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Agir vite et ensemble ! C’est le leitmotiv du président de la Fédération régionale des Travaux publics de Bourgogne Franche-Comté Vincent MARTIN. Ce dernier multiplie les initiatives pour qu’une reprise rapide d’activité de la profession se fasse. Il en appelle aux décideurs économiques et aux élus locaux car la commande publique dont dépend à 70 % la filière est en berne…

DIJON (Côte d’Or) : Le secteur des travaux publics manque aujourd’hui cruellement de visibilité. Il ne peut décemment se projeter vers l’avenir faute de repères, notamment sur les appels d’offres dont ils sont dépendants côté business à hauteur de 70 % ! Un contexte très inquiétant qui a fait réagir le président de la fédération régionale de Bourgogne Franche-Comté, Vincent MARTIN.

D’autant que bon nombre d’entreprises envisagent un recours à l’activité partielle, voire à des licenciements économiques si la commande publique ne s’infléchit pas très rapidement vers une courbe positive.

Soutenu par son bureau, le président de la FRTP ne reste donc pas les deux pieds dans le même sabot pour multiplier les rencontres avec les décideurs économiques. Les rencontres avec le préfet de Région et les préfets des départements de Bourgogne Franche-Comté s’organisent avec comme unique objectif d’accélérer la mise en œuvre des concours financiers de l’Etat.

 

 

Une mobilisation tous azimuts auprès des collectivités…

 

Une initiative vertueuse va se mettre en place d’ici la fin de l’année dans la contrée. Elle prendra la forme de matinales spéciales TP qui seront programmées en liens avec les partenaires locaux que sont les associations des maires de France, des maires ruraux, les présidents des EPCI et les services de la préfecture.

Les élus locaux sont clairement ciblés par Vincent MARTIN et ses troupes, car ces derniers possèdent un rôle primordial à la préservation des emplois de ces entreprises aujourd’hui acculées contre le mur.

Le message véhiculé lors de ces rendez-vous sera le suivant : les entrepreneurs des travaux publics peuvent répondre avec réactivité aux besoins actuels, le développement d’infrastructures vertes, en les réalisant ou en les entretenant.

Conscient des difficultés rencontrées par les élus locaux en ces circonstances délicates imputables à la COVID-19, le président MARTIN en appelle à l’union pour résoudre et surmonter ensemble cette crise inédite.

Arguant que des financements exceptionnels existent et que préfectures et agences de l’eau, déjà mobilisées, peuvent s’avérer être de précieux accélérateurs pour dynamiser les projets.

 


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Pour le général Charles de Gaulle, « la petite Europe », celle du marché commun, ne pouvait être que le point de départ de la construction d’une cathédrale. La stratégie, c’était de regrouper tous les états de l’ancien continent. C’était de faire l’Europe de « l’Atlantique à l’Oural » et non le contraire, le sens historique des invasions !

TRIBUNE : Traumatisé par l'épisode de la Fronde (1648-1653) qui a vu la noblesse française s'insurger contre la monarchie, Louis XIV a toujours voulu garder sous contrôle, les aristocrates qui l'entouraient.

La stratégie du Roi Soleil était de limiter les complots, en étourdissant de fêtes celles et ceux qui pouvaient les fomenter. Il fallait éviter les conflits entre les différents seigneurs et affirmer sans cesse la grandeur et la magnificence du roi auprès de tous. Et même auprès des autres royaumes. C’est à cause de tout cela que le souverain construira le château de Versailles : la stratégie illustre une belle réussite.

Talleyrand est l’archétype d’une stratégie hors du commun pour les uns, démoniaque pour les autres. Les observateurs le constateront lors de la négociation du congrès de Vienne qui se déroule de septembre 1814 à juin 1815. Ministre des relations extérieures de Louis XVIII, Talleyrand doit négocier l’addition de la conséquence des guerres napoléoniennes avec tous les pays de la coalition : 216 états dont deux empereurs et le fameux Metternich !

Au départ de sa longue carrière, « le diable boiteux » (surnom de Talleyrand, allusion à son pied bot) manœuvrera avec succès auprès, de rois, d’un empereur et des révolutionnaires.

