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Deux cents jours après l’accession fulgurante du leader du mouvement « En Marche » à l’Elysée, l’éditorialiste de l’Express et chroniqueur politique de BFM TV a livré devant une salle comble d’entrepreneurs attentifs réunis au Pôle Formation 58/89 à Auxerre une subtile analyse de la ligne politique du chef de l’Etat dont le principal ennemi, faute d’une opposition sérieuse et efficiente, serait lui-même si ce dernier s’aventurait trop près des cimes du narcissisme. S’interrogeant sur la personnalité parfois complexe et les méthodes un peu abruptes d’Emmanuel MACRON, et anticipant sur les principales réformes sociétales de l’acte II qui débute avec une année 2018 sans échéance électorale, Christophe BARBIER, fin spécialiste de l’exercice oratoire, a su capter avec un zeste d’humour un auditoire à l’écoute de ses arguments si précis…

AUXERRE : Qui est réellement Emmanuel MACRON ? Quelle personnalité se cache derrière le profil un brin juvénile de ce jeune loup de la politique et de la finance à la tête bien remplie qui a connu en l’espace de deux saisons une ascension si rapide qu’elle l’a propulsée dans le fauteuil présidentiel à l’Elysée ? Au nez et à la barbe des cadors de la politique politicienne, toutes obédiences confondues, qui convoitaient la place depuis si longtemps !

Protéiforme, séduisant, caractériel, le natif d’Amiens endosse tour à tour les postures de personnages historiques, voire de ceux issus de la mythologie grecque comme va le dépeindre près de deux heures durant l’emblématique journaliste à la célèbre écharpe rouge du paysage audiovisuel français.

Emmanuel MACRON : une incarnation d’un personnage historique ou mythologique ?

Auteur de nombreux ouvrages de référence sur les phases évolutives de la classe politique française, le dernier en date « Les derniers jours de la Gauche » se dédicaçait en seconde partie de soirée, Christophe BARBIER a déroulé le fil d’Ariane de ce feuilleton rocambolesque des Présidentielles 2017, ayant débuté plusieurs mois auparavant.

« Emmanuel MACRON incarne-t-il le nouvel Alexandre le Grand et tranchera-t-il les nombreux nœuds gordiens qui se présentent à lui ? Sera-t-il Hercule effectuant ses douze travaux au risque de s’épuiser mais le devoir accompli ? Ou bien interprètera-t-il le rôle d’Ulysse qui au terme d’un long voyage fascinant truffé de péripéties est revenu au point de départ ? Peut-être est-il tout simplement Denis de Syracuse avec une posture de dictateur. Mais, ce dernier vivait dans la crainte de voir l’épée placée au-dessus de sa tête lui tombée dessus : elle était tenue par DAMOCLES…Dernière hypothèse : il est PSAPHON, le monarque grec passionné par les oiseaux auxquels il leur apprenait à parler avec un seul mot : le sien. La marque du narcissisme qui pourrait vaincre le locataire de l’Elysée s’il n’écoutait que lui… ».

Qualifiant ce quinquennat d’atypique avec en chef de file un président hors normes, très éloigné des codes traditionnels suivis par les chefs de l’Etat de la cinquième République, Christophe BARBIER résume l’attitude du nouveau président en un mot pour évoquer sa stratégie de communication : « C’est un média à lui tout seul ! ».

« Tout est huilé et maîtrisé avec le concours de ses conseillers. La plupart des images qui suivent ses déplacements sont fournies par ses équipes de communication. Il a su coupé court avec les représentants médiatiques habituels dont il est distant. Distillant avec parcimonie sa pensée. Il n’y a peut-être que sur le sujet de son chien Némo qu’il communique de trop !, ironise l’éditorialiste de l’Express.

