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Elle a pris un réel plaisir à découvrir un évènementiel qu’elle ne connaissait pas encore, la nouvelle secrétaire générale de la préfecture de l’Yonne Pauline GIRARDOT. Et pour cause : ce rendez-vous monté de toute pièce au service des collectivités territoriales n’avait plus donné signe de vie depuis bientôt…quatre ans, crise sanitaire oblige ! La porte-parole du préfet Pascal JAN – ce dernier excusé rencontrait à Dijon le nouveau préfet de Région Franck ROBINE – n’aura pas manqué de saluer le travail exemplaire réalisé par les collectivités durant cette période si complexe…

 

AUXERRE : Invitée à la tribune officielle afin de clore la cérémonie protocolaire de l’inauguration de la 15ème  édition de « Cité 89 », la représentante de la préfecture de l’Yonne, Pauline GIRARDOT, profita de l’aéropage de personnalités de la vie institutionnelle, politique et économique locale se tenant face à elle pour rappeler la « nécessaire mobilisation commune de toutes les énergies, invitant chacun à dépasser les egos pour travailler ensemble au devenir du territoire de l’Yonne ».

Un message fort que la sous-préfète d’Auxerre délivra dès le début de son intervention, se référant aux notes qu’elle avait placées sur le pupitre de l’estrade. Etat et collectivités locales doivent donc œuvrer dans la même direction, c’est-à-dire celle de l’intérêt général.

Un Etat déjà très présent sur le terrain, se donnant pour mission d’aider et de soutenir les élus dans leur mandat. Naturellement, en raccord synchrone avec l’actualité, Pauline GIRARDOT ne pouvait occulter l’un des items essentiels qui préoccupe à l’heure actuelle les représentants des collectivités icaunaises : la hausse des prix de l’énergie.

Avant de s’appesantir davantage sur le rôle de l’Etat qui selon sa propre vision, possède un rôle de facilitateur, d’accompagnateur et de catalyseur des projets des collectivités territoriales. Un organisme préfectoral qui est, par ailleurs, dans l’écoute desdites collectivités.

 

La transition écologique, cheval de bataille de la préfecture dans l’Yonne…

   

« Le préfet Pascal JAN nous a demandé – les sous-préfets – de venir à votre rencontre ainsi qu’à celles de vos équipes, notamment les secrétaires de mairie, poursuivit la jeune femme, à l’occasion de réunions de terrain à l’échelle des intercommunalités… ».

Dans le concret, ces rencontres favorisant les échanges et la concertation se mettent en place au niveau de leur organisation et seront ainsi proposées aux élus locaux entre la fin de l’année et le début de l’année suivante.

Puis, la fonctionnaire évoqua une autre thématique qui avait toute sa place dans les réflexions de ce « Cité 89 » édition 2022 : la transition énergétique et écologique. La première préoccupation du corps préfectoral dans l’Yonne.

A ce propos, le préfet Pascal JAN a suggéré, il y a peu, que la DETR (Dotation d’équipement des territoires ruraux) soit mobilisée prioritairement sur les projets qui concourent à l’amélioration de la transition écologique des territoires. Et en particulier, tout ce qui concerne le bâtiment. Une prise de décision devant renforcer l’attractivité et la résilience face au changement climatique.

 

 

95 % des collectivités devraient voir leur DGF en progression en 2023…

 

Parmi les autres points marquants de ce long discours inaugural, la secrétaire générale de la préfecture aborda ensuite les difficultés des petites communes à pouvoir boucler leur budget. Un sujet en lien direct avec leur capacité d’investissement.

« L’Etat soutient les collectivités avec un niveau historiquement élevé de dotations. Si vous regardez le projet de loi de finances, il est prévu que la DGF 2023 (Dotation globale de fonctionnement) soit relevée à 320 millions d'euros, au lieu des 210 millions d'euros actuellement. Et donc 95 % des collectivités devraient voir leur dotation se maintenir ou augmenter… ».

Des éléments de réponse qui ont dû sans doute rassurer les élus, très attentifs aux propos tenus par la représentante de l’Etat.

« Il existe aussi d’autres dispositifs, renchérit la jeune femme, qui sont en train d’être mis en œuvre à l’instar du bouclier tarifaire pour les toutes petites communes et le filet de sécurité qui se déploie… ».

