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La Cour des comptes dresse un bilan positif de ce dispositif mis en place par l'Etat. Il a permis de soutenir l'offre de crédit par les banques et d'éviter ainsi des faillites massives. « A quelques exceptions près, les entreprises ont commencé comme prévu à rembourser », confirme-t-on à Bercy, où est piloté le comité de sortie de crise créé mi-2021. Selon la Banque de France, sur les 700 000 entreprises ayant souscrit un PGE pour plus de 148 milliards d'euros au total, le taux de défaut pourrait atteindre à peine 3 %. Une vision trop optimiste des choses ?

 

TRIBUNE : Parmi les secteurs qui ont le plus sollicité ce dispositif pendant la crise : des entreprises relevant de l'hôtellerie-restauration (plus de 50 %), des entreprises de services (40 %) et des commerces (35 %). Retenons encore que 90 % des entreprises bénéficiaires sont des TPE (Très Petites Entreprises).

Néanmoins, si ces statistiques et ces appréciations sont plutôt rassurantes, elles ne doivent pas cacher les difficultés réelles de certaines entreprises. Dans l'hôtellerie-restauration, par exemple, où beaucoup d'entreprises ont souscrit des PGE, une entreprise sur quatre affirmait fin juin ne pas être en capacité d'honorer ses remboursements, dans un contexte où l'inflation freine les dépenses des consommateurs. La situation est aussi tendue dans le tourisme où  beaucoup d'entreprises, frappées de plein fouet par la pandémie, ont demandé le maximum autorisé de PGE (25 % du chiffre d'affaires). Le rembourser sur quatre ans devient impossible pour certains. En outre, la dégradation économique aggrave la situation. Si les contentieux s’élèvent à 3 % en montant, ils représentent 19 % des bénéficiaires.

 

Que faire quand on ne peut pas rembourser son PGE ?

 

Pour les petites entreprises en croissance, le remboursement du PGE est un véritable frein à la reprise. Un prêt de 200 000 euros génère des mensualités de 4 200 euros remboursables depuis mai 2022. L’argent est pris sur la trésorerie et vulnérabilise les entreprises qui, de plus, ne peuvent plus investir.

En cas de difficulté pour rembourser et si la banque refuse tout aménagement : il faut solliciter immédiatement le médiateur du crédit ou le conciliateur désigné par le tribunal de commerce.

Il est prévu de prolonger la durée de remboursement de quatre ans : on passe de six ans à dix ans pour l’amortissement du PGE. Il est également possible de décaler à nouveau le remboursement des premières échéances, de six mois.  

 

 

Lorsque tout a échoué, la saisine d’un conciliateur est nécessaire et avantageuse : elle est confidentielle, rapide et efficace car souvent couronnée de succès par l’homologation d’un accord validé par le tribunal.

Le banquier et l’expert-comptable peuvent être de bons conseils. Pour les situations de faillites, de cessation de paiement, de difficultés personnelles, juridiques, financières… il s’avère nécessaire de prendre un avocat.

 

 

2022, une année difficile pour les entreprises…

 

On enregistre près de 10 000 faillites au cours du deuxième trimestre, soit 50 % d’augmentation par rapport à 2021. Certains spécialistes annoncent 40 000 faillites pour 2021 : bien plus qu’en 2020 (28 400), mais moins qu’en 2019 (52 000). Rappelons que 2008 dépassait les 64 000 faillites !

Récession possible (même si Bercy soutient mordicus que ça n’arrivera pas en France…), inflation galopante, approvisionnements de plus en plus aléatoires, la crise sanitaire et la guerre en Ukraine montrent deux choses : la Chine a pris conscience de la dépendance du monde à sa production industrielle, et la Russie crée un nouvel ordre monétaire avec l’or et le rouble !

Les plus grosses difficultés sont à venir. Pour les solutions, « l’auberge espagnole » sera ouverte : on ne trouvera que ce que l’on apportera !

 

Jean-Paul ALLOU

 

 


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Serait-ce un nouveau déplacement à risques pour les protégés de Jean-Marc FURLAN avec cette immersion en terre bretonne ? Disputée ce dimanche à partir de 17 heures, la rencontre opposant l’AJ Auxerre au Stade Rennais sent le piège à plein nez, après la semaine des « olympiques » qui s’est soldée par deux défaites de rang, face à Lyon (1-2) et Marseille (0-2). Le numéro sept de la ligne d’attaque, Gauthier HEIN, est de cet avis. Forcément, ce sera compliqué…

 

AUXERRE : « On va essayer de réaliser le meilleur match possible ! ». Soumis à l’exercice oratoire de la traditionnelle conférence de presse, le joueur offensif de l’AJ Auxerre, à la chevelure bleutée et à la volonté farouche devant les cages adverses, sait pertinemment que la rencontre face au Stade Rennais disputée dans l’antre des Bretons ce dimanche 11 septembre pour le compte de la septième journée de Ligue 1 est piégeuse à plus d’un titre.

