Découvrez nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
logo-credit-agricole-90x90.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
groupama_small.png
logo-cerfrance-bfc-accueil.png
capeb-logo.png
logo banque populaire bourgogne franche-comté
logo-cm.jpg
logo-edf-site.jpg
ccj-logo-petit-1.jpg
110 Bourgogne
Région Bourgogne France-Comté
Criquet Magazine
Lycée Saint-Joseph de la Salle
mercato de l'emploi yonne bourgogne
Caisse d'épargne Bourgogne Franche-Comté
chambre des métiers et de l'artisanat
Groupe La Poste
Chambre d'Agriculture de l'Yonne

Nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
banque_populaire_bfc-long.png
capeb-logo.png
Lycée Saint-Joseph de la Salle
Caisse d'épagne Bourgogne Franche-Comté
cerfrance bfc
Communauté de Communes du Jovinien
Chambre d'Agriculture de l'Yonne
Criquet magazine
logo-edf-site.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
logo-cm.jpg
groupama_medium.png
logo-credit-agricole-90x90.jpg
région Bourgogne Franche-Comté
20211006_lpg_logo_cmjn-616fec3863034.png
mercato de l'emploi yonne bourgogne
chambre des métiers et de l'artisanat
logo-110-bourgogne-ok.png

Warning: Creating default object from empty value in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/components/com_k2/views/itemlist/view.html.php on line 743

La PME aux vingt collaborateurs constitue l’un des éléments productifs qui s’intègre à la perfection dans l’écosystème ULTERIA. L’un des concepts entrepreneuriaux les plus novateurs du moment. La structure commercialise depuis la mi-novembre un contenant sans plastique qui s’adapte idéalement aux besoins des rayons du vrac. Une prouesse technique en cohérence avec les valeurs environnementales de cette société...

BAZARNES : Prétendre que les PME de l’Hexagone manquent parfois d’ambitions et d’originalité en matière d’innovation serait mal connaître le principe fonctionnel de l’écosystème ULTERIA. Un concept devenu une référence dans le landerneau, grâce aux diverses composantes qui y sont accueillies !

Le dernier exemple en date provient de l’une de ces entités, apparue en 2014 qui s’est depuis forgée une solide réputation sur une niche bien spécifique, celle du déploiement de rayons et d’épiceries en vrac.

Son nom claque comme le titre prometteur d’une série noire américaine, « BULK & CO » ! Mais, là, s’arrête la comparaison avec la culture d’outre-Atlantique.

Employant une vingtaine de salariés, cette PME qui se positionne aujourd’hui comme un partenaire incontournable dans le vrac alimentaire, obtient enfin les lauriers de la gloire, grâce à cette créativité exacerbée.

Celle qui lui aura permis de concevoir et de faire fabriquer l’un des premiers silos « zéro plastique » destinés à ce marché.

Une innovation en parfaite osmose avec la déontologie qui lui est propre : promouvoir un commerce durable et une consommation responsable en réduisant les emballages.

 

 

 

 

Une innovation made in France qui garantit l’hygiène du vrac…

 

« SILOVB », car tel est son patronyme commercial, a été imaginé sur le site de l’Yonne. Sa fabrication, en revanche, a nécessité le précieux recours d’une entreprise bretonne à Redon, la manufacture « BIO CREATION BOIS ».

De quoi s’agit-il précisément ? Conçue à base de bois et de verre, cette géniale trouvaille permet de distribuer des aliments en vrac grâce à la gravité. Une membrane protège les produits comestibles qui sont uniquement en contact avec le verre et la silicone de cet opercule.

Par ce biais, la conservation des aliments est assurée dans le respect environnemental à l’aide de matériaux nobles et naturels.

En outre, l’aspect valorisation du produit est plutôt appréciable dans les rayonnages des commerces.

Le bois utilisé à sa conception n’est autre que du pin. Il est issu de forêts françaises gérées durablement selon les nomenclatures inhérentes au label certificateur PEFC. L’emploi de ces différents matériaux facilite le recyclage de ce silo en fin de vie.

Disponible en trois variantes (selon la contenance de 4, 6 ou 10 litres), le récipient peut accueillir et stocker un grand nombre de produits alimentaires dont les pâtes, le riz, les lentilles, le muesli, des graines…

Du fait de sa conception en verre, l’entretien du cylindre est grandement facilité tandis que la membrane de sortie se lave en machine.

