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C’est incontestablement le « tube » de l’été en France ! Serge REGGIANI s’en était inspiré en 1982, gratifiant ses admirateurs de l’un de ses fameux titres composés pour son album annuel de ce doux mot suave qui fleure bon la sérénité retrouvée, la propreté, l’environnement et le bien-être : « Poubelle » ! Un terme devenu depuis plusieurs semaines le référent de la salubrité bien ordonnée dans les grandes villes qui suffoquent à cause de la canicule et des odeurs pestilentielles comme à Marseille, Paris ou…Auxerre.   

 

BILLET :

 

Lundi

 

L’on connaissait déjà l’accouchement sous X, synonyme d’enfant confié à sa naissance à l’aide sociale à l’enfance pour une éventuelle adoption. Doit-on désormais parler de « décès sous X », si l’on en juge par cet avis d’obsèques paru dans les colonnes de « L’Yonne Républicaine » le 15 juillet dernier… ? Un patronyme pour le moins difficile à prononcer. A moins que le doigt du stagiaire ait fourché sur le clavier !

 

 

Mardi

 

Les horaires d’ouverture des différentes déchetteries de l’agglomération auxerroise ont pris leur tempo estival ! Accessibles seulement le matin jusqu’à 13h15, il n’est pas rare d’y voir se former d’impressionnants « bouchons », comme ici à Auxerre…On peut toujours positiver et s’imaginer être sur l’autoroute, un jour de départ en vacances, classé rouge par Bison Futé !

 

 

Mercredi

 

Qu’on les appelle éboueurs, agents de propreté ou « ripeurs » ne change rien à la chose. Leur métier fait partie des moins prestigieux sur l’échelle sociale et ces travailleurs de l’ombre ne semblent exister et gagner en notoriété que lorsqu’ils sont absents du paysage urbain ! Une timide reconnaissance de leur action avait vu le jour lors du premier confinement. Mais, cela n’aura duré que ce que durent les roses, bien vite oubliée une fois la liberté de circuler retrouvée. Un métier pour le moins pénible et souvent dangereux, dans un univers malodorant, exercé en toutes saisons, sous la pire canicule comme sous les frimas les plus rigoureux… Les poubelles s’entassant depuis une dizaine de jours sur les trottoirs auxerrois nous rappellent ce qu’on leur doit. Juste envie en ce nouveau jour de grève de les saluer et leur dire merci !  

 

Jeudi

 

Après la diplomatie du caviar, celle du gaz ! L’Union européenne a annoncé avoir conclu un accord avec l’Azerbaïdjan, avec l’objectif de faire passer ses importations de gaz naturel en provenance de ce pays du Caucase de 8 à 20 milliards de mètres cubes. Un pays que la présidente de la Commission européenne, Ursula von DER LEYEN, juge « fiable et digne de confiance… ». Un riant pays, bien connu pour son respect des droits de l’homme et la totale liberté d’expression accordée à ses opposants ! Décidément, le gaz n’a pas d’odeur…

 

Vendredi

 

L’air serait-il à son tour devenu matière précieuse et rare… ? Nous parvient-t-il d’Ukraine lui aussi… ? Pas moins de deux euros demandés pour vérifier ou faire vérifier la pression des pneus de son véhicule dans ce garage auxerrois, là où il n’y a pas si longtemps la gratuité était de mise ou se soldait par une piécette donnée à l’apprenti. Une histoire qui en tous les cas ne manque pas d’air !

 

 

Samedi

 

Il fait chaud ce 16 juillet à Paris… Comme il faisait chaud ce 16 juillet 1942 il y a tout juste 80 ans, lorsqu’à compter de 04 h du matin, plus de 7 000 policiers et gendarmes sous les ordres du secrétaire général de la police de Vichy, René BOUSQUET, plus de 13 000 juifs parisiens furent appréhendés et rassemblés au Vel d'Hiv, avant d’être déportés vers les camps de la mort. Ils ne furent qu’une centaine à en revenir, mais aucun des 4 115 enfants arrêtés cette nuit-là. Il fallut attendre 53 ans pour qu’à la faveur d’un émouvant et courageux discours du président CHIRAC, soit reconnue en 1995 la pleine et entière responsabilité des seules autorités françaises dans cette rafle. Si quelques gradés ou simples gardiens de la paix surent conserver honneur et dignité en prévenant ou laissant fuir les personnes qu’ils étaient venus appréhender, combien de fonctionnaires zélés ont perdu alors toute part d’humanité ? Aucun ne fut inquiété à la Libération, pour cause de réconciliation nationale. Vivant le reste de leurs jours avec le seul poids de leur conscience…

