Découvrez nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
logo-credit-agricole-90x90.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
groupama_small.png
logo-cerfrance-bfc-accueil.png
capeb-logo.png
logo banque populaire bourgogne franche-comté
logo-cm.jpg
logo-edf-site.jpg
ccj-logo-petit-1.jpg
110 Bourgogne
Région Bourgogne France-Comté
Criquet Magazine
Lycée Saint-Joseph de la Salle
mercato de l'emploi yonne bourgogne
Caisse d'épargne Bourgogne Franche-Comté
chambre des métiers et de l'artisanat
Groupe La Poste
Chambre d'Agriculture de l'Yonne

Nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
banque_populaire_bfc-long.png
capeb-logo.png
Lycée Saint-Joseph de la Salle
Caisse d'épagne Bourgogne Franche-Comté
cerfrance bfc
Communauté de Communes du Jovinien
Chambre d'Agriculture de l'Yonne
Criquet magazine
logo-edf-site.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
logo-cm.jpg
groupama_medium.png
logo-credit-agricole-90x90.jpg
région Bourgogne Franche-Comté
20211006_lpg_logo_cmjn-616fec3863034.png
mercato de l'emploi yonne bourgogne
chambre des métiers et de l'artisanat
logo-110-bourgogne-ok.png

Warning: Creating default object from empty value in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/components/com_k2/views/itemlist/view.html.php on line 743

La tentative d’assassinat perpétrée sur la personne de l’écrivain britannique Salman RUSHDIE – la fatwa prise par les dirigeants de l’Iran en 1988 le condamnant à mort n’a jamais été levée depuis – rappelle que l’obscurantisme reste toujours aussi vivace et n’a pas été éradiqué de notre planète. Loin s’en faut dans un contexte géopolitique plus chaotique que jamais. Le maire de Joigny ne s’est donc pas fait prier durant l’Assomption pour réagir sur les réseaux sociaux…

 

JOIGNY : Conformément à ce qu’il avait annoncé sur la toile au cours de ce long week-end de l’Assomption, l’édile de Joigny et président de la Communauté du Jovinien Nicolas SORET a dû vérifier, dès le mardi qui a suivi, si l’ouvrage de Salman RUSHDIE trouvait bonne place parmi les rayonnages des deux bibliothèques de la ville.

Un ouvrage au nom très évocateur, « Les Versets sataniques », qui aura valu à son auteur de connaître la gloire, certes, mais surtout de vivre sous protection policière depuis trois décennies. Depuis la publication d’une fatwa, émanant des hauts dignitaires du pouvoir iranien en 1988.

Or, la récente tentative d’assassinat contre lui survenue lors d’une conférence littéraire donnée à New York ravive les plaies de celles et ceux qui croient bec et ongles aux valeurs de la liberté d’expression et luttent contre les relents nauséabonds de l’obscurantisme. Un obscurantisme qui reprend sérieusement du poil de la bête en cette année 2022 avec moult dérives totalitaires des autocraties…

 

 

L’un des fervents défenseurs de cette liberté de pensée, y compris par voie de presse, n’est autre que le vice-président de la Région Bourgogne Franche-Comté Nicolas SORET. Il s’est ému de ce fait divers tragique qui rappelle que l’existence ne tient qu’à un fil sur les réseaux sociaux.

« Que l’œuvre de Salman RUSHDIE circule est, à mes yeux, la plus forte des réponses à la lâche agression dont a été victime l’auteur britannique… a écrit l’élu de l’Yonne. Puis de préciser : « Seules les lois de la République sont aptes à délimiter la liberté d’expression ».

Un Nicolas SORET déterminé à encourager la liberté d’expression et qui demeure « Charlie », hier, aujourd’hui et demain…

 

Thierry BRET

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Les écologistes préconisent de réaliser des économies, notamment par l'isolation des bâtiments. Certes, c'est indispensable. Mais, cela ne réglera pas le problème global de notre société. Nous aurons d'évidence besoin de plus d'électricité et de davantage d’hydrocarbures dans le futur. Notamment pour alimenter les filières industrielles de la chimie, des engrais, des médicaments et des plastiques…et créer des emplois.

