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Transposer la fameuse référence culinaire d’Outre-Atlantique dans une variante bien cocardière de la restauration, à base de viandes de qualité et de produits d’accompagnement frais, issus des circuits courts, est le défi qu’a choisi de relever l’entrepreneur Adrien LLINAS, gérant de cette enseigne, opérationnelle depuis un semestre à Auxerre. Avec une moyenne de quarante couverts servis au quotidien, L'AUTHENTIQUE BURGER est en passe de réussir son défi. Et de réhabiliter la recette américaine auprès d’épicuriens, épris d’ordinaire d’une gastronomie beaucoup plus élaborée…

AUXERRE : D’origines françaises, les produits carnés, servis dans ce nouveau lieu de la cuisine qualitative, bénéficient d’une préparation et d’un assaisonnement spécifiques. Selon la recette du jour. Car, ici, tout est conçu maison et réalisé en présence du consommateur, avide de découvrir la phase gustative inédite de ces « burgers » à la française. Il n’existait pas, jusqu’alors, de spécialisation à ce type de plat. Et surtout de variétés de recettes, prenant leur creuset référentiel aux sources mêmes d’un terroir régional.

Désormais, que vous soyez ou non adeptes de cette cuisine quelque peu exotique parfois, l’innovation est de mise dans l’assiette. D’ailleurs, cet ustensile est obligatoire. Les burgers ne se mangent pas dans une boîte en carton, à la dérobé au détour d’une rue. Mais, ils se savourent avec onctuosité, en prenant son temps, dans les conditions similaires optimales offertes par une table de restaurant ! Avec les couverts, en prime, qui accompagnent le plat. Ainsi, la propreté des doigts est scrupuleusement garantie !

Un repas destiné à sustenter les gourmets…

A chaque repas, déjeuner et dîner inclus, Adrien LLINAS et ses deux collaborateurs qui s’exécutent derrière les fourneaux, concoctent un burger empli de suggestions gourmandes où l’originalité et les saveurs inattendues sont au rendez-vous. Les clins d’œil à la gastronomie hexagonale sont nombreux. Les mélanges entre produits du terroir et les ingrédients constituant la base essentielle de ce plat surprennent le client. Que dire de l’accompagnement !

Croustillantes et dorées à point, les frites, garnitures inéluctables de cette recette, subliment le goût de la pomme de terre. Frais, les autres légumes conservent leur saveur et fermeté au palais : ils ne proviennent pas d’un quelconque paquet préalablement surgelé. Quant aux sauces, conçues sur place, elles illuminent de leur texture suave les aliments. Restent les desserts.

S’il demeure encore une petite place au fond de l’estomac, après ce repas qui n’a rien de frugal, sans pour autant être lourd à la digestion, le fondant crumble aux pommes se recommande vivement. Il réconcilie le commun des mortels avec une pâtisserie toute en délicatesse, sortie tout droit d’une recette de nos grands-mères.

Grâce aux commentaires avisés et aux desiderata de sa clientèle, recueillis sur les réseaux sociaux, Adrien LLINAS élabore de nouvelles recettes. Insufflant une nouvelle dimension à ce burger dont on ne disait pas nécessairement le plus grand bien auprès des amateurs de bonne chère. Rappelons que le marché mondial représente à lui seul plus de 1 340 milliards de plats, vendus en 2016. Un segment économique qui a connu une hausse de plus de 15 % en l’espace de quinze ans.

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80 % de la clientèle ne consommaient pas de burgers…

Soucieux d’inculquer un autre regard autour de ce produit phare de l’alimentation planétaire, mais totalement décrié par les puristes de la cuisine traditionnelle et les pourfendeurs de la malbouffe, l’entrepreneur auxerrois a réussi à convaincre des personnes qui se situaient aux antipodes de ce produit et de les attirer, désormais, avec une régularité frisant l’insolence, dans son établissement.

Pourtant, rien ne prédestinait ce garçon, âgé de 35 ans, titulaire d’un BTS en productique mécanique, et ayant appris ses gammes professionnelles chez BENTELER et CONIMAST, de se lancer dans une telle aventure. Ce virage à 180°, l’Icaunais l’a néanmoins effectué avec grand enthousiasme car trop désireux de vivre enfin de sa passion immodérée pour la restauration.

