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Comme le dirait le truculent Jacques PRADEL, on l’avait un peu « perdu de vue » au fil de ces derniers mois, l’ancienne encadrante du CIFA de l’Yonne à Auxerre. Elle avait quitté ses fonctions d’adjointe de direction durant l’année 2022. La voici qui fait un retour remarqué au sein de la Chambre régionale des Métiers et de l’Artisanat avec sa fonction de directrice de la relation clients. Un poste où elle chapeaute depuis le mois de mai les rouages relationnels stratégiques de la chambre consulaire…

 

AUXERRE : Toujours pimpante et souriante, Delphine ENGELVIN ! Un visage connu et reconnu dans le landerneau de la vie entrepreneuriale et professionnelle de l’Yonne qui avait quelque peu disparu des écrans de contrôle à la suite de son départ du CIFA de l’Yonne au printemps 2022. Un centre de formation où elle officiait en qualité d’adjointe de Marcel FONTBONNE, le directeur de l’établissement d’alors, qui coule aujourd’hui une méritoire retraite du côté du Grand-Bornand au cœur de la chaîne des Aravis !

Depuis quelques semaines, la sémillante spécialiste des relations publiques et de la communication a refait surface en intégrant un poste décisionnel stratégique au sein de la Chambre des Métiers et de l’Artisanat de la Bourgogne Franche-Comté.

Elle y dirige dorénavant la relation clients. Avec un « s », s’il vous plaît, puisque ce poste, situé dans la stratosphère de l’organigramme de la vénérable institution consulaire, lui permet de coiffer l’ensemble des « clients » potentiels d’une chambre des métiers. A savoir, les entreprises adhérentes, les élus, les institutionnels, les collectivités ou encore les médias.

 

 

Déjà des idées plein la tête pour la nouvelle directrice des relations clients...

 

Se partageant entre Dijon, siège de la chambre consulaire régionale où œuvrent le secrétaire général Simon PHILIBERT et le  président Emmanuel POYEN, ainsi que sur les sept autres départements disposants d’une antenne locale, Delphine ENGELVIN fait encore acte de présence à Auxerre dans les locaux de la rue du Moulin du Président, où elle y possède un bureau.

Parmi ses grandes priorités estivales – loin des vacances évidemment ! -, une réflexion sur la création d’un pôle commercial avec des offres de  service appropriées, le développement économique de l’institution, le travail de notoriété autour de la filière artisanale, le renforcement et développement des partenariats. Déjà, les idées lui fourmillent plein la tête !

Autre objectif de la « Belle » : augmenter le nombre d’apprentis sur les trois sites gérés par la chambre consulaire implantés à Mercurey en Saône-et-Loire, Vesoul en Haute-Saône et à Gevingey, près de Lons-le-Saulnier. Plus de 2 600 élèves fréquentent déjà ces établissements. L’objectif serait d’en ajouter 400 supplémentaires. Histoire d’établir un record et un compte rond au passage, à trois mille apprenants !

 

Thierry BRET

 


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Il n’est nul besoin de s’adonner au soufisme ou de vivre au rythme lent des caravaniers partant avec leurs dromadaires aux confins de la mythique Perse pour apprécier ce qui est proposé jusqu’au 23 juillet lors des « Quotidiennes » de Vézelay, haut-lieu du spiritualisme s’il s’en fut ! Mêlant musique baroque et sonorités puisant ses sources parmi les cultures sacrées et profanes d’Orient et d’Occident, ARGHA/NUN distille un langage poétique et envoûtant à découvrir à la basilique Marie-Madeleine comme à la Cité de la Voix. Du nectar à volonté…

 

VEZELAY : La grâce touche de son doigt salvateur, à la manière de la célèbre figuration peinte par Michel-Ange sur le plafond de la Chapelle Sixtine, la Colline éternelle en ce mois de juillet. Comme ce sera le cas fin août avec les fameuses Rencontres Musicales, évènement à biffer sur son agenda (du 24 au 27 août) à ne manquer sous aucun prétexte.

Une grâce aux accents orientaux, fleurant bon la fleur d’oranger et les épices odorantes qui titillent les narines. Mais, ici, dans la nef de la basilique Marie-Madeleine, point de départ des voyageurs cheminant avec leurs coquillages vers Compostelle, elle prend forme, cette semaine, sous les ravissantes notes égrenées par une formation cosmopolite, composée d’instrumentistes iraniens et français.