En outre, l’Etat apporte également des réponses au niveau de la capacité d'investissement – « on a bien conscience que fonctionnement et investissement, même s'ils sont séparés d'un point de vue comptable, sont évidemment liés ! » - souligna Pauline GIRARDOT. D’ailleurs, pour corroborer ses dires, la Première ministre Elisabeth BORNE n’a-t-elle pas annoncé la création d’un Fonds vert avec une provision financière de 1,5 milliard d'euros au démarrage, porté à 2 milliards d'euros à destination des collectivités locales. Une aide conséquente qui confortera les collectivités territoriales à réaliser leurs projets en faveur de la transition écologique.

 

 

Une démarche de co-construction entre Etat et collectivités…

 

« A ce sujet, confirma l’oratrice, on sait que l'on doit encore travailler ensemble dans une démarche de co-construction pour développer les énergies renouvelables et sortir progressivement des énergies fossiles. Et pour remplir en conséquence nos devoirs envers nos concitoyens… ».

L’intervenante ne put conclure son discours sans se référer à une autre transition : celle du numérique.

« Je me félicite vraiment de l'avancement du déploiement du très haut débit dans le département, devait-elle commenter, le développement des infrastructures avance à grands pas. La totalité du département de l’Yonne devrait être couverte à la fin de l'année 2023 grâce à l'action résolue du Conseil départemental et des opérateurs qui collaborent au projet… ».

Un projet où l’Etat joue également sa partition, sa contribution financière dépasse désormais les 22 millions d’euros…

 

Thierry BRET

 


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Il a beau côtoyer de très près les membres du gouvernement, lors de ses pérégrinations professionnelles dans la capitale de l’Hexagone – à l’instar du Ministre de la Transition écologique en charge des transports, Jean-Baptiste DJEBBARI  - le président de la Fédération Régionale des Travaux Publics de Bourgogne Franche-Comté n’est pas un adepte de la langue de bois ! Pour éviter un scénario noir qui se profile à l’horizon en défaveur de la filière, il demande à l’Etat d’intervenir auprès des collectivités locales pour qu’elles puissent mieux affronter les dérives inflationnistes du moment…

 

BESANCON (Doubs) : C’est une partie de billard à deux bandes qui se joue à l’heure actuelle dans l’Hexagone. Elle est soutenue mordicus par le toujours très médiatique président de la Fédération Régionale des Travaux Publics (FRTP) de Bourgogne Franche-Comté, Vincent MARTIN.

Ce dernier en appelle à l’Etat pour qu’il accompagne les collectivités locales dans la neutralisation de l’inflation. Logique, car si accompagnement actif il y avait de la part de la gouvernance, cela permettrait à ces dernières de pouvoir mieux affronter la vertigineuse envolée de l’inflation, surtout celle qui s’applique à leurs coûts de fonctionnement.

Un sérieux sujet d’inquiétude pour les acteurs de la filière des Travaux Publics qui craignent une chute abyssale de l’investissement local en 2023. La résultante ne se ferait pas attendre avec le décrochage de l’activité, pouvant jusqu’à menacer l’existence des entreprises et la survie des emplois.

 

60 % de dépendance du chiffre d’affaires de la filière à la commande publique…

 

Vincent MARTIN est on ne peut plus explicite dans ses arguments qu’il a fait connaître par le biais d’un communiqué de presse : « le chiffre d’affaires de notre secteur d’activité dépend pour près de plus de 60 % de la commande publique, explique-t-il, en particulier du bloc communal, intercommunal et départemental… ».

L’inquiétude est donc très vive pour la filière qui emploie, rappelons-le pour la contrée, plus de onze mille salariés accueillis dans mille cent entreprises avec un chiffre d’affaires réalisé à la clé flirtant les deux milliards d’euros.

La source du tourment venant éprouver le charismatique leader régional de la FRTP repose sur la décision du gouvernement de ne pas indexer la dotation globale de fonctionnement (la fameuse DGF) sur l’inflation. Moyennant quoi, cela revient à amputer très sérieusement les ressources des collectivités locales en 2023, et de réduire par un effet gigogne implacable leur besoin en réalisations d’infrastructures, synonymes de chantiers !

 

 

« Or, la précédente baisse des ressources imposée par l’Etat, entre 2013 et 2016, de l’ordre de 11,5 milliards d’euros aura fait chuter l’investissement local de 18 %, et celle de l’activité des travaux publics de 20 % ! ».

