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« Pour être préféré, il faut être repéré ! ». Le slogan de l’organisme certificateur venant de renouveler le double agrément du centre de formation agricole La Brosse, AFNOR, semble s’adapter à merveille au décorum de l’endroit. Proposant des parcours de formation dans les filières de l’équestre, des espaces verts, de l’agriculture et de la viticulture, l’établissement est le seul sur son registre d’activité dans l’Yonne à avoir obtenu ces précieux sésames qualificatifs.

 

VENOY : Le cahier des charges est volumineux. Plus qu’une simple feuille de route, il offre une vision éclairée de ce qu’il est préférable de faire pour respecter les droits et les devoirs envers le public accueilli. Tant au niveau des apprenants. Que du personnel administratif et enseignant. Avec ce maître mot devenu usuel dans le vocabulaire de bon nombre d’entreprises, de collectivités et d’organismes de formation de l’Hexagone : la qualité !

Certifié initialement depuis le mois d’avril 2021 – en pleine crise de la COVID, dit en passant ! -, le centre de formation agricole de l’Yonne, le CFA La Brosse, a vu le renouvellement de ces précieux sésames s’effectuer presque comme une lettre à la poste en juin dernier.

Une ultime formalité qui s’est concrétisée par un audit assuré par une représentante de l’AFNOR, la fameuse et incontournable Association Française de la Normalisation. Un audit qui n’aura pas fait trembler la directrice de la maison, Hélène DECULTOT, confiante quant aux engagements pris par la structure qu’elle dirige depuis le lancement du processus.

 

Une double reconnaissance de la qualité des formations proposées dans l’établissement…

 

Détenteur de deux certifications, « QUALIOPI » et « QUALIFORMAGRI », l’établissement de l’Auxerrois peut s’enorgueillir d’être le seul centre de formation agricole de l’Yonne à être pourvu d’aussi belles cartes de visite. Connues et reconnues de toutes les instances officielles dans l’enseignement.

La première, « QUALIOPI », a pour objectif d’attester la qualité du processus mis en œuvre par les prestataires d’actions concourant au développement des savoirs, qu’il s’agisse d’actions de formation, de bilans de compétences, d’actions permettant aussi de favoriser la mise en œuvre des acquis de l’expérience en les validant.

Cette certification qui émane du ministère du Travail s’applique désormais à tous les centres de formation de l’Hexagone.

La seconde certification dépend du ministère de l’Agriculture. Elle concerne plus spécifiquement l’environnement professionnel.

Toutes deux offrent la garantie au public d’intégrer un organisme de formation, de validation des acquis de l’expérience de qualité ainsi que l’assurance d’un parcours de formation et d’acquisition de compétences personnalisées, adapté aux évolutions du monde du travail.

Bref : c’est la double reconnaissance de la qualité des formations proposées par l’établissement et d’un engagement sans faille dans une démarche d’amélioration continue.

Pour Hélène DECULTOT, cette visite de contrôle de l’AFNOR fut plus que positive, avec le renouvellement de facto des certifications pour une nouvelle période annuelle. Le CFA La Brosse avait su anticiper dès le début de la saison dernière cette obligation, l’inscrivant à son calendrier au printemps 2021 afin d’être certifié avant le terme de l’année civile.

 

 

 

En savoir plus :

Parmi les thèmes importants figurant au cahier des charges de ces certifications, on notera :

La gestion administrative et financière de l’établissement,

Le suivi de la facturation à l’aide de la comptabilité analytique par formation dispensée,

Le paiement des fournisseurs dans les meilleurs délais,

Le développement des circuits courts,

L’amélioration de l’accueil et la diffusion de l’information,

Le temps d’attente téléphonique,

Le volet des ressources humaines avec des formateurs recrutés à partir d’expériences, de diplômes et de compétences,

Le suivi des jeunes apprenants depuis leurs débuts dans l’établissement jusqu’à leur intégration dans la vie professionnelle,

Le déplacement physique en entreprise,

Les entretiens individuels, au nombre de trois durant la saison, des jeunes avec les professeurs principaux,

Appliquer des méthodes pédagogiques à la pointe de l’enseignement avec une stratégie évolutive.

 

Thierry BRET

 


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Comment se fait-il que les bourses remontent de manière fulgurante alors que les perspectives économiques sont si mauvaises ? Les cours de la bourse n’ont en fait que très peu à voir avec la réalité économique d’aujourd’hui. Parce que pour le dire simplement, ils ne sont pas le reflet de la santé économique des  entreprises cotées. Les cours sont le reflet de ce que les investisseurs ou spéculateurs espèrent des profits futurs...