 

BILLET : Avec la guerre en Ukraine, on court partout pour rechercher de nouvelles sources d'approvisionnement en gaz. En France, nous possédons des ressources conséquentes de gaz de schiste qu'on ne veut pas mettre en exploitation pour de seules raisons idéologiques.

Il est exact que les premiers forages et fracturations hydrauliques réalisés aux Etats-Unis ont été conduits sans le moindre respect de l'environnement, notamment en libérant dans la nature, et sans aucun traitement préalable, tous les effluents.

Depuis, ces effets négatifs ont été corrigés. Que constate-t-on ? Il n'y a pas eu de tremblements de terre ! Les Etats-Unis sont devenus autonomes en énergie, grâce à cette ressource. Nous pourrions peut-être reconsidérer notre position à l’avenir...

 

 

Ne pas sombrer dans les travers trop idéologiques…

 

De manière générale, tous ces sujets, très techniques, devraient faire l'objet de réflexions pilotées par des scientifiques avec des préconisations qui seraient soumises aux politiques. Nous évoquons l’existence de commissions, comme la Convention citoyenne sur le dérèglement climatique. Cette dernière était composée de membres qui ne connaissaient pas réellement les sujets. Cela ne peut conduire, même avec beaucoup de bonne volonté de la part des membres, qu'à des propos idéologiques.

Réflexions similaires à propos des référendums d'initiative populaire. Ne recommençons pas les bêtises, consécutives aux élucubrations du « sortir du nucléaire » qui ont mis à mal toute notre capacité de production et de recherche de cette filière. Celle-ci, au vu du contexte international et de la crise énergétique qui se profile à brève échéance, est considérée aujourd'hui, à juste titre, comme indispensable. Il est donc grand temps de se poser les bonnes questions…

 

Michel KOZEL

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Le dirigeant de la société familiale éponyme, Pascal CHAROT, a déjà biffé sur son agenda d’entrepreneur pugnace les dates de ce rendez-vous phare du génie climatique. Espérant s’y distinguer en y glanant l’un des « Awards » de l’innovation, prétexte naturel à la participation du manufacturier de l’Yonne, l’un des spécialistes hexagonaux dans la conception de ballons d’eau chaude sanitaire. Mais pas que…

 

SENS : Quatre jours pour présenter les nouveautés inscrites au catalogue 2023 et démontrer une fois encore que la recherche et le développement font partie intégrantes des gênes de cette entreprise sénonaise, une « vieille dame », aujourd’hui âgée de 90 ans, qui débute la nouvelle saison en pleine forme côté créativité !

Porte de Versailles, en périphérie de la capitale, CHAROT ne manquera pas son rendez-vous automnal avec les professionnels du génie climatique de France et de Navarre, soucieux de retrouver la dynamique et le succès de la précédente édition, datant déjà de 2019. Cela se déroulera du 03 au 06 octobre. Avec comme objectif principal de s’illustrer durant les « Awards » de l’innovation et d’y récolter les fruits d’une stratégie rondement menée depuis maintenant neuf décennies.

 

L’un des maillons forts de la PME : son service « R&D »…

 

Employant plus de 150 collaborateurs, la PME de Sens fait figure de référence incontournable dans l’univers du génie climatique, positionnée dans les domaines tertiaire, collectif et industriel. Si la société est connue pour la conception de ses ballons d’eau chaude toutes énergies, elle a su diversifier son panel de produits au fil du temps en proposant aussi la fabrication de réservoirs de stockage ou d’échangeurs.

L’élément idoine lui permettant de répondre aux sollicitations du marché n’est autre que son service « R&D » articulé autour de cinq personnes. Ce dernier innove en permanence tant dans les solutions de lutte contre la légionnelle que dans le cadre de solutions thermiques à préconiser, favorisant ainsi les économies d’énergies.