Durant plusieurs semaines, il suivra le cycle formatif prescrit par BGE Nièvre Yonne dans le montage de son projet. Un concept qu’il partage avec sa propre mère, Christine, cogérante de la société, la SARL DEL MUNDO, née au printemps 2018, qui exploite l’enseigne.

Pourvu d’une SCI, il rachète un ancien salon de coiffure, idéalement bien exposé, sur l’une des voies pénétrantes menant au cœur de ville. Avant de se lancer dans un vaste chantier de réhabilitation du site, moyennant le déblocage d’une enveloppe budgétaire de 50 000 euros. L’ouverture de ce nouveau commerce date du 27 juillet 2017, certes au cœur de la période estivale, mais ce choix stratégique fut assurément maîtrisé par Adrien LLINAS : « Il était nécessaire de mettre en place notre outil au cœur de l’été et de son calme relatif pour mieux anticiper la rentrée… ».

Une créativité renouvelable à l’envie…

Ciblant le morphotype des CSP + (cadres, dirigeants, professions libérales…), l’entrepreneur a opté pour une politique tarifaire plutôt haute (entre 15 et 20 euros pour un déjeuner), en liant et acte de la qualité de ses produits. Nonobstant, il a ajouté parmi sa stratégie de développement les personnes amatrices de culture et de soirées after-work.

Pour rendre son entreprise pérenne, Adrien LLINAS, sans cesse dans la créativité et la réactivité, souhaite créer des évènementiels. Ceux qui ont un attrait direct avec les dates du calendrier (Saint-Valentin avec des burgers en forme ce cœur, Halloween où certaines variétés de pains, fournis par la SARL ROY, arboraient un coloris noir). Début 2019, il envisage de servir de la viande de race Aubrac, élevée par l’une de ses connaissances éleveur bovin à Jauges dans l’assiette. Un test pour proposer le nec plus ultra des burgers, encore jamais inventés !


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En livrant début janvier de nouveaux modules d’ameublement destinés à équiper un établissement hôtelier de grand standing à Evian-les-Bains, BMO Agencement, entité entrepreneuriale née de la récente fusion entre BEAUJARD Agencement et MOBIFORM, entend renforcer sa présence sur le marché du luxe. Son dirigeant, François-Xavier RICHARD, lauréat du Réseau Entreprendre, intègre ces perspectives de développement parmi ses grandes priorités en 2019…

JOIGNY : Spécialiste dans la conception et fabrication de mobilier destiné à agencer les édifices publics et commerciaux, BMO Agencement, structure née de la récente fusion entre BEAUJARD Agencement et MOBIFORM, entreprise rachetée en 2016 par la précédente enseigne, souhaite conforter sa présence sur le marché de l’agencement de luxe. Un segment d’activité qui se rapporte à l’hôtellerie haut-de-gamme et aux palaces que recense l’Hexagone.

L’entreprise de Joigny s’est vue confier il y a peu un important contrat avec l’un de ces lieux prestigieux qui accueille des touristes en provenance du monde entier, en Haute-Savoie, dans la station thermale d’Evian-les-Bains.

Validé début décembre, ce chantier consiste à concevoir plusieurs meubles faisant office de vitrines pour y commercialiser des produits cosmétiques et des bijoux.  

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Un effectif qui ne cesse d’augmenter…

D’autres pièces, destinées à habiller le restaurant gastronomique, de cet établissement à la renommée internationale, complèteront ce lot. Une heureuse opportunité pour le dirigeant de BMO Agencement, François-Xavier RICHARD, qui espère travailler sur d’autres projets d’une ampleur similaire avec la nouvelle année.

« Stratégiquement, devait-il préciser, ces chantiers correspondent à l’évolution naturelle que notre structure voulait se doter sur le segment du luxe… ».