Une opposition en totale déshérence et contre-productive…  

C’est en novembre 2016 et contre toute attente que le jeune quadragénaire annonce sa candidature à la présidentielle. A la surprise générale qu’il appuiera avec la publication d’un livre : « Révolution ». Un titre prémonitoire dont tout le monde se moquait au début même dans son propre camp mais qui finira par s’imposer au vu des profonds bouleversements observés dans le giron politique.

« Primo, la révolution de Macron s’est traduite avec la dégringolade et l’éviction de  toutes les têtes politiques charismatiques de l’époque : Nicolas SARKOZY, Alain JUPPE, François HOLLANDE, Arnaud MONTEBOURG…Puis, il y a eu le naufrage de la Droite avec l’affaire FILLON… ».

Dès lors, le paysage politique se réduit. A gauche comme à droite. Du côté des extrêmes, ce n’est guère mieux. Le Front national rate le débat du second tour, offrant un boulevard au conquérant candidat. Les Insoumis et leur leader Jean-Luc MELENCHON se trompent. « Ils pensent que la rue va défaire le résultat sorti des urnes et que le scrutin électoral sera annulé par le biais de manifestations populaires… ». On connaît la suite : ce sera un échec.  

Quant à la physionomie politique actuelle, elle n’est guère brillante pour les forces opposantes selon Christophe BARBIER.

« Le Parti socialiste nous fait rire avec l’abondance de candidatures à la présidence d’un mouvement qui ne rassemble que 15 000 membres. Et puis quand on a des postulants qui se nomment Rachid TEMAL et Delphine BATO, c’est risible ! ».

Pour le journaliste qui accapare l’intérêt des 250 personnes présentes dans l’amphithéâtre, pas de doute possible : « HAMON et MELENCHON : c’est une assurance vie pour Emmanuel MACRON ! ».

Restent les Républicains. « Ils sont les mieux placés pour contrer la gouvernance du président de la République avec une meilleure situation financière dans le parti et un nouveau leader. Mais, pour réussir, Laurent WAUQUIEZ doit bénéficier d’un échec de la part de MACRON… ».

L’inconstance des élus d’En Marche et les méthodes de MACRON…

Poursuivant cette introspection dans l’appareil politique actuel, Christophe BARBIER ne pouvait pas aborder le rôle de l’ancien mouvement, devenu depuis un parti : « La République en Marche ».  

« Ses ennemis peuvent venir de sa propre majorité. La récente indélicatesse à la suite de la visite des officiels Allemands à l’Assemblée nationale le démontre. Tout cela sent l’amateurisme et l’apprentissage… ».

Quant aux méthodes employées par le président français, elles puisent leurs origines à travers le volontarisme empreint d’autorité (le côté JUPITER du personnage).

« C’est là qu’il ressemble le plus à François MITTERAND qui avait ce recul nécessaire et de la hauteur. Jacques CHIRAC voulait exercer sa présidence comme tous les Français avec une certaine fragilité. Nicolas SARKOZY à l’instar des Français qui rêvent de l’être en conquérant et en héros avec en outre le côté bling-bling. Quant à François HOLLANDE, c’était le président normal. Un élu « pépère » comme l’a appelé le magazine « Le Point » ! ».

Ses choix stratégiques, Emmanuel MACRON les adopte non pas pour réformer la France mais surtout pour la révolutionner : il désire changer de système en s’appuyant sur des ministres plus téméraires que d’autres qui demeurent dans l’obscurité.

Et Christophe BARBIER de citer Muriel PENICAUT sur la réforme du Code du travail : « elle a réuni les syndicats un par un, sur chaque morceau des ordonnances, en réalisant une profonde dispersion du front syndical. »

Du côté de Jean-Michel BLANQUER, « il pratique ses réformes avec du bon sens (collèges, baccalauréat) en s’alliant le soutien des parents d’élèves, des élèves et même des enseignants ! ».