 

 

Dimanche 

 

Pauvres parisiens ! Leurs poubelles débordent, comme ici, place de la Concorde et pas un maire à l’horizon, ganté de près, pour venir nettoyer les lieux ! Mais que fait Madame HIDALGO… ? Entre deux tournées de ramassage dans les quartiers, Crescent MARAULT, son homologue à la mairie d’Auxerre, saura-t-il trouver un peu de temps pour venir à son secours… ?  

 

Dominique BERNERD

 

 


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Les législatives ont livré leur verdict sorti des urnes mais elles ont aussi permis aux élus de montrer leur véritable visage aux Français. Un exemple ? La NUPES, où son leader Jean-Luc MELENCHON chauffe  les troupes pour annoncer les futures luttes de l’automne. Au passage, durant la campagne, il aura condamné la police tout en demandant à ses ouailles de voter Emmanuel MACRON ! Que penser aussi d’une Sandrine ROUSSEAU qui avait promis à Damien ABAD, alors ministre des Solidarités, de ne pouvoir se faire entendre dans l’hémicycle tant le chahut serait insupportable. Elle avait  juste oublié que la destitution d’un membre du gouvernement ne s’effectue pas en faisant une simple « ola » !

 

TRIBUNE : De nombreux militants de formations politiques en vogue côté popularité refusent la  démocratie. Le patron de la NUPES l’a annoncé à moult reprises : « les luttes se feront dans la rue ! ».

C’est sans doute pour cela qu’il propose de désarmer la police, au cours des futures manifestations. Avec le scandale du Stade de France, on a donc vu naître l’idéologie du mensonge. De nombreux membres du gouvernement refusent aussi la réalité et la vérité : la misère, le chômage, les zones de « non-droit » ou de « non-France »…

La confrontation dans la rue ou à l’Assemblée nationale promet d’être agitée, pour ne pas dire violente.

Le « Convoi de la liberté », mouvement né au Canada, se répand dans d’autres pays du globe, comme en Australie, et risque de débarquer en France d’ici peu.

Le point de départ est liminaire : les libertés aliénées par les obligations vaccinales. Les Français se sont plaints de ce cruel manque de liberté durant la pandémie. Mais, au vu des récents soubresauts de la crise sanitaire, on est toujours dans « l’état d’urgence ».

 

 

Le fléau de la « guerre civile » à venir ou présente selon les cas…

 

La prochaine étape inciterait-elle à « l’état de siège » ? Les frustrations sont grandissantes. La grande inconnue, c’est l’état d’esprit du parti majoritaire : c’est-à-dire les abstentionnistes. Certains pensent que la « guerre civile » est proche alors que d’autres, comme Eric ZEMMOUR et de nombreux partisans du Rassemblement National affirment qu’elle a déjà commencé.

Ajoutons à cela que nos concitoyens se privent de nourriture, et que nous voyons un gouvernement affaibli et désavoué par le peuple : des décisions impossibles ou difficiles à prendre face à toutes les crises que nous  vivons. Les crises économiques et financières, écologiques, militaires face à la guerre en Ukraine, mais aussi celles engendrées par la souveraineté nationale ou l’immigration…

Quand HITLER, MUSSOLINI et HIROHITO déchaînaient les passions de la haine, il existait un GANDHI, homme de paix et de sagesse qui apportait un contrepoids positif à l’Humanité ! Existe-t-il un GANDHI dans notre paysage de désolation, aujourd’hui ?

Bref, si la pizza napolitaine est désormais classée par l’UNESCO, il est urgent de faire enregistrer « la fraternité » au patrimoine mondial de l’humanité !

