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Petite leçon de chose destinée à nourrir les neurones des néophytes en la matière et des béotiens, en particulier. Qu’est-ce qu’un G.E.I.E. ? On donne sa langue au chat ?! C’est l’acronyme caractéristique qui désigne un Groupement Européen d’Intérêt Economique. Le statut juridique qualifiant précisément « EURACTIS », une structure interprofessionnelle des métiers du droit et du chiffre qui proposait son assemblée générale annuelle à l’Hostellerie des Clos à Chablis. Immersion…

 

CHABLIS : Leur provenance couvre divers horizons géographiques. Des Ardennes à la Marne, de la Côte d’Or aux contreforts jurassiens du Doubs. De l’Ile-de-France, limitrophe, aussi. Sans omettre une petite note spécifique à l’international avec des ressortissants qui exercent outre-Quiévrain, c’est-à-dire la Belgique !

Pourtant, son président d’honneur est originaire des Ardennes : Me Jean-Pierre JOLIOT, avocat honoraire, ancien membre du Conseil de l’Ordre du barreau des Ardennes, ancien membre du barreau de Paris, spécialiste en Droit Pénal et gérant fondateur du GEIE EURACTIS.

Les membres de ce GEIE, regroupant des professionnels du droit et du chiffre (cela comprend des avocats, des experts-comptables, des commissaires aux comptes, des huissiers de justice, des juristes…) aiment converger, une fois l’an – et quand la crise sanitaire ne leur interdit pas l’accès à notre noble territoire !- vers l’Yonne, pour y tenir, conformément à leurs statuts, leur assemblée générale. Parfois en la délocalisant, non loin des coteaux de Chablis, à l’Hostellerie des Clos par exemple, chez Noémie VIGNAUD.

 

Trois décennies de conférences de haute volée au service de la filière…

 

Apparu dans le paysage économique en 1992, EURACTIS, dont le siège social est situé dans le département des Ardennes, fut le tout premier dans l’Hexagone et le second à exister au sein de l’Union européenne. D’ailleurs, à l’international, ses ramifications s’étendent jusqu’en Grèce, au Luxembourg et très prochainement en péninsule ibérique, sur le son flanc ouest, côté Portugal !  

On l’aura compris : la raison première de ce groupement professionnel, son supplément d’âme en somme, est de renforcer les coopérations corporatistes dans des domaines complémentaires en constante évolution, vu sous le prisme de l’Europe, tant au niveau juridique que fiscal mais aussi en conseil à prodiguer aux particuliers et entreprises.

Depuis trois décennies, les réunions de ce GEIE se sont multipliées parmi les différents pays des membres du groupement. Des rendez-vous où devaient se retrouver une somme de personnalités.

On citera volontiers les exemples suivants : Melkior WATHELET, vice-Premier ministre et ministre fédéral de la Justice et des Affaires économiques de 1992 à 1995 en Belgique, Séverine BRAIL, haut fonctionnaire à la Commission européenne et marraine du groupement, Jean TOUZET, procureur général honoraire, Gilles LATAPIE, ancien président de la Cour d'assises des Ardennes, venu évoquer lors d’une mémorable conférence son dernier opus consacré à l’affaire « FOURNIRET » ou encore Jennifer PICOURY, présidente du Tribunal Judiciaire de CHÂLONS-EN-CHAMPAGNE.

 

 

Un gros morceau thématique en guise d’amuse-bouche…

 

Au menu de ces retrouvailles, plusieurs réjouissances intellectuelles furent soumises à la sagacité des participants. En guise de hors d’œuvre : « Les modes alternatifs de règlement des différends et le traitement des difficultés des entreprises »". 

Face à une justice de plus en plus malmenée (manque d'effectif dans les juridictions, longueur des procédures...), le législateur a depuis plusieurs années mis en place des modes alternatifs et amiables pour permettre une résolution des litiges (conciliation, la procédure participative, la médiation, l'acte d'avocat...). 

Au quotidien, les praticiens témoignent de l'efficacité de ces procédures qui permettent dans un nombre important de dossiers de trouver des solutions plus rapides et mieux appréhendées par les parties en présence. Au-delà des aspects purement juridiques, il est impératif de prendre en compte selon les situations rencontrées les dimensions tant psychologiques qu'économiques en vue que le praticien apporte le meilleur conseil à son client.

