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En un peu plus de trois minutes de vidéo, tous les aspects insolites de la localité de l’Yonne se découvrent au fil des pérégrinations tardives de l’homme à la barbe blanche, accompagné de ses lutins et de sa calèche. Avec près de deux mille visionnages sur You Tube et le site Facebook de la commune, le clip spécial Noël offre, au-delà de ses images féériques, une belle leçon d’humilité et d’espérance…

MASSANGIS : Les ronflements sonores du Père Noël signalent sa présence dès les premières images de ce court-métrage. A mi-chemin entre onirisme et séquences humoristiques. Puis, les choses s’enchaînent très vite. Le temps de la flânerie au fond du lit revêtu de son douillet édredon est révolu : la tournée prélude à la grande distribution des jouets doit débuter. Celle dont rêvent tous les enfants du monde au soir du 24 décembre !

Concevoir un reportage sur la tournée du Père Noël dans les rues du village est certainement l’idée la plus originale qu’il soit pour traduire l’esprit convivial et festif de cette journée peu singulière de notre calendrier. On y voit des habitants ébahis de ce qu’ils voient, rajeunir à la seule idée de le croiser sur leur chemin, lui, ce personnage fabuleux issu de notre imaginaire trop tôt disparu avec l’enfance.

Et pourtant, si le Père Noël existait, beaucoup de choses se déroulant dans ce bas monde au quotidien ne posséderaient peut-être pas la même résonnance…

 

 

 

 

Mis en ligne depuis le 21 décembre, le document réalisé et monté par les équipes de la société IDXPROD ravit chaque jour un peu plus les internautes qui veulent retrouver leurs âmes d’enfant. Avec un simple clic !

La municipalité qui est à l’origine de ce projet filmé a su s’entourer du CCAS et de nombreux bénévoles qui figurent sans cachet dans cette œuvre. L’essentiel était de participer à ces instants magiques de rêve éveillé. Où s’entrecroisent une antique Dauphine en état de fonctionnement, une calèche rutilante, un équidé sympathique, des lutins radieux, un petit train rempli de cadeaux et même une star universelle de la bande dessinée, Mickey Mouse, en personne !

Si le Festival de Cannes devait décerner une récompense sur les court-métrages honorant l’esprit de Noël, gageons que celui-ci recevrait sans conteste la palme d’or…

 

Thierry BRET

 

 


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Agréable pour les sens, l’opération s’est très vite muée en démonstration pédagogique. L’atelier « Vente à emporter de l’assiette à la barquette » a eu gain de cause de la curiosité exacerbée des restaurateurs eux-mêmes, venus nombreux faire leurs emplettes chez leur partenaire, l’enseigne METRO. Une initiative à porter aux crédits des spécialistes de l’art culinaire…

AUXERRE: Parmi les arts de la table les plus appréciables des épicuriens qui forgent les réputations des grandes maisons, celui du dressage demeure de très loin primordial.

C’est la mise en bouche garantie avant l’heure quand le plat est présenté à l’œil expert de l’esthète. Une incitation à la gourmandise absolue qui ne peut que titiller les sens et les papilles. Qu’ils soient olfactifs, gustatifs, visuels, voire celui du toucher pour en qualifier la substantifique matière.

Alors quand l’enseigne METRO propose avec la complicité de quelques férus des arts culinaires et de la gastronomie de concocter une animation ludique pour soutenir les professionnels de la restauration en déshérence avec la conjoncture actuelle, l’idée n’en est que plus lumineuse.

D’autant que ces artisans ne disposent plus à l’heure actuelle comme atouts majeurs dans leur maigre jeu à déployer que la vente à emporter pour valoriser leur savoir-faire et leur maestria.

Oui mais voilà : pour que perdure les grandes traditions des arts de la table offertes par les toques et autres maitres queues qui sévissent d’ordinaire derrière leurs fourneaux auprès de cette clientèle en manque de sensations gustatives et de décorum, il faut leur apporter un sérieux plus. Un supplément d’âme qui a lui seul peut faire toute la différence !