Un scénario funeste que ne souhaite pas revivre le président de la puissante fédération régionale. En outre, la décision de l’exécutif tombe comme un cheveu dans la soupe car l’année 2023 correspond à la période de mi-mandat municipal, traditionnellement favorable à l’engagement de nombreux projets.

 

 

Une transition énergétique mise à mal par l’envolée des prix…

 

Autre signe de désagrément : la mise en œuvre du « Zéro Artificialisation Nette » (ZAN). La profession craint que ce nouvel objectif ne vienne grever l’investissement local dans certains territoires ruraux et péri-urbains.

Reste la transition énergétique – au moment où le secteur est également frappé de plein fouet par les restrictions de carburant imputables aux mouvements sociaux dans les raffineries - : celle-ci, souligne Vincent MARTIN, « nécessite au premier chef le concours des collectivités locales pour réaliser des investissements de proximité sur l’ensemble du territoire ».

Si la hausse des coûts de ces produits énergétiques se poursuit – cela en prend allègrement le chemin ! – cela risque, là-aussi, de freiner les capacités d’investissement des élus locaux dans les années à venir.

« De notre côté, rappelle Vincent MARTIN, les entreprises de travaux publics continuent de s’engager avec détermination et responsabilité dans la transition énergétique. Mais, comment faire face à l’inflation et à la baisse des ressources des collectivités locales pour y parvenir ? ».

Il y a donc urgence à trouver des solutions pérennes afin de préserver le secteur. La FRTP a sa petite idée sur la question.

« Il faut que l’Etat propose des incitations fortes à l’investissement local, en particulier, la réintégration des opérations d’aménagement dans l’assiette du FCTVA et son élargissement aux travaux de sécurisation des ouvrages d’art, le déploiement rapide des crédits de paiement du « fonds vert », l’harmonisation des calendriers d’attribution de la DETR et de la DSIL, ainsi que la simplification de leurs critères d’instruction, l’actualisation des montants d’attribution pour tenir compte de l’inflation et le report des crédits non consommés sur l’année suivante… ».

Avant qu’il n’y ait réellement péril en la demeure pour la filière des Travaux Publics en France, Vincent MARTIN agit avec sa fédération en espérant des réponses concrètes et rapides de l’Etat.

 

Thierry BRET

 


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C’est un peu comme un jeu vidéo, mais en nettement mieux ! D’autant que le simulateur de conduite d’engins agricoles – huit exemplaires conçus par la PME hexagonale ACREOS viennent d’être acquis pour une enveloppe de plus de 673 000 euros par l’EPL des Terres de l’Yonne, une première en France – offre l’opportunité de suivre la progression pédagogique du pilote néophyte, notes à l’appui. Un sérieux atout afin d’améliorer ses potentialités techniques dans le cadre de son cursus.

 

VENOY : On n’arrête ni le progrès, ni la technologie ! Surtout celle se rapportant au numérique et à l’imagerie virtuelle. Vous en voulez une preuve concrète ? Très facile ! Il suffit de visiter l’espace dédié, ouvert depuis peu, qui a été mis en place au sein de l’EPL des Terres de l’Yonne, une entité pédagogique comprenant sur le même site de La Brosse, le CFA agricole de l’Yonne, le lycée agricole La Brosse et le CFPPA 89, pour en apprécier les effets !

Là-bas, dans cet antre de l’enseignement agricole et viticole – on peut y ajouter aussi le volet de l’équestre et de l’horticole, entre autres -, se vit une expérience unique en Bourgogne Franche-Comté. L’initiation à la conduite d’engins agricoles, mais sous un format bien moins académique que d’ordinaire ! A l’aide de simulateurs électroniques, élaborés par un spécialiste dans la conception, la fabrication et la commercialisation d’outils pédagogiques, réservés à l’apprentissage de la conduite d’engins en tout genre : la structure mosellane, ACREOS.

Une PME qui prône les vertus du « made in France » - elle a réalisé plus de 3,5 millions d’euros de chiffre d’affaires en 2018 – et jongle avec aisance sur la technologie du numérique pour avancer dans le processus pédagogique qu’elle a créée.

