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Portes ouvertes en journée, assorties de l’inauguration officielle prévue le soir-même en présence de nombreuses personnalités issues des milieux politiques, institutionnels et économiques de notre territoire régional vers 18 heures, l’actualité rattrape le quotidien et l’existence de ce joli fleuron de l’hôtellerie de l’Yonne. Celui-ci allie à Auxerre le charme cosy et attractif d’un établissement géré dans les règles de l’art de la corporation par la famille RAMISSE (Sylvie et Olivier) aux atouts qualitatifs du confort qui plaisent à une clientèle hétéroclite et familiale de plus en plus orientée vers l’international…

AUXERRE : Vivre une, voire plusieurs nuitées dans l’une des 47 chambres de cet hôtel bourgeois de très belle facture, situé à deux pas du cœur vibratoire de la capitale de l’Yonne, c’est se sentir un peu chez soi. Si l’importante clientèle business apprécie la typicité unique de cet établissement hôtelier, largement remodelé au terme de longs mois de travaux, les touristes de passage désireux de découvrir les vertus salvatrices d’une agréable ville de province comme peut l’être Auxerre ne boudent pas leur plaisir d’en apprécier toutes les nuances reposantes dès qu’ils franchissent la porte d’accès de cet édifice, un ancien hôtel particulier datant de 1870.

Propriétaire de cette vénérable institution hôtelière depuis 1960, la famille RAMISSE se transmet de génération en génération la saine gestion de cette entreprise avec un savoir-faire quasi inné. Succédant à ses parents (Micheline et Robert, des professionnels de haute volée du savoir-être à la française), Sylvie, leur fille qui aura exercé durant neuf ans en qualité de gouvernante dans les palaces parisiens (Le WESTIN, Le Prince de Galles, le Plaza Athénée ou le Trianon Palace à Versailles…), aura appris les méandres de ce dur métier du tourisme à leurs côtés à son retour en terre icaunaise en 1989. Son époux, Olivier, l’a rejoignant dans le giron de cette affaire familiale en 2007, afin de coordonner tous les aspects logistiques et techniques. Quant à Laura, la fille de ce couple de gérants qui ne rechigne pas à s’investir pour assurer la pérennité et le développement de leur outil de travail, elle intègrera à son tour la société familiale après l’obtention de son diplôme de l’école hôtelière (comme sa mère) et après une expérience réussie dans le groupe MARIOTT à Paris. Aujourd’hui, la jeune fille suit en parallèle de ses activités l’école de manager de la Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Yonne.

Un établissement rattaché à une structure coopérative internationale…

Estampillé trois étoiles, cet hôtel de charme inféodé à la marque INTERHOTEL, enseigne gérée par le groupe SEH, possède le particularisme structurel d’avoir rejoint une coopérative où chacun de ses membres est actionnaire autour d’un package comprenant sept marques référentes (Relais du Silence, Colis Hôtel, Petit Déj Hôtel, Chalet et Tradition…) ainsi que des enseignes espagnoles.

Bénéficiant d’une kyrielle de plus-values (la force d’un réseau, la mutualisation des systèmes de réservation en extranet et Internet, l’aide d’importants moteurs de recherche qui permet de se positionner comme les billets d’avion pour concourir aux besoins de la génération Y…), le NORMANDIE profitera de cet événementiel organisé ce jeudi 05 avril pour inciter les partenaires et clients locaux à découvrir la sérieuse cure de jouvence dont elle a fait le choix. Une stratégie conquérante ayant nécessité une enveloppe de 300 000 euros obtenue avec le concours de la Région.

Ce vaste relooking concernera une dizaine de chambres entièrement repensées au niveau de la décoration, une vingtaine de salles de bains mais aussi l’ensemble des espaces public de ce bâti (réception, hall d’accueil, salon, salle de petit déjeuner, couloirs…).

Une décoratrice britannique pour accroître le style cosy/cocooning de l’hôtel…

Sylvie et Olivier ont fait appel au concours d’une experte indépendante en décoration intérieure, la Britannique Elizabeth HANNAH, gérante de la société « INTERIOR DESIGN ET CREATION » basée en Côte d’Or. Cette professionnelle qui fut à l’origine de la conception originale du spa de l’Hostellerie des CLOS à Chablis, chez Noémie VIGNAUD, s’est attelée à ce gros chantier en conservant l’atout indiscutable de l’établissement auxerrois : son aspect cosy et cocooning.  

