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C’est l’un des fleurons de l’activité industrielle en Bourgogne Franche-Comté. Disposant de trois unités de production qui sont implantées à Belfort, à Ornans dans le Doubs et au Creusot. Spécialisée dans la fabrication des transports ferroviaires (trains, métros et tramways), la multinationale française vient de valider une jolie commande avec l’Allemagne. Soit la conception de 130 trains régionaux CORADIA Stream de grande capacité à deux niveaux. Montant de la transaction : 2,5 milliards d’euros !

 

PARIS : Voilà une nouvelle qui donne du vague à l’âme. Ou du baume au cœur, selon les cas ! Pionnier de la mobilité durable, ALSTOM, multinationale que l’on ne présente plus vient de décrocher le contrat de l’année avec le voisin allemand. Surtout que la valeur de ce contrat mirifique s’élève à près de 2,5 milliards d’euros pour la livraison de 130 trains régionaux de type CORADIA Stream. Des véhicules de grande capacité d’accueil à deux niveaux qui reviendront à l’acquéreur germanique, SFBW. ALSTOM devant en assurer également la maintenance au cours des trente prochaines années.

Cerise sur le gâteau, le contrat prévoit aussi une option permettant de commander jusqu’à une centaine de trains supplémentaires ! Ces appareils desserviront les lignes de la région du Bade-Wurtemberg.

Ces trains offriront des performances et une technologie nouvelles pour ses usagers. « Ils seront au transport local ce que les sprinters sont à la course à pied, a même plaisanté le ministre du transport du Lander allemand.

 

 

Priorité sera aussi donnée à l’ergonomie et au confort des passagers, avec la possibilité d’être assis dans des sièges inclinables, de bénéficier de zones spécifiques pour les personnalités à mobilité réduite, ainsi qu’un concept d’éclairage performant et un signal WI-FI puissant.

In fine, 380 places assises pourront être accueillies dans les rames de quatre voitures, d’une longueur de 106 mètres. Elles seront mises en service dès 2025. Quant à la vitesse de pointe, elle peut atteindre 200 km/h. Ce train est capable de fonctionner sur les principaux systèmes électriques européens.

A date, plus de 730 de ces véhicules ont été commandés par l’Italie, le Luxembourg, les Pays-Bas, le Danemark ou encore l’Espagne. L’Allemagne rejoint donc ce peloton d’acheteurs.

 

Thierry BRET

 


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Des sourires rayonnants qui s’affichent sur les visages. Voire peut-être des larmes qui coulent à l’intérieur de ces esprits attentifs à l’écoute de ces témoignages emplis de fibre et de passion. Ceux de cette élite sportive, présente sur l’estrade de la salle des fêtes de VENOY. La soirée « Influence », proposée par la Fédération française de judo, ne pouvait se conclure sans une remise de médaille officielle de la part du Conseil départemental…

 

VENOY : Le prestige est sur la scène. Une belle brochette de sportifs qui a porté haute les couleurs de la France aux quatre coins de la planète, lors de championnats du monde et de Jeux Olympiques. D’ailleurs, on ne compte plus le nombre de breloques ramenées par ces sept champions, la fine fleur du judo à la sauce hexagonale, qui prolongent l’échange avec le public. Une assistance d’élus et de chefs d’entreprise, trop heureuse d’être assise là, aux premières loges, à s’abreuver de paroles vertueuses autour de ces compétiteurs nés.  

Puis, parce que l’heure de conclure se rapproche à grands pas, se lève du premier rang le président du Conseil départemental, Patrick GENDRAUD. Lui, il est plutôt football (allez l’AJ Auxerre !) et…pétanque ! Une discipline à 100 % sportive comme il a aimé le préciser à la double championne du monde et quadruple championne d’Europe Catherine ARNAUD qui émettait un instant plus tôt au fil de sa prise de parole quelques doutes sur la pratique un tantinet trop ludique de ce « jeu » méridional à vocation estivale.

 

 

« Je n’ai jamais vu autant de chefs d’entreprise dans une salle… ».

 

Evoquant la philosophie de ce territoire, l’Yonne, « terrain de sports », Patrick GENDRAUD a eu le plaisir de distinguer le président de la Fédération nationale de judo, Stéphane NOMIS, avant que ne retombe le rideau définitif sur cette animation officielle, proposée conjointement par la Fédération nationale de cet art martial et l’organe institutionnel.

