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On connaissait le commerce équitable. L’édile Les Républicains de Migennes invente, quant à lui, le concept de « l’équité du traitement commercial » ! Publié dans la soirée sur la page Facebook de la localité icaunaise, l’arrêté municipal autorisant l’ouverture des commerces non-alimentaires, signé de la main de François BOUCHER, pointe les disparités existantes entre la grande distribution et les boutiques de proximité qui ne sont pas traitées à la même enseigne en cette période de confinement…

MIGENNES : C’est un sacré pavé dans la mare que vient de jeter le maire de Migennes dans le microcosme économico-institutionnel de l’Yonne. Malgré la période de confinement, il a autorisé l’ouverture des commerces non-alimentaires de sa commune.

Evoquant le principe de l’égalité de traitement entre tous les commerces, François BOUCHER ne s’est pas fait prier pour parapher un arrêté qui offre l’opportunité auxdits commerces, qui ne sont pas autorisés par le gouvernement à ouvrir jusqu’au 01er décembre, de poursuivre tout bonnement leurs activités. Comme si de rien n’était, en somme ! Et cela en marge du décret officiel publié jeudi soir par l’exécutif !

A sa lecture, le document est sans équivoque sur les intentions de l’élu qui montre du doigt ce que beaucoup d’observateurs nationaux ne cessent de constater depuis la connaissance du décret via des médias interposés : la concurrence exacerbée entre les circuits de la grande distribution qui demeurent opérationnels durant cette période de sinistrose économique et les commerces de proximité, bannis du système en devenant hors-jeu.

Les arguments avancés par le maire de Migennes ont le mérite d’être clairs et interrogatifs sur la pertinence des choses.  Dans cet arrêté qu’il a transmis au représentant de l’Etat, le préfet Henri PREVOST, mais aussi à la directrice générale des services de la mairie de Migennes et au responsable de la police municipale, François BOUCHER considère que « les attendus de ce décret gouvernemental créent une pratique commerciale déloyale contraire aux décisions annoncées par le président de la République ».

 

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Ne pas appliquer un décret défavorable envers les petits commerces

 

En second lieu, la non-fermeture des grandes surfaces entraîne une rupture d’égalité de traitement entre les supermarchés, les hypermarchés et les petits commerces non-alimentaires. De surcroît, les rayons non-alimentaires et non-essentiels (quelle est réellement la définition exacte d’un commerce non-essentiel par ailleurs ?!) n’étant pas fermés dans la GMS, cela pénalise les boutiques indépendantes qui ne peuvent que souffrir comptablement de cette situation.

En résumé, le maire de Migennes ne veut pas que s’applique sous cette forme cette règle défavorable envers les petits commerçants du centre-ville. Des entrepreneurs qui sont déjà en souffrance économique depuis pas mal de temps.

Quant à la durée de cet arrêté, elle n’est pas précisée en fonction d’une date. Plutôt selon la phase évolutive de la situation, c’est-à-dire « jusqu’à ce que l’égalité de traitement soit rétablie ».

 

 

Jouant les « chevaliers blancs », François BOUCHER se place toutefois en position très délicate avec la publication de cet arrêté qui ne correspond pas à la légalité étatique.

Une protestation véhémente qui pourrait le conduire à mener un véritable bras de fer avec la préfecture. Voire à disputer une toute autre bataille, cette fois, devant le tribunal administratif.

Quant aux commerçants qui seraient irrespectueux du décret gouvernemental, ils s’exposeraient alors à une contravention de 135 euros qui pourraient ensuite augmenter de manière exponentielle en cas de persistance.

Dans tous les cas, la décision rebelle de François BOUCHER a déjà eu le mérite de faire beaucoup de bruit dans le landerneau : d’autres élus lui ont donné leur soutien. Une nouvelle fronde contestataire en perspective ?

Thierry BRET

 


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C’est un fait avéré dans l’Hexagone. La grande majorité des cabines de peinture dont se servent au quotidien les professionnels de la carrosserie, environ douze mille unités, intègre la catégorie des appareils vétustes. De surcroît, gros consommateurs en énergie. Le Conseil National des Professions de l’Automobile (CNPA) entend bien relever un nouveau défi. Renouveler le parc existant avec les aides de l’Etat…

PARIS: Outil indispensable à l’exercice de la carrosserie, les cabines de peinture sont considérées comme vétustes et énergivores par les professionnels de l’automobile. A commencer par le principal syndicat de la filière en France, le CNPA.

Le renouvellement du parc s’inscrit donc parmi les grandes priorités de l’organisme qui défend l’intérêt général d’une corporation regroupant 142 000 entreprises et 500 000 emplois ne pouvant se délocaliser.