 

TRIBUNE : Et les déterminants principaux de ces espoirs de profits à venir dans le contexte de crise sanitaire sont constitués par les réactions politiques aux évolutions des virus. Ceux qui ont guidé les marchés boursiers ces derniers mois ne sont pas les résultats des entreprises ou leurs perspectives, mais bien les courbes sanitaires, les décisions de reconfinement, de déconfinement, de confinement assoupli ou l’arrivée de vaccins.

La Bourse de Paris tente de faire oublier un début d'année très compliqué, marqué par le conflit ukrainien et les craintes d'une récession avec les actions concertées des banques centrales pour contenir l'inflation. En baisse dans les premiers échanges, le CAC 40 opte pour un rebond sur les plus de 6 300 points en août 2022 et après avoir encaissé l'un des pires semestres de son histoire.

 

L'inflation : épouvantail des marchés…

 

L'inflation hante les esprits des investisseurs, tant ses répercussions sur la santé de l'économie se matérialisent statistiques après statistiques. En juin dernier, les marchés ont pris connaissance de l'inflation dans la zone euro. Elle a atteint un niveau record en juin à 8,6 % sur un an. La guerre en Ukraine et la reprise de la demande post-COVID alimentent la flambée des prix de l'énergie et de l'alimentation. Autre statistique témoignant d'une dégradation du climat économique dans cette même zone : c’est celle de la production manufacturière qui a reculé en mai, et ce pour la première fois depuis le printemps 2020.

Résultat : des valeurs qui s’effondrent tandis que les valeurs pétrolières grimpent en flèche. N’oublions pas la progression de l’or et la reprise du bitcoin… Facteur important : les ordinateurs ont gardé dans leurs mémoires le fait qu’au XXème siècle, l’inflation a toujours mené aux guerres. Dans le cas présent, c’est la guerre qui a conduit à l’inflation. C’est l’inflation encore qui risque de la maintenir et c’est l’inflation toujours qui peut entraîner d’autres guerres sur la planète.

 

Quel impact pour les investisseurs ?

 

En raison de ces incertitudes caractérisées, la fin de l’année 2022 devrait être une année marquée par plus de volatilité sur les marchés boursiers. Pour rappel, la volatilité correspond à l’ampleur des variations (à la hausse comme à la baisse) du cours d’un actif financier. Certains analystes s’attendent ainsi à des oscillations de l’ordre de 10 %. D’où l’importance de surveiller régulièrement les marchés.

Mais pas question pour autant de paniquer à la moindre baisse : en effet, une stratégie d’investissement doit toujours être appréhendée sur le long terme. Un exemple ? En 2017, la valeur des actions APPLE a chuté suite à un fractionnement d’actions de l’entreprise. Certains investisseurs ont paniqué devant cette chute et revendu leurs actions. Or, s’ils avaient attendu que l’orage passe, ils auraient profité, dans les années qui ont suivi, d’une augmentation de 400 % de la valeur desdites actions !

Qu’en est-il du CAC 40 pour 2022 ? 

 

Après avoir affiché une tendance haussière en 2021, le CAC 40 semble patiner quelque peu depuis. Même si en 2022, l’euphorie devrait ainsi être contenue, en raison notamment de l’évolution de la politique menée par les banques centrales. Durant la crise sanitaire, celles-ci ont en effet inondé les marchés de liquidités et maintenu les taux d’intérêt à un niveau très bas. Cela a dopé les cours de la bourse, notamment sur le marché des actions. Mais, la fin annoncée de ces mesures de soutien à l’économie devrait avoir un impact négatif sur l’indice de la Bourse de Paris. 

Par ailleurs, la situation géopolitique actuelle et la persistance de l’inflation alimentent une certaine volatilité sur les marchés. Et tant que l’inflation n’est pas maîtrisée, les valeurs qui composent le CAC 40 risquent de baisser. Les sociétés cotées en Bourse souffrent en effet de la hausse des matières premières. Conséquences : les banques centrales vont raréfier la monnaie, donc l’augmentation des taux sur les crédits accordés, donc moins d’investissements, etc.… c’est un risque systémique qui ressemble à la réaction en chaîne d’une « bombe atomique ». 