Il se nomme le dressage. C’est la note bleue et ultime de l’instrumentiste ; la subtile touche que l’artiste confère à son exaltation picturale sous le sceau de la créativité.

 

 

 

Retrouver le coup de griffe du restaurateur au fond de son assiette…

 

Prenez à titre d’exemple quelques recettes savamment préparées par le chef du Rive Gauche à Joigny, Jérôme JOUBERT, et l’un des pédagogues reconnus du lycée des métiers Vauban à Auxerre, François HENNARD. Accueillis par l’excellent responsable de METRO Auxerre, Philippe BULANT, à l’origine de cette initiative, ils ont concocté un velouté de potimarron en guise d’entrée, assorti d’un petit dôme de choux de Bruxelles accompagné de saumon fumée nappé d’un coulis au wasabi et de feuilles de roquette éparses.

Puis, ajoutez-y comme plats de résistance un magret de canard avec ses champignons et ses frégola, des pâtes typiques dont sont si friands les îliens de la sauvage Sardaigne. Ou un suprême de volaille cuisiné avec la même garniture. Le dessert se décline en sublimant la saveur sucrée d’une poire Belle Hélène travaillée avec une petite mousse et ses billes de poires.

Ensuite, il s’agira de présenter délicatement, tout en respectant la noblesse de ces mets, le dressage à l’assiette et de le transposer dans la barquette faisant office de contenant, ustensile indispensable à la vente à emporter.

Car, l’idée de cette opération aux vertus pédagogiques se situe à ce niveau : initier celles et ceux des restaurateurs qui peuvent encore exercer leur métier malgré la sinistrose actuelle aux valeurs décoratives et évocatrices de leurs recettes. Que leur clientèle dégustera chez soi, mais en retrouvant la griffe et le coup de patte de son auteur !

 

Thierry BRET

 

 


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Il se nomme ESP. A traduire littéralement par la formule suivante : « Ecran Stop Postillon » ! Sa fabrication a été lancée par une structure industrielle basée à Avallon : la société SIMON. Un spécialiste dans la conception de produits en PVC souple. Réutilisable et conçue avec une matière transparente, il s’en est déjà écoulé 35 000 exemplaires. Et ce n’est sans doute pas fini…

AVALLON : L’ustensile fait figure de véritable OVNI de par sa conception dans la ruche des certifications européennes. Transparent, conçu en mono-matière, recyclable et réutilisable, ce masque novateur made in Yonne représente une véritable bouffée d’air pur pour celles et ceux qui souhaitent revoir enfin le visage de leurs interlocuteurs lors de discussions. L’invention a d’ailleurs fait l’objet d’un dépôt de brevet.

Depuis novembre, l’entreprise SIMON, rachetée en mai 2017 par l’entrepreneur Christophe BERTRAND, commercialise ce précieux matériel de protection utilisable à bon escient auprès des entreprises et organismes qu’ils soient publics ou privés.

Aujourd’hui, sa capacité de production s’élève à trente millions d’ESP par an. Mais, la possibilité de monter en charge de manière très rapide est réelle.

Le concept a été imaginé lors du premier confinement. Il représente une alternative très judicieuse aux fameux masques jetables. Mais aussi, à ceux en tissu qui sont apparus un peu plus tard.

 

 

 

 

 

Un concept ergonomique pour ses utilisateurs…

 

Sa qualité principale qui met en valeur la transparence s’adapte à un grand nombre d’utilisateurs. A commencer par les personnes sourdes et malentendantes. Mais aussi les professionnels de l’hôtellerie/restauration, les enseignants, les étudiants, le milieu médical, les commerçants…

Elaboré à partir d’une plaque de vinyle ultra fine et souple, avec des lanières prédécoupées, le masque ESP est facilement personnalisable. Par le biais de l’impression numérique. On peut ainsi y ajouter un logo ou un tout autre motif, servant ainsi de vecteur de communication.