« Très à l’écoute, cette personne nous a aidée à rechercher les matériaux idoines que nous souhaitions installer, explique Sylvie RAMISSE, en avançant pièce par pièce et selon les maquettes qu’elle nous présentait. L’objectif de ce décor était de conserver ce qui séduisait notre clientèle ; ce mix agréable entre le style hôtel boutique et l’hôtel de charme qui nous permet aujourd’hui d’accueillir de la clientèle étrangère du monde entier : Anglais, Belges et Suisses, en large majorité mais aussi des voyageurs en provenance du Brésil, de l’Asie, des Américains dont c’est le grand retour, des Russes, des Espagnols ou des Italiens (été)… ».

D’ordinaire, les propriétaires de l’établissement consacrent un budget de 50 000 euros chaque année pour le rafraîchissement de la décoration, et subvenir à l’impérieux objectif de proposer des salles de bains confortables et de grand standing (WC suspendus, vasques différentes, baignoires et douches à l’italienne, carrelages grands formats 60X40 en guise de revêtement, moquettes et tissus issus de designer anglais…).

Premier hôtel indépendant à avoir possédé deux chambres handicapées il y a deux ans à Auxerre, le NORMANDIE est également très attractif avec sa salle de billard et son espace fitness, agrémenté d’un rameur à eau et un tapis de course. Le sens du détail environnemental aura même poussé le couple d’entrepreneurs de se munir dans leur offre d’une chambre bio dont le revêtement mural est composé de lin !

Un taux de remplissage annuel de 60 %

En pleine métamorphose comme l’évoque l’appellation de cette journée de communication exceptionnelle que vivront les dirigeants et leur équipe d’une dizaine de collaborateurs ce jeudi, le NORMANDIE réalise un chiffre d’affaires de 900 000 euros annuels. Offrant un excellent compromis dans son approche qualité/prix (des chambres comprises entre 89 euros à 110 euros selon les typologies suivantes : business, supérieure, privilège de 26 à 30 m2 et familiale de 3 à 5 personnes), cette entité désire se situer dans une tendance consumériste à la pointe de la décoration et des services technologiques avec l’apport du Wifi et la digitalisation qui se traduit avec des systèmes de tablettes et téléphones.

Plusieurs surprises saupoudreront cette animation spéciale qui n’a d’autres objectifs que de dévoiler la face immergée de l’iceberg (l’envers du décor d’un établissement de charme) et le dynamisme de cette grande maison hospitalière…

 


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En marge du Salon explicatif, organisé en journée par ses soins sur les parvis de la salle des Jonchères de VENOY, le Syndicat départemental d’énergies de l’Yonne (SDEY) procédait le soir-même à la remise des récompenses saluant les initiatives prises par les collectivités du territoire icaunais lors des deuxièmes Trophées de l’Eclairage public. Si le nombre de dossiers a substantiellement diminué cette année, seize municipalités ayant candidaté au lieu de vingt-six la saison précédente, il n’empêche que la qualité et la pertinence de ceux-ci étaient bel et bien au rendez-vous parmi les deux catégories en compétition : voirie et bâtiments/places publiques. Quant au Grand Prix du jury, il a été attribué à la mairie de Monéteau pour la mise en valeur de ses richesses patrimoniales…

VENOY : Au terme d’une journée riche en importance mettant en exergue la maîtrise des économies d’énergie et la nécessaire mise en valeur du patrimoine, le Syndicat départemental d’énergies de l’Yonne (SDEY) a clos cet événementiel annuel par la remise des distinctions très attendues, permettant aux collectivités municipales de se distinguer au cours d’une cérémonie protocolaire, placée sous le sceau de la convivialité et de la citoyenneté.

Des  œuvres d’art et de la haute technologie en guise de récompense…

Deux catégories d’épreuves offraient la judicieuse opportunité aux seize municipalités en présence de pouvoir espérer décrocher le précieux sésame, honorant leur travail autour de critères qualitatifs. Ceux-ci, retenus par le SDEY, portaient sur la réalisation performante assurée dans le domaine de l’éclairage public. Parmi ces accessits sélectionnés : l’esthétisme, la sécurité mais aussi la valorisation du patrimoine qu’il s’agisse de neuf ou d’ancien, et naturellement, cerise sur le gâteau, le respect d’une ligne budgétaire ferme en matière d’économie d’énergie.