Reflet puzzle des grandes tendances de la filière, INTERCLIMA se présente donc comme une excellente opportunité pour l’industriel sénonais afin d’y dévoiler ses nouveautés question produits. Des offres, généralement très attendues par les professionnels de la filière du bâtiment, aussi bien pour le tertiaire que pour les logements collectifs, sans omettre la maintenance et l’exploitation des systèmes.

 

 

« Pousser les murs » pour diversifier sa gamme de possibilités technologiques…

 

Précisément, CHAROT aura de quoi alimenter les conversations des nombreux visiteurs attendus lors de cette édition 2022 en y présentant un produit permettant d’optimiser les énergies renouvelables à partir d’une chaudière. Commercialisé depuis peu, le concept séduit déjà les professionnels du secteur climatique, ventilation et froid. Son cœur de cible a également intégré les acteurs du monde agro-alimentaire, concerné en direct par les éoliennes et le photovoltaïque.

Evolutive, cette nouvelle niche démontre la capacité d’adaptation de l’entreprise icaunaise. Une capacité industrielle qui se situe bien au-delà des ballons d’eau chaude et des cuves, résultante d’une politique de diversification sainement mûrie depuis plusieurs années.

Soucieux de « pousser les murs » afin de compléter la palette éclectique de ses possibilités technologiques, Pascal CHAROT, fidèle à sa stratégie managériale, continue à emprunter ce chemin, « sans aucune prise de risques pour l’entreprise ».

Prudent, l’entrepreneur de Sens qui déteste sortir de sa zone de confort professionnelle n’en maîtrise pas moins son outil de production en créant régulièrement des innovations lui permettant d’accroître ses parts de marché. Faisant de sa marque le leader de la conception des gros ballons d’eau chaude en France.

Un esprit, certes pas « Koh Lanta » pour deux sous, mais qui lui réussit fort bien dans ce milieu pourtant hyper concurrentiel du génie climatique.

 

Thierry BRET

 

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Vide de chez vide le rayon des moutardes de l’un des commerces alimentaires emblématiques du cœur de ville d’Auxerre ! Alors que la mayonnaise et le ketchup affichent une « bonne santé » en termes de production, au vu du nombre de pots garnissant les étalages, le fameux condiment dont la Bourgogne a fait l’une de ses spécialités culinaires reconnues à l’international a totalement disparu des supermarchés. Le retour à la normale côté approvisionnement n’est pas prévu avant le printemps 2023 !

 

AUXERRE : Laissez tomber la moutarde, devenue une denrée rare en France à l’instar des autres pays du globe et privilégiez désormais des sauces au yaourt, à base de raifort ou à l’échalote en guise d’accompagnement de vos viandes, de vos plats ou de vos frites lors des repas ! Quant à la vinaigrette, elle se fera de la manière la plus édulcorée qui soit, à l’huile et au vinaigre !

Dans la série estivale des nombreuses pénuries qui s’accumulent à n’en plus finir à la façon des sagas interminables du style NETFLIX en cette année 2022, celle qui s’agrémente autour de la moutarde n’est donc pas prête de se terminer, selon les spécialistes.

 

Le Canada, à la source du problème…

 

La faible production de la graine nécessaire à la composition de ce condiment très goûteux dont la Côte d’Or s’enorgueillit en période normale côté fabrication est à l’origine de cette incroyable situation que personne n’envisageait de vivre un jour. Pas même les gastronomes et autres épicuriens avisés, n’est-ce pas cher Gauthier PAJONA !

Où se situe donc l’origine réelle du problème ? De la Russie qui nous aurait coupés sine die le robinet de ce précieux auxiliaire alimentaire servant à faire avaler une viande un tantinet trop cuite ?

De l’Ukraine qui ne peut plus exporter ces fameuses graines dont on a tant besoin en France (et surtout en Bourgogne centrale pour en concevoir des milliers de pots) parce que ses zones portuaires sur la mer Noire subissent un blocus ? Que nenni !