 

 

De la pédagogie, rien que de la pédagogie envers les entrepreneurs…

 

Puis, vint le plat de résistance à ce rendez-vous annuel : des échanges ayant attrait au traitement des difficultés des entreprises. Soit les procédures préventives dites amiables et les procédures curatives dites judiciaires. 

Les procédures de mandat ad hoc, conciliation, sauvegarde, redressement judiciaire et liquidation judiciaire ont alors été évoquées.

Il est primordial d'informer et de sensibiliser les acteurs qui accompagnent quotidiennement les entreprises sur l'existence de la boîte à outil mise en place par le législateur français depuis plusieurs années. Le constat est sans appel, trop peu de dirigeants ou d'entrepreneurs individuels par méconnaissance, crainte voire malheureusement honte, ne sollicitent l'ouverture de procédures amiables ou de sauvegarde.

On les voit trop tardivement pousser la porte des tribunaux de commerce ou des tribunaux judiciaires, selon l'activité exercée. Pourtant, les chiffres sont là. Plus les mesures en vue de pallier les difficultés (difficultés de trésorerie en raison de factures impayées, perte d'un fournisseur, prêts bancaires en retard...) sont prises tôt, plus le retournement de l'entreprise, la pérennité de l'activité et la préservation de l'emploi sont possibles.

Il est donc indispensable que les interlocuteurs privilégiés (experts-comptables, commissaires aux comptes, avocats, établissements bancaires) fassent preuve au quotidien de pédagogie auprès des dirigeants et chefs d'entreprises.

D’où la nécessité de privilégier ces moments forts et spécifiques pour diffuser en termes de communication les messages prégnants auprès de la sphère économique hexagonale.

 

En savoir plus :

En avril 2023, c’est au Portugal à Cascaïs que se retrouveront les adhérents de ce GEIE, avec l'intégration d'un avocat et d'un notaire portugais.

Après 19 ans de gérance d’EURACTIS, Me Jean-Pierre JOLIOT a souhaité la nomination d’un successeur. Me Alexandra JOLIOT-FROISSARD a été élue à ce titre et ce, depuis 2011. De nouveaux membres ont également rejoints ce groupement. Aujourd'hui, le groupement est géré conjointement par Me Alexandra JOLIOT-FROISSARD (avocate au barreau des Ardennes) et Pierre-Nicolas JOLIOT (juriste dans un établissement bancaire régional).

Doté de membres ayant des compétences diverses, le G.E.I.E. EURACTIS a toute sa raison d’être au vu de la prolifération des textes législatifs et la complexité des domaines juridiques émergents qui justifient la nécessité d’un travail en synergie.

 

Thierry BRET

 

 

 


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Il y a des termes qui ne trompent pas dans le discours des politiques. « Equipe », « déterminisme », « collectif », « compétences », « au service », « territoire », « confiance ». Autant de mots distillés dans les propos avec parcimonie, certes, mais au final qui se révèlent avoir de l’impact pour celles et ceux qui les entendent. Soit les électeurs qui auront à choisir les 12 et 19 juin les membres de la nouvelle Assemblée Nationale. Ces mots, le député sortant de la première circonscription de l’Yonne les a savamment choisis et se promet de les expliquer durant sa campagne de communication…

 

LAINSECQ: « Il est libre, Max », entonnait le regretté Hervé CHRISTIANI sur toutes les ondes radiophoniques de France et de Navarre au printemps 1981. Une simple ritournelle à la musicalité harmonieuse qui allait lui permettre de décrocher les étoiles du succès, à l’heure où la France allait basculer dans le mitterrandisme. Etrange paradoxe !

Libre. Qui a le pouvoir de décider, d’agir, par soi-même. La définition, la plus élémentaire. Mais, « libre », au sens philosophique stricto sensu, correspond à la formule suivante : « c’est agir relativement à une loi que l’on s’est donné à soi-même à partir de l’usage de la raison, de façon impérative et non selon les lois de la nature et de sa sensibilité… ». Bref,  la parfaite autonomie de sa volonté. Donc, de ses actes !

Libre, c’est en substance le credo, clé de voûte à l’ensemble de l’édifice, régulièrement martelé lors de sa conférence de presse, par Guillaume LARRIVE. Non pas avec un « s » en guise de terminaison comme l’aura proclamé en son temps en créant son propre mouvement la candidate désabusée des Républicains, Valérie PECRESSE, au soir du premier tour des présidentielles. Mais, « libre », sans autres fioritures épistolaires et tellement simple à comprendre.  