Trois explications à cela. Primo, des raisons écologiques justifient le changement de ces cabines aujourd’hui obsolètes. Les appareils de dernière génération permettent d’économiser 50 % d’énergie par rapport à l’ancien matériel. Objectif en filigrane : la réduction de l’empreinte carbone.

Secundo, la compétitivité. Un argument de poids car la baisse de la facture énergétique couplée à l’utilisation d’un outil gagnant en performance va améliorer considérablement la productivité. Donc, celle des entreprises du secteur qui tentent de subsister en France vaille que vaille.

 

 

Enfin, en troisième point, la cohésion. C’est cette notion qui fait figure de ciment dans cette activité de carrosserie qui concerne une grande partie des acteurs de la filière des services automobiles, à savoir les concessionnaires, les agents, les indépendants et les carrossiers eux-mêmes. Des acteurs prépondérants auxquels il est nécessaire d’ajouter les industriels puisque plus de 80 % des cabines vendues chaque année en France sont fabriqués sur le territoire national.

Stratège, le CNPA souhaite profiter de l’opportunité du plan de relance de l’Etat visant à accompagner les entreprises (une enveloppe de cent milliards d’euros) pour rendre éligible le renouvellement desdites cabines.

Pour se faire, un questionnaire vient d’être adressé ces jours-ci aux professionnels de la filière pour quantifier précisément l’état du parc des cabines. Un sondage qui lui permettra en retour de mieux calculer les bénéfices environnementaux attendus dès que cette modernisation deviendra effective. En outre, les formations nécessaires à l’utilisation de ces nouveaux équipements seront également inscrits au dispositif « compétence emploi ».

On le constate, le CNPA désire impulser avec volontarisme ce changement technique et sa modernisation pour mieux refondre ce secteur d’activité au plan économique, social et écologique.

 


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Agir vite et ensemble ! C’est le leitmotiv du président de la Fédération régionale des Travaux publics de Bourgogne Franche-Comté Vincent MARTIN. Ce dernier multiplie les initiatives pour qu’une reprise rapide d’activité de la profession se fasse. Il en appelle aux décideurs économiques et aux élus locaux car la commande publique dont dépend à 70 % la filière est en berne…

DIJON (Côte d’Or) : Le secteur des travaux publics manque aujourd’hui cruellement de visibilité. Il ne peut décemment se projeter vers l’avenir faute de repères, notamment sur les appels d’offres dont ils sont dépendants côté business à hauteur de 70 % ! Un contexte très inquiétant qui a fait réagir le président de la fédération régionale de Bourgogne Franche-Comté, Vincent MARTIN.

D’autant que bon nombre d’entreprises envisagent un recours à l’activité partielle, voire à des licenciements économiques si la commande publique ne s’infléchit pas très rapidement vers une courbe positive.

Soutenu par son bureau, le président de la FRTP ne reste donc pas les deux pieds dans le même sabot pour multiplier les rencontres avec les décideurs économiques. Les rencontres avec le préfet de Région et les préfets des départements de Bourgogne Franche-Comté s’organisent avec comme unique objectif d’accélérer la mise en œuvre des concours financiers de l’Etat.

 

 

Une mobilisation tous azimuts auprès des collectivités…

 

Une initiative vertueuse va se mettre en place d’ici la fin de l’année dans la contrée. Elle prendra la forme de matinales spéciales TP qui seront programmées en liens avec les partenaires locaux que sont les associations des maires de France, des maires ruraux, les présidents des EPCI et les services de la préfecture.

Les élus locaux sont clairement ciblés par Vincent MARTIN et ses troupes, car ces derniers possèdent un rôle primordial à la préservation des emplois de ces entreprises aujourd’hui acculées contre le mur.

Le message véhiculé lors de ces rendez-vous sera le suivant : les entrepreneurs des travaux publics peuvent répondre avec réactivité aux besoins actuels, le développement d’infrastructures vertes, en les réalisant ou en les entretenant.

Conscient des difficultés rencontrées par les élus locaux en ces circonstances délicates imputables à la COVID-19, le président MARTIN en appelle à l’union pour résoudre et surmonter ensemble cette crise inédite.

Arguant que des financements exceptionnels existent et que préfectures et agences de l’eau, déjà mobilisées, peuvent s’avérer être de précieux accélérateurs pour dynamiser les projets.

 


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Pour le général Charles de Gaulle, « la petite Europe », celle du marché commun, ne pouvait être que le point de départ de la construction d’une cathédrale. La stratégie, c’était de regrouper tous les états de l’ancien continent. C’était de faire l’Europe de « l’Atlantique à l’Oural » et non le contraire, le sens historique des invasions !