 

 

Même si les deux frères ennemis de l’instant intègrent la catégorie des producteurs de ces graines, il faut se tourner de l’autre côté de l’Atlantique pour entrevoir avec pertinence la véritable problématique.

Au Canada, précisément, numéro un de l’exportation mondiale de ce produit qu’il cultive de manière intensive. Or, la forte sécheresse (déjà) survenue en 2021 a réduit à néant ou presque (une baisse de plus de 50 %) la production de la fameuse graine.

Conséquence : on connaît la suite face à ces phénomènes économiques qui deviennent récurrents, une production en berne pour alimenter le réseau mondial et des prix qui ont pris la poudre d’escampette de manière vertigineuse vers la hausse !

 

Une production française insuffisante pour répondre aux besoins…

 

C’est très simple : selon les analyses officielles, le prix de la moutarde a grimpé de 9 % en l’espace d’une année. De quoi grever un peu plus le porte-monnaie des consommateurs de l’Hexagone qui n’en sont plus à une augmentation près, au niveau des denrées alimentaires.

La disparition des pots de moutarde des rayonnages risque de perdurer. D’une part, les conditions climatiques de cet été 2022 caniculaire n’ont guère été favorables au développement de la graine tant en France qu’au pays de l’Erable. D’où un impact certain sur les récoltes.

D’autre part, le conflit situé à l’est de l’Europe ne permet pas à la Russie, sous le joug des sanctions économiques occidentales, et à l’Ukraine, prise dans la tenaille de l’Ours russe en mer Noire, de livrer leurs graines sans rencontrer de réelles difficultés.

Il reste toutefois la culture pratiquée dans l’Hexagone qui représente 50 % de la production européenne. Mais, celle-ci est insuffisante pour couvrir les besoins de la consommation française et satisfaire pleinement les amateurs du condiment si savoureux.

Bref, plutôt que la moutarde ne nous titille fortement les narines de sa trop longue absence, il vaut mieux prendre son mal en patience en se rabattant sur la mayonnaise et le ketchup qui eux regorgent sur les étals !

 

 

  

En savoir plus :

 

Les professionnels de la filière moutarde sont regroupés au sein d’une structure, baptisée l’Association Moutarde de Bourgogne qui fédère différents pôles.

L’un est consacré à la recherche pour la sélection des variétés, l’autre concerne la production – il est géré par l’Association des Producteurs de Graines de Moutarde de Bourgogne dont sont membres les producteurs et les organismes stockeurs dont Dijon Céréales, 110 Bourgogne, Soufflet…-,  le troisième volet se rapporte à la transformation au sein duquel on retrouve les industriels moutardiers comme UNILEVER, Reine de Dijon, Fallot, etc.

 

   

Thierry BRET

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Projeter le quatrième opus cinématographique narrant les folles aventures du « dieu du tonnerre » dans la seule ville hexagonale qui porte un nom à l’identique du super héros de la saga des « Marvel » ne relevait nullement du pur hasard. Un joli coup de pub médiatique à porter au crédit de la cité orientale de l’Yonne qui n’en demandait pas tant, ni pour son cinéma-théâtre, ornementé de tous les attributs décoratifs d’usage pour faire de cet évènement culturel l’un des moments phare de l’année…

 

TONNERRE : C’est un retentissant « coup de tonnerre » qui a résonné au-dessus de la localité éponyme, chère à Cédric CLECH, édile de la ville et professionnel de la communication audiovisuelle !

Organiser une avant-première cinématographique nationale dans le charmant complexe du cinéma-théâtre qui jouxte l’hôtel de ville s’est très vite révélé fructueux quant aux retombées médiatiques, en amont et en aval de l’évènement.