Surtout, comme devait le reconnaître un peu plus tard le coach Jean-Marc FURLAN, que « Rennes reste une équipe très compliquée à pratiquer, surtout à domicile… ». Une formation qui était l’une des plus véloces et efficaces du championnat lors de l’édition précédente.

Mais, de tout cela, Gauthier HEIN, même s’il respecte l’adversaire, n’en a cure. « On effectue ce déplacement avec de réelles intentions de jeu, pour montrer ce que l’on vaut ». Et il a bien raison.

Car après deux rendez-vous costauds, la semaine dernière, les confrontations contre l’Olympique Lyonnais et quelques jours plus tard à l’Abbé Deschamps face à l’Olympique de Marseille, Auxerre se coltine, hasard du calendrier de ce début de saison, son troisième cador successif avec lequel il faudra se montrer particulièrement vigilant. Voire réaliste.

 

« On progresse collectivement, cela va finir par payer au niveau offensif… »

 

Pourtant, au vu des deux dernières prestations, les Auxerrois n’ont pas à rougir de leurs défaites. Il n’aura pas fallu grand-chose à Lyon. Quant à la physionomie de la rencontre face à Marseille, elle aurait pu être toute autre si la réussite avait été au rendez-vous sur deux belles actions favorables aux attaquants bourguignons.

Toutefois, le natif de Thionville est bien conscient du temps d’adaptation qu’il est nécessaire d’avoir pour rivaliser avec les meilleurs de Ligue 1. Un championnat où le niveau d’exigence est supérieur.

 

 

« On essaie de faire le boulot, ajoute le garçon, afin de trouver le bon équilibre. C’est vrai, il y a quelques petits ajustements à avoir entre nous pour que cela fonctionne… ».

Confiant, Gauthier HEIN compte également sur le collectif pour mieux briller individuellement. « On progresse ensemble, match après match, insiste-t-il, donc forcément, cela va finir pas payer au niveau offensif ».

Créer des liens entre les nouveaux partenaires de club – huit joueurs découvrent pour la première fois la culture du football à la sauce auxerroise avec cette nouvelle saison – et intégrer les protocoles d’actions défendus par Jean-Marc FURLAN constituent la ligne directrice de l’équipe qui espère obtenir très vite des résultats positifs au compteur.

 

Un contrat qui a été prorogé jusqu’en 2025…

 

S’il reconnaît à juste titre que le niveau technique de la Ligue 1 est supérieur à la division inférieure qu’il a côtoyée durant sept saisons, l’attaquant de l’AJA estime qu’il est nécessaire d’être plus malin par rapport à l’adversaire. Une malice sur laquelle il compte s’appuyer dès ce dimanche en fin d’après-midi pour faire la nique aux défenseurs bretons !

Ayant prolongé son contrat jusqu’en 2025, Gauthier HEIN qui, en l’espace de deux saisons à jouer 75 rencontres pour un bilan des plus honorables avec seize réalisations concrétisées au fond des filets et une dizaine de passes décisives, s’est même fait tatouer une croix de Malte, preuve de son attachement à son nouveau club de cœur.

 

Thierry BRET

 

 


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Pour les épargnants de l’Hexagone, la pierre demeure une incontestable valeur refuge. Et plus que jamais, en période de crise économique ! Le dispositif PINEL reste donc un très bon investissement pour réduire son imposition et se constituer une future retraite. De plus en plus de personnes se lancent aujourd’hui dans une acquisition en « loi Pinel ». Toutefois, attention, les évolutions de cette mesure sont dans les tuyaux dès le 01er janvier 2023…

 

TRIBUNE : Les montages juridico-financiers en matière d’investissement immobilier permettent de se constituer un patrimoine, préparer sa retraite, obtenir des compléments de ressources, générer des avantages fiscaux, faciliter la transmission du patrimoine…

Mais attention, si comme un bon nombre d’investisseurs vous envisagez de profiter de ce système phare, mieux vaut passer à l’acte avant la fin de l’année.

Ce qui est encore possible en 2022.