Fort d’un effectif en constante progression (une quarantaine de collaborateurs), BMO Agencement qui a recruté cette saison trois nouvelles personnes (un menuisier poseur sur chantier et des menuisiers polyvalents pour le montage de mobilier) a connu une très nette poussée de son chiffre d’affaires (plus de 10 %) pour atteindre aujourd’hui 5 millions d’euros.


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Apparue en 2010, et initiée par trois jeunes diplômés de l’Ecole de commerce de Grenoble (GEM), la plateforme nationale de recherche d’emploi auprès des jeunes générations a atteint son seuil de rentabilité en 2017. La réalisation d’une nouvelle levée de fonds, pour un montant de dix millions d’euros, place désormais sur l’orbite du leadership français ce groupe qui propose un ensemble de services à forte valeur ajoutée au bénéfice de la carrière de la jeunesse, vraie relève professionnelle. En charge du développement de la communication, Sophie LEBEL nous a accordé une interview sur les perspectives de développement et la stratégie de cette entreprise en 2019…

GRENOBLE (Isère) : Quelle est la genèse de ce concept WIZBII, une plateforme dédiée à la recherche d’emploi auprès des jeunes générations ?

Wizbii a été créée en 2010 par trois jeunes diplômés de l’école de commerce de Grenoble (GEM). Initialement, nous étions un réseau social professionnel dédié à l’emploi des jeunes. Puis, au fur et à mesure des années, nous avons fait évoluer notre modèle pour devenir aujourd’hui un groupe qui propose un ensemble de services à forte valeur ajoutée pour la carrière des jeunes.

Comment se présente le bilan de la structure depuis son année de lancement, survenu en 2010 ?

Nous avons atteint un seuil de rentabilité en 2017. Notre chiffre d’affaires et notre équipe ont fortement évolué ces dernières années. Aujourd’hui, nous sommes cent collaborateurs, répartis sur Grenoble (le siège), Paris et Pau.

Une offre de 350 000 emplois constitue le socle de votre réseau. Pourriez-vous nous détailler la typologie de ces postes dans les grandes lignes ?

Chez WIZBII, nous pensons que TOUS les jeunes, venus de TOUS horizons, devraient avoir les mêmes chances de réussite. Ainsi, nous proposons des postes dans tous les domaines, que ce soit via notre offre en ligne ou via nos évènements. Sur WIZBII, vous pouvez trouver un poste de développeur web, de serveur, de chargé de projet ou même d’équipier polyvalent. 

Vers une grande campagne de communication en 2019…

Votre outil de communication repose d’ordinaire sur les jobs dating. Cette méthodologie reste-t-elle efficiente selon vous dans l’approche optimale d’un réseau professionnel ?

En réalité, nous avons travaillé pendant plusieurs mois avec une grande agence de « branding » parisienne. Cela nous a permis de travailler sur la formulation d’une nouvelle plateforme de marque que nous allons dévoiler début février. Jusqu’ici, nous communiquions beaucoup via nos réseaux sociaux et nos évènements. Mais en 2019, nous allons déployer une grande campagne de communication à 360 degrés.

Quel est votre modèle économique ?

Nous imaginons et offrons les services les plus utiles et innovants pour répondre aux envies d’avenir des jeunes. Nos services seront toujours gratuits pour eux et nous nous appuyons sur des grandes entreprises et des banques pour proposer ces services.

Pourquoi le Crédit Agricole est-il devenu le partenaire idoine dans l’opération « Premier Stage, premier job » ?

Pour la deuxième année consécutive, nous organisons le dispositif « 1er Stage, 1er Job » avec le Crédit Agricole. C’est un acteur particulièrement légitime sur ce dispositif déployé sur l’ensemble du territoire français, de par ses valeurs mutualistes, son ancrage sur le territoire, et parce qu’il s’agit de la première banque des entreprises et des jeunes.

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Quels sont les enseignements de cette opération après la première année d’exploitation au plan national ?

La première année de « 1er Stage, 1er Job » fut un large succès. Avec le Crédit Agricole, nous avons organisé 102 Jobs Dating, permis à plus de 6 600 candidats de rencontrer 825 entreprises. De nombreux postes ont été pourvus et la satisfaction des jeunes et des entreprises était au rendez-vous. Voici pourquoi nous avons signé une seconde édition de cette initiative.