Cerise juteuse sur le gâteau : du fait de son système d’évacuation de l’air par le bas, la buée ne perturbe pas la vision de celles et ceux qui sont dans l’obligation de porter des lunettes ! En outre, les avis de ceux qui l’ont adopté sont formels : on peut facilement respirer avec ce support protecteur. Ouf, enfin un concept ergonomique pour son utilisateur !

 

 


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C’est l’un des acteurs de la sous-traitance qui œuvre auprès des plus grands constructeurs de la filière automobile. Disposant de trois unités de production dans l’Yonne, SYSTEMES-ATTUM a reçu la visite, il y a peu, du représentant de l’Etat, le préfet Henri PREVOST. Une immersion non dénuée d’intérêt pour le haut-fonctionnaire. Celui-ci a pu découvrir toutes les subtilités d’une borne de mesure de la température corporelle révolutionnaire !

VILLENEUVE-SUR-YONNE : Le préfet de l’Yonne s’est plongé dans l’univers du découpage et de l’emboutissage lors de sa récente visite qu’il a accordée aux dirigeants de la société SYSTEMES-ATTUM.

Accompagné du président de la Chambre de Commerce et d’Industrie, Alain PEREZ, le représentant du pouvoir étatique s’est montré avide de curiosité en écoutant les commentaires de ses hôtes à la vue de ces ateliers dédiés à la sphère automobile.

Cette entreprise de tôlerie fine, de pesage informatisé, de poudrage époxy et d’intégration de produits informatiques a pour clients des enseignes aussi importantes que Renault, Peugeot, Citroën, Mercedes, Opel, Toyota, BMW, VAG…Bref, de la sous-traitance industrielle parfaitement maîtrisée autour de pièces spécifiques jusqu’à la fourniture de produits finis.

 

 

 

 

 

Une borne pour mesurer la température corporelle qui distribue du gel…

 

Possédant un référentiel de 1 400 clients, SYSTEMES-ATTUM a profité de la période de confinement pour concevoir un appareillage dont la PME espère bien inonder le marché international.

Il s’agit d’une borne pour mesurer la température corporelle d’un individu, distributrice d’une solution hydro-alcoolique. Cet instrument a été baptisé « Fever Scan ». Parmi ses autres réalisations développant des solutions intégrées, citons une borne à « selfies » ou une balance informatisée servant au pesage de la peinture utilisée par les carrossiers. A ce propos, la structure est précisément le premier fournisseur européen sur ce concept.

Née d’un regroupement de trois sociétés dans les années 90, la société SYSTEMES-ATTUM possède deux autres sites dans l’Yonne, à GRON et à CHAMPIGNELLES. Soit un ensemble de 6 500 mètres carrés de surface.

 

 

 

  


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La crise sanitaire a ouvert la boîte de pandore ! Quid des activités des centres villes ? Comment endiguer la faillite des TPE ? Comment contrer la concurrence des géants de la distribution comme « Amazon » ? C’est quoi un commerce non essentiel ? Un journal télévisé nous informe qu’un armurier vend trois fois plus d’armes de défense qu’à l’habitude ! On peut donc conclure qu’il s’agit d’un commerce bien plus essentiel que les fleuristes ou les coiffeurs… Même si les règles de confinement semblent s’assouplir, mieux vaut anticiper le retour de confinements durs et contraignants…

TRIBUNE : Les fédérations de commerçants proposent des solutions pour rouvrir les boutiques et leur éviter le dépôt de bilan. Rouvrir les vitrines pour Noël, c’est éviter la multiplication des faillites ! Parmi les solutions avancées, la mise en place de rendez-vous dans les magasins, par plage horaire et en jauge réduite, a le vent en poupe. Une mesure qui s’ajouterait au protocole sanitaire et au système de « click and collect » déjà existant.