 

Un candidat qui se veut « engagé pour l’Yonne »…

 

C’est donc sous ce vocable que le député sortant de la première circonscription de l’Yonne, toujours LR et soutenu plus que jamais par l’UDI et le centre droit, se présentera aux suffrages des électeurs les 12 et 19 juin prochains. Un Guillaume LARRIVE plus incisif que jamais dans les réponses faites aux interrogations médiatiques vis-à-vis de cette nouvelle joute électorale qui s’amorce.

D’ailleurs, le mot faisant référence à sa liberté d’esprit (et de ton lors de ce rendez-vous devant lancer officiellement sa campagne) n’est pas le seul à avoir été répété à maintes occasions durant cet entretien. Son corollaire linguistique est l’engagement.

« Engagé pour l’Yonne » figure même en slogan incitatif en haut à gauche de l’affiche dont les équipes de collage placardent allègrement le document depuis plusieurs semaines aux quatre coins de ce secteur géographique si étendu, regroupant 111 localités depuis l’Auxerrois à la Puisaye-Forterre, au Coulangeois à l’Aillantais.

 

Le choix de Lainsecq n’était pas anodin : c’est le cœur de la Puisaye…

 

C’est au cœur de la Puisaye chez l’une de ses ferventes supportrices, l’élue Nadia CHOUBARD, que le parlementaire a décidé de dévoiler sa stratégie de campagne. Celle-ci, devant courir sur les cinq semaines à venir. Elle comprendra vingt-six réunions publiques accueillies dans certaines communes de la circonscription. L’opportunité fut donnée au quadragénaire – Guillaume LARRIVE est âgé aujourd’hui de 45 ans -, d’expliquer avec moult détails la gouvernance de son équipe de campagne.

 

 

D’une part, galanterie oblige envers la gent féminine, Dominique VERIEN fut la première à être présentée par l’orateur. La sénatrice, présidente de l’UDI 89, tout sourire, était visiblement très satisfaite de se retrouver là, d’autant qu’elle intervient en qualité de présidente du Comité de soutien à la réélection du député sortant.

D’autre part, on ne fut pas surpris de découvrir dans le poste de suppléant, le 3ème  vice-président du Conseil départemental et maire de Venoy, Christophe BONNEFOND. Un ami de longue date et fidèle parmi les fidèles de Guillaume LARRIVE.

 

 

La sénatrice et le « développeur du territoire » : compétences et confiance…

 

Evoquant ensuite son désir de poursuivre la défense des intérêts de ses administrés, Guillaume LARRIVE s’est dit « utile de continuer sa mission à l’Assemblée Nationale du fait de son expérience – vingt-cinq au service de l’Etat - et de son énergie ».           

A son actif, l’élu de l’Yonne a aussi publié trois ouvrages, écrivant ce qu’il pensait du microcosme politique et sans craindre le débat d’idées où il aime se confronter. Puis, l’air grave, il réaffirme son engagement à la chose publique, donnant du poing sur la table. Ce qui fera sourire Dominique VERIEN, après un léger sursaut ! Eh oui, ça bouillonne dans le cerveau du candidat LARRIVE qui de l’énergie à revendre !

Impatient d’en découdre sur le terrain, il devait souligner son profond attachement à une candidature d’équipe : « j’y crois profondément et c’est vital pour l’’Yonne ». Insistant sur la présence de Dominique VERIEN, la sénatrice réélue qui a accepté de prendre la présidence de son comité de soutien et sur l’implication de Christophe BONNEFOND, qualifié de « développeur » du territoire du fait de ses diverses responsabilités institutionnelles. Un suppléant qui possède tous les atouts de la compétence et de la confiance, aux yeux de Guillaume LARRIVE, qui en a donc fait son partenaire (au-delà de la sacro-sainte parité qui n’est pas une obligation !) pour mener à bien cette nouvelle bataille où en cas de victoire le président des Républicains de l’Yonne pourrait réaliser la passe de trois. Ce qui est plutôt rare dans l’Yonne pour le même député !