Une soirée où les remerciements coulèrent à flot, et pour cause, au vu de la réussite de l’opération. Le président du Département se félicita du succès de cette sensibilisation à la discipline. « Je n’ai jamais vu autant de monde dans une salle avec autant d’entrepreneurs, confia également Stéphane NOMIS agréablement surpris avant que l’élu ne lui épingle la médaille départementale de l’Yonne, au revers de sa veste.

Sous le regard du secrétaire général du Comité de l’Yonne de judo, Pascal LUCAS, Patrick GENDRAUD salua chaleureusement l’ancien judoka, aujourd’hui à la tête d’une entreprise, et prodigua quelques mots d’encouragement pour la suite de cet « itinéraire de champions » qui fera étape dans une vingtaine d’agglomérations du pays.

 

Thierry BRET

 


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Défendant les intérêts de plus de deux cents entrepreneurs de l’Yonne, la Confédération des Petites et Moyennes Entreprises procédait à l’une de ses rencontres obligatoires, prévues par ses statuts, son assemblée générale, jeudi soir. Une simple formalité factuelle pour son président Olivier TRICON et la secrétaire générale, Emmanuelle MIREDIN, à la manœuvre…

 

AUXERRE: « Soyez fiers de la CPME ! ». Ce n’est pas de l’autocongratulation gratuite mais plutôt un signe d’encouragement positif que le président de l’antenne départementale de la Confédération des Petites et Moyennes Entreprises de l’Yonne a adressé à l’ensemble des participants.

Face à un parterre d’entrepreneurs adhérents, un peu clairsemé toutefois alors que les retrouvailles au sein de la concession AUDI du groupe JEANNIN Automobiles s’annonçaient prometteuses, le responsable de la cellule icaunaise s’est voulu enthousiaste en évoquant le bilan d’une saison écoulée, encore perturbée par les scories de la crise sanitaire.

Le rapport du président ne fut guère entaché de fausses notes. Hormis la désillusion collective occasionnée par le verdict de l’élection consulaire de la Chambre de Métiers et de l’Artisanat, où la faible mobilisation peut expliquer en partie les mauvais résultats, la CPME de l’Yonne aura vécu une année 2021 plutôt satisfaisante, compte tenu du contexte.

 

 

Une indéniable poussée dans les élections professionnelles...

 

En matière de mandats (l’une des prérogatives essentielles de la confédération patronale), la CPME 89 a progressé en termes de présence, plaçant ses « pions » au sein d’organismes incontournables de la vie institutionnelle et économique du territoire. C’est le cas à la Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Yonne avec le succès de Thierry CADEVILLE, qui en est aujourd’hui le président. Mais, cela l’est aussi au Tribunal de Commerce, avec en outre les nominations de Myriam MADELIN (ex-POIVET) et de Cyrille BRASSEUR, le patron de TTB. Un tribunal, à Auxerre, présidé par Pascal BAILLY, qui assistait à la soirée.

Commentaires du « patron » Olivier TRICON : « L’indéniable poussée élective de la CPME au sein de ces organismes se fait en bonne intelligence, nous regardons la qualité des personnes qui s’engagent au sein de ces mandats… ».

 

 

Bref, en saisissant toutes les opportunités pour lancer ses candidatures, la CPME est le syndicat qui prend de l’embonpoint dans le paysage patronal de l’Hexagone.

Incarnée au niveau national par le très médiatique François ASSELIN – ce dernier a remis de l’ordre dans la maison dixit le président de l’Yonne -, la CPME a défendu bec et ongles des orientations stratégiques importantes dont se sera inspirée la gouvernance étatique. On peut citer parmi les trente-quatre mesures retenues par le gouvernement, le report du Prêt Garanti par l’Etat (PGE) pour les entreprises, la prolongation des exonérations de charges pour certains établissements professionnels, la reconduction des aides à l’embauche des jeunes ou la défense des hôteliers-restaurateurs.

Profitant du zéphyr virevoltant qu’elle a dans le dos, la CPME fédère plus de quatre millions de PME/TPE dans l’Hexagone et est appréciée à date par 78 % de nos concitoyens qui croient aux vertus des petites et moyennes entreprises dans l’univers économique. Une information qui revêt de la plus haute importance : ce n’est pas tous les jours en effet que les Français de base complimentent le patronat !