Pour les magasins, Noël c’est 60 % du chiffre d’affaires dont 40 % pour la seule maroquinerie ! Que dire des parfumeries, des fleuristes, des producteurs et distributeurs de sapins de Noël…

Les commerçants ont déjà fait énormément d’efforts pour la mise en place des mesures sanitaires. Mais pour rouvrir, « ils sont prêts à faire encore plus de concessions », assure le président de la CPME François ASSELIN. Les premières solutions proposées peuvent aussi se décliner dans la suite des activités, pandémies ou pas.

L’une des principales propositions des fédérations serait l’organisation de rendez-vous pour pouvoir aller chez les commerçants. « Un nombre limité de clients pourrait prendre rendez-vous sur un créneau horaire défini. Un peu comme chez le médecin. Une possibilité pour ceux qui ne veulent pas attendre ! ».

 

Le  « click and collect » : une solution complémentaire…

 

Des solutions déjà structurées lors du premier confinement se développent allégrement. Dont le fameux « click & collect ». Le problème avec ce système, c’est qu’il n’est pas adapté à tous les commerces. D’abord, parce que certains n’ont même pas de site Internet ou de compte Facebook. Ou tout simplement parce que cela ne marche pas pour certains produits. Par exemple, lorsque vous achetez des chaussures, vous ne savez pas toujours quel modèle vous voulez à l’avance, vous devez les essayer. Toutefois, les commerçants peuvent certainement s’organiser collectivement ou individuellement en créant des sites Internet.

Une campagne de mise en place de sites Internet, individuels ou collectifs (association ou groupes de commerçants) est opportune. On peut mobiliser les étudiants pour la création des sites, demander des subventions locales afin de mettre en place lesdits sites, solliciter les journaux locaux pour en assurer la promotion…

 

 

 

 

Agir suppose sortir des a priori !

 

A la question : « pourquoi êtes-vous installé à cet endroit ? ». La réponse des commerces est trop souvent : « parce qu’il n’y avait personne ! » ou « parce que ce n’est pas cher ». S’il n’y a personne, c’est qu’il n’y a pas de marché ! Les grandes enseignes s’installent au beau milieu de marchés présupposés et après étude. L’étude de marché est l’une des grandes absentes de la ligne stratégique des petits commerces ! A la suite des confinements successifs, l’étude de marché devient vitale. Pour ce faire, mobilisons les chambres professionnelles, les INRA (Institut National de la Recherche Agronomique), les étudiants des écoles de commerce, ceux des filières « DUT Action Commerciale », en insistant sur la kyrielle de BTS commerciaux (commerce international, digitalisation de la relation commerciale, communication des entreprises, management commercial,…)…

Sortir du désir de vendre ou de produire ce que j’aime bien faire pour mieux s’attacher aux besoins des clients demeure la priorité. S’installer au cœur de la concurrence, là est le marché. Cela permet de rafler la mise avec un service et un savoir-faire différentiateur. Il faut aussi mobiliser les élus qui ne demandent qu’à servir la cité, contacter des journalistes locaux qui sont prêts à réaliser des reportages sur des sujets originaux. L’inventivité est un facteur clef de succès indispensable aujourd’hui comme hier.

 

Le prix ne fait pas tout eu égard aux nombreux atouts des petits commerces…

 

On doit contacter son expert-comptable. Il possède aussi des compétences en gestion. Il faut lui demander des prévisions qui sortent des référentiels habituels, avec le calcul du seuil de rentabilité et le moment où il sera atteint. Connaître le volume du chiffre d’affaires minimum qui, compte tenu des charges fixes, permet de réaliser le bénéfice égal à zéro est indispensable. Le plus : identifier le moment dans l’année à partir duquel je commence à gagner réellement de l’argent. Le petit commerce doit sauver sa peau, supplanter les géants du « retail » à plus long terme et autres GAFA !