Nom de baptême – cela tombe bien comme allusion dans ce lieu sacré vénérant Marie-Madeleine ! – de cet ensemble : ARGHA/NUN (traduction persane, la nonne « Argha » ?). Le groupe invite le public à vivre une expérience sensitive puissante et onirique qui promet de dépasser cadres et frontières. Placée sous la direction musicale de Jérôme BERTIER – lui-même officiant à l’orgue, la formation accueille en son sein Luna SILVA et Camille BORDET, au mezzi, Shalab AZINMEHR, târ, setâr et chant, Mostafa TALEB, au kamâncheh.

 

En savoir plus :

 

Les Quotidiennes de Vézelay du 18 au 23 juillet 2023 (sauf 22 juillet)

16h basilique
17h Cité de la Voix
Gratuit, sans réservation.

À Vermenton, samedi 22 juillet 2023
20h église Notre-Dame
Gratuit, sans réservation.

 

Thierry BRET

 


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Embellir les sanitaires de l’aire de moyen passage, implantée route de Toucy à Auxerre – là où sont accueillies les caravanes des gens du voyage – n’est pas une idée aussi illogique que cela. D’une part, c’est un petit morceau de France qui est esquissé sur l’un de ces bâtiments grisâtres fréquentés par ses habitants. D’autre part, c’est une manière de s’intéresser à eux. Un concept approuvé par la direction de la politique de la Ville, avec la bénédiction de l’élu communautaire en charge du dossier, le pugnace Dominique CHAMBENOIT…

 

AUXERRE : En cheminant dans les larges allées propres et très bien entretenues de ce site installé à la périphérie de la capitale de l’Yonne, alors que sifflent alentour de joyeux merles et autres moineaux virevoltants dans lel ciel, la quiétude de l’endroit est tout à fait surprenante. Comme si un petit air de vacances flottait dans les airs au beau milieu de ce cadre si champêtre !

Cà et là, quelques caravanes de très belle facture et longues à n’en plus finir, visiblement délaissées par leurs occupants, évoquent tout de même la présence humaine.

Des tables, des chaises, des ustensiles de cuisine, des jouets, rappellent qu’ici, on vit au grand air ! Une mère souriante joue avec deux de ses enfants, sous un auvent qui les protège encore de la pluie naissante. Elle s’adresse en chantonnant au dernier né de sa progéniture qui se balance dans un berceau. Une famille heureuse d’être là et de profiter des avantages offerts par l’aire de moyen passage, réservée aux gens du voyage.

 

Un décor, évocateur à l’esprit des voyageurs en perpétuel transit…

 

A l’approche de la petite délégation – elle se compose de Dominique CHAMBENOIT, élu communautaire et maire de Chevannes, en charge du dossier sur ces grands itinérants devant l’Eternel que sont ces voyageurs séculaires, de Dominique TAILLEUR, directeur de la politique de la Ville d’Auxerre, de Florian DEFET, de la direction de la Communication de l’Agglomération en charge des relations avec la presse et de Lahcen EZHANI, responsable du site -, la jeune femme se lève tout sourire afin de discuter le bout de gras avec ses interlocuteurs préoccupés de son bien-être.

Il est vrai que depuis quelques semaines le lieu d’accueil permanent des gens du voyage de l’Auxerrois s’est quelque peu embelli. Certes, rien de bien révolutionnaire, tout de même, mais juste la présence équivoque d’un petit décor, agréable à l’œil, et évocateur à l’esprit qui ne peut que toucher celles et ceux qui accumulent les kilomètres aux quatre coins de l’Hexagone, avec voitures, utilitaires, caravanes et familles, tout au long de l’année ! Un livre de géographie à l’air libre et présenté sur une surface murale.

 

 

Des panneaux signalétiques pour chaque région évoquée…

 

Sur chaque bloc sanitaire que compte cet endroit, les régions de France – pas toutes ! - prennent vie sur leurs façades aux couleurs gris souris grâce à des dessins et peintures assurés lors d’un chantier qui a été porté avec le concours de collègues de la municipalité. Enfants et adolescents se sont donc prêtés au jeu, en s’amusant !

Le résultat, très visuel, est des plus sympathiques avec une carte de France en format réduit jouxtant une représentation régionale spécifique (Picardie, Aquitaine, Languedoc…) dévoilant ses grandes agglomérations. Le troisième élément représenté n’est autre qu’un panneau signalétique façon code de la Route, comportant le nom de ladite région dessinée.

Naturellement, la Bourgogne possède sa mini fresque et son bloc sanitaire dédié. Une Bourgogne qui est d’ailleurs dépouillée de sa partie limitrophe officielle, c’est-à-dire la Franche-Comté ! Doit-on y voir une interprétation prémonitoire ?!