Le Premier ministre Edouard PHILIPPE n’échappera pas à cet audit de l’éditorialiste. « Avec lui, notamment sur les dossiers de l’assurance chômage et de la formation professionnelle, cela se gère entre spécialistes sans bras de fer politique selon la rhétorique « Nous savons de quoi nous parlons et on explique après… ». Et ça marche : sa côte de popularité est au beau fixe ! ».

Quid des deux réformes fondamentales à venir ?

Balayant d’un revers de la main, les quelques réformes « cosmétiques » ou liées au symbole, comme le texte de loi contre les fake news (« cela n’empêchera jamais les menteurs de mentir ! ») ou celle sur les hydrocarbures qui ne change rien à la vie quotidienne des Français, Christophe BARBIER évoqua ensuite le poids des réformes intermédiaires. Ce sont celles qui modifient le système dont le Code du Travail (« un peu bricolé » selon lui) même si la fin de la pénibilité et la remise en cause du rôle des prud’hommes constituent des changements notoires.

Mais, que seront exactement les réformes profondes, celles qui se rapportent à l’assurance chômage et à la formation professionnelle ?

« La formation et l’apprentissage que le gouvernement souhaite faire évoluer de 7 à 15 % dans certains secteurs, sont des desseins très ambitieux pour la France. Il est temps aussi que les Français soient fiers d’avoir été formé par l’apprentissage, source de l’excellence et de la noblesse du travail. Maintenant, comment Emmanuel MACRON peut-il réaliser ce copieux chantier en moins de quatre ans ? Il compte beaucoup sur les relais professionnels et institutionnels pour le faire… ».

Du côté des retraites, cela ne fonctionne plus avec la croissance démographique  de la jeunesse et des seniors qui vivent de plus en plus vieux, engendrant des coûts incompressibles sur les soins et la santé. « Il faut se rendre à l’évidence, clame Christophe BARBIER, avec quatre actifs pour un  retraité, ce système ne peut plus fonctionner… ».

L’autre réforme capitale qui attend la présidence MACRON concerne l’Europe. « Le président français dispose d’une chance inouïe avec le BREXIT et l’affaiblissement de l’Allemagne. Il doit profiter de son rayonnement à l’international pour faire jouer les leviers économiques sur le Vieux continent… ».

La nouvelle économie sera-t-elle synonyme de davantage d’emplois ?

Le dernier volet de l’intervention de Christophe BARBIER se rapportera à la nouvelle économie dont se font l’écho de nombreux médias et spécialistes. « Or, elle ne nous dit pas si nous allons créer plus ou moins d’emplois, s’interroge le journaliste parisien, DARWIN ne va-t-il pas tuer SCHUMPETTER ? C’est la théorie de la destruction créatrice. On invente quelque chose de novateur mais qui ne sera pas forcément bénéfique pour l’emploi. Si tel était le cas à l’avenir, on serait alors confronté à une crise dans la crise. Le deuxième risque de l’évolution économique provient des gros entrepreneurs qui applaudissent la politique d’Emmanuel MACRON à tout crin, disant que l’on va dans le bon sens. Mais, tous attendent que cela fonctionne avant d’embaucher. Si c’est cela, c’est l’effondrement inévitable ! Il est nécessaire d’avoir de l’audace entrepreneuriale avec des soutiens politiques. La clé de l’avenir politique de MACRON en 2022 est simple : si les entreprises accélèrent les embauches dans les prochains mois, le chômage baissera. C’est ce dont aura besoin le président français à la veille de la validation de sa seconde mandature à l’Elysée. Mais, si cette équation n’est pas respectée, le risque d’implosion sera majeur… ».


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AUXERRE : Les dirigeants des sociétés CICOBAT et ROND HOME ont entériné de manière officielle leur processus de développement d’intérêts communs. Nouvelle structure professionnelle positionnée dans le domaine de la construction de maison individuelle, CICOBAT, une SARL dirigée par l’ancien responsable des maisons LENAC, Didier PHILIPON, qui est associé avec son fils Christophe, a choisi de valider la commercialisation des habitats aux formes arrondies conçus par ROND HOME.