TRIBUNE : Traumatisé par l'épisode de la Fronde (1648-1653) qui a vu la noblesse française s'insurger contre la monarchie, Louis XIV a toujours voulu garder sous contrôle, les aristocrates qui l'entouraient.

La stratégie du Roi Soleil était de limiter les complots, en étourdissant de fêtes celles et ceux qui pouvaient les fomenter. Il fallait éviter les conflits entre les différents seigneurs et affirmer sans cesse la grandeur et la magnificence du roi auprès de tous. Et même auprès des autres royaumes. C’est à cause de tout cela que le souverain construira le château de Versailles : la stratégie illustre une belle réussite.

Talleyrand est l’archétype d’une stratégie hors du commun pour les uns, démoniaque pour les autres. Les observateurs le constateront lors de la négociation du congrès de Vienne qui se déroule de septembre 1814 à juin 1815. Ministre des relations extérieures de Louis XVIII, Talleyrand doit négocier l’addition de la conséquence des guerres napoléoniennes avec tous les pays de la coalition : 216 états dont deux empereurs et le fameux Metternich !

Au départ de sa longue carrière, « le diable boiteux » (surnom de Talleyrand, allusion à son pied bot) manœuvrera avec succès auprès, de rois, d’un empereur et des révolutionnaires.

En préparation du congrès de Vienne, Talleyrand déclare : « Sire, j’ai plus besoin d’un cuisinier que de diplomates ». Ensuite, la France c’est avant tout le prestige : il se fait nommer « prince » au milieu de cet aréopage de rois, de ducs et autres empereurs… Il démarre le congrès par une séduction gastronomique et enchaîne avec une séduction plus sournoise en présentant sa « nièce » (une courtisane, sa maîtresse d’espionne).

Cette dernière écumait toutes les alcôves possibles : objectif, semer le trouble et les discordes auprès de tous les protagonistes. Elle faisait monter les enchères en laissant croire que les uns exigeaient, sous le manteau, des sommes discrètement versées, aux autres des répartitions de territoires aussi farfelues que fantaisistes…

Au final, une belle réussite pour Talleyrand, donc la France, bien au-delà de la vocation d’un traité final qui s’imposera sans signatures définitives : éviter la guerre entre les belligérants et un nouveau découpage des pays aux fins de contribuer à l’émergence d’un sentiment européen !

 

La stratégie est-elle toujours de mise en politique ?

 

Aujourd’hui, des conflits d'intérêts ou d'aspirations surgissent à tout moment car les objectifs recherchés par certains suscitent chez d'autres des réactions conflictuelles.

Des organisations ou des états s'affrontent, élaborent des stratégies, mobilisent des ressources, forment des alliances… Dans ce perpétuel processus d'action et de réaction s'engagent des négociations, se déroulent des confrontations que ponctuent succès, défaites ou triomphes.

Agir c’est avant tout penser l’action. La réaction semble souvent irréfléchie et fondée sur l’émotion. Le terme « stratégie » est très courant dans le langage usuel et professionnel. Tellement courant qu'on tend parfois à le confondre avec d'autres termes, exprimant approximativement la même idée mais se distinguant par le sens profond, par exemple tactique, plan, démarche...

 

 

La stratégie est définie comme la science ou l'art de l'action humaine finalisée, volontaire et difficile. Finalisée, c'est-à-dire tendu vers des buts identifiés avec précision, volontaire, dans la mesure où la volonté de l'unité agissante représente une condition fondamentale pour la réalisation de l'objectif. Il est difficile, c'est-à-dire que cette réalisation demande des efforts conséquents pour surmonter les obstacles assez élevés. Dans son sens absolu, la politique est l'art de gouverner la cité dans le but d'atteindre ce que l'on considère comme la fin suprême de la société. La politique est aussi définie comme la mise en œuvre de moyens pour réaliser certains objectifs déterminés dans un domaine précis. Le monde politique est le lieu même de la lutte pour la conquête et l'exercice du pouvoir. Cependant, peut-on se demander si en politique la stratégie est- elle toujours de mise ?

 

La politique de la santé conditionnée par les réductions de coûts…

 

La stratégie de nos dirigeants est conditionnée par le pouvoir croissant des financiers en se limitant au « court terme » : le cours de la monnaie au « jour le jour » (l’indice EONIA), le cours du Brent ou celui de l’or…

La stratégie politique est basée sur la conflictualité : la lutte pour le pouvoir et pour le garder est au centre de la vie démocratique, dixit Machiavel. La politique devient le lieu des divisions et des conflits. Les dirigeants du monde économique et politique semblent plus concernés par leur égo que par l’intérêt commun ! Les dirigeants de tout bord veulent imposer leurs stratégies : on devrait dire des décisions réactionnelles, par les manipulations d’une dialectique orchestrée par les conseillers en communication !