 

Thierry BRET

 

 


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Pour un coup médiatique, c’est une réussite ! Jean-Luc MELENCHON n’y va pas par quatre chemins ! Il passe par-dessus les règles de la nomination du Premier ministre de la République après une Assemblée nationale constituée. Il veut directement un troisième tour d’élection en disant à ses électeurs : « ne soyez pas frustrés de la présidentielle, nous pouvons diriger le pays, si grâce aux législatives, je deviens le locataire de Matignon ! ». Autrement dit, ne vous préoccupez pas des députés que vous allez élire, peu importe le nom, du moment qu’ils signent LFI !

TRIBUNE : Jean-Luc MELENCHON oublie juste une chose : le Premier ministre est nommé par le Président de la République. Emmanuel MACRON peut refuser de désigner le leader charismatique de La France Insoumise si d’aventure, celui-ci avait un nombre de députés majoritaire. Là est l’impasse : un blocage systématique de la vie parlementaire, donc de l’Etat.

Or, les marges de manœuvre sont restreintes. Le président peut nommer un Premier ministre consensuel (impossible si on croit l’ambition du leader de LFI), dissoudre l’Assemblée nationale, voire démissionner ce qui apparaît improbable. La seule alternative semble être la dissolution. Nous sommes dans une crise de régime cohérente avec une élection qui révèle encore une fois que le premier parti de France est constitué par les abstentionnistes !

Sommes-nous au bord d’un coup d’Etat ? Possible avec une nouvelle donne : trois blocs s’affrontent aujourd’hui. Deux blocs idéologiques, la « Gauche » (LFI, les Verts, les socialistes et les communistes), la droite nationaliste (Marine LE PEN, Eric ZEMMOUR, Nicolas DUPONT-AIGNAN) et les « Macronistes », sans idéologie à défendre mais qui regroupe LREM, Horizons d’Edouard PHILIPPE, François BAYROU et le mouvement Démocrate, ainsi que les transfuges des Républicains et du PS.

 

Qui m’aime, me suive : les intentions claires du leader de LFI…

 

Jean-Luc MELENCHON veut un coup de force contre le pouvoir de MACRON et nous faire entrer directement dans la VIème République : son cheval de bataille depuis une dizaine d’années. Ce nouveau « Napoléon » veut profiter, comme son illustre aïeul des divisions nationales et d’un contexte où les Français s’inquiètent plus du prix du pain et de la farine, de la guerre aux frontières que de la vie politique. Le sentier s’apparente à une autoroute qui s’offre aux audacieux pour profiter de la déliquescence des partis politiques qui ne peuvent assurer leur survie, comme les « Verts » et le PS, qu’en s’associant inconditionnellement à Jean-Luc MELENCHON et ce qu’il représente.

 

 

Pour les Macronistes, c’est  plus flou : ce sont des personnalités controversées qui veulent des portefeuilles pour la plupart et un Edouard PHILIPPE qui n’a pas compris que « l’horizon » est une ligne imaginaire qui s’éloigne chaque fois qu’on s’en approche. A méditer ! La grande inconnue est le peuple de France et sa capacité insurrectionnelle en situation de famine et de danger…

Après l’appel du « 18 juin », l’ami Jean-Luc nous fait le coup de l’appel du « 19 avril » : élisez-moi Premier ministre ! Dans l’histoire de la Vème République, l’usage a voulu qu’une cohabitation se soit installée démocratiquement chaque fois que le Président de la République n’avait pas de majorité parlementaire. Commentant la nécessité d’un rassemblement de la Gauche, François HOLLANDE a rappelé « qu’on ne peut pas se nommer Premier ministre par décret, ça n’existe pas », en visant sans le dire le leader de LFI.

 

Un peuple peu représenté dans sa diversité au Parlement…

 

Jean-Luc MELENCHON veut s’imposer comme le dirigeant de la France sans pour autant nous dire comment il définit la démocratie. Si on regarde l’histoire, les Marxistes Léninistes et autres Staliniens sont tout de même plus proches du totalitarisme que de la sagesse de GANDHI. N’oublions jamais que le communisme a fait plus de morts que le nazisme. Hors de question, toutefois, de comparer MELENCHON à ces sombres dictateurs. Mais, le risque de voir un leader, que l’on peut qualifier d’extrême gauche, prendre les rênes de l’exécutif, laisse songeur lorsque l’on sait que notre régime présidentiel donne quasiment les pleins pouvoirs au président et à son assemblée. On peut aussi craindre une pluie de « 49-3» !

Bref, Monsieur MELENCHON assure l’événement en réclamant un poste de Premier ministre en dehors des voies traditionnelles. Il oublie tout de même que Marine LE PEN a été au second tour des élections et qu’elle totalise bien plus de voix que lui. Les huit députés du Rassemblement national et les 17 de La France Insoumise posent tout de même le problème de la vie démocratique d’un pays où le peuple est finalement peu représenté dans sa diversité.