Une sélection, au niveau des candidats qui fréquentent ces évènementiels, s’effectue en amont. Sur la base de quels critères ?

Effectivement, nous prenons le contre-pied d’un forum emploi classique, dans nos évènements. Notre équipe « sourcing » recherche des candidats qui vont correspondre aux besoins des entreprises présentes (une dizaine par évènement pour 60-80 jeunes). Le CV est pris en compte mais surtout la motivation des candidats. Un entretien téléphonique est organisé par notre équipe lorsque les jeunes s’inscrivent sur notre site web.

Une présence en développement à l’international…

Que recherchent précisément les entreprises en termes de profil et de compétences ?

Cela est très variable selon les entreprises. Nous en avons qui recherchent des candidats très juniors, même sans expérience, et d’autres qui recrutent des profils avec quelques années d’expérience (en tenant souvent compte des stages et alternances). Quoi qu’il en soit, le job dating permet aux candidats de faire valoir sa motivation et sa personnalité auprès des entreprises. Les entreprises attendent d’eux qu’ils soient naturels, motivés et souvent capables de travailler en équipe.

WIZBII intervient au niveau international désormais. Dans quels pays ? Et quelle est la stratégie de développement hors de France ?

Nous sommes présents en France, Espagne, Allemagne, Italie et Grande-Bretagne. Notre site est d’ailleurs traduit dans toutes ces langues. Pour le moment, notre stratégie est de continuer à conquérir de nouveaux membres à l’étranger avant de commencer toute commercialisation. Nous avons beaucoup de belles opportunités commerciales en France et pour le moment nous nous concentrons sur celles-ci.

La méthodologie que vous utilisez est-elle la meilleure solution aujourd’hui pour trouver un job ?

Nous n’avons pas la prétention de dire que nous sommes la meilleure des solutions, mais nos services ont largement fait leurs preuves. Et, c’est très encourageant de voir toutes ces belles histoires se former au sein de notre communauté. Quelque chose d’assez unique chez WIZBII, c’est que nous allions le digital et le physique (« phygital ») ce qui permet de renforcer notre action pour l’emploi des jeunes.

Vous travaillez avec beaucoup de jeunes diplômés dans vos bases de données, quid des autres personnes en décrochage scolaire et/ou professionnel ?

Nous avons souvent cette image d’être réservé aux personnes diplômées, comme c’est souvent le cas chez d’autres acteurs du milieu, ce n’est pourtant pas le cas. Comme indiqué au début de l’interview, nous nous adressons à tous les jeunes et nous offrons de nombreux services pour permettre à chacun de réussir sa vie professionnelle. Par exemple, nous avons un service qui s’appelle Fibii.co et qui aide les jeunes à trouver toutes les aides étudiantes dont ils peuvent bénéficier et ainsi pouvoir réellement choisir leur avenir. Aussi, nous avons un blog qui s’appelle http://laruche.wizbii.com qui donne chaque jour des conseils très pratiques pour réussir son entrée dans la vie active.

Quelle est votre marge de progression sur le marché de l’emploi des jeunes ?

Notre challenge est aujourd’hui de développer notre notoriété et devenir « top of mind » chez les jeunes, pour accompagner toujours plus de personnes. Aujourd’hui, nous avons 2,5 millions de membres en France et en Europe. Notre idée est devenir le service préféré des jeunes.

Est-ce que demain vous serez ouvert aux seniors ?

Nous avons beaucoup à faire pour l’emploi des jeunes, aussi pour le moment nous continuons à nous focaliser sur cette cible qui a beaucoup de besoins.

Quelles sont vos perspectives sur l’année 2019 ?

En 2019, nos objectifs sont de continuer à développer nos partenariats commerciaux, de lancer de nouveaux produits (dont notamment un lié aux financements des études) et de devenir « top of mind » chez les jeunes.

Quel est votre chiffre d’affaires à l’aune de la nouvelle année ?