Outre la remise du diplôme officiel à l’estampille du syndicat, chaque lauréat devait repartir de cette manifestation avec le fameux trophée distinctif de sa catégorie. C’est-à-dire une œuvre artistique conçue par un artisan de l’Yonne. En l’occurrence, celle de l’ébéniste Emilie BARBIER, de la doreuse Charlotte COTY et du menuisier Denis BOUCHERON.

Un bonheur ne venant jamais seul, les trois récipiendaires de ces prix se voyaient créditer d’un projecteur « GOBO » du fabricant WE FE, posé par les équipes techniques du SDEY, soit un lot d’une valeur globale de 5 000 euros.

Les communes de TANLAY et d’HERY plébiscitées…

Face à un public d’élus et d’institutionnels attentifs au déroulé de cette animation, le président du SDEY, Jean-Noël LOURY, appela le maire de la commune de TANLAY, Jean-Pierre BOUILHAC, à venir s’enquérir de sa récompense issue de la première des deux catégories, la voirie.

Malgré la présence de six autres dossiers (Pont sur Yonne, Poilly sur Tholon, Sergines, Villemer, Varennes et Vogré), celui déposé par la localité de TANLAY, commune de 1 039 habitants, a retenu l’intérêt des responsables du SDEY.

Au cours de la seule année 2017, la municipalité a pris le soin de remplacer les 279 points lumineux de cette bourgade au patrimoine remarquable et a choisi d’intégrer une technologie réduisant la puissance d’éclairement selon les besoins. De son côté, le Syndicat départemental d’énergies de l’Yonne avait abondé dans ce programme pour une enveloppe de 84 000 euros. Ces travaux ont ainsi pu éradiquer seize ballons fluo très polluants.

Puis, Chantale CHARBONNIER, édile de la commune d’HERY (1 847 habitants), fut appelée sur la scène. Victorieuse du concours de la catégorie Bâtiments et places publiques, face à huit autres dossiers (Chevannes, Escolives, Escamps, La Celle Saint-Cyr, Lindry, Monéteau, Rogny les sept écluses, Neuilly), l’élue avait souhaité aménager la place et l’église de son village en mettant en valeur les aspects esthétisme et efficience de ce dossier. Avec le précieux soutien du SDEY qui devait participer à cette opération à hauteur de 50 000 euros.

La mise en valeur de la mairie et du château sourit à la commune de Monéteau…

Il ne restait plus, pour le président du Syndicat départemental d’énergies de l’Yonne en guise de clôture de l’événement, que de désigner le lauréat du Grand Prix du jury 2018.

A la tête d’une commune de 4 000 résidents, Robert BIDEAU devait recevoir en sa qualité de maire de Monéteau l’ultime distinction de la soirée. L’élu et ses collaborateurs avaient choisi, en effet, d’entreprendre les travaux d’éclairage de deux endroits remarquables de la localité la saison dernière : l’hôtel de ville et le château qui héberge la structure scolaire. La très belle mise en valeur de ces sites patrimoniaux, se traduisant par un chantier important dans lequel le syndicat avait contribué au financement pour 127 800 euros, aura donc subjugué positivement les membres du jury de cette seconde édition.

Afin de laisser davantage de temps à chacun d’accomplir de belles réalisations, les Trophées de l’Eclairage public auront lieu désormais tous les deux ans, comme devait le stipuler Jean-Noël LOURY, lors de sa prise parole définitive. Rendez-vous est donc pris en…2020 !


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Si les potentialités économiques offertes par l’environnement agricole et viticole demeurent les axes prioritaires justifiant ce nouveau déploiement physique sur le Chablisien, il n’empêche que les orientations stratégiques de la caisse régionale de l’assureur mutualiste apparaissent beaucoup plus éclectiques qu’il n’y paraît de prime abord. En s’octroyant les bénéfices d’une vitrine lumineuse, nettement plus ergonomique, agréable et ouverte vers le public que la précédente agence, GROUPAMA Paris Val de Loire entend bien renforcer sa présence territoriale en ratissant large sur ses intentions commerciales et sa volonté d’accroître ses parts de marché…

CHABLIS : Oubliés les locaux d’autrefois, exigus et enclavés dans le cœur de ville, avec ses problématiques inhérentes à la récurrente question du stationnement ! Désormais, le spécialiste de l’assurance et de la prévoyance régional dispose avec sa flamboyante nouvelle structure, rue du Serein, en proche périphérie de l’hyper centre, d’une carte à jouer maîtresse dans son jeu. Non seulement, l’aire de parking représente incontestablement un sacré auxiliaire pour se rendre sans l’once d’une difficulté à son lieu de rendez-vous, mais en outre, l’ensemble de cet édifice de plain-pied, facilitant l’accessibilité aux personnes âgées ou celles à mobilité réduite, propose au détour de sa généreuse surface, un cadre professionnel très agréable et fonctionnel à l’accueil du grand public.