Pour les nostalgiques des révoltes et révolutions, n’oublions pas la constitution de 1793, qui précise dans son article « 35 » : « Quand le gouvernement viole les droits du peuple, l'insurrection est, pour le peuple et pour chaque portion du peuple, le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs. ».

Cette belle constitution ne vécut pour ainsi dire jamais à cause du coup de force du 18 Brumaire…

 

Jean-Paul ALLOU

 

 

 


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Certains de ses contradicteurs le disaient non partant. D’autres de ses fidèles pensaient, bien au contraire, qu’il allait y retourner. Ne serait-ce que pour poursuivre ce qu’il avait déjà entamé durant ce dernier mandat. Mais, tous peuvent s’accorder que le député de la deuxième circonscription de l’Yonne n’est pas homme à lâcher du lest sur le terrain. A 67 ans, l’ancien sénateur et ténor du Conseil départemental sera bel et bien dans les starting-blocks les 12 et 19 juin, investi par le Président de la République…

 

AVALLON : La liste des heureux nominés était attendue avec beaucoup d’impatience. Pas de celle de Cannes qui fait son cinéma, mais bien celle en provenance de la confédération « Ensemble », une mosaïque regroupant La République en Marche (LREM) – devenue entre-temps « Renaissance », avec son clin d’œil à l’illustre Phénix mais aussi aux dernières joutes européennes de 2019 -, l’inamovible MoDem et Horizons, nouveau venu dans le paysage politique hexagonal, un parti porté sur les fonts baptismaux depuis l’automne par l’ancien Premier Ministre, Edouard PHILIPPE.

 

Une liste de prétendants au Palais Bourbon validée par Emmanuel MACRON…

 

Et parmi les 187 premiers prétendants à l’Assemblée nationale, quelques patronymes concernaient la Bourgogne. Dont trois pour le département de l’Yonne : Michèle CROUZET, sur le Sénonais (députée sortante), Victor ALBRECHT – la surprise du chef ! – sur l’Auxerrois/Puisaye et André VILLIERS, sur l’Avallonnais/Tonnerrois. Lui aussi, député sortant. Des investitures qui selon les dires auraient été directement entérinées par le locataire de l’Elysée en personne !

A 67 ans, André VILLIERS se lance donc pour un nouveau tour de piste électoral. Tel qu’il les aime, lui, l’homme de communication et des relations publiques qui n’est pas un adepte de la langue de bois et adore se frotter à la réalité du terrain. Sauf que dans le cas présent, l’ancien sénateur et président du Conseil départemental de l’Yonne ne partira pas sous l’étendard UDI. Exit la bannière de l’Union des Démocrates et Indépendants ! Une formation que l’agriculteur de Pierre-Perthuis avait pourtant intégrée en 2009, avant d’en prendre la présidence départementale en décembre de l’année suivante.

 

 

 

Un député de l’Yonne parfaitement « Macron compatible »…

 

Absent du comité de soutien icaunais à la candidature de Valérie PECRESSE (LR) (et pour cause !) lors des récentes présidentielles, André VILLIERS a décidé de se rapprocher de la nouvelle formation dont Edouard PHILIPPE est le chef de file et d’arborer les couleurs « Horizons » en juin prochain.

Rien d’étonnant à cela, puisque à maintes occasions, l’élu de l’Yonne avait réagi positivement à la politique menée par le Président de la République au cours de cette mandature. Notamment sur la réforme des retraites.

A l’automne, André VILLIERS avait publié à l’intention de ses électeurs un opuscule récapitulatif de ses actions, des propositions de lois où il était cosignataire et de centaines d’amendements de seize pages. Soit quatre années de travail à la députation afin d’en dresser un bilan avant cette nouvelle joute électorale qui l’attend. La décision de se lancer dans ce nouveau défi, se succéder à lui-même, a été entérinée par l’intéressé en février dernier.

Dès l’annonce de son investiture connue publiquement, ses aficionados ont déjà réagi sur la toile en le félicitant. Dont l’un de ses plus fidèles amis et alliés parmi le sérail politique départemental : Patrick GENDRAUD, actuel président du Département ! Ils ont été les premiers des élus à s’être investis sur le dossier des réfugiés ukrainiens dans l’Yonne.

 

Thierry BRET

 

 

 


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