 

Jean-Paul ALLOU

 


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Rejoindre le cercle vertueux des « Petites Villes de demain » offre aux localités bénéficiaires, comme on pourrait sans douter, son lot de précieux avantages. Tant au niveau des moyens mis en œuvre par l’Etat au service de l’ingénierie que dans le cadre de la redynamisation de l’attractivité commerçante d’une commune. Pourtant, de l’aveu même de Nicolas SORET, édile de Joigny et président de la Communauté de communes du JOVINIEN, il persistait un sérieux « angle mort » dans le dispositif : celui du volet sécuritaire. Aujourd’hui, résolu et contractualisé par une convention d’engagement avec la Gendarmerie et le Parquet…

 

JOIGNY : Fidèle à son franc-parler, Nicolas SORET l’affirme sans ambages : avoir omis le volet sécuritaire du programme initial « Petites Villes de Demain » déployé par l’Etat, était une « erreur » manifeste. Celle-ci vient donc se réparer en toute logique, du moins au vu du prisme local, avec la signature de la convention d’engagement et de sécurité, venant compléter ce dispositif.

Un accord multipartite qui réunit les services de l’Etat, la Gendarmerie nationale, les représentants de la Ville de Joigny et le Parquet. Il aura pour vocation première de renforcer la protection du territoire et des citoyens en mettant en œuvre, selon la formule consacrée, « des moyens adaptés ».

Avant que ces derniers ne soient dévoilés concrètement par les différents signataires, le vice-président de la Région Bourgogne Franche-Comté évoqua l’engagement de la Ville de Joigny à vouloir travailler aux côtés des forces de l’ordre et de l’Etat à l’optimisation de la sécurité de tous les acteurs de la vie sociétale.

 

L’entente parfaite entre tous les acteurs de la sécurité citoyenne…

 

Dans l’absolu, cet accord quadripartite se matérialise par l’installation de nouvelles caméras de vidéosurveillance – cinq appareils supplémentaires devraient être posés d’ici la fin d’année grâce aux subsides financiers issus du Fonds d’intervention et de prévention de la délinquance (FIPD) -, quant à la coordination entre la police municipale et la gendarmerie, elle devrait s’accroître au fil de prochaines semaines, grâce au déport des images collectées par la vidéo-protection municipale vers la gendarmerie. Un procédé de contrôle dont les éléments audiovisuels sont par ailleurs conservés une quinzaine de jours.

 

 

Cette coordination s’articulera aussi au niveau de processus basiques d’identification (le fameux « qui fait quoi ? ») afin que la fluidité règne en maître absolu dans cette relation qui unit la police municipale, la gendarmerie et le parquet.

D’ailleurs, très prolixe sur le sujet, Nicolas SORET ne manquera pas d’insister sur les « bonnes relations » existantes entre toutes ces parties, liées étroitement à la sécurité de ses administrés. Ce qui ne fut pas toujours le cas, manifestement, lorsque par le passé, la ville du Centre Yonne manquait cruellement d’effectifs afin de veiller au grain de la dérive sécuritaire.

 

Des « armes efficaces » pour remettre sur le bon pied les délinquants…

 

Fort heureusement, ce chapitre est désormais clos et se classe dans les méandres du passé. Sur un registre un peu similaire, l’élu de l’Yonne devait souligner un peu plus tard que « les relations que la municipalité entretient avec le Parquet n’avaient jamais été aussi fructueuses ».

Confortant ainsi les propos tenus par l’ancienne Garde des Sceaux Nicole BELLOUBET qui, lors de sa visite à Joigny en mai 2018, avait encouragé les magistrats à parler en direct avec les élus !

Un dégel des relations qui aura permis in fine à Nicolas SORET de mettre en place un Groupement local du traitement de la délinquance (GLTD), une « arme stratégique » que l’élu juge extrêmement efficace dans la lutte contre la délinquance, fédérant la justice et tous les services sociaux de la collectivité.

Grâce à l’emploi de cet instrument de travail, cela aura permis de remettre sur les rails du civisme plusieurs personnes du cru qui prenaient ostensiblement le chemin de la marginalisation.

On notera également, parmi les actions ciblées amenées à se développer à la suite de cette convention, des campagnes de sensibilisation aux dangers d’Internet, la lutte ô combien d’actualité en cette période estivale contre les cambriolages et celle qui l’est tout autant face à l’insécurité sur les routes.

Le préfet de l’Yonne Pascal JAN insista sur l’adaptabilité, la proximité et la réactivité imputables à cette convention devant se décliner entre les quatre parties. Une sécurisation de proximité qui fera appel aux aspects « inventifs » et où il pourrait sans aucun doute « s’expérimenter » des choses…Comme à Tonnerre et à Saint-Florentin, localités également signataires de ce contrat.