 

Un projet de 673 000 euros financés par des fonds européens…

 

C’est avec le concours financier d’un Fonds européen de développement régional (FEDER) que l’EPL des Terres de l’Yonne a réussi le brillant tour de force de l’acquisition de huit de ces « Rolls-Royce » de la simulation digitale pour en doter son site de Venoy. Autant dire une rareté dans le microcosme de l’enseignement agri/viticole de la contrée, pour ne pas dire plus à l’échelle de l’Hexagone ! Soit pour être précis une enveloppe budgétaire s’élevant à 673 420 euros !

Quant aux possibilités offertes par ces appareils de premier cri, elles sont multiples avec les engins agricoles, les tracteurs télescopiques, les moissonneuses, les tracteurs enjambeurs à vocation viticole…Bref : un melting-pot d’opportunités didactiques qui séduisent déjà depuis leur récente installation autant les élèves que leurs enseignants ! Pourquoi ? Parce que la machine leur propose une approche plus que réaliste de la situation. Sensations garanties derrière les manettes ou le volant de ces instruments très utiles à leur formation.

 

 

Apprendre à piloter des engins agricoles sans consommer de carburant !

 

Sous l’œil attentif du proviseur adjoint du lycée La Brosse, Eric PRESTAT, plusieurs élèves ont assuré une séance de pilotage lors d’une visite démonstrative organisée avec la presse. Vertueux, le dispositif l’est à plus d’un titre. D’une part, l’initiation à la conduite s’effectue tranquillement et sans aucune prise de risque. D’autre part, la formation est on ne peut plus écologique car ne consommant aucun carburant ! Même les professionnels de la filière agri/viticole, invités à découvrir les possibilités offertes par cet appareillage newlook, se sont pris au jeu du fait de la qualité fonctionnelle de ce qui leur était proposée.

 

Thierry BRET

 

 


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Dire que ce haut fonctionnaire connaissait bien la Bourgogne Franche-Comté serait un doux euphémisme ! Lui qui avait débuté jadis sa carrière préfectorale du côté de Louhans, en Saône-et-Loire, avant de rejoindre la Côte d’Or où l’attendait d’autres aventures professionnelles. C’est Franck ROBINE, qui lui succède aujourd’hui à ce poste à double responsabilité de préfet de Région et préfet de Côte d’Or…

 

DIJON (Côte d’Or) : C’était une figure connue et reconnue de la sphère institutionnelle régionale. Promenant de temps à autre sa silhouette et sa soif de découverte dans le département le plus septentrional de la contrée au détour de grands évènementiels.

A 65 ans, le préfet de Région et de Côte d’Or Fabien SUDRY a donc tiré un trait définitif sur sa carrière préfectorale, lors d’une cérémonie officielle vendredi soir, organisée en présence de nombreuses personnalités de la vie publique régionale. Un départ qui le mènera à Paris où il rejoint désormais le Conseil d’Etat, la plus haute instance de justice administrative de l’Hexagone.

« Servir l’Etat dans les territoires de la République était un choix assumé, revendiqué, précisera l’intéressé lors de sa prise de parole, un choix où il avait eu beaucoup de chance… ».

 

 

En 1987, c’est en qualité de sous-préfet de l’arrondissement de Louhans, en Saône-et-Loire, que débuta dans le corps préfectoral Fabien SUDRY qui aura eu ensuite à gérer lors de ses fonctions plus récentes les vagues successives de la COVID, le plan économique France Relance, la crise humanitaire imputable au conflit en Ukraine, les crises sociales, etc.

On notera parmi les personnalités présentes à cette réception l’ancien ministre du Tourisme et des PME/PMI Jean-Baptiste LEMOYNE, sénateur de l’Yonne, François PATRIAT, sénateur de Côte d’Or et ancien ministre de l’Agriculture, François REBSAMEN, ancien ministre du Travail et actuel édile de Dijon, Michel NEUGNOT, vice-président de la Région, Crescent MARAULT, président-maire de l’Agglomération de l’Auxerrois…

Nouveau préfet de Côte d’Or et de la Région, Franck ROBINE prend ses fonctions dès ce lundi 17 octobre.

 

Thierry BRET

 


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La nouvelle mission du technicien corse devrait être de très courte durée, en vérité. Le temps d’une partie opposant les Aiglons de l’OGC Nice aux Bourguignons de l’Yonne – la rencontre se déroulera dans le cadre de la onzième journée de Ligue 1 ce dimanche après-midi à l’Abbé Deschamps -, voire peut-être d’un match supplémentaire si le futur coach de l’AJ Auxerre tarde à arriver sur les bords de l’Yonne…

 

AUXERRE: On ne connaît pas encore le patronyme définitif du successeur de Jean-Marc FURLAN. Démis de ses fonctions en début de semaine, la résultante d’un geste déplacé envers le public de Clermont Foot dimanche dernier face aux caméras au terme d’une rencontre devant se solder par une défaite pour les visiteurs, le coach auxerrois a donc laissé sa place, très provisoirement à son adjoint de longue date, Michel PADOVANI.