C’est sous la marque « Maison Pierre DUBOIS » que seront proposés au cours de ce premier trimestre ces modèles si caractéristiques qui possèdent des vertus antisismiques et anticycloniques sur le territoire nord-bourguignon.

La convention de partenariat a été signée entre le constructeur de maison individuelle et le fabricant des panneaux en mousse de polyuréthane il y a quelques jours à Auxerre.

Entre Didier PHILIPON (CICOBAT) et Antony LEGA (ROND HOME), le baromètre vire vraiment au beau fixe en ce début d’année.

Précisons que le nouveau promoteur de ces habitations conçues sur le site industriel de CHENY et exposées à VENOY sur la zone d’activités du Soleil Levant est l’un des treize membres du pacte d’actionnaires qui soutiennent financièrement ce concept unique en Europe.

Le dirigeant de ROND HOME Antony LEGA souhaite initier d’autres partenariats de la sorte dès que possible avec les artisans du gros œuvre et de la maçonnerie en France, pouvant assurer la construction et la promotion de ses produits.

Des contacts très sérieux sont déjà à l’étude auprès d’entrepreneurs exerçant leur métier sur le Bordelais, dans l’Allier et en Saône et Loire.


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Le très haut débit et l’accompagnement des entreprises constituent les deux axes d’intervention prioritaires dans le soutien qu’accorde l’organe institutionnel régional. Lors de sa récente visite de la pépinière d’entreprises HOPE à Dijon, la présidente de Région, Marie-Guite DUFAY s’est entretenue avec les dirigeants de jeunes start-ups issues du technopôle régional NOVAREA. Ces jeunes pousses de l’entrepreneuriat à l’instar de la quinzaine d’enseignes présentes sur ce site ont présenté leurs besoins et leurs défis en matière de recrutement, de compétences, de financement mais aussi d’export…

DIJON (21) : Elles se nomment « MYTHMAKERS », « WEBFORCE », « VITAVINUM », « HAPPY BOURGOGNE », « ODALIB », « FUSION INGREDIENT » ou encore « NVH MEDICINAL ». Ces jeunes entités professionnelles de Bourgogne Franche-Comté sont incubées ou se sont installées sur le site HOPE qui favorise leur accueil.

Leurs dirigeants ont eu le loisir de pouvoir converser avec la présidente de la Région, Marie-Guite DUFAY, qui effectuait un déplacement au plus près de ces infrastructures issues de l’économie numérique.

Aux côtés de Patrick MOLINOZ, vice-président du Conseil régional en charge du numérique et de Willy BOURGEOIS, conseiller régional délégué à l’économie numérique, la chef de file de l’exécutif régional devait profiter d’une table ronde pour échanger avec les acteurs de la filière sur la transition numérique des TPE/PME, les infrastructures et le développement des tiers-lieux.

Deux millions d’euros consacrés à une nouvelle route optique vers Paris

Ce déplacement a été l’occasion pour Marie-Guite DUFAY d’inaugurer le nouveau « Point de présence opérateurs » dit « POP » (Point of Presence). Ce concept représente le résultat de l’investissement de la Région dans les infrastructures numériques.

Il permet à la métropole dijonnaise une interconnexion en fibre optique avec Paris, Besançon, Strasbourg et Lyon. Plus largement, cette interconnexion offre de nouvelles possibilités de raccordement en Très haut débit aux entreprises et aux collectivités de Bourgogne-Franche-Comté, avec un haut niveau de service et des coûts plus compétitifs.

Ce sont au total plus de 660 kilomètres de fibre optique qui ont ainsi été déployés le long des réseaux autoroutiers de la société exploitante APRR pour permettre l’ouverture de cette nouvelle route optique vers Paris. Cette inauguration, résultat d’un investissement de plus de 2 millions d’euros, permet de renforcer l’attractivité numérique de la métropole de Dijon et de la Région Bourgogne Franche-Comté.