Nous ne communiquons pas sur notre chiffre d’affaires mais celui-ci ne cesse de se développer. Nous avons atteint notre seul de rentabilité en 2017 et nous venons de réaliser une nouvelle levée de fonds pour un montant de 10 millions d’euros…


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Hasard vertueux du calendrier, le ministère des Solidarités et de la Santé a endossé sa houppelande de Père Noël ces jours-ci en débloquant une enveloppe budgétaire de 415 millions d’euros de crédits au niveau national. Conséquence de ce geste prévisionnel, l’Agence régionale de Santé (ARS) de notre territoire a annoncé dans un bref communiqué le 21 décembre qu’une somme de près de 17 millions d’euros sera affectée aux établissements de santé, publics et privés, de Bourgogne Franche-Comté.

DIJON (Côte d’Or) : Chaque année, une partie des fonds servant au financement des hôpitaux sont placés en réserve en début d’exercice, à titre dit « prudentiel ». Ces crédits prévisionnels peuvent être libérés en fin d’exercice. C’est ce qui a été décidé par le ministère des Solidarités et de la Santé en fin de semaine dernière.

En effet, pour l’année 2018, l’engagement et les efforts des différents acteurs de la filière, assurant le respect de l’Objectif national des dépenses d’assurance maladie (ONDAM), ont été observés. D’où l’initiative du déblocage de cette manne financière au plan national.

Ainsi, une enveloppe globale d’environ 17 millions d’euros se répartira aux établissements de santé de la région. Qui en seront les bénéficiaires dans les huit départements de Bourgogne Franche-Comté ?

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Les établissements publics et privés qui pratiquent une activité de médecine, chirurgie et obstétrique (MCO), recevront environ 13 millions d’euros. Les établissements publics profiteront eux-aussi de trois millions d’euros pour leurs activités de psychiatrie et de soins de suite et de réadaptation (SSR).

Enfin, plus de 900 000 euros seront alloués aux cliniques privées qui sont spécialisées dans les soins de suite et de réadaptation ainsi que de la psychiatrie.


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Premier centre de formation professionnelle dans l’immobilier en France, l’ESI (Ecole supérieure de l’immobilier) fêtera sa quinzième année d’existence en 2019. Portée sur les fonts baptismaux par la FNAIM, l’établissement pédagogique prépare les acteurs de cette filière incontournable de l’économie aux enjeux de demain et à une profonde mutation intellectuelle et comportementale de ses membres. En y injectant davantage de méthodologies ultra modernes qui ont recours aux outils de la digitalisation et du numérique…Rencontre avec son directeur, le Sénonais Thierry CHEMINANT.

COURBEVOIE (Hauts-de-Seine): L’Ecole supérieure de l’immobilier est-elle une référence dans cette branche professionnelle ?

Oui, on peut l’affirmer. L’ESI a été créée par la FNAIM en 2004 sur un modèle dual : une structure de formation mariant à la fois formation initiale et formation continue. Quinze ans après, les faits sont là : 400 étudiants en formation initiale, tous en alternance, et plus de 35 000 adultes sont formés chaque année. Ce qui fait de nous aujourd’hui le premier centre de formation professionnelle dans l’immobilier en France. Et la première école à ne dispenser que des formations pour l’immobilier en alternance qui, toutes donnent, accès aux cartes professionnelles.    

Quelle est sa genèse ? Quel est son mode de fonctionnement ?

Il fallait répondre à deux besoins identifiés : former les futurs professionnels de l’immobilier et former les acteurs déjà en poste dans les entreprises du secteur. Le concept mis en avant à l’époque est que pour être crédible en formation continue, il faut pouvoir démontrer qu’on sait faire de l’enseignement supérieur.

Dès lors, nous avons mis en place au fils des ans, six partenariats avec des Universités françaises, nous permettant de délivrer au sein de l’ESI seize diplômes d’Etat, tous en alternance (professionnalisation ou apprentissage). Ce modèle est bel et bien unique. Nous allons ainsi du BTS professions immobilières au Master 2. Tous les étudiants sont basés dans nos locaux à Courbevoie. Pour ce qui concerne la formation continue, nous proposons aujourd’hui un catalogue de plus de 400 formations entièrement dédiées à l’immobilier. Ce qui représente pour 2018, l’organisation de plus de mille sessions de formations sur la France métropolitaine et Outre-mer (Martinique, Guadeloupe, Guyane et la Réunion).