 

Thierry BRET

 

 


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La prise de fonction sera officialisée ce lundi 16 mai en début de matinée. Avec, comme premier rendez-vous public, la sacro-sainte cérémonie, fruit d’une tradition républicaine séculaire, proposée à chaque passation de pouvoirs. Elle se formalise par le dépôt d’une gerbe au monument aux morts de la ville. A 34 ans, la nouvelle sous-préfète de l’Avallonnais entamera sa nouvelle mission loin de sa Réunion natale…

 

AVALLON : Selon notre confrère, « Réunionnais du monde », organe d’informations numériques, la nouvelle sous-préfète de l’arrondissement de l’Avallonnais et du Tonnerrois représente « l’exemple concret de cette jeunesse insulaire qui se fait une place au sein de la haute administration publique ». Une jeune femme âgée de 34 ans à la tête bien faite et bien remplie puisque l’heureuse représentante de la préfectorale, dont la zone d’influence sera sur le sud du département de l’Yonne, a fait ses gammes sur les bancs de l’ENA, Sciences Po et HEC, excusez du peu !

 

 

Lundi matin, conformément aux traditions républicaines, Naïma RAMALINGOM procédera à son premier exercice officiel en sa qualité de nouvelle sous-préfète, le dépôt de gerbe au monument aux morts de la ville. Un exercice traditionnel auquel prendront toutes les personnalités institutionnelles et politiques de la place.

Cheffe du département des affaires budgétaires et de la synthèse au sein du ministère de la Culture, la jeune représentante de l’Etat donnera sa première conférence de presse dès le lendemain…

 

Thierry BRET

 


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Vingt-six finalistes à l’échelle nationale. Ni plus, ni moins. Mais, l’enjeu est considérable si l’aventure va jusqu’au bout. Au-delà de la récompense financière promise – une enveloppe de 4 000 euros qui est offerte au premier des candidats -, c’est surtout la notoriété qui découlera de cette expérience qui va placer le vainqueur de ce concours « Femmes du Numérique » au firmament de son succès. Sabrina HOHENGARTEN y croit dur comme fer ! Normal, l’entrepreneuse possède l’âme d’une vraie « Rebelle »…

 

VAUDEURS : « Rebel, Rebel » chantait dans son style si caractéristique l’élégant David BOWIE en 1973. Une affirmation de soi à reprendre sa destinée en mains, contre les vents et marées de l’existence. Le dénominateur commun avec cette jeune femme qui se lance dans une trépidante aventure. L’édification du premier réseau social « communal à mission citoyenne ». Tout un programme, en somme, sur le papier pour venir en aide à son prochain, sans pathos mais avec les valeurs intrinsèques d’altruisme et de générosité.

Logique : Sabrina HOHENGARTEN, même si menue soit-elle, n’a rien d’une personne frêle. Il se dégage de son mental une force inavouable grosse comme ça !

Alors, concourir à ce challenge hexagonal, promu par La Poste et en partenariat avec la plateforme de financement participatif, Kiss Kiss Bank Bank, est un défi à sa portée. Simple, comme bonjour.

 

Un projet invitant à rompre l’isolement social des personnes âgées…

 

Sa structure professionnelle, une start-up où elle y place tout son désir de bien faire, à peine lancée (le 24 avril dernier), la meneuse de ces « Rebelles » nationales version numérisée s’attaque à une autre épreuve. Remporter cette épreuve qui récompense les femmes ayant boosté leur carrière professionnelle via le multimédia.

Les yeux pétillants d’étoiles – celles de la future renommée ?-, l’Icaunaise n’a pas ergoté longtemps avant de s’inscrire à ce concours. Où le hasard n’a pas vraiment sa place ?

La CCI de l’Yonne a bien fait les choses. Elle a prévenu Sabrina de l’existence de ce trophée. Un énième sur le marché. Mais, pas que : puisque s’adressant à la gent féminine. L’invitant ainsi à y prendre part.

Rebelle jusqu’au bout des ongles, la porteuse du projet plaide à sa manière et avec cet outil pour rompre avec le processus d’isolement social qui condamne les aînés à devenir des quasi parias de la société. Nonobstant : elle sait qu’elle peut l’emporter.

D’une part, son concept se meut dans une parfaite originalité avec résonance sociale évidente. D’autre part, sa puissance de conviction en quête de partenaires et d’une écoute pas distante pour favoriser le jeu du relationnel, est forte. Dommage qu’elle ne puisse tenir l’éloquence devant un jury : il en aurait été admiratif !