En préparation du congrès de Vienne, Talleyrand déclare : « Sire, j’ai plus besoin d’un cuisinier que de diplomates ». Ensuite, la France c’est avant tout le prestige : il se fait nommer « prince » au milieu de cet aréopage de rois, de ducs et autres empereurs… Il démarre le congrès par une séduction gastronomique et enchaîne avec une séduction plus sournoise en présentant sa « nièce » (une courtisane, sa maîtresse d’espionne).

Cette dernière écumait toutes les alcôves possibles : objectif, semer le trouble et les discordes auprès de tous les protagonistes. Elle faisait monter les enchères en laissant croire que les uns exigeaient, sous le manteau, des sommes discrètement versées, aux autres des répartitions de territoires aussi farfelues que fantaisistes…

Au final, une belle réussite pour Talleyrand, donc la France, bien au-delà de la vocation d’un traité final qui s’imposera sans signatures définitives : éviter la guerre entre les belligérants et un nouveau découpage des pays aux fins de contribuer à l’émergence d’un sentiment européen !

 

La stratégie est-elle toujours de mise en politique ?

 

Aujourd’hui, des conflits d'intérêts ou d'aspirations surgissent à tout moment car les objectifs recherchés par certains suscitent chez d'autres des réactions conflictuelles.

Des organisations ou des états s'affrontent, élaborent des stratégies, mobilisent des ressources, forment des alliances… Dans ce perpétuel processus d'action et de réaction s'engagent des négociations, se déroulent des confrontations que ponctuent succès, défaites ou triomphes.

Agir c’est avant tout penser l’action. La réaction semble souvent irréfléchie et fondée sur l’émotion. Le terme « stratégie » est très courant dans le langage usuel et professionnel. Tellement courant qu'on tend parfois à le confondre avec d'autres termes, exprimant approximativement la même idée mais se distinguant par le sens profond, par exemple tactique, plan, démarche...

 

 

La stratégie est définie comme la science ou l'art de l'action humaine finalisée, volontaire et difficile. Finalisée, c'est-à-dire tendu vers des buts identifiés avec précision, volontaire, dans la mesure où la volonté de l'unité agissante représente une condition fondamentale pour la réalisation de l'objectif. Il est difficile, c'est-à-dire que cette réalisation demande des efforts conséquents pour surmonter les obstacles assez élevés. Dans son sens absolu, la politique est l'art de gouverner la cité dans le but d'atteindre ce que l'on considère comme la fin suprême de la société. La politique est aussi définie comme la mise en œuvre de moyens pour réaliser certains objectifs déterminés dans un domaine précis. Le monde politique est le lieu même de la lutte pour la conquête et l'exercice du pouvoir. Cependant, peut-on se demander si en politique la stratégie est- elle toujours de mise ?

 

La politique de la santé conditionnée par les réductions de coûts…

 

La stratégie de nos dirigeants est conditionnée par le pouvoir croissant des financiers en se limitant au « court terme » : le cours de la monnaie au « jour le jour » (l’indice EONIA), le cours du Brent ou celui de l’or…

La stratégie politique est basée sur la conflictualité : la lutte pour le pouvoir et pour le garder est au centre de la vie démocratique, dixit Machiavel. La politique devient le lieu des divisions et des conflits. Les dirigeants du monde économique et politique semblent plus concernés par leur égo que par l’intérêt commun ! Les dirigeants de tout bord veulent imposer leurs stratégies : on devrait dire des décisions réactionnelles, par les manipulations d’une dialectique orchestrée par les conseillers en communication !

Le problème de leur méconnaissance de l’histoire leur fait commettre des erreurs et des bévues dramatiques pour le citoyen !

La crise sanitaire est exemplaire à plus d’un titre. Depuis de nombreuses années, la seule stratégie au niveau de la santé et de l’écologie n’est conditionnée que par les économies budgétaires et les réductions de coûts. Aucune véritable stratégie ni d’écoute des experts et des praticiens de tous ces domaines.

De mois en mois, nous ne faisons que réagir aux nouvelles conditions d’évolution du virus. Pire encore, on ouvre lâchement le parapluie ! Les politiques nous déclarent que le Conseil scientifique ordonne le confinement ! Toujours plus fort : une Convention Citoyenne, réunissant 150 personnes, fait des propositions pour le climat. Lesdites propositions deviennent des ordres pour le locataire de l’Elysée !