« La grande distribution, c’est moins cher » ! Certes, pourtant, le prix ne fait pas tout. Le commerce de proximité possède aussi des atouts qui lui sont propres : le conseil, la proximité, le service, l’originalité de l’offre à défaut de sa profondeur, la compétence du personnel, la qualité de l’accueil, l’authenticité du cadre…

 

Banque Populaire

 

La normalisation des rapports humains avec plus d’humanité et de fraternité dans les contacts est un passage obligé. Ce lien humain suscite l’émotion et le plaisir d’acheter. Il reste l’atout numéro un du commerce de proximité : « l’homme est un animal social » nous disait Aristote. C’est la carte maîtresse du petit commerce de nos chers « centres villes ». Il est possible de mettre en place un système collectif de livraisons à domicile : des expériences positives sont déjà menées. En moins d’une heure, on peut se faire livrer fruits, légumes, côtes de bœuf… Des commerçants ont ainsi créé des emplois sans générer des coûts exorbitants. Dans cette course au temps, les petits commerces présentent un atout majeur : les courtes distances et la réactivité d’exécution permet des délais très courts à la demande avec des fenêtres extrêmement précises. La grande distribution n’est pas en mesure de fournir autant de possibilités en centre-ville, du « click & collect », en passant par le coup de téléphone ou l’e-mail, à la livraison « express ». Des situations de concurrence commerciale existent : elles offrent une ponctualité et une flexibilité sans égales et un suivi très précis de la distribution à des coûts réellement compétitifs.

 

Une réflexion autour des chèques-cadeaux…  

 

Aujourd’hui, les services de livraison remettent ainsi les commerces de proximité en selle face à leurs grands concurrents. Nous connaissons l’adage : « no parking – no business ». Les communes sont dans l’obligation de poursuivre leurs efforts vers davantage de flexibilité dans l’amélioration des conditions de parkings gratuits lors des périodes « court terme » des courses. Les conditions de circulation et d’arrêts momentanés dans les zones piétonnes, voire la création de nouvelles aires de stationnement s’imposent…

La crise sanitaire fait naître la solidarité et la fraternité entre les commerçants, elle mobilise les énergies. Les chèques-cadeaux, distribués par les comités d’entreprises pourraient, par exemple sur une proposition de Bercy, voir leurs montants augmenter, assortis d’une incitation à les dépenser dans les petits commerces. Bercy réfléchit à ces mesures incitatives pour les entreprises distributrices de chèques cadeaux qui peuvent aussi s’orienter vers le commerce de proximité. On en est encore au stade de la réflexion…On peut aussi lui suggérer de supprimer (ou réduire) la TVA sur certains articles sur la durée des cadeaux de fin d’année…

Nous devons sortir impérativement de nos habitudes, du ronron quotidien, des solutions éculées et inopérantes du passé,…Même notre Premier ministre trouve des solutions originales qui sortent des sentiers battus : « On va pouvoir aller dans les stations de ski mais sans skier (sans remontées mécaniques, ni hôtels, ni restaurants, ni boîtes de nuit…) » ! Vous savez du genre : « Les salles de cinéma sont ouvertes mais sans projection de films… » ! Ce serait risible si ce n’était pas tragique !

 

Le petit commerce doit croire en son avenir : il en a un !

 

Le commerce de proximité se trouve à une époque charnière où, pour ne pas péricliter, il lui faut saisir les opportunités de la technologie et de l’évolution des modes de vie pour se réinventer. Cela ne réclame pas d’investissements énormes. Mais, il faut être prêt à se retrousser les manches et à faire le pari de l’innovation. Pour les commerçants, le moment est venu de croire en l’avenir. N’attendons pas que les solutions viennent de « l’Etat providence ». Développons notre propre créativité. Donnons une belle finalité aux solutions proposées : plus de solidarité et davantage de fraternité. Encore 17 dodos et c’est Noël ! Encore trois confinements et c’est l’été : que du bonheur !

 

Jean-Paul ALLOU

 


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