De l’avis de l’élu de Chevannes en charge du dossier sur les gens du voyage, « personnaliser chaque bloc sanitaire ainsi – ils sont individualisés pour accueillir du mieux possible chacune des familles présentes sur site – a pour objectif d’améliorer la qualité de vie de ces occupants, explique Dominique CHAMBENOIT, un agrément sympathique pour qu’ils se sentent bien et qu’ils identifient mieux leur emplacement ».

 

 

« On ne veut plus que rien ne se passe sur le site ! »…

 

Un argument corroboré par Dominique TAILLEUR, directeur de la Politique de la ville d’Auxerre : « on ne veut plus que rien ne se passe sur ce site ! ».

Une action qui est replacée de fait dans son contexte initial, à savoir le PRE, ou Programme de Réussite Educative. A savoir un embellissement de l’endroit avec le concours des outils pédagogiques à l’instar du recours visuel observé grandeur nature avec la géographie !        

Mais, ce n’est pas tout. Dès septembre, une personne de la municipalité rendra visite de manière régulière et constructive aux gens du voyage de la route de Toucy afin d’y donner des cours de français, orthographe et grammaire à l’appui !

Des séances éducatives qu’approuvent Dominique CHAMBENOIT et Lahcen EZHANI.

« On ne connaît pas encore dans le détail le calendrier et le contenu précis de ce programme, ajoute Dominique TAILLEUR, mais celui-ci a pour vocation de compenser la perte de chance scolaire que peuvent rencontrer parfois les enfants des gens du voyage qui vivent de fréquents déplacements ».

Reste la création de l’aire de grand passage à Auxerre dont on parle depuis des lustres, avec bien peu de résultats probants. A l’heure actuelle, la Ville d’Auxerre et l’Agglomération sont toujours à la recherche du fameux terrain qui faciliterait l’accueil de toutes les communautés voyageuses afin de respecter la législation ; d’autant qu’il est nécessaire de trouver au moins deux parcelles, l’une pour le grand passage, l’autre pour le moyen passage. Pas si simple, dans la réalité…

 

Thierry BRET

 

 


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Les lignes, de diverses couleurs, s’entrecroisent sur la toile. Si le noir, franc et prononcé, reste dominant, il n’altère en rien la présence de cet amas de bleu qui s’offre au regard curieux de l’admirateur. Des traits de caséine, marrons clairs, s’étirent de manière verticale. Sur un fond brun et beige, plus ou moins évanescent. Serait-ce donc cela la perception intime de la frontière, thème du jour qui réunit les deux artistes, accueillis à la galerie MOUV’ART d’Auxerre jusqu’au 23 juillet, à savoir la plasticienne Dominique GRESSIN et le photographe Eric BONNENFANT ?  

 

AUXERRE : Des encres, des haïkus – forme japonaise de poésie permettant de noter les émotions tout en célébrant l’évanescence des choses en quelques syllabes calligraphiées à la sauce nippone -, des photographies, issues de l’argentique, tirées en noir et blanc.

Voilà une belle « Trinité » servit en guise d’illustrations concrètes qui éclairent nos lanternes d’appréciateur de réalisations artistiques. C’est ce que propose de découvrir l’incontournable galerie auxerroise « MOUV’ART » – la bien-nommée car toujours encline à nous concocter une programmation qualitative digne de ce nom, y compris en période estivale alors que d’autres pourraient se satisfaire de baisser simplement le rideau l’été venu ! – à travers la présence de deux artistes du cru qui n’en sont pas à leur coup d’essai au niveau du travail collaboratif.

 

 

Le fruit de ce travail réalisé en binôme : la frontière…

 

Il y a d’un côté, sur le pourtour de la salle d’exposition, les œuvres aux diverses tailles de la plasticienne Dominique GRESSIN. Une personnalité bien connue du sérail culturel. De l’autre, c’est-à-dire au centre de la pièce toujours aussi charmante dans ce cadre cosy avec ses belles poutres apparentes, les clichés minimalistes mais ô combien impressionnants sur la technicité que maîtrise avec perfection le photographe Eric BONNENFANT. Il est tombé il y a bien longtemps déjà dans la potion magique de la prise de vue évocatrice. Pour mieux nous adresser ses messages. Un esthète de la focale qui nous en met plein la vue avec délicatesse !