Accompagner l’écosystème de la « French Tech »…

A cette occasion, la présidente de la Région expliquait la stratégie en matière du développement numérique : « Les autoroutes du numérique, pour lesquelles nous investissons 162 millions d’euros dans le mandat, sont le pilier de notre stratégie de transformation numérique. L’inauguration de ce « Point de Présence opérateur » de Dijon va booster notre économie numérique…. ».

La Région soutient et accompagne l’écosystème « French Tech » de Dijon, Besançon et Chalon-sur-Saône, en investissant dans cette pépinière et hôtel d’entreprise Hope, pour les aider à se multiplier et à grandir, comme dans cinquante autres tiers-lieux en région.

En parallèle, un travail de fond est mené pour optimiser la filière numérique locale dans son ensemble, notamment en matière de formation et de financement. 


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Satisfait de la décision prise par le constructeur japonais d’injecter plus de 300 millions d’euros sur la seule unité de production en France, le distributeur de la marque asiatique dans l’Yonne, Eric FOUCHER, évoque une excellente opportunité pour son groupe éponyme. Si ses collaborateurs éprouvent déjà une certaine fierté devant cette nouvelle ayant capté l’intérêt du gotha politico-économique, les perspectives induites de construire de nouveaux véhicules gagnant en performance et en qualité énergétique interpellent déjà les fidèles de l’enseigne…

AUXERRE : En 2017, les ventes de la fameuse YARIS, modèle à multiples variantes (essence, Diesel et hybride) fabriqué sur le site industriel d’Onnaing aux portes de Valenciennes (Nord), auront permis au groupe concessionnaire FOUCHER d’écouler plus de deux cents véhicules sur sa zone de chalandise.

Et même si le constructeur nippon a prévu de restreindre petit à petit la voilure de la gamme Diesel, dans le cadre de sa politique menée en faveur du développement de produits en phase avec la transition énergétique, TOYOTA devrait favoriser la commercialisation de cette citadine parmi les trois structures que compte le groupe dans l’Yonne (Avallon, Auxerre et Sens).

La valeur ajoutée au niveau de la technologie et la sécurité…

Le déblocage de cette enveloppe de plus de 300 millions d’euros dans l’usine du nord de la France suppose le développement de la plateforme technologique, TNGA, qui étendue à la conception d’autres modèles apportera une valeur ajoutée supplémentaire en termes de technologie et de sécurité. Forcément, ce sont des éléments fondamentaux qui ne peuvent qu’orienter les choix de la clientèle particulière et professionnelle…

« Personnellement, je suis très satisfait que cela se déroule ainsi, précise Eric FOUCHER, l’initiative coïncide avec l’anniversaire de cette présence sans cesse réaffirmée du constructeur en France depuis bientôt vingt ans. Ce projet d’agrandissement aura comme conséquence directe de donner une sérieuse bouffée d’air pur aux sous-traitants industriels de la filière automobile mais aussi à ceux qui exercent leur métier dans le secteur du bâtiment. Ne parlons pas des retombées économiques induites sur l’ensemble du bassin du Valenciennois puisque l’on chiffre à plus de 700 le nombre de postes créé sur place en contrats à durée indéterminée… ».

Déjà un premier impact auprès des collaborateurs

Dès qu’ils ont eu vent de l’information, les personnels du groupe FOUCHER ont réagi de manière très positive. Leur enseigne fétiche se trouvait sous le feu nourri des projecteurs médiatiques autour d’excellentes nouvelles qui devaient mettre en exergue la création d’emploi, la sécurité, l’innovation et l’investissement économique.

« TOYOTA représente aujourd’hui le quatrième constructeur automobile en France, ajoute le dirigeant de FOUCHER, nous avons donc un large marge de manœuvre afin de progresser. Au plan mondial, le groupe asiatique est le plus gros vendeur de la planète et partage ce titre honorifique avec VAG, selon la fluctuation commerciale de certains modèles… ».