Un garçon qui est encore tout ému de ce scénario si soudain et imprévisible à ses yeux. Il est vrai que le tandem FURLAN/PADOVANI fonctionnait en parfaite symbiose depuis onze ans. Et aujourd’hui, le coach par intérim de l’AJ Auxerre se sent quelque peu « orphelin » de ne plus avoir à ses côtés ce personnage atypique de la sphère footballistique.

« Je l’ai eu au téléphone il y a vingt-quatre heures, précise-t-il, on ne peut pas dire que cela soit la grande forme pour Jean-Marc… ».

Absent lors du déplacement en terre auvergnate dimanche dernier – Michel PADOVANI était souffrant -, le nouveau coach intérimaire du seizième de Ligue 1 s’est dit surpris, voire choqué par les sanctions. « J’ai regretté après coup de ne pas avoir été là-bas, confie-t-il aux journalistes venus l’interroger dans le sacro-saint rituel point presse de l’avant-match qui opposera Auxerre à Nice.

 

Etre entraîneur principal sur un match, c’est possible mais pas dans la durée !

 

Est-ce à dire pour autant que l’entraîneur adjoint de l’AJ Auxerre va s’installer durablement dans le fauteuil de coach principal après sa désignation par les dirigeants du club ?

Que nenni ! Michel PADOVANI ne le souhaite pas, il est en cela très catégorique. « J’ai déjà assuré par le passé des remplacements que ce soit à Bastia ou ici à Auxerre, ajoute-t-il, je n’ai pas les qualités requises pour devenir entraîneur principal. Sur un match, cela est possible évidemment mais pas sur la durée d’une saison. J’ai eu trop de pression à Bastia et je ne veux pas revivre cela… ».

D’autant que dans le club de l’île de Beauté, le cadre avait été contraint d’enchaîner une série de six rencontres sur le banc managérial aux côtés de ses joueurs !

Pour aborder cette rencontre qui sent déjà le souffre pour l’AJ Auxerre face à l’OGC Nice au plan comptable – les Azuréens ont littéralement explosé jeudi soir en seconde mi-temps en Europa Conférence face à une modeste équipe de la République Tchèque – Michel PADOVANI prône la continuité avec son staff. Même si les séances d’entraînements de la semaine ont été particulièrement toniques et intenses !

« On travaille ensemble, après le choc de ce début de semaine, le groupe qui a des valeurs humaines s’est remis au travail. Ils veulent avancer dans le même sens. J’ai parlé aux joueurs. J’ai donné quelques axes de travail. On repartira de zéro avec sûrement quelques changements en perspective… ».

Certes, mais on n’en saura pas davantage sur cette nouvelle stratégie : les joueurs eux même le découvriront en dernière minute avant de fouler la pelouse.

Se définissant comme un « faux calme », sachant se transcender dans l’intérêt du club, le nouveau promu à la fonction de coach espère renouer avec le succès dès dimanche et engranger des points ô combien salvateurs pour s’éloigner de la zone de relégation.

 

Le nouveau coach à Auxerre dès la semaine prochaine…

 

« J’aime gagner et je suis honnête, affirme-t-il, les gens qui trichent peuvent m’énerver… ». Mais, il assure un peu plus loin dans la conversation avec les médias qu’il a su se tempérer au fil des années.

Evoquant son successeur – sur lequel il n’a pas son mot à dire puisque c’est la décision des dirigeants du club -, Michel PADOVANI a bel et bien confirmé que le nouveau coach arriverait à Auxerre dès la semaine prochaine.

Quant à son propre avenir au sein de l’AJA après cette pige intérimaire de brève échéance, l’ancien joueur de Bastia s’est dit rassuré par les dirigeants : « s’il arrive un staff complet avec le nouvel entraîneur, nous serons obligés de nous entendre… ».

Sans doute, mais qu’en adviendrait-il dans le cas inverse ?

 

Thierry BRET

 

 


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