Un montage insolite avec la cave coopérative locale

Renfermant une salle de réunion équipée des dernières technologies, l’agence new-look de GROUPAMA Paris Val de Loire à Chablis aura ainsi l’opportunité de pouvoir accueillir en son sein les structures associatives qui en feraient la demande, exerçant ainsi sa volonté de s’ancrer davantage parmi le paysage local et de recevoir, pourquoi pas, des organismes et instances professionnelles qui pourraient y tenir des réunions de travail.

Si les besoins de ces nouveaux locaux se faisaient ressentir depuis plusieurs mois, la solution idoine est apparue de manière conceptuelle originale avec le concours de l’un des acteurs essentiels de la viticulture du cru : la fameuse coopérative de La CHABLISIENNE.

Propriétaire des murs, la structure entrepreneuriale de Chablis, pilotée par Damien LECLERC, a accepté de mettre à la disposition de GROUPAMA, sous le principe de la location, ce bâtiment situé sur un axe pénétrant et au flux de circulation nourrie. Très vite, l’idée a fait son petit bonhomme de chemin parmi les différents instigateurs de ce projet, avant d’aboutir définitivement à cet édifice remodelé, que les nombreux invités ont pu découvrir les arcanes lors de la séance inaugurale en présence du directeur général Eric GELPE.

Une structure départementale forte de 130 collaborateurs…

S’appuyant sur la présence fonctionnelle de dix agences sur le département de l’Yonne, l’assureur mutualiste présidé par Philippe RENOUX, et dirigé par Jacques BLANCHOT, emploie 130 collaborateurs dont quatre-vingts personnes affectées à la force commerciale. Positionnée sur la gestion des sinistres automobile, habitat et professionnel, dont ceux liés au secteur de l’agriculture et de la viticulture, la structure mutualiste ne néglige aucune cible dans l’optimisation de sa stratégie : le marché agricole pur jus qui demeure encore son fer de lance, le domaine des professionnels y compris ceux de l’industrie et des start-ups, et le vaste marché des particuliers.


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Drivés par un professionnel de l’informatique, deux-cent trente-deux seniors du Centre Yonne se prennent à rêver de rivaliser tôt ou tard avec les jeunes générations en suivant des séances pédagogiques intensives ayant attrait aux multiples possibilités offertes par l’outil numérique. Qu’elles soient béotiennes ou déjà expertes en manipulation de tableurs et autres logiciels en tout genre, ces personnes dont les plus âgées flirtent avec les neuf décades d’existence ne manqueraient pour rien au monde ces sessions formatives, impulsées par la cheville ouvrière de la structure associative qui porte ce beau projet : Roger HUGON, pourtant réfractaire lorsqu’il fut encore un professionnel aguerri à l’emploi abusif des nouvelles technologies ! Opérationnelle depuis trois saisons, MAIL, astucieux acronyme pour « Migennes Association Informatique Ludique », soutenue par la Ville, se veut beaucoup plus qu’une simple entité proposant des cours réguliers pour seniors en quête de découverte. C’est surtout un prétexte sociétal incontournable qui allie amitié, cohésion sociale et partage de belles valeurs…

MIGENNES : Studieux, n’hésitant pas à noircir les pages initialement vierges de leurs cahiers de cours tels de jeunes apprenants férus de savoir encyclopédique, les élèves, retraités, de Nicolas COSTE écoutent avec célérité les paroles didactiques de ce spécialiste du multimédia. Au-delà de l’approche théorique de la matière apprise, initiée par ces différents rendez-vous hebdomadaires avec cet entrepreneur, ce parterre de seniors ayant soif de connaissances s’émoustille à l’idée de pouvoir exercer les prémices de leur talent en manipulant des ordinateurs. En situation réelle, mais sous la houlette de leur professeur.