Les personnes représentatives de lobbys de gauche et d’écologistes pour certains, du pays pour les autres, furent paraît-il tirées au sort. Cohn-Bendit faisait partie des joyeux  gagnants du tirage mais c’est heureusement retiré !

A qui fera-t-on croire au hasard ? La convention n’ayant aucune légitimité, à quoi servent les représentants de la nation, élus démocratiquement ? Allons-nous vers la fin de notre démocratie ? Quelle stratégie pour le devenir de l’homme, dans son environnement sociétal, économique, climatique…

Priorité au groupe ou à l’individu ? Egoïsme ou fraternité ? Madame, Monsieur les dirigeants, oublier l’Histoire c’est méconnaître l’histoire des révolutions et se désintéresser de l’histoire des Français !

Nous sommes indisciplinés, certes, mais c’est aussi cela qui fait naître la résistance et gagner les guerres…

« Si quelqu’un vous traite d’amateur, rappelez-lui que ce sont des amateurs qui ont construit l’Arche de Noé et des professionnels qui ont fait le Titanic. La suite on la connaît, croyez en vous… » Morgan Freeman.

Avis aux amateurs !

Jean-Paul ALLOU

 


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Il n’est pas exclu de réitérer l’expérience ; celle qui a été vécue avec succès aux derniers jours de l’été à Vauban. Le principe des vacances apprenantes avait été jugé très positif à l’époque par le corps administratif du lycée hôtelier de l’Yonne. Un motif de satisfaction qui pourrait trouver une suite légitime dans la durée…

AUXERRE : L’expérience pédagogique avait séduit les classes lors de l’ultime semaine du mois d’août. Leurs élèves comme leurs enseignants puisque toutes ces sections scolaires présentaient des effectifs plutôt bien fournis malgré la période propice au farniente.

S’appliquant aux classes de première et de terminale, mais aussi à celles et ceux qui fréquentent les cours les menant au CAP, le processus intégré au programme de soutien scolaire imaginé par le ministère de l’Education nationale avait reçu un écho favorable de la part de la responsable de l’établissement Capucine VIGEL.

L’initiative aura permis de rassurer et de redonner le goût d’apprendre aux élèves parfois dubitatifs et perturbés après de longues semaines de confinement.

Chaque jour, des cours de français avaient été mis en place afin de retrouver les indispensables règles de communication après cette longue coupure relationnelle.

S’appuyant sur un retour à l’apprentissage teinté de jeux et de partage, les enseignants mobilisés à la réussite de ce projet avaient multiplié les initiatives ludiques et conviviales autour d’ateliers de cuisine et de service, mais aussi des techniques professionnelles en petite enfance.

Preuve que le système fut apprécié de tous : les futurs bacheliers devaient préparer un repas à partir d’une fiche technique qu’ils ont eux-mêmes réalisé par informatique. Le lendemain de cette expérience pédagogique, c’était au tour des élèves de CAP d’exploiter cette fiche afin de créer un repas. Ces agapes placées sous le sceau du partage devaient réunir enseignants et élèves, un vrai symbole d’harmonie, il est vrai.

Un temps convivial ô combien nécessaire en ces moments délicats qui auront permis de renforcer les liens entre les élèves et avec leurs enseignants qui leur transmettent le savoir.

Normal qu’en cette période troublée où l’on évoque le possible renvoi des collégiens et des lycéens chez eux à cause de la propagation du coronavirus que des liens se renforcent entre les diverses strates de l’éducation pour contre balancer des décisions parfois brutales à encaisser. C’est à ce prix que se maintiendra durablement la soif inextinguible d’apprendre…

 

 


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Ce sera une incontestable première en Bourgogne Franche-Comté. La signature, ce lundi 26 octobre en matinée, d’un partenariat unissant trois des acteurs clés de la transition énergétique sur notre territoire : EDF, ENEDIS et le SDEY, le Syndicat Départemental des Energies de l’Yonne. Les bénéficiaires en seront les Icaunais eux-mêmes. Grâce à ces paraphes, tout devrait s’accentuer très vite en matière de développement énergétique durable…

AUXERRE: L’information est capitale. D’autant qu’elle s’applique à l’une des thématiques brûlantes de l’actualité économique du moment : la transition énergétique. Elle a le mérite de mettre en présence, et ce dès lundi 26 octobre, des décideurs essentiels de ce dispositif qui vise à préserver la planète et à réduire de manière drastique les économies des collectivités et citoyens au niveau de leur consommation d’énergie.