 

 

Convertir les coups de cœur au projet en autant de clics numériques…

 

Enfin, surfant sur la vague nationale avec ce projet 100 % intergénérationnel, ne souhaiterait-elle pas secouer un brin le cocotier de la bienséance en se battant en faveur de ces populations, les personnes âgées, qui sont parfois injustement écartées de la société ?

Recevoir des « coups de cœur » qui se traduiraient pas autant de clics positifs, faisant acte de vote et de croyance en son projet, encore au stade expérimental, est le plus joli des cadeaux que l’on puisse lui faire.

Unique prétendante de l’Yonne au sacre de ce Graal suprême que représente cette distinction qui n’a rien de si honorifique que cela, Sabrina HOHENGARTEN espère atteindre la sélection des douze finalistes nationales après le verdict rendu par le public le 28 mai.

Dans un premier temps, il s’agira de la départager de l’autre candidature de Bourgogne Franche-Comté, une société de Mâcon. Ensuite, il lui faudra s’armer encore d’un peu de patience, sans doute fin juin, et être confrontée au dernier round de ce scrutin numérique à douze candidats pour atteindre le Nirvana de la victoire, synonyme nécessairement de visibilité maximale sur le territoire.

Et quand on a la prétention de vouloir jouer dans la cour des grands avec son outil de travail (le territoire français), obtenir cet accessit valorisant votre labeur ne serait-ce pas la plus belle des récompenses pour entamer sa carrière ?

 

En savoir plus :

 

Pour accéder au vote, il faut consulter le site Internet de la start-up (https://lesrebellesfrance.fr/ ). Un simple clic sur cette référence suffira pour augmenter le capital voix de la candidate.

 

Thierry BRET

 


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Voulez-vous une preuve de l’attractivité prégnante qu’exerce le territoire de l’Yonne sur l’Ile-de-France voisine et la capitale de l’Hexagone, Paris ? En voici une, toute faite et qui se construit patiemment depuis la signature d’un accord de réciprocité, survenue en juin 2021, entre les PETR Grand Auxerrois et Nord de l’Yonne et la mégalopole nationale. Un partenariat, inédit et astucieux qui permettra de valoriser les circuits courts de la distribution alimentaire en favorisant les productions agricoles de notre terroir…

 

JOIGNY : Qui a dit que le territoire de l’Yonne n’était pas suffisamment attractif au niveau économique à l’échelle de l’Hexagone ? Tout le monde, en vérité ! Eh bien, pour faire taire les pessimistes de tout poil qui ne voient pas plus loin que le bout de leurs bésicles embuées, voilà une information 100 % positive à faire circuler auprès de tous !

Elle concerne une judicieuse initiative prise au printemps 2021 dont les prolongements factuels commencent à se faire ressentir quant à ses potentialités et perspectives envisageables. L’Yonne, terre nourricière de Paris ? Non, ce n’est pas une énième blague de potache qui aurait pu être publiée dans les colonnes médiatiques au petit jour du 01er avril dernier. Cela pourrait devenir très vite une réalité tangible après la récente visite de plusieurs élus de la capitale, dont l’ex-star du PAF (Paysage Audiovisuel Français), la journaliste Audrey PULVAR, reconvertie aujourd’hui en une défenseuse de la chose publique, en qualité d’adjointe à l’édile de Paris, Anne HIDALGO.

 

Audrey PULVAR vient prendre le pouls sur le terrain de l’Yonne…

 

La candidate socialiste à la présidentielle avait effectué le déplacement en terre icaunaise l’an passé pour parapher cet accord qui devrait offrir des opportunités intéressantes pour les filières agricoles de l’Yonne. A la grande satisfaction de la Chambre départementale d’Agriculture et des représentants syndicaux.

Nourrir Paris et ses 2,1 millions d’habitants n’est pas du domaine du raisonnable, sur le papier. Même si l’eau qui coule dans la capitale aurait dû se nommer l’Yonne et non la Seine comme certains géographes (bourguignons !) le pensent encore !