Pour se faire, nous bénéficions du soutien de nos chambres FNAIM, réparties sur l’ensemble du territoire qui sont nos centres de formation en région. Ce maillage territorial unique pour une organisation professionnelle telle que la FNAIM, est pour nous un atout majeur de notre développement et de notre présence au plus près des territoires. Par ailleurs, nous avons développé depuis 2016 une offre de formation 100 % en ligne sous forme de classes virtuelles (autrement dit « webinaires » ou « visio-conférences synchrones). Aujourd’hui, notre catalogue digital, fort de plus de soixante thématiques, attire plus de quatre mille apprenants par an.

L’ESI est-elle entièrement adossée à la FNAIM ? Des professionnels non-affiliés peuvent-ils bénéficier de ces formations ?

L’ESI émane de la FNAIM et appartient entièrement à la FNAIM. C’est notre ADN ! Nous formons tous les adhérents de la FNAIM qui le souhaitent et depuis quelques années, nous sommes ouverts aux entreprises non adhérentes, qui paient un tarif différent bien sûr. Tout le monde peut venir se former chez nous. Je veux également préciser que nous avons des programmes qui s’adressent spécifiquement aux demandeurs d’emploi en reconversion professionnelle. A ce titre, nous en accueillons plusieurs centaines par an.

Que proposerez-vous en matière d’offres de formation pour l’année 2019 ?

Nos catalogues 2019 viennent de sortir fin novembre. Nous avons renouveler près du tiers des programmes. Comme chaque année, l’accent a été mis sur l’éco rénovation énergétique et les nouvelles dispositions de la loi ELAN, entre autres.

Côté étudiants, nous avons proposé  à la rentrée plusieurs parcours nouveaux en licence et master.

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La crédibilité de l’offre, gage de sérieux et de professionnalisme…

L’instauration de la loi ALUR oblige les professionnels de l’immobilier à suivre des formations continues. Comment cela se concrétise-t-il au quotidien ?

Pour nous, cela s’est traduit par un accroissement très important de notre activité en formation continue depuis 2016, de l’ordre de plus 20 % par an. Depuis deux ans, nous avons beaucoup plus d’apprenants dans les sessions et nous avons un taux de maintien de plus de 80 % desdites sessions inter-entreprises.

Si l’on prend comme point de repère les années 2017 et 2018, quels sont les chiffres clés qui caractérisent vos missions ?

L’ESI en 2018, c’est plus de mille sessions de formations en présentiel sur l’ensemble du territoire, y compris l’ultramarin, dans nos cinquante centres de formations accueillis dans les chambres syndicales FNAIM. Soit près de 35 000 jours/stagiaires, et plus de 4 000 personnes formées à travers notre digital Learning (webinaires), sans oublier nos 400 étudiants tous en alternance, préparant du BTS professions immobilières au Master 2.

Le taux de placement des personnes ayant suivi vos séances pédagogiques s’élève à 100 % lorsqu’elles désirent intégrer la vie active. L’ESI dispose nécessairement d’une précieuse « aura » pour obtenir de tels résultats ?

On peut dire qu’aujourd’hui, l’ESI a su prouver la qualité de son modèle et la crédibilité de son offre de formation, faisant de nous un des principaux acteurs de la formation aux métiers de l’immobilier.

Est-il nécessaire pour un jeune qui souhaite se diriger vers cette filière professionnelle de posséder le maximum de diplômes pour réussir ?

Non, pas forcément. Même si les métiers de l’immobilier sont de plus en plus exigeants, avec un encadrement règlementaire qui ne cesse d’évoluer, j’en veux pour preuve la promulgation de la loi ELAN, fin novembre. Nous proposons des parcours accessibles dès le niveau bac, jusqu’à des Masters qui nécessitent un bac + 4. Tout est question de volonté, de motivation et d’intérêt pour ces professions qui sont exigeantes, certes, mais passionnantes. Surtout, il s’agit d’aider les ménages ou les entreprises à se loger, ce qui est un acte récurent et pérenne.