Qui d’autres que les opérateurs que sont EDF et ENEDIS auraient pu s’assoir à la table de ces négociations abouties aux côtés du Syndicat départemental des Energies de l’Yonne ? Ce sont en effet les trois protagonistes de cette histoire. Ils prendront le temps de s’expliquer face à la presse des enjeux qui découleront de cet accord, un nouveau contrat de concession liant les signataires pour un bail de trente ans.

La convention favorisera le partage des données et la mise en exergue d’innovations performantes entre les trois partenaires, à l’instar du réseau d’intelligence pour le développement photovoltaïque ou l’essor de nouvelles bornes permettant de recharger les véhicules électriques.

Il sera également question de valoriser les redevances reversées au Syndicat départemental des Energies et de poursuivre la dissimulation des réseaux électriques.

 

De fructueuses négociations qui s’inspirent d’un modèle national…

 

Le fondement de cet accord tripartite repose sur un nouveau modèle national de cahier des charges de concession, édicté par la Fédération nationale des collectivités concédantes et régies (FNCCR), ENEDIS, EDF et France Urbaine. Un document qui prend en compte les coûts et les besoins de la transition énergétique, une hausse des redevances versées aux syndicats d’énergie et de nouveaux investissements garantissant une qualité optimale de la fourniture d’énergie.

Depuis 2019, le SDEY sous l’impulsion de son président Jean-Noël LOURY s’est engagé dans une fructueuse négociation avec ses partenaires afin de revoir avant son terme le document initial signé en 1999 en s’inspirant du nouveau modèle national.

 

 

 

Rappelons que cette année-là, ce qui était à l’époque la Fédération départementale d’électrification de l’Yonne avait concédé les 4 300 kilomètres de réseau basse tension du département à EDF/GDF (aujourd’hui ENEDIS) pour une période de trente ans.

De son côté, ENEDIS s’est engagé à apporter au SDEY un montant total prévisionnel de 54 millions d’euros, corrélés au montant de ses investissements.

Un premier programme pluriannuel va courir jusqu’en 2024. ENEDIS y investira 9,5 millions d’euros.

La renégociation du nouveau contrat a permis au syndicat de l’Yonne d’obtenir, étalé sur huit ans, une enveloppe supplémentaire de 3,3 millions d’euros. Elle se destinera à financer un programme de résorption des cabines hautes et des fils nus. S’y ajouteront des actions de modernisation et d’innovation.

Thierry BRET

 


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Athlétique, démontrant déjà de prometteuses qualités de placement sur le terrain, ce jeune homme de vingt ans, arrivé de Picardie où il évoluait à Amiens, s’engage pour une durée de trois ans dans le club bourguignon avec un premier contrat professionnel à la clé. Ce défenseur central figure dans les petits papiers du coach Jean-Marc FURLAN…


AUXERRE : A peine vingt ans, et déjà un premier contrat de pro dans l’un des clubs de légende des championnats nationaux : l’AJ Auxerre ! Le rêve s’est donc transformé en douce réalité pour l’Orléanais. Il devient ainsi le troisième joueur évoluant au sein de l’équipe réserve de l’AJA à franchir le Rubicon, en endossant l’habit de professionnel à part entière.

Arrivé au cours de la période estivale en terre icaunaise, le garçon a débuté à Muides-sur-Loire. Mais, c’est sous licence à Blois et s’entraînant au pôle espoir de Châteauroux qu’il a appris ses gammes. Repéré par les dirigeants du FC Lorient où il reste trois saisons, il rejoint ensuite le club d’Amiens en National 3.  

Titularisé lors des huit premières rencontres de National 2, il arbore désormais les couleurs blanche et bleu de son nouveau club de prédilection, l’AJ Auxerre. Jean-Marc FURLAN a déjà un regard bienveillant sur ce jeune défenseur : le jeune homme au gabarit athlétique (1,82 cm pour 75 kg) est régulièrement convié aux entraînements de l’équipe première. Le sas d’entrée obligatoire pour prétendre évoluer un peu plus haut dans la hiérarchie…

 


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