Parmi les autres spécialités déclinées par les ingénieux acteurs de « BULK & CO », citons la pose du mobilier vrac en passant par la fabrication de meubles et l’approvisionnement en aliments.

Thierry BRET

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Nouvelle information capitale à ajouter dans le kafkaïen dossier de la vente du fameux édifice cistercien de l’Yonne, l’abbaye de Pontigny ! La cession de ce domaine patrimonial et spirituel sera à l’ordre du jour de l’assemblée plénière de la Région BFC les 10 et 11 décembre prochains. L’un des trois candidats à ce rachat, la congrégation religieuse de la Fraternité Saint-Pierre, reste en pole position dans la course finale. D’autant que son offre d’achat est supérieure au prix de vente initial…

PONTIGNY : C’est un cap très important qui vient d’être franchi dans le dossier de la future acquisition du domaine de l’Abbaye de Pontigny. L’un des trois prétendants au rachat de ce site cistercien qui demeure pour les exégètes de la spiritualité la seconde des quatre infrastructures religieuses les plus importantes du globe ayant contribué au rayonnement de l’ordre de Saint-Benoît et de Cîteaux vient de corriger sa proposition financière. Une correction résolument portée à la hausse !

La congrégation religieuse de La Fraternité Saint-Pierre vient en effet d’élever son offre d’achat initiale, la fixant désormais à 2,1 millions d’euros. Sachant que le prix de vente est estimé à 1,8 million d’euros.

Une décision prise le 27 novembre dernier par l’ordre religieux. Présente dans une quarantaine de diocèses à l’échelle de l’Hexagone, la Fraternité sacerdotale Saint-Pierre (FSSP) est une société cléricale de vie apostolique et de droit pontifical.

 

Un règlement financier immédiat et sans conditions…

 

Apparue en 1988, cette communauté de prêtres au service de l’Eglise travaille à une double mission : la formation et la sanctification des ecclésiastiques. La semaine dernière, l’un de ses représentants, l’abbé Benoît PAUL-JOSEPH, supérieur du district de France, a adressé à la présidente de l’exécutif régional Marie-Guite DUFAY une synthèse du projet de rachat émanant de la fraternité religieuse, agrémentée d’un courrier faisant mention de la hausse de l’offre financière.

Un message dans lequel il est clairement spécifié que la congrégation était tout à fait disposée à prendre à sa charge les 300 000 euros de travaux actuels effectués sur la toiture du bâtiment. Une réhabilitation de cette partie de l’ancien édifice monacal que la Région a lancé il y a quelques semaines avant la vente.

De nouveaux éléments instructifs qui permettront peut-être au Conseil régional d’adopter la meilleure des décisions pour la cession de ce bien intemporel. Surtout que la Fraternité Saint-Pierre se dit prête à payer la somme de 2,1 millions d’euros de manière immédiate et sans conditions !

Une offre plutôt alléchante qui devrait faire réfléchir à deux fois les conseillers régionaux avant que ces derniers ne livrent leurs verdicts !

Le dossier sera, précisons-le, abordé lors de l’assemblée plénière des 10 et 11 décembre prochains, dans l’hémicycle du boulevard de la Trémouille.

 

 

Retour au spirituel ou pur développement économique : le dilemme

 

Toutefois, la congrégation religieuse n’est pas la seule des candidates à se positionner dans cette affaire. Deux autres projets ont été déposés dans la corbeille des prétendants : celle d’une association nationale et surtout l’offre de l’entrepreneur François SCHNEIDER par le prisme de sa fondation.

Situé aux pieds des Vosges, le Centre d’Art Contemporain de Wattwiller est l’une des œuvres de ce mécène, fondateur d’un groupe agroalimentaire qui possède dans sa besace l’exploitation de la source naturelle locale. Il y propose à l’année des expositions et une programmation culturelle dans un cadre idyllique. Son intérêt pour l’Yonne ne date pas d’hier.

François SCHNEIDER s’était impliqué au début des années 90 dans le projet de développement du domaine golfique de Roncemay. Intéressé aujourd’hui par le rachat de l’abbaye de Pontigny, l’industriel aimerait y faire éclore un concept articulé autour de la terre. Via de la confection de pain et d’huiles essentielles, d’espaces d’exposition à vocation culturelle et même l’accueil d’une infrastructure hôtelière de grand standing.

 

Une cession qui provoque des remous dans la sphère politique…

 

L’un des principaux opposants à la privatisation de ce domaine patrimonial n’est autre que le président du groupe Rassemblement National Julien ODOUL. Celui-ci s’offusque de la vente de ce site culturel, religieux et historique majeur de Bourgogne Franche-Comté érigé en 1114.