Thème de cette rencontre qui n’a rien d’opportune : la frontière. Les « frontières » devrait-on dire car celles-ci sont multiples, mouvantes, marquées par le temps qui s’égrène, les formes, les volumes, toujours à la lisière de quelque chose.

Pourtant, à y regarder de plus près, ces frontières seraient presque inexistantes entre ces tableaux accrochés à leurs cimaises et ces cadres contenant des clichés illustrant les pérégrinations d’une main humaine dans un environnement naturel, fait de terre, voire franchement hostile, avec du béton. La correspondance entre ces œuvres ne fait aucun doute. Douce et tout en sobriété.

 

 

De la transparence pouvant aller jusqu’à l’abstraction…

 

Eric BONNENFANT aime les chemins détournés pour nous livrer son regard sur le monde. Dans cette série de clichés, on y voit des doigts croisés, épousant la physionomie topographique du décor, se confondant à la roche et à la terre. Une vision de sa main gauche, tout à fait personnelle. La droite, il l’a utilisé pour immortaliser les prises de vue !

Si son thème de prédilection habituel est la traduction visuelle du temps, il n’en néglige point pour autant le minéral, l’eau, le végétal. Les routes et chemins sont des ingrédients avec lesquels il compose pour créer en l’élaborant la richesse de son œuvre. Avec de la transparence qui peut conduire parfois jusqu’à l’abstraction. Des résurgences intellectuelles et créatives qui lui ont été inspirées par sa formation universitaire d’arts plastiques au centre Saint-Charles à La Sorbonne !

Quand il évoque la frontière, elle peut prendre l’apparence de la peau, de vêtements, de diverses formes avec ce qui nous entoure. Lui qui aime investir des lieux pittoresques et insolites pour y présenter son travail (des granges, des lavoirs, des cloîtres mais aussi des entreprises), envisage de poursuivre cette quête de la photo mûrement réfléchie en s’intéressant davantage au feu et à l’air. Après l’eau et la terre, ce serait pure logique en fait que l’artiste auteur photographique de talent ne complète ce voyage en faisant le tour des quatre éléments, aux symboles si profonds.

 

 

Et si les frontières n’existaient pas ?

 

A l’évocation du thème choisi, la frontière, la plasticienne Dominique GRESSIN est encore plus évasive que son partenaire d’exposition sur son interprétation.

« Le mot évoque pour moi la lisière, explique-t-elle en dévoilant ses encres dont certains contiennent des haïkus, belles calligraphies japonaises, avec cette idée paradoxale, est-ce qu’il y a réellement des frontières dans notre monde ? ».

Le travail de la matière est au cœur de sa démarche. Un travail où émerge une structure d’ensemble qui se dévoile peu à peu avec des jeux de forces, parfois, de transparences, toujours, d’équilibres des masses, très différents d’une peinture à l’autre.

Dominique GRESSIN veut libérer le trait. Le rendre plus fluide, aérien. En lui donnant du souffle, au sens propre comme au figuré, d’ailleurs sur certaines de ses réalisations. L'inspiration asiatique, qu’elle soit chinoise ou japonaise, l’émerveille. Mais, l’artiste parle aussi du génie créatif de la peintre franco-norvégienne, Anna-Eva BERGMAN, dont le Musée d’Art Moderne de Paris présente la première grande rétrospective jusqu’au 16 juillet. Une peintre influencée par Edvard MUNCH…C’est tout dire !

Le vernissage de ce joli rendez-vous de début d’été aura lieu le jour de la Fête nationale, à partir de 19 heures. L’occasion d’y admirer un travail complémentaire entre ces encres et ces photographies, ces haïkus aux inspirations asiatiques et d’y écouter la conteuse Claire VAUTIER y narrer le « Cinquième rêve », histoire de lâcher prise avec la frontière qui sépare parfois notre corps de notre esprit en se laissant aller vraiment à la contemplation…

 

Thierry BRET

 

 

 


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Ils viennent des quatre coins de l’Hexagone. De l’Yonne, également. Mais aussi de toute l’Europe ! Luxembourg, Autriche, Suisse…excusez du peu, mais la jeunesse, férue de danse classique qui fréquente avec assiduité et volontarisme le stage intensif accueilli à Saint-Florentin cette semaine se veut cosmopolite et motivé. Le jeu en vaut réellement la chandelle avec des professeurs de stature internationale qui animent les sessions…

 

SAINT-FLORENTIN : La ville, chère à Yves DELOT, va-t-elle se faire une très sérieuse réputation bien au-delà des frontières départementales par le prisme de la danse classique ? Possible ! En tout cas, les curseurs à vocation internationale placés autour de cet évènement culturel de haute volée que l’on doit à l’ancienne danseuse classique Mireille LETERRIER – elle réside dans la ville du Centre Yonne -  ne sont pas mis là par hasard.