Dans la seconde partie de cette tribune à venir sera abordée la manière de se protéger des incertitudes boursières…

 

Jean-Paul ALLOU

 


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Le réchauffement climatique a incontestablement été alimenté par les activités humaines lors du développement industriel du XXème siècle et se perpétue. Mais, l’accroissement des températures n’est plus exclusif de l’émission des gaz à effet de serre produits par l’homme…

 

BILLET : Deux phénomènes physiques indépendants y contribuent dorénavant principalement et risquent de condamner tous nos efforts de réduction dans le futur : la fonte de la banquise et des glaciers ainsi que le dégel du « permafrost ».

Dans le premier cas, la réduction des surfaces glacées et enneigées diminue la réflexion des rayons solaires et conduit à l’élévation des températures de l’atmosphère, surtout des mers et océans.

 

 

Quant au dégel des terres (le « permafrost »), jusqu’alors gelées depuis des siècles, il libère de grosses quantités de méthane. Un gaz dont les effets de serre sont bien supérieurs à celui du Co2.

En conclusions : les conséquences des activités humaines sur le phénomène deviennent vraisemblablement marginales…

 

Michel KOZEL

 


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Bénéficiaire du plan de relance accordé aux structures industrielles lors de la crise sanitaire de la COVID, BAM – traduction littérale pour « Business ALU MASUE » – faisait partie des entreprises biffées par la présidente de la Région Marie-Guite DUFAY à son agenda lors de sa mini-tournée, jeudi dernier, dans l’Yonne. Si la fonderie se porte bien du côté de sa valeur ajoutée et de son gain en compétitivité, c’est le volet énergétique qui aura été l’un des thèmes de discussion. D’autant qu’il y a urgence pour tenter de faire face aux hausses considérables attendues à l’automne…

 

DIJON: Lors de la conférence de presse qu’elle a donnée à l’hôtel de la Région vendredi en fin de matinée, la présidente de l’exécutif de Bourgogne Franche-Comté Marie-Guite DUFAY s’est montrée particulièrement vigilante et inquiète quant à l’envolée inflationniste des coûts de l’énergie, devant impacter durablement les industriels au cours des semaines à venir.

Une situation qui pourrait mettre en péril bon nombre de PME/PMI confrontées à des hausses très significatives imputables au contexte géopolitique actuel. Celles-ci utilisant obligatoirement du gaz et de l’électricité pour alimenter leurs unités de production. Si ce n’est pour s’éclairer et se chauffer.

Faisant une courte digression sur la thématique du jour (la rentrée scolaire dans les lycées où là aussi des coupes sombres doivent s’envisager pour réaliser des économies plus ou moins drastiques), l’élue régionale a évoqué devant les journalistes, à titre d’exemple, les préoccupations existentielles des dirigeants de la fonderie BAM à Joigny.

 

Une forte présence concurrentielle de sociétés américaines et indiennes…

 

Structure, au demeurant de belle envergure et créatrice de valeurs ajoutées, dans laquelle la présidente s’est immergée en compagnie de Nicolas SORET, édile de la ville du Centre Yonne, et de Gilles DEMERSSEMAN, l’un des conseillers régionaux de l’Yonne, ce jeudi.

Précisons que BAM dont le responsable n’est autre que Bruno JANVIER a obtenu à l’instar de vingt-et-une autres industries de Bourgogne Franche-Comté de précieux subsides, soit une enveloppe de 800 000 euros, dans le cadre du plan de relance économique, catégorie fonds de soutien à la modernisation et à la diversification des filières automobile et aéronautique, en 2021.

 

 

Concevant des pièces et de petits composants pour divers secteurs économiques comme l’automobile, l’électroménager, l’aérospatiale, l’agriculture, les poids lourds ou encore l’aéronautique, sans omettre le secteur de l’énergie, BAM est confrontée à une très forte présence concurrentielle sur les différents marchés où elle intervient. Notamment des enseignes qui sont implantées aux Etats-Unis ou en Inde.

Or, ces sociétés extra-européennes ne subissent pas de plein fouet les conséquences funestes de la pénurie d’énergies qui frappe le Vieux continent depuis que la Russie a envahi son voisin ukrainien et a coupé de manière progressive le robinet de l’énergie.

 

Une lettre au ministre de l’Industrie pour étendre le bouclier énergétique…

 

Déductions prévisibles : les factures de gaz (+ 8 %) et d’électricité (+ 11 %) s’envolent pour la PMI et cela ne semble pas être terminé au vu des projections particulièrement pessimistes qui sont annoncées par tous les experts d’ici l’hiver prochain.

Un état de fait très anxiogène à vivre pour les dirigeants de la société qui ont interpellé Marie-Guite DUFAY lors de son séjour à Joigny. Celle-ci, avec un zeste d’ironie destiné à ses détracteurs, en profita pour rappeler aux représentants des médias « qu’elle ne pratiquait pas le tourisme industriel lors de ces immersions dans les entreprises ! ».