A contrario, favoriser l’alimentation de certains arrondissements en victuailles et produits made in Yonne semble déjà plus réalisable à brève échéance du fait de la proximité de ce département, situé au sud de la métropole. Selon les termes précisés par l’accord de coopération qui a été établi entre les deux partenaires, les PETR Grand Auxerrois et Nord de l’Yonne, et Ville de Paris, l’an passé.

Lors de cette journée immersive dans le Jovinien, Audrey PULVAR, accompagnée des maires du XIIème (Emmanuelle PIERRE-MARIE) et du XIVème arrondissement (Carine PETIT), ont pu disserter longuement avec des professionnels du monde agricole. Testant sans doute au passage quelques succulents produits !

 

 

Le XIIème arrondissement de Paris : un tiers des habitants de l’Yonne...

 

140 000 habitants, c’est le nombre de Parisiens qui résident dans le douzième arrondissement de la capitale. Soit un tiers des habitants de l’Yonne. On imagine aisément le potentiel en matière de débouchés pour les denrées alimentaires en provenance de notre territoire qui pourraient s’écouler via les marchés et les structures collectives pour sustenter la population. Une aubaine pour Nicolas SORET, président de la CC et maire de Joigny, qui avait flairé l’opportunité depuis bien longtemps.

« Là où je me réjouis, précise-t-il, c’est que les choses deviennent concrètes. On rentre dans le dur de l’opérationnel et ça, c’est chouette ! ».

Surtout que la Ville de Paris va organiser fin juin le Festival de l’Alimentation durable. Un évènement auquel participera une délégation icaunaise conduite par le numéro trois de la Région Bourgogne Franche-Comté. Au four et au moulin, Nicolas SORET ?

« Oui, car notre objectif sera d’y rencontrer les vingt-et-une personnes gestionnaires de l’alimentation de la capitale ! ».

Des contacts ô combien indispensables en vue de finaliser le dossier : ce sont celles et ceux qui appuient sur le bouton de la commande.

 

 

D’un approvisionnement mondial aux circuits de proximité…

 

En proie à une véritable révolution de palais, en ce qui concerne ses circuits de distributions alimentaires, Paris change donc de paradigme sur cet item. D’un approvisionnement mondial, les élus de la première ville de France veulent désormais privilégier des ressources alimentaires produites dans un rayon maximal de 250 kilomètres. Au moins pour la moitié de ces denrées.

Conséquence : l’Yonne ne peut qu’être impliquée dans cette profonde mutation de la transition alimentaire que mène Paris pour le bien-être de ses habitants.

Quant aux attentes en termes de productions, elles se sont avérées concrètes. Ainsi, l’élue du XIVème désire un approvisionnement de noix et de noisettes. Des besoins qui peuvent résolus grâce à la filière locale ad hoc qui en découle.

Pour autant, Nicolas SORET se veut rassurant. Balayant d’un revers de la main, « toute mauvaise interprétation » pouvant être faite autour de cette initiative, il rappelle que l’enjeu de cette démarche collaborative n’est pas d’appauvrir notre territoire. Estimant que la relation Yonne/Paris n’est pas une fin en soi, mais un moyen. Celui de rééquilibrer les relations entre la capitale et notre département afin d’y créer un ruissellement – le vrai, s’en amusera-t-il ! -, qui permettra de faire venir vers le territoire le plus septentrional de la Bourgogne la richesse qui est concentrée dans la métropole francilienne. Un ruissellement dont les agriculteurs et les producteurs seraient les premiers bénéficiaires.

En outre, parce que ces commandes seront importantes en volume, elles permettront de favoriser la création d’outils de transformation et de proposer de la valeur ajoutée. Concrètement, la commande publique parisienne servira de levier à la valeur ajoutée qui s’appliquera sur le territoire de l’Yonne.

Aujourd’hui, tous les partenaires du milieu agricole sont interpellés positivement par ce rapprochement prometteur entre Paris et les deux PETR de l’Yonne, notamment la Chambre d’Agriculture mais aussi Manger Bio, Bio Bourgogne et le GABY, le groupe d’agriculture biologique de l’Yonne.

Des acteurs de la filière agricole qui ne manqueront pour rien au monde le rendez-vous de la fin juin dans la capitale avec les fameux vingt-et-un gestionnaires qui sont décisionnaires de l’alimentation à Paris. Une métropole qui sert 30 millions de repas dans les 1 300 établissements collectifs sous leur coupe. Cela parle, non ?

 

Thierry BRET

 

 


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