 

 

 

En savoir plus :

 

Les signataires de ce contrat d’engagement et de sécurité « Petites Villes de Demain » :

Nicolas SORET, maire de Joigny,

Frédérique COLAS, maire-adjointe de Joigny,

Pascal JAN, préfet de l’Yonne,

Le colonel Christophe PLOURIN, commandant du Groupement de gendarmerie du département,

Le major Julien OURY, commandant de la Brigade territoriale autonome de Joigny,

Hugues de PHILY, procureur de la République, était excusé : il avait précédemment signé la convention…

 

Thierry BRET

 

 


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La prochaine échéance est prévue en 2023. Peu importe que le délai soit encore si éloigné de l’actuel calendrier estival. Entre deux plats qu’il prépare avec minutie pour sustenter une clientèle de plus en plus nombreuse à s’installer sur la terrasse de la fameuse guinguette sise au bord de l’étang, Christian MACARY ne cesse d’y penser. Peaufinant mentalement ses recettes, multiples et variées, afin d’engranger le maximum de points auprès du jury et se hisser ainsi parmi l’élite hexagonale qui se retrouvera lors de la Coupe de France des burgers !

 

DRUYES-LES-BELLES-FONTAINES : La silhouette du tenancier de la Guinguette de la Cour Grenouille va de table en table. Histoire de tâter le pouls d’une clientèle à forte dominante de touristes en goguette et de personnes en quête de villégiature, éprises de petits coins sympas où les arts de la table se respectent selon les sacro-saints principes des règles culinaires à la française.

Ici, la cassolette d’escargots s’apprécie avec gourmandise à l’instar de la poêlée de cuisses du fameux batracien qui a donné son appellation à cet estaminet champêtre et rafraîchissant posé là au bord de l’eau.

Juste en face des sources de la Druyes qui coulent toujours malgré l’âpreté de la température et une sécheresse persistante.  

Mention très bien, en parallèle, aux succulents œufs en meurette qui baignés de leur sauce onctueuse et délicate, offrent un véritable aperçu culinaire de ce chef venu sur le tard dans la profession : Christian MACARY, pur produit du CIFA de l’Yonne avec mention !  

L’expérience réussie d’une semi-sédentarisation …

 

Ce chef dont nous avions découvert avec bonheur l’existence à ses débuts, aux côtés de sa muse et compagne Brigitte MANCINI, évoluant à bord d’un complexe itinérant de belle facture, « L’Authentic Les Saveurs en Mouvement », food-truck de son état ! Déjà dans les recettes concoctées par ce tandem, il y avait de belles surprises prometteuses à se mettre sous la dent.   

Aujourd’hui, et pour cette période estivale lors de cette saison, on retrouve le couple sous d’autres auspices, loin de leur itinérance aventurière habituelle et davantage ancré vers une relative sédentarisation, en prenant les rênes de ladite guinguette de Druyes. Une adresse qui fleure bon les retrouvailles familiales de l’été et que bon nombre d’Auxerrois et de résidents de la Nièvre – quand ce ne sont pas des Franciliens attachés à leurs résidences secondaires – aiment à biffer sur leur agenda. C’est sûr : il est judicieux de réserver avant de s’y attabler !

Cadre bucolique, espace de jeux pour la progéniture ou nos amis les bêtes, présence de couvées de canards qui réclament leur dû sous la forme de miettes de pain à profusion… : bref, l’endroit est idéal pour se détendre tout en dégustant quelques bonnes recettes sorties de derrière les fagots que l’ami Christian prépare savamment avec plaisir. De cela, nous y reviendrons ultérieurement un de ces quatre…

 

 

La promesse de recettes originales et de saveurs novatrices dans ses burgers…

 

Pour l’heure ce qui turlupine intérieurement l’homme au tablier professionnel reconnaissable parmi mille, c’est la future épreuve de la Coupe de France de burgers à laquelle Christian MACARY s’est déjà frotté par deux fois !

Lui qui s’est déjà classé parmi les cent meilleurs spécialistes français dans la préparation de ce plat, pourtant aux antipodes des succulents œufs en meurette qu’il réalise avec succès se dit passionné par cette spécialité américaine. Au point de le proposer à la carte de l’établissement dont il assure la gérance et de pouvoir convaincre les plus réfractaires de ce mets aux joies gustatives retrouvées !