La loi PINEL est destinée aux propriétaires qui s’engagent à mettre leur logement (neuf, en l’état futur d’achèvement, réhabilité ou rénové) en location durant six ans minimum. Le loyer doit être inférieur au prix du marché. Jusqu’à fin 2022, investir via ce dispositif permet de bénéficier d’une réduction de l’impôt sur le revenu : 12 % pour six ans de location, 18 % pour neuf ans et 21 % pour douze ans. Le tout est calculé par rapport au prix d’achat du bien et des travaux, s’il y en a. L’investissement immobilier doit être de 300 000 euros au maximum, par an et par foyer fiscal ; le prix du mètre carré de 5 500 euros maximum. Ainsi, la défiscalisation peut aller jusqu’à 63 000 euros pour 300 000 euros d’investissement.

 

 

2023 : la défiscalisation sera moins avantageuse…

 

A compter du 01er janvier 2023, l’actuel dispositif PINEL sera remplacé par un « Pinel à taux réduit ». Pour le même investissement que celui réalisé en 2022, la réduction d’impôts sera moins intéressante : 10,5 % au lieu de 12 %, 15 % au lieu de 18 % et 17,5 % au lieu de 21 %. Attention, le taux de défiscalisation dépendra également de certains critères de confort ainsi que du DPE (Diagnostic de Performance Energétique).

A partir de 2023, seuls les biens qui atteindront au moins la classe « B » du DPE, pourrons prétendre au nouveau dispositif. De plus, une surface habitable minimum sera à respecter selon la typologie du logement (28 m2 pour un T1, 45 m2 pour un T2…). Un extérieur privatif sera obligatoire : 3 m2 minimum pour un T1. Les T3, T4 et T5 devront bénéficier d’une double exposition. Ajoutons qu’il y a sûrement de la braderie dans l’air pour les logements « PINEL » encore en stock…

 

 

L’Etat veut favoriser la construction de logements neufs…

 

Les nouvelles contraintes imposées au bénéfice de la réduction PINEL ne peuvent orienter l’investisseur que vers une construction adaptée à la loi. Certains promoteurs réalisent ainsi des logements neufs parfaitement adaptés aux critères de la loi Pinel. Il est clair que les nouveaux critères permettent de tendre vers des logements plus confortables, moins énergivores et plus respectueux de l’environnement. Cependant, on peut être certain qu’ils impacteront également les prix d’achat. Une raison de plus pour profiter du dispositif avant le 31 décembre 2022 !

Les notaires et les agents immobiliers seront à même de conseiller utilement les investisseurs. Enfin, dernier conseil aux investisseurs immobiliers : il est judicieux de maintenir un bon niveau de liquidités en proportion du patrimoine immobilier. Ne pas oublier la carte du jeu de Monopoly : « Faites des travaux dans vos maisons… » !

 

Jean-Paul ALLOU

 


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La honte. Et surtout la folie nauséabonde de ces hordes de voyous qui se retranchent derrière leur pseudo statut de supporters pour mieux casser tout ce qui se présente devant eux. Le pauvre gérant du bar restaurant L’ESPACIO PISCINA, situé à proximité du stade de l’Abbé Deschamps Dimitri QUILLIN, en a fait les frais samedi avant le match opposant l’AJA à Marseille. La terrasse de son établissement n’aura pas résisté longtemps aux assauts de ces fanatiques qui ne respectent plus rien. Ni dans les stades, ni à leurs abords. Lamentable…

 

AUXERRE: C’est donc cela la vision du football en France ? Des bandes rivales de supporters, au comble de l’abrutissement borné, qui viennent en découdre même dans les estaminets d’une ville ? Se souciant peu des consommateurs et clients dont certains étaient accompagnés de leur progéniture et qui ont eu la peur de leur existence, aux dires des nombreux témoignages !

La rixe devant opposée les supporters auxerrois, venant défendre le site, à ceux de Marseille avant le match de Ligue 1 samedi après-midi a dégénéré au point de voir le théâtre de ces opérations, le sympathique bar restaurant proche de l’Yonne, l’ESPACIO PISCINA, saccagé au terme de cette « rencontre » qui n’avait rien d’amicale. Ni de sportive dans les esprits, sauf au niveau des coups qui pleuvaient et des invectives qui ont été échangés entre les protagonistes.

On savait que la venue des supporters surchauffés de l’OM sentait le souffre. Mais, de cela, on se contentait de l’observer dans les tribunes du stade avant le coup d’envoi. Et même après avec la victoire des Phocéens. De bonne guerre que de se chambrer entre « amis » passionnés des mêmes valeurs footballistiques avec les noms d’oiseaux qui vont bien et les fumigènes sortis de nulle part (pauvre France !).