L’ESI propose 17 formations diplômantes et 400 thématiques. Quelles sont-elles ?

Le BTS professions immobilières, puis en partenariat pédagogique avec nos Universités partenaires (Perpignan, Lorraine, Limoges, Aix Marseille, Dijon, Paris VIII): six licences professionnelles, quatre Masters 1 et six Masters 2, tous 100 % immobilier, urbanisme et/ou gestion patrimoniale. Vous avez le détail sur notre site www.groupe-esi.fr...

Par manque de temps, peut-être par ignorance, les professionnels ont parfois du mal à se dégager de leurs contraintes pour suivre une formation, ou envoyer leurs collaborateurs. Comment remédier à cela ?

Déjà, la formation n’est pas une perte de temps. C’est un investissement qui permet de toujours mieux répondre aux exigences de ses clients. La meilleure des réponses pour les « sur- bookés », c’est la formation digitale à travers nos « webinaires ». On se forme, depuis son bureau, en « visio-conférence synchrone », sans déplacement. C’est le formateur qui vient « virtuellement »  à vous ! C’est un énorme gain de temps…

« Avec Jean-François BUET, le président de l’ESI, il n’y a pas de problème entre Bourguignons ! »

Votre siège social est situé à Courbevoie. Une facilité, sans doute, pour faire converger tous les apprenants vers la capitale et l’Ile de France ?

C’est un choix qui répondait à notre cahier des charges et nos contraintes financières. Courbevoie, c’est la Défense. Mais, c’est une ville agréable à dix minutes de Paris centre par les transports !

Disposez-vous de représentativité à travers l’Hexagone ?

Nous sommes présents pour la formation continue à travers nos cinquante centres de formation dans nos chambres syndicales. Mais, nous allons proposer dès le premier semestre 2019 un modèle qui va nous rapprocher encore plus des territoires…

Financièrement, quel est votre modèle économique ?

Nous sommes une entreprise comme les autres. La FNAIM a beaucoup investi au départ pour lancer ce projet. Aujourd’hui, nous sommes fiers de pouvoir être un centre d’activité à l’équilibre et qui, je le crois, permet à la FNAIM de faire un réel retour sur investissement.

Comment voyez-vous la formation dans les années à venir ?

La nouvelle loi sur « la liberté de choisir son avenir professionnel », promulguée le 05 septembre dernier, est une révolution copernicienne, comme il est bon de dire… Elle contient des éléments positifs. D’autres qui appellent à la vigilance. Je pourrai vous en dire plus quand les quatre-vingts décrets que nous attendons seront parus. Ce que je peux affirmer, c’est que nous sommes prêts à gérer ce nouveau biotope réglementaire au service de nos adhérents FNAIM et de nos autres clients.

L’ancien président de la FNAIM, Jean-François BUET, est désormais le président de l’ESI. Comment fonctionne votre binôme au sein de l’ESI ?

Entre bourguignons, il n’y a pas de problème ! Jean-François BUET m’a recruté il y a quinze ans (il était à l’époque président de la FNAIM par intérim). Nous avons eu le temps d’apprendre à nous connaître, et je crois, à nous apprécier. La formation est un enjeu majeur pour la FNAIM, et notre nouveau président fédéral Jean-Marc TORROLLION, de même que son président-adjoint, Loïc CANTIN. Ils travaillent également étroitement avec nous sur les dossiers.

Maîtriser la formation, gage d’excellence, demeure-t-il le meilleur moyen de faire front à la concurrence exacerbée qui sévit à l’heure actuelle sur votre secteur d’activité ?

Notre modèle a fait ses preuves désormais, nous essayons d’être « agiles » face à notre environnement. Il en va de même pour les professionnels qui viennent se former chez nous. La marque « ESI », associée à la FNAIM, est aujourd’hui reconnue et représente un gage de sérieux et compétence. Notre travail de plus de quinze années est en train de porter ses fruits.


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