Aujourd’hui, il sort une YARIS toutes les soixante secondes des chaînes de fabrication à Onnaing. Le constructeur déploie ses ailes de puissance marketing en Europe avec ce modèle depuis cette base arrière. Tandis que les véhicules hybrides qui se destinent au marché américain sont assemblés dans le nord de la France avant d’être embarqués dans les zones portuaires des Pays-Bas ou de Belgique.


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La visite du Président de la République Emmanuel MACRON, venu à la rencontre des collaborateurs de l’industriel japonais à Onnaing près de Valenciennes coïncidait avec la spectaculaire annonce faite par les dirigeants du groupe automobile. Une enveloppe budgétaire de plus de 300 millions consentie au développement du site nordiste facilitera à terme la production annuelle de 300 000 véhicules. Une bonne nouvelle ne venant jamais seule, la ressource humaine sera renforcée de 300 emplois en contrat à durée indéterminée (CDI) supplémentaires dès cette année. Avec la possibilité de 400 autres contrats professionnels de même nature lorsque le site sera parvenu à sa pleine capacité de production…

VALENCIENNES (59) : La modernisation de la filiale française du constructeur asiatique était partie prenante de la réflexion depuis plusieurs mois. Une décision qui intègre le programme mondial de l’uniformisation progressive des différentes unités de production que possède TOYOTA. L’enseigne fabriquera des véhicules de nouvelle génération basés sur la plateforme TNGA, c’est-à-dire « Toyota New Global Architecture ». Soit une adéquation fonctionnelle à partir de nouveaux équipements composés de technologies et de systèmes à la performance éprouvée.

700 emplois probables sur le site in fine…

La présence du président de la République aux côtés des représentants des collectivités territoriales et locales en début de semaine n’étaient pas une surprise. A l’instar de la Région des Hauts-de-France et de la métropole de Valenciennes, chacun a contribué à cet investissement grâce à des aides allouées à la formation, l’innovation et l’amélioration de la performance environnementale du site.

La délégation a pris le soin de visiter l’infrastructure ultra moderne de Valenciennes. Et de saluer de manière officielle cette information. Dans un premier temps, la filiale française de TOYOTA entend transformer 300 contrats temporaires en contrats à durée indéterminée pour les travaux de préparation avec la possibilité d’étendre cet objectif à 400 nouveaux emplois en CDI supplémentaires dès que la capacité maximale sera atteinte.

Vice-président de TOYOTA Motor Corporation et président de la branche européenne du groupe, Didier LEROY devait accueillir le président MACRON et les officiels devant un parterre d’invités conséquents. Il expliqua les bénéfices de cette nouvelle plateforme technologique pour l’enseigne.

Une plateforme technologique indispensable à la performance…

« Le déploiement de la TNGA est un signe de confiance envers nos employés et nos fournisseurs qui délivrent qualité supérieure et efficacité. Cette annonce est le signe encourageant d’une expansion continue de nos activités en France et en Europe… ».

En 2017, le groupe nippon a réalisé d’excellents scores de production ici même avec la YARIS. L’apport de la nouvelle plateforme technologique devrait permettre à la berline de se renforcer au cœur de la gamme TOYOTA en Europe. A terme, l’ambition du constructeur est d’atteindre un rythme de 300 000 unités par an dans le futur.

Grâce à la TNGA, TOYOTA devrait assurer la production de la majorité de ses véhicules de nouvelle génération. Les PRIUS classiques et rechargeables de quatrième génération ainsi que le cross-over C-HR profitent déjà de ce savoir-faire optimum. Avec ce nouvel investissement, TOYOTA a déjà investi un total cumulé de 1,4 milliard d’euros pour favoriser le développement du seul et unique site de production en France, celui de Valenciennes.


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