La volonté de transmettre et de partager du président HUGON

Fidèles d’entre les fidèles, les aficionados de « MAIL » suivent cette grand-messe initiatique de l’immersion dans le monde du digital à raison de plusieurs séances explicatives par semaine. Et ce, depuis l’officialisation de la structure associative conçue par Roger HUGON en 2015. Bien que ce dernier ait pris soin d’entamer ce chemin qui ne fut pas nécessairement un long fleuve tranquille pour quelqu’un qui se refusait auparavant, dans sa vie antérieure de cadre, de succomber aux chants des sirènes de ce modernisme plutôt envahissant.

Aujourd’hui, le président de la jeune association ne peut que se féliciter de ce changement de cap personnel lui ayant permis de vaincre ses craintes et de se muer en véritable pédagogue, transmettant et partageant au passage cette irrésistible passion, utile au quotidien des personnes âgées. Saluant la mémoire de son mentor qui lui aura inculqué il y a une douzaine d’années les ficelles de cette science numérique à posséder, l’instituteur Claude BENARD, Roger HUGON peut être fier de son concept qui dépasse l’entendement de la simple association de base.

Doté d’un parc informatique d’excellente qualité et de belle facture (une trentaine de postes de travail), pourvu d’un local mis à disposition généreusement par la municipalité de Migennes, l’organisme grouille d’initiatives judicieuses pour accueillir l’ensemble de ses nombreux élèves lors de séquences segmentées selon les appétences de chacun.

Des devoirs à réaliser à la maison !

Ainsi, les débutants recevront les conseils indispensables à leur apprentissage par Roger, lui-même, ou de l’un de ses quinze aides de camp, des camarades seniors qui, comme lui, disposent de ce tempérament altruiste pour inciter au partage des valeurs et des connaissances par simple conviction citoyenne. Les plus véloces, qui ne jouent déjà plus dans la même catégorie, bénéficieront directement des séances bienfaitrices du professionnel, Nicolas COSTE, qui a choisi de proposer ses services de manière gracieuse.

Si les exercices et autres devoirs à effectuer en séance ou chez soi nécessitent la bagatelle de 40 000 copies de cours durant la saison, MAIL ne compte que sur les cotisations de ses membres qui pratiquent l’art du tutoiement et de la bise significative en guise de bienvenue, pour exister. Un modèle économique, pragmatique et sans fioritures, voulu expressément par sa gouvernance.

Que l’on soit âgé à peine de cinquante ans ou que l’on présente une maturité plus avancée dans son existence (90 ans), tous les adhérents ont à cœur de se retrouver avec la régularité d’un métronome au sein de cette structure qui a su initier des liens indéfectible de convivialité et de solidarité entre ses adhérents. Les pots de l’amitié en fin de session ou les retrouvailles avec les familles lors d’évènements plus enclins à la festivité le rappellent aisément.

Désormais, en joignant l’utile à l’agréable au sein de « MAIL », Excel, Word, Power Point, l’envoi de e-mailing ou les échanges via les réseaux sociaux Internet, Skype et Facebook sont devenus des jeux d’enfant naturels pour ces seniors ragaillardis par tant de nouveautés numériques et de prouesses technologiques.


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Trois plats pour éblouir l’assistance. Et non des moindres avec sa pléiade de références étoilées connues à travers l’univers de la gastronomie mondiale. Trois recettes concoctées à sa façon, maîtrisées avec la justesse des saveurs et une parfaite dextérité en matière de cuisson pour conquérir ce prix unique en son genre, qui se matérialise sous la forme d’un énorme trophée pesant plusieurs kilos. Sept heures de compétition intense à affronter avec la présence complice de deux commis issus du CIFA de l’Yonne afin de travailler avec méticulosité et succulence la thématique imposée. L’Héraultais Julien BOUSQUET s’est distingué lors du deuxième IRON COOK national, en démontrant qu’il possédait la taille patron dans le métier malgré sa jeunesse pour intégrer tôt ou tard le club hermétique des maîtres de la gastronomie française…

AUXERRE : Lui qui craignait les affres du stress et les contrecoups insidieux de l’angoisse en amont de ce défi culinaire n’aura été affecté en rien, outre mesure ! Y compris au soir de cette très longue cérémonie de distribution des accessits dont il ne connaît pas l’usage au terme de challenges officiels. Non pas que sa touche personnelle à exercer l’art culinaire ne lui permettait pas de les obtenir, bien au contraire, mais tout bonnement parce que cet IRON COOK 2018 correspondait à son premier engagement parmi l’élite des prétendants à concourir  dans une épreuve gastronomique !