 

Une discipline à la délicate complexité technique…

 

En l’espace d’à peine deux saisons, le rendez-vous artistique porté par l’association « CYDALISE & Cie » autour de la danse qu’elle soit classique, contemporaine, créative mais aussi hip hop, semble vouée à occuper le devant de la scène des férus de cette discipline ô combien difficile à maîtriser dans la technicité et d’une insolente beauté esthétique à regarder lors d’un spectacle.

« Jeune Danse à Saint-Florentin » possède comme vertu cardinale de pouvoir accueillir lors d’un stage de danse intensif d’une semaine, avant que ne soit donné un spectacle final à l’issue de ce rendez-vous, de jeunes adeptes de NOUREEV ou de Patrick DUPOND aux origines cosmopolites. La plupart fréquentent les écoles supérieures de danse européennes. Salzbourg en Autriche, Genève en Suisse, Luxembourg dans le Grand-Duché. Cette année, deux danseurs originaires d’Ukraine sont même du voyage.

 

 

La présence de prometteurs danseurs ukrainiens…

 

Agé de 13 ans, Conrad MANCIUK pratique déjà la danse avec une grâce prometteuse. Sa compatriote, la jeune Clara PASTOUKOV, âgée de 15 ans, a pris aussi ses marques en terre de l’Yonne. Son père, Vladimir, n’est autre qu’un éminent danseur et pédagogue, diplômé de l’école de danse de Saint-Pétersbourg…en Russie.

Afin de faciliter leur déplacement en France, des bourses sont offertes aux stagiaires qui ne peuvent assurer leur financement. Rappelons que ce projet qui fait la part belle à l’une des disciplines les plus féériques de la culture – ceux qui ont déjà assisté aux grands ballets à l’opéra de Paris peuvent en parler avec fébrilité et émotion – est soutenu par la Ville de Saint-Florentin et son édile, Yves DELOT, ainsi que la Communauté de communes Serein Armance dont l’élu est également le président.

 

 

Notons également les subsides obtenus par l’association « CYDALISE & Cie » de la part de la préfecture de l’Yonne, au travers le fonds d’aide à la vie associative (FDVA). Un soutien financier qui possède aussi son retour sur investissement ! Quatre stagiaires ayant participé à la mouture initiale de ce concept pour le moins pédagogique en juillet 2022 ont intégré un an après des compagnies européennes…

Créée en mars 2021 par l’association « CYDALISE & Cie » par la danseuse Mireille LETERRIER – ayant fait sa carrière aux Etats-Unis, la danseuse a reçu le premier prix du Conservatoire national supérieur de Musique et de Danse de Paris -, la structure a pour objectif de promouvoir la danse dans la région icaunaise qui ajoute de facto ce nouvel ingrédient comme force d’attractivité culturelle.

 

Le verdict final sur la scène du théâtre de verdure à 21h30…

 

En accueillant ces dix-sept jeunes dont des Français et des Icaunais, la structure a réussi une fois de plus sa mission régalienne. Non seulement, elle s’est appuyée sur la force éducative de deux intervenants (Edward ARCKLESS, issu du Royal ballet de Londres et Alexandre NIPAU, ancien membre des Ballets Anjelin PREJLOCAJ), mais en outre, le public local – et d’ailleurs, sans doute – aura l’heureuse opportunité d’apprécier lors du spectacle final, le 15 juillet à 21h30 au théâtre de Verdure de Saint-Florentin, tous ces jeunes talents.

Le programme sera copieux. Avec une articulation faite autour de treize pièces, inspirées du répertoire classique ou contemporain, dont cinq créations incluant celles des deux intervenants. Du grand art, à apprécier sans modération, c’est une évidence…

 

 

En savoir plus :

Stage de danse intensif jusqu’au 15 juillet 2023 salle Daullé à Saint-Florentin.

16 stagiaires de 13 à 20 ans dont trois jeunes créateurs invités.

Répétitions ouvertes au public de 09 h à 18 h, entrée libre.

Spectacle le vendredi 15 juillet au théâtre de Verdure de Saint-Florentin à 21h30.

Billetterie ouverte à l’Office du Tourisme ou sur place le soir du spectacle

Prix : 10 euros pour les adultes

5 euros pour les moins de 12 ans.

Durée du spectacle : 1h15 environ.

 

Thierry BRET

 

 


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