Mais, là, assister au saccage de la terrasse d’un restaurant proche du stade tout en menaçant sa clientèle, à vrai dire, nous autres Auxerrois, on n’y était plus habitué depuis les grandes années épiques où l’AJA caracolait en première division !

 

 

Serait-ce le cadeau de bienvenue en Ligue 1 ?! Un présent que le patron de l’ESPACIO PISCINA se serait bien passé manifestement même si la direction du club local regrette de tels débordements contraires à l’esprit festif !

Des agissements dont se font fait écho les gorges chaudes de la presse nationale qui n’ont pas hésité à évoquer le nom d’Auxerre à toutes les sauces médiatiques durant l’après-midi et la soirée de ce jour décidément pas comme les autres. Auxerre, si on en parle au plan national, c’est qu’il y a eu un problème ou un fait divers, c’est bien connu !

De son côté, l’élue municipale d’opposition Farah ZIANI a réagi sur les réseaux sociaux en déplorant la teneur de ces graves incidents. Elle s’est fendue d’un communiqué de presse où elle précise avoir alerté en amont la préfecture de l’Yonne sur le risque de débordements potentiels qui auraient pu survenir avec une telle affiche sportive.

Prophète en son pays ou totalement visionnaire ? Ses craintes se sont donc avérées exactes sans que ses messages alarmistes y aient changé quoi que ce soit. Seul, le pauvre restaurateur auxerrois en subit aujourd’hui les lourdes conséquences, après un tel préjudice, y compris économique…

 

Thierry BRET

 


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Si les marchés boursiers devraient encore tanguer cette année, cela ne signifie pas pour autant qu’il faut arrêter d’investir. L’important est de conserver une vision de long terme et surtout de ne pas paniquer, nous l’avions évoqué dans le premier volet de cette analyse. Pour se protéger, les investisseurs peuvent recourir aussi à certaines techniques, comme le « Dollar Cost Averaging » (DCA). Elle consiste à investir sur un même actif (action, matière première, or, Bitcoin, etc.) un montant fixe à intervalles réguliers. Explications…

 

TRIBUNE : Ces intervalles peuvent être hebdomadaires, mensuels, trimestriels ou annuels. Le résultat est simple. La technique du « DCA » permet de réaliser des gains tout en lissant les risques sur la durée.

Dans les périodes baissières, en effet, seule une partie de l’investissement est affectée par la baisse des marchés, à savoir les derniers achats. À moins d’un krach boursier, le reste est protégé de la volatilité. Cela ne signifie pas, bien sûr, que l’investissement sera nécessairement rentable, mais les risques seront ainsi plus limités. 

Par ailleurs, les investisseurs peuvent, s’ils souhaitent profiter de la croissance des marchés sur la durée, miser sur des tendances émergentes et prometteuses comme la domotique ou la « cyber sécurité ».

Personne ne peut prédire l’avenir en matière boursière, c’est une évidence. DE même, personne ne peut annoncer que nous serons exonérés de krachs futurs. Pour celles et ceux qui ne sont pas prêts à prendre trop de risques, pour ceux qui veulent un placement sûr et disponible à tout moment il reste… le traditionnel Livret A !

 

 

« Le temps des cerises » où le client encaissait ses dividendes…

 

La rentrée sera sûrement chaude, compte tenu du climat social et économique. Le temps des petits boursicoteurs est donc révolu. Se mettre à une terrasse et lire son journal boursier en sirotant un café afin d’envisager les futurs arbitrages… : ne rêvons plus !

Les ordres de bourse passent à la nanoseconde ; les grands gestionnaires de l’investissement analysent l’évolution des comportements des investisseurs potentiels et arbitrent en conséquence… La finance comportementale et le BIG DATA (des systèmes capables d’intégrer des milliards de données en quelques secondes) gouvernent aujourd’hui la « planète boursière ».

Que dire de ces temps héroïques où les agents de change échangeaient les ordres de bourse à la criée au Palais Brongniart, en balançant leurs mégots de Havane au centre de la corbeille…

Que dire encore de ces touchantes mamies qui venaient à la banque, gants et voilette, pour encaisser, en espèces, le coupon de dividendes ou d’intérêts d’emprunts d’Etat… Ah j’oubliais : « elle avait des cerises sur son chapeau… » !

Enfin, à méditer pour celles et ceux qui veulent tenter l’aventure : « Règle numéro 1 : ne perdez jamais d’argent. Règle numéro 2 : n’oubliez jamais la règle numéro 1. » Warren BUFFETT, la huitième fortune mondiale par ses investissements en bourse !

 

Jean-Paul ALLOU

 


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