Tutoyer les sommets de la discipline…

Pour un coup d’éclat, ce fut un coup de maître pour le jeune homme originaire de Pézenas, aujourd’hui chef de partie chez Gaël LORIEUX, étoilé à Paris, avec son établissement « Auguste ».

Tel un clown jovial et sympathique qui devait présenter son spectacle sans aucune certitude face à un public d’exégètes, Julien BOUSQUET a sublimé et colorisé le contenu de ses assiettes, offertes à la sagacité et à l’esprit critique de 36 personnes, venues tester sa pertinence goûteuse, visuelle et olfactive. Ce show fait de saveurs et de surprises en aura convaincu plus d’un ! Au terme de cette dégustation, articulée autour d’une entrée, d’un plat de résistance et d’un dessert, Julien BOUSQUET est sorti victorieux de cette piste aux étoiles des temps modernes, tutoyant les sommets d’une discipline dont il a montré avec ingéniosité les aspects les plus éclectiques et aboutis.

Que dire de cette excellente mise en bouche que représentait sa première assiette, une entrée inspirante à base de sandre, conçue au jus de tête bouillon safrané, agrémentée de cannelloni végétal aux écrevisses, et comptant parmi ses ingrédients du vieux parmesan. Un pur régal à faire saliver les papilles des plus réfractaires de ces fins gourmets et épicuriens de l’assistance en quête sans cesse de nouvelles découvertes gastronomiques…

L’asperge, légume de prédilection de cette édition 2018, sera mise en valeur dès la recette suivante, lors d’une fantastique approche remodelée de la selle d’agneau, qui  travaillée aux côtés d’huîtres creuses et de maki dashi de pommes de terre, mêlèrent adroitement les subtiles saveurs maritimes, grâce à la présence d’algues vertes, et celles, tout aussi réjouissantes, de la cuisine exotique du Sud-Est asiatique.

Le supplément d’âme nécessaire pour s’inscrire dans la pérennité

Son passage dans un cinq étoiles de La Réunion aura été une source d’inspiration supplémentaire pour le prometteur Julien qui n’aura cure d’accommoder à sa sauce le fruit exotique gorgé de soleil et de jus de ce département d’Outre-Mer : l’ananas. Parfumé aux clous de girofle, délicatement rôti afin de lui conférer ce croustillant élémentaire au palais, l’ananas à l’estampille du chef de partie de chez « Auguste » se transforme en pur bonheur sucré dans la bouche. Agrémenté, il est vrai, d’un sablé breton servi sur sa boule de glace à la vanille et à la revigorante fraîcheur verveine !

Pas étonnant que ce garçon au léger accent méridional ait réalisé des merveilles au niveau des commentaires et de la notation de la part d’un jury subjugué par tant de qualités gustatives.

Julien BOUSQUET possède ce supplément d’âme nécessaire pour inscrire durablement son patronyme dans la légende de la gastronomie à la française ; celle que les vénérables personnages réunis autour de lui, lors de la remise des récompenses, défendent bec et ongle au quotidien en exportant leur savoir-faire aux quatre coins du globe.

Muni de son enveloppe de 5 000 euros, de ses multiples et prestigieux diplômes académiques, et de son énorme trophée ayant presque des ressemblances analogiques avec la célèbre Coupe Jules RIMET dont le monde footballistique se prendra de passion enflammé d’ici quelques mois pour sa future attribution, Julien BOUSQUET, encore tout auréolé de sa gloire naissante, peut dormir tranquille sur ses deux oreilles.

L’avenir de la cuisine lui appartient. Ses adeptes d’un soir, celles et ceux dont il a réussi à fédérer l’adhésion autour de sa déclinaison culinaire remarquable, ne rêve que de le retrouver dans sa propre aventure de futur chef d’établissement (la suite logique de sa carrière) et de le voir, tôt ou tard, être distingué du titre de Meilleur ouvrier de France dans sa spécialité. Mais ceci est assurément une autre histoire où le CIFA de l’Yonne, ce centre de formation novateur et faiseur de talents, n’aura pas été étranger…


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