Pour preuve de leurs utilités, la présidente de l’exécutif évoqua l’existence d’un bouclier tarifaire voulu par l’Etat devant soutenir et protéger certaines entreprises. Celles les plus exposées à l’augmentation des prix du gaz ainsi que les entreprises les plus fragiles.

Usant de son levier politique, Marie-Guite DUFAY s’est fendue dès le lendemain de sa visite icaunaise d’une lettre adressée au ministère de l’Industrie, suggérant au passage un élargissement de ce bouclier tarifaire protectionniste au bénéfice des entreprises. Notamment, les fonderies, considérées comme des établissements très énergétivores.    

« La Région se doit d’aider la société BAM face à cette problématique énergétique, ajoutera-t-elle en guise de conclusion, si nous le faisons pas, quid de son avenir ? ».

La balle est désormais dans le camp de la ministre Agnès PANNIER-RUNACHER quant à la solution efficace à préconiser !

 

Thierry BRET

 


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Décidément, l’article rédigé par nos confrères de « Libération » (« Sur les routes du Rassemblement National ») publié dans leurs colonnes au cœur de l’été ne cesse de faire des vagues dans le landerneau de l’Yonne. Après la conseillère départementale Irène EULRIET qui s’en est émue via les réseaux sociaux, c’est au tour du principal intéressé, le député bleu marine de la première circonscription, de réagir aux écrits du média national qualifié de partisan et d’objectivement contestable…

 

AUXERRE : Serait-ce un brûlot qui a mis le feu aux poudres, ce fameux article évoquant le choix des électeurs lors des récentes législatives qui a vu le Rassemblement National rafler la mise sur deux des trois circonscriptions dans l’Yonne ? En tout cas, depuis sa publication dans les colonnes du quotidien « Libération », les internautes du cru ne cessent de réagir en multipliant les commentaires et en fustigeant les écrits de nos confrères parisiens.

Des réactions très courroucées qui sont bien naturellement revenues aux oreilles de l’un des acteurs de ce scrutin, le principal intéressé en personne Daniel GRENON qui devait l’emporter sur tous les pronostics inimaginables au soir du 19 juin !

Furieux contre les journalistes de « Libé » et leur travail d’investigation, le parlementaire de l’Yonne a adressé un courrier plutôt virulent au directeur de la rédaction du média national le 17 août.

Une missive façon « règlement de compte à OK Coral » que l’élu a décidé de rendre publique, plus d’une semaine après son envoi, demeurée lettre morte côté réponse.

 

 

Les Poyaudins ? Ni alcooliques, ni consanguins, ni xénophobes…

 

Se disant « indigné » par ce reportage à charge et au mépris des habitants de la circonscription, l’ancien commerçant de Toucy qui réside à Charny-Orée-de-Puisaye depuis un quart de siècle, précise dans sa lettre qu’il n’a jamais constaté aucune des tares avancées par le journal national.

« Je puis affirmer avec légitimé, ajoute de manière épistolaire le représentant du RN que nous ne sommes pas des alcooliques, nous ne sommes pas des zoophiles, nous ne sommes pas des racistes ou des xénophobes, nous ne sommes pas des déséquilibrés affabulateurs, nous ne sommes pas des consanguins, etc. ».

N’en jetez plus, la cour est pleine ! Plus loin, le politique rédige ces mots : « Si ce territoire était aussi infréquentable et lugubre, que feraient parmi nous les nombreux « parisiens » avec leurs résidences secondaires ? » s’interroge-t-il. A croire que tous les habitants de la ruralité seraient des sous-citoyens ?  

En guise de conclusion, Daniel GRENON termine son propos en invitant le quotidien de la PQN à « traiter les problématiques de fond de la ruralité plutôt que de stigmatiser ses habitants ».

Décochant au passage une ultime flèche et ironique sur le positionnement du média qui serait « grassement subventionné par les Français via leurs contributions fiscales » !

Enfin, un brin pédagogue, l’élu de la première circonscription livre ses conseils personnels à la direction de « Libération », pour que ses journalistes pratiquent un « vrai travail » en découvrant la réalité de l’Yonne, avec ses paysages, son patrimoine, sa gastronomie et la chaleur de ses habitants.

Il n’est pas sûr qu’ils daignent revenir de sitôt en Puisaye Forterre, non ?!

     

Thierry BRET

 


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