Un lieu, qui rappelons-le, représente 9,5 hectares de surfaces foncières et près de 6 000 mètres carrés de bâtiment qui appartiennent à la Région depuis 2003.Il nécessite une enveloppe de 200 000 euros annuelle pour son entretien, chose que cette dernière ne souhaite plus en supporter les charges.

Le 06 novembre, accompagné de Jacques RICCIARDETTI, vice-président du groupe RN et conseiller régional du Doubs, l’élu de Sens a effectué le déplacement in situ à la suite d'une alerte informative émanant de Serge SCAPOL, président de l’Association de l’orgue de Pontigny.

Les deux élus du RN s’indignaient alors à l’idée de voter à la sauvette et en urgence un « projet non abouti puisque la Fondation Schneider n’avait toujours pas déterminé les partenaires hôteliers avec lesquels le projet serait peut-être réalisé… ».

Le vote, initialement programmé au 13 novembre, avait été retiré de l’ordre du jour de l’assemblée plénière. Et renvoyé à une future session. Celle qui se profile les 10 et 11 décembre prochains.

 

 

 

Roselyne BACHELOT invitée à s’exprimer sur ce dossier…

 

Il y a quelques jours encore, Julien ODOUL est remonté au créneau. En adressant une missive à la ministre de la Culture, Roselyne BACHELOT.

Dans cet écrit, il fait part de son inquiétude à sa correspondante sur les dangers qui pourraient survenir sur le domaine de Pontigny si la cession du bien devenait effective dans le cadre du projet hôtelier porté par la Fondation Schneider.

« Le domaine cherche aujourd’hui le projet qui pourra lui redonner vie et permettre à tous les Bourguignons et tous les Francs-Comtois de découvrir un site exceptionnel, tout à la fois par son passé cistercien et les flamboyantes « Décades », organisées pendant trente ans. L’absence de concertation avec les élus locaux ou les services de l’Etat, l’opacité entourant la sélection de la Fondation Schneider, la crise sanitaire et enfin la proximité dans quelques mois des élections régionales, ne permettent pas selon moi, d’identifier sereinement le projet le plus adapté… ».

En filigrane, l’élu RN d’ajouter dans son courrier que « le choix de ce rachat doit s’inscrire dans le long terme pour permettre une transmission respectueuse d’un patrimoine partagé avec les Bourguignons et Francs-Comtois mais aussi intimement lié avec une abbatiale construite au XIIème siècle… ».

Saisissant de manière officielle la ministre de la Culture dont il attend en retour la réponse, le porte-parole du groupe RN au Conseil régional exige également des garanties sérieuses pour que ce patrimoine reste accessible à tous.

Sans qu’il n’ait à subir des altérations architecturales et que souffle toujours l’esprit d’illustres personnages ayant fréquenté l’endroit tels que Adèle de Champagne, Paul Desjardins, André Gide, Roger Martin du Gard, Jean-Paul Sartre, Antoine de Saint-Exupéry, Gaston Bachelard ou encore André Malraux.

Dans l’Yonne, des voix se font également entendre et prennent position en faveur d’une réappropriation de ce domaine spirituel par la congrégation religieuse de la Fraternité Saint-Pierre. C’est le cas en particulier de l’ancien édile de Chevannes, Jacques CHANARD qui ne cache pas sa profonde désapprobation si le projet à vocation purement économique venait à l’emporter…

Thierry BRET

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Sélective dans son offre de produits, la nouvelle boutique à l’estampille de la Croix-Rouge française sera dévoilée au public ce vendredi 04 décembre. Implanté dans la rue Cortel, le magasin présente l’originalité d’accueillir chaque mardi en matinée un écrivain public. Une personne sachant mettre ses capacités scripturales au service de celles et de ceux qui éprouvent des difficultés à manier l’écriture…

JOIGNY : C’est joindre l’utile à l’agréable. En transcrivant avec des mots dûment choisis les attentes manuscrites de notre quotidien. Un courrier administratif, des missives plus personnelles, voire des lettres de motivation accompagnant un CV dans le cadre d’une recherche d’emploi.

C’est ce qui incombera désormais à l’écrivain public qui rédigera des actes ou d’autres textes tous les mardis en matinée dans la nouvelle boutique de la Croix-Rouge. Celle qui sera officiellement inaugurée ce vendredi 04 décembre.

Cerise sur le gâteau : la prestation se fera sans bourse délier !