La viande, à la traçabilité française, est savoureuse et tendre ; les ingrédients qui l’accompagnent ne manquent pas d’originalité ni de goût ; le total de tout cela donne  un plat excellent que l’on peut recommander même aux adorateurs des maisons étoilées soucieux parfois d’emprunter aussi des chemins de traverse gastronomiques insolites !

Pas étonnant que le jury de cette Coupe de France des burgers ait un faible pour les produits imaginés par Christian MACARY qui promet déjà monts et merveilles au niveau des saveurs et de la texture lors de sa prochaine participation au printemps 2023.

Evoquez un peu le sujet avec lui, entre deux services : vous ne le regretterez pas car vous recevrez les commentaires enthousiastes d’un passionné et peut-être deviendrez-vous à votre tour un ardent défenseur de ces burgers moulinés à la sauce hexagonale que les adeptes de la gastronomie à la « Escoffier » sont en train de s’accaparer de plus en plus avec certaine volupté ! C’est ça la France de la grande cuisine !

 

Thierry BRET

 

 


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Trois longues années de phase préparatoire. Une éternité, tout de même, quand on a l’âme chevillée au corps pour vivre à fond la passion de cette discipline qui permet de tutoyer les nuages. Pourtant, l’abnégation était au rendez-vous en ce jour de festivité nationale qui n’aurait pas déplu à Jacques TATI ! Car, au-delà de la tentative, celle de battre le record de France en séquence de grande formation, c’est bel et bien à un « Jour de Fête » que nous ont conviés les vingt-quatre parachutistes réunis sur la base de « Paris Jump »…

 

SAINT-FLORENTIN : Sur le papier, et vu de la terre ferme, cela semble si facile. La règle du jeu apparaît d’une aisance extrême. Il s’agit de construire deux figures accueillant vingt-quatre parachutistes en chute libre. Un vol en formation qui s’appréhende toutefois à 4 400 mètres d’altitude, très haut au-dessus de nos têtes. Une paille pour les sportifs chevronnés qui ont décidé de tenter le coup et de s’offrir un nouveau titre de gloire à ajouter à leurs brillants palmarès !

Le projet se nomme « le Challenge 2022 ». Ce n’est ni plus ni moins qu’une tentative de record hexagonal à réaliser dans le ciel du Florentinois, un jour de 14 Juillet.

Plusieurs essais ont eu lieu la veille. En vain. Mais, pas grave : c’était surtout pour se mettre en jambe, façon de parler quand on est suspendu à son parachute le nez dans les nuages, et trouver les bonnes sensations, favorables à la confiance collective. Rappelons que pour être homologuée et validée par les trois juges internationaux, la séparation entre les deux figures doit être totale. Logique, car tout le monde doit avoir lâché la main de son coéquipier avant de construire la seconde image.

 

 

Motiver les quadragénaires de la discipline autour d’un projet…

 

Partis de deux avions, les vingt-quatre champions réussiront donc l’exploit avec pugnacité le 14 juillet. Donnant encore plus de relief et de cocorico à leur tentative ! Précisons que pour mener à bien cet exercice qui sera immortalisé désormais dans le livre des records des parachutistes, les sportifs étaient coachés par Paul (Polo) GRISONI, un cador de la discipline qui possède l’un des plus beaux palmarès tricolore, et Nicolas DAVID. Le tout aura été filmé et photographié par Guy MARCEAU, Olivier JEAN et Pascal HONS.

Programmé depuis 2019, le projet repose sur l’initiative portée par Alain LIMONIER. Le proposant à Paul GRISONI, l’objectif est de préparer un record de France, catégorie « vétéran », qui soit réservé aux adeptes de la discipline de plus de quarante ans. Après moult séances d’entraînements, conçues en soufflerie, à bord d’avions, la motivation est intense entre ces quadras toujours verts, prouvant ainsi que la dynamique au sein des parachutistes passionnés n’atteint pas le nombre des années !

On connaît la suite. Il aura fallu au total trois saisons pour peaufiner chacun des gestes minutieux indispensables à la conception de la double figure, au sol et dans les airs, avant de se lancer avec bonheur dans le grand bain.

La performance est belle. Engendrant de facto les records tellement espérés par ses auteurs, tant vétéran que national, qui sont tombés comme de jolis fruits mûrs et juteux dans l’escarcelle de ces acteurs de l’impossible posée sur l’aérodrome de Saint-Florentin.

 

Thierry BRET

 


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