La preuve : « Le Figaro », « Le Huffington Post » ou les antennes de « France Télévisions », sans omettre la presse régionale, se sont fait largement écho de cette soirée spéciale, peu ordinaire, qu’auront pu vivre durant près de deux heures 141 cinéphiles « privilégiés », choisis par tirage au sort ou invités par l’organisation, ce jour-là.

Concoctée par la filiale française de la compagnie Walt DISNEY, la manifestation artistique aura permis à ces spectateurs chanceux de découvrir avant tout le monde, y compris le public de Paris qui ne l’aura visionné que six jours plus tard, le quatrième volet de la saga aventureuse de cette divinité « bodybuldée » qui brandit lors de ces combats épiques son fameux marteau, baptisé « Stormbreaker ». Il s’agit évidemment de Thor, l’un des super héros les plus populaires des studios Marvel qui n’en finissent plus de caracoler en tête du box-office planétaire et de glaner des succès phénoménaux en exploitant tous les filons de ces fameux personnages, initialement issus de la bande dessinée américaine.

 

 

Un long-métrage à couper le souffle qui surfe sur le succès…

 

Les alentours proches du cinéma-théâtre, dont la programmation incombe à la comédienne Mariana GIANI – cette dernière était joliment déguisée pour la circonstance - étaient pavoisés d’éléments festifs, panneaux publicitaires, personnages vêtus dans l’esprit très décorum de ce long-métrage et autre tapis rouge, donnant un petit air de « Croisette » à la cité tonnerroise.   

Quatrième épisode de cette saga orchestrée autour de ce mythologique guerrier évoquant le grand nord – ce dieu de la protection, de la force et de la fertilité était vénéré par les peuples germaniques et scandinaves aux temps jadis -, « Love and thunder » (littéralement « amour et tonnerre ») a été réalisé par Taika WAITITI qui en a par ailleurs co-écrit le scénario : on n’est finalement jamais aussi bien servi que par soi-même !

Du côté de l’intrigue, précisons que ce film à effets spéciaux spectaculaires narre les aventures cosmiques et dangereuses du héros principal qui affublé de son emblématique marteau, et que rien n’altère ni n’arrête, part affronter un tueur galactique répondant au doux nom de Gorr, surnommé le « Boucher des dieux » !

Tout un programme à couper le souffle, en vérité, qui nous éloigne des scénarii imaginés par  Woody ALLEN, Claude LELOUCH ou Jean-Luc GODARD, pour les puristes du septième art !

 

 

Une petite demi-heure avant le « Grand Rex » à Paris…

 

Nonobstant, ce « coup de foudre », non pas à « Nothing Hill » mais sur la ville qui accueille la fosse Dionne, a suscité que du bonheur dans l’existence de la charmante Mariana GIANI, programmatrice du cinéma-théâtre, placé sous le feu nourri des projecteurs de la France entière ou presque.

« Ce projet à peine croyable et magnifique est le fruit d’un partenariat avec l’un des plus gros distributeurs de France, explique-t-elle, d’ordinaire, nous touchons ces films trois à quatre semaines après leur sortie nationale. Là, nous l’avons obtenu six jours avant les autres salles de l’Hexagone et même une demi-heure avant la mythique salle du « Grand Rex » à Paris ! ».

La jeune femme, habillée en Valkyrie – l’une des héroïnes de ce dernier épisode présenté à l’affiche depuis le 20 juillet aux côtés des autres succès de l’été – n’en revient toujours pas de cette inoubliable expérience vécue grâce à la complicité de la maison Disney.

Un seul regret, toutefois pour elle, que les 5 000 habitants de Tonnerre n’aient pu assister tous à cette séance exceptionnelle et valorisante pour la promotion culturelle de la ville.

Mais, par chance, ils auront toujours la faculté de pouvoir visionner ce film américain à fort potentiel aux heures chaudes de la journée ou en soirée, en se rendant entre amis ou en famille dans leur cinéma de prédilection. Du rêve et de la détente sur grand écran avec le mythe de « Si j’avais un marteau » !

 

Thierry BRET

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Articles

Bannière droite accueil