Presque un avant-gout de Noël pour une frange de la population en indélicatesse avec la maîtrise du français, version scripturale.

Disposer de l’intervention d’un écrivain public est l’une des suggestions préconisées avec l’ouverture de ce énième magasin de l’association caritative. Un plus qui sera amplifié par l’éclectisme des produits vestimentaires et de leurs accessoires accueillis par la boutique. Sise au numéro 59 de la rue Cortel.

Opérationnelle cinq demi-journées par semaine, on pourra y trouver des vêtements pour femmes et hommes ainsi qu’un certain nombre d’accessoires : foulards, écharpes, ceintures, chaussures…

 

 

Ne présenter que du beau dans les articles proposés…

 

Précisons que les bénévoles exercent  un tri sévère dans la quantité des dons qui sont fait en amont.

« Nous mettons un point d’honneur à ne présenter que du « beau » !, précise Anne SEVI, présidente de la Croix-Rouge Centre Yonne, c’est une question de respect du public quel qu’il soit ! ».

Quant à la politique tarifaire, elle demeure très modique avec des prix attractifs, entre 1 et 5 euros appliqués à la grande majorité des articles.

« Entrer  dans la boutique Croix-Rouge, c’est se donner la possibilité de réaliser des achats solidaires immédiatement reconvertis en produits alimentaires : un chemisier ou un pull vendus permettent d’acheter lait ou farine, sucre etc…, ajoute la responsable de l’antenne locale de la Croix-Rouge, les recettes réalisées sont destinées à financer l’aide alimentaire dispensée à longueur d’année aux personnes qui en ont besoin. Il s’agit là d’un objectif complètement inscrit dans l’action sociale dispensée par la Croix-Rouge française... ».

C’est aussi assumer une démarche écoresponsable : en effet, acheter un blouson ou  un pantalon d’occasion équivaut à favoriser la réduction du gaspillage tout en donnant une deuxième vie aux vêtements.

Signalons que la vesti-boutique accueillie dans les locaux de l’ancien groupe géographique, rue Dumont d’Urville, ouvrira ses portes dès ce jeudi 03 décembre. Le public y découvrira un choix important de vêtements pour enfants, femmes et hommes dans un site totalement réaménagé.

 

En savoir plus :

Croix-Rouge de Joigny

59 rue Cortel

Heures d’ouverture

Mardi : 14h / 17h

Mercredi : 9h / 12h - 14h/17h

Vendredi : 14h / 17h

Samedi : 10h / 18h

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

On ne peut évidemment pas le deviner sous son masque de protection mais le directeur des services départementaux de l’Education nationale de l’Yonne a le sourire. Normal : plusieurs motifs de satisfaction viennent étayer les aspects positifs de son bilan régulier qu’il présente à la presse. Peu d’élèves ont manqué les cours depuis le début de la seconde période de confinement. Seules quatre classes sont encore fermées à date…

AUXERRE : Le successeur d’Annie PARTOUCHE n’imaginait pas hériter d’un pareil dossier quelques mois après sa prise de fonction sur notre territoire. Comme cadeau de bienvenue au poste de directeur des services départementaux de l’Education nationale de l’Yonne, il y a eu mieux, il est vrai !

Quoi qu’il en soit, Vincent AUBERT veille scrupuleusement à ce que tout soit entrepris pour que les mesures barrière soient respectées le mieux du monde dans l’ensemble des établissements scolaires de sa zone d’influence.

La récente conférence de presse, tenue vendredi dernier aux côtés du préfet de l’Yonne Henri PREVOST, a de nouveau rassuré quant à la maîtrise du sujet sécuritaire au sein de l’Education nationale.

La généralisation du port du masque et l’application du dispositif de circonstance en matière de protection répondent aux objectifs fixés par l’Etat. De l’avis de Vincent AUBERT, leur mise en œuvre est synonyme de réussite.

Deux commentaires de l’intéressé viennent confirmer ces propos : d’une part, peu d’élèves ont manqué l’école durant cette période de confinement seconde variante ; quant au nombre de classes fermées, il ne dépasse le chiffre de quatre à l’heure actuelle.

 

 

 

Malgré la pandémie, les enseignements se poursuivent…

 

Autant dire une broutille vu le nombre de classes qui peuvent accueillir les têtes blondes et les adolescents en besoin de scolarité dans l’Yonne.