Le problème de leur méconnaissance de l’histoire leur fait commettre des erreurs et des bévues dramatiques pour le citoyen !

La crise sanitaire est exemplaire à plus d’un titre. Depuis de nombreuses années, la seule stratégie au niveau de la santé et de l’écologie n’est conditionnée que par les économies budgétaires et les réductions de coûts. Aucune véritable stratégie ni d’écoute des experts et des praticiens de tous ces domaines.

De mois en mois, nous ne faisons que réagir aux nouvelles conditions d’évolution du virus. Pire encore, on ouvre lâchement le parapluie ! Les politiques nous déclarent que le Conseil scientifique ordonne le confinement ! Toujours plus fort : une Convention Citoyenne, réunissant 150 personnes, fait des propositions pour le climat. Lesdites propositions deviennent des ordres pour le locataire de l’Elysée !

Les personnes représentatives de lobbys de gauche et d’écologistes pour certains, du pays pour les autres, furent paraît-il tirées au sort. Cohn-Bendit faisait partie des joyeux  gagnants du tirage mais c’est heureusement retiré !

A qui fera-t-on croire au hasard ? La convention n’ayant aucune légitimité, à quoi servent les représentants de la nation, élus démocratiquement ? Allons-nous vers la fin de notre démocratie ? Quelle stratégie pour le devenir de l’homme, dans son environnement sociétal, économique, climatique…

Priorité au groupe ou à l’individu ? Egoïsme ou fraternité ? Madame, Monsieur les dirigeants, oublier l’Histoire c’est méconnaître l’histoire des révolutions et se désintéresser de l’histoire des Français !

Nous sommes indisciplinés, certes, mais c’est aussi cela qui fait naître la résistance et gagner les guerres…

« Si quelqu’un vous traite d’amateur, rappelez-lui que ce sont des amateurs qui ont construit l’Arche de Noé et des professionnels qui ont fait le Titanic. La suite on la connaît, croyez en vous… » Morgan Freeman.

Avis aux amateurs !

Jean-Paul ALLOU

 


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Il n’est pas exclu de réitérer l’expérience ; celle qui a été vécue avec succès aux derniers jours de l’été à Vauban. Le principe des vacances apprenantes avait été jugé très positif à l’époque par le corps administratif du lycée hôtelier de l’Yonne. Un motif de satisfaction qui pourrait trouver une suite légitime dans la durée…

AUXERRE : L’expérience pédagogique avait séduit les classes lors de l’ultime semaine du mois d’août. Leurs élèves comme leurs enseignants puisque toutes ces sections scolaires présentaient des effectifs plutôt bien fournis malgré la période propice au farniente.

S’appliquant aux classes de première et de terminale, mais aussi à celles et ceux qui fréquentent les cours les menant au CAP, le processus intégré au programme de soutien scolaire imaginé par le ministère de l’Education nationale avait reçu un écho favorable de la part de la responsable de l’établissement Capucine VIGEL.

L’initiative aura permis de rassurer et de redonner le goût d’apprendre aux élèves parfois dubitatifs et perturbés après de longues semaines de confinement.

Chaque jour, des cours de français avaient été mis en place afin de retrouver les indispensables règles de communication après cette longue coupure relationnelle.

S’appuyant sur un retour à l’apprentissage teinté de jeux et de partage, les enseignants mobilisés à la réussite de ce projet avaient multiplié les initiatives ludiques et conviviales autour d’ateliers de cuisine et de service, mais aussi des techniques professionnelles en petite enfance.

Preuve que le système fut apprécié de tous : les futurs bacheliers devaient préparer un repas à partir d’une fiche technique qu’ils ont eux-mêmes réalisé par informatique. Le lendemain de cette expérience pédagogique, c’était au tour des élèves de CAP d’exploiter cette fiche afin de créer un repas. Ces agapes placées sous le sceau du partage devaient réunir enseignants et élèves, un vrai symbole d’harmonie, il est vrai.

Un temps convivial ô combien nécessaire en ces moments délicats qui auront permis de renforcer les liens entre les élèves et avec leurs enseignants qui leur transmettent le savoir.

Normal qu’en cette période troublée où l’on évoque le possible renvoi des collégiens et des lycéens chez eux à cause de la propagation du coronavirus que des liens se renforcent entre les diverses strates de l’éducation pour contre balancer des décisions parfois brutales à encaisser. C’est à ce prix que se maintiendra durablement la soif inextinguible d’apprendre…

 

 


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