont été initiées – et elles le sont toujours ! – entre le SDIS et les entreprises du cru dans le cadre d’un plan de développement territorial, sur le registre du volontariat, pour renforcer aussi les rangs des sapeurs-pompiers volontaires. Où les femmes sont admises, bien évidemment !

Malin, le colonel aura rappelé à bon escient que chez les fonctionnaires, l’égalité était parfaite en matière de salaires ! On n’est donc bien loin de ce qui pratique habituellement dans le privé !

Prochainement, le SDIS de l’Yonne s’enrichira du savoir-faire d’une jeune femme, titulaire d’un master de droit et gestion, un apport très appréciable pour le territoire…

 

Thierry BRET

 


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