Autre satisfecit pour le représentant de l’Education nationale : l’enseignement stricto sensu. Malgré la pandémie, la grande majorité des cours ont été assurés. Soit en présentiel, soit à distance en utilisant de vertueuses et efficientes configurations numériques.

Un son de cloche similaire pour qualifier ce qui s’est déroulé dans les lycées. Même si les procédés l’ont été différemment des écoles primaires et des collèges.

« Chaque établissement du secondaire a pu adopter son propre schéma, souligne Vincent AUBERT, les outils informatiques y ont été déployés avec un effort conséquent… ».

Quant aux relations avec les familles, elles ont été constantes et rassurantes pour ces dernières. Peu d’entre elles étaient finalement réfractaires au port du masque de leur progéniture à l’école. Le dialogue des équipes pédagogiques aura permis de résoudre un faible pourcentage de problématiques.

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Coquillages et crustacés. On connaît la célèbre ritournelle popularisée par le joli minois de Brigitte BARDOT au temps de sa splendeur langoureuse. On ne savait pas, en revanche, que parmi les élèves qui fréquentent les classes professionnelles préparant aux métiers de l’hôtellerie restauration certains pouvaient prétendre rejoindre la Marine nationale pour y faire carrière ! Une opportunité maritime qui s’appuie depuis quatre ans sur un partenariat…

AUXERRE : L’initiative est rarissime dans le landerneau régional. Mieux : elle est unique et tout à l’honneur du lycée des métiers de l’Yonne qui a su en poser les jalons initiaux.

Dans ce lieu de savoir-faire, permettant d’embrasser une carrière dans l’hôtellerie et la restauration, voire celui plus exotique de s’illustrer dans le monde des cocktails grâce à ces mentions spécifiques, espérer tôt ou tard rejoindre la Marine nationale n’est donc pas une ineptie en soi.

Les embruns maritimes ont beau souffler loin des rivages icaunais, les jeunes « moussaillons » esthètes des arts de la table et des métiers de bouche du sérail bourguignon peuvent s’ils le désirent, après une phase préparatoire prise en charge financièrement par la Marine nationale, intégrer ce corps d’armée pour y exercer leur profession.

Car, c’est bien connu : dans les forces militaires, il y a pléthore d’opportunités pour s’insérer dans la vie active !

Initiée à l’origine en 2016, la convention de partenariat qui lie le lycée des métiers Vauban à la Marine nationale vient d’être prorogée de trois années supplémentaires. Selon la sage décision, prise par la directrice de l’établissement pédagogique, Capucine VIGEL, enthousiaste par ce projet.

L’expérience si elle demeure unique n’en est pas moins passionnante tant au plan intellectuel (la découverte des us et coutumes à bord d’un bateau, le rituel pour dresser la table du pacha – le commandant de bord –) qu’au plan des perspectives d’emplois offertes in fine.

 

 

De jeunes mousses avides d’en savoir plus sur les us et coutumes militaires…

 

A l’issue de leur diplôme, les apprenants peuvent bénéficier d’un contrat  déclinable pendant un an, avant de s’embarquer sur un bateau pour y vivre une aventure inoubliable.

Début octobre, vingt-quatre de ces élèves, répartis en petits groupes, ont pris connaissance des potentialités de carrière existantes dans ce corps militaire. Le second volet de cette séquence découverte a eu lieu ce lundi 30 novembre.

Mais, malheureusement, sans la présence du premier-maître, Mme GUILLAUMAIN, cheffe de cuisine, qui fut refoulée le matin même par la gendarmerie nationale alors qu’elle sortait de la capitale par l’autoroute et qui s’est vue délivrée une amende conséquente malgré l’attestation en poche faisant foi de la nécessité de son déplacement professionnel dans l’Yonne !

Toutefois, cela n’empêcha nullement les deux intervenants militaires (le capitaine de frégate commandant Sylvain LE HOUSSEL et le premier-maître Sylvain OLIVIER) de délivrer leurs connaissances aux jeunes « mousses » avides d’en apprendre davantage sur les subtilités de la marine et de ses codes gastronomiques.

D’ores et déjà, et le rendez-vous est biffé dans les agendas des intéressés, quatre enseignants de Vauban dont les professeurs de cuisine Frédéric BENUCCI et Jérôme DE MEYERE iront s’immerger au cœur de la base navale de Cherbourg en octobre 2021. Ils y accompagneront une demi-douzaine de jeunes gens volontaires pour appréhender l’esprit du grand large. Et respirer l’air pur de ces embruns salvateurs…

Thierry BRET

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Articles

Bannière droite accueil