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Le projet soutenu par le syndicat de l’immobilier national aurait-il du plomb dans l’aile après la décision prise par son président Jean-Marc TORROLLION de le suspendre contre toute attente ? Une réunion de travail à l’initiative de la CNIL (Commission nationale de l’informatique et des libertés) a permis d’effectuer un point précis autour de la faisabilité de ce projet. Une étude approfondie de son impact pourrait aider à sa continuité selon le dirigeant de la FNAIM qui reste néanmoins convaincu de son opportunité…

PARIS : Est-ce un retrait définitif ? Une nette reculade ? Un renoncement mûri et réfléchi ? A la lecture du communiqué de presse transmis par la puissante fédération nationale de l’immobilier (FNAIM), rien de tout cela, en vérité.

La décision de suspendre la création du fichier des incidents de paiements locatifs qui avait provoqué quelques remous il y a peu ressemble plus à un ajournement plutôt qu’à une fin de non-recevoir nette et définitive.

L’explication de Jean-Marc TORROLLION, président de l’institution nationale, est donnée sans l’once d’une ambiguïté : « En l’état des conditions techniques actuelles, nous ne pouvons créer un fichier des impayés locatifs… ».

Du temps sera donc nécessaire. Avant que ne soit programmée la probable mise en exergue de ce système, fait avec professionnalisme et exigence selon le responsable de la FNAIM.

Il aura fallu cette rencontre avec les membres de la CNIL pour accoucher de ce choix qui aura surpris les observateurs. Toutefois, la FNAIM d’ajouter que « son intention a toujours été d’agir dans le strict respect des normes en vigueur (aucun obstacle juridique ne s’y oppose en réalité) au bénéfice d’une plus grande confiance entre propriétaires et locataires, indispensable pour améliorer la fluidité du marché locatif et lutter contre la vacance… ».

 

 

Ce fichier, décrié par les associations de défense des locataires, n’a pas pour objectif de répertorier les accidents de la vie mais de circonscrire le risque de non-solvabilité pour les propriétaires.

La FNAIM justifie sa création pour préserver les garanties des bailleurs qui n’ont cessé depuis vingt ans de voir amoindrir leurs intérêts : dépôt de garantie divisé par deux, suppression du cumul Garantie loyer impayé/cautionnement personnel, abandon de la clause pénale forfaitaire, rallongement des délais de procédure…

Jean-Marc TORROLLION conclut son message à la presse par un rectificatif, un démenti qui exclut tout engagement de la part de la FNAIM d’être liée avec une société spécialisée dans le traitement des données (ARTHEL) ni de posséder de quelconque lien capitalistique et juridique dans ce projet.

Bref : ceci étant précisé, le temps de la concertation commence à la FNAIM, ouverte à tout type de solutions permettant de rétablir la confiance entre propriétaires et locataires…

 

 

 


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Aujourd’hui en France sont fonctionnels moins de 52 000 distributeurs automatiques de billets pour moins de 37 000 agences bancaires. Sans compter, les 8 000 bureaux de La Poste. GAB ou DAB ? Le DAB permet le retrait d’espèces alors que le GAB (Guichet automatique de banque) autorise des retraits, la consultation des comptes et d’effectuer des virements. Les espèces ne représentent plus que 5 % des transactions en valeur. Il est vrai que les cartes bancaires sont devenues le moyen de paiement préféré des français. Quant au fameux « sans contact » : la progression du paiement par carte s’accélère depuis la possibilité d’effectuer des achats de moins de trente euros sans taper son code…

TRIBUNE : La France de la monétisation évolue. S’il y a moins de paiements en espèces, cela entraîne par ricochet qu’il y ait moins de retraits dans les DAB. Hors, s’il y a moins de DAB, cela devrait diminuer le nombre d’agences bancaires, voire réduire le personnel…

Les guichetiers d’accueil (encore appelé, avec les administratifs, « les manœuvres à col blanc ») qui œuvraient autrefois dans les agences bancaires ont disparu depuis des lustres !

Les études de rentabilité menées par les établissements financiers pointent du doigt tout ce qui n’est pas rentable : DAB, GAB, agences bancaires, services, produits proposés… Tout ce qui ne rapporte rien doit disparaître !

Pour calculer la rentabilité, on fait appel dorénavant à la comptabilité analytique. Nous verrons dans un prochain article comment ce système d’informations, largement utilisé par le pouvoir politique et les grandes entreprises, pipe les dés en manipulant citoyens et salariés ! Une justification partiale de la suppression des postes !

 

Les pouvoirs publics espèrent l’avènement du zéro cash dès 2022

 

Quelles conséquences ? Pour les habitants des zones rurales, la suppression des DAB est encore plus problématique. D’autant que de nombreux commerçants refusent le paiement par carte car il est trop coûteux en matériel et facturation de commissions.

Il faut parfois parcourir de longues distances pour trouver un distributeur de billets. La monnaie fiduciaire, c’est aussi la liberté de donner et de recevoir… Adieu, à titre d’exemple, aux étrennes vertueuses faites aux petits enfants. Rangez vos tirelires et ouvrez des comptes !

Adieu également aux « petites souris » qui déposent une pièce afin de récupérer la dent de lait du gamin le lendemain sous l’oreiller !

Adieu les boites à sel ou à sucre des grand-mères qui thésaurisaient patiemment pour prévoir le règlement de leurs impôts…

Le système bancaire vous accordera, peut-être, un découvert et vous grossirez les rangs des possibles surendettés !

Une société « zéro cash » met en exergue une atteinte aux libertés. C’est une société sous contrôle avec la mainmise absolue sur nos comptes. D’ailleurs, en cas de faillites d’un établissement, hormis les cent mille euros de garanties (pour combien de temps encore ?) l’Etat n’aura plus qu’à se servir.

Plus de possibilité de passer outre dans ses règlements directs avec les artisans et les commerçants : on estime à plus de 20 milliards d’euros les montants réglés en espèces de la main à la main !

L’absence de liquidité pourrait s’avérer préjudiciable pour les plus pauvres de nos travailleurs indépendants. C’est factuel.

Même les multinationales et les grands trusts seraient pénalisés sur certains marchés « exotiques » où le bakchich est une pratique rendue obligatoire dans de nombreux cas pour décrocher les affaires.

Du côté de l’argent qui circule via la drogue, les revendeurs se sont déjà organisés. Les gros cartels pourront toujours inonder le monde avec leurs narcodollars - on est rassuré !

 

Vers un développement de nouvelles pratiques financières ?

 

Toutefois, pour celles et ceux qui se trouvent dans une situation d’interdit bancaire, il n’y aura pas de changement. Le compte bancaire reste obligatoire. Les personnes « interdits bancaires » recevront toujours une carte de paiement restreinte avec la possibilité d’un règlement chez tous les commerçants jusqu’au solde zéro du compte. L’usage de cette carte est très limité : pas de paiement envisageable sur les autoroutes ou les dépôts de garanties chez les loueurs de voitures.

Une suggestion à l’adresse de Bercy : offrir aux SDF un terminal de paiement afin qu’ils reçoivent l’aumône du passant.

Pour la quête du dimanche ? C’est déjà organisé dans bon nombre de pays : les quêteurs passent dans les rangs avec leur terminal et grâce au « sans contact », le bon chrétien fait un geste de charité et gagne ainsi sa place au paradis…

EINSTEIN avait raison sur notre évolution : « Je ne sais pas avec quoi on fera la troisième guerre mondiale, mais la quatrième je peux vous prédire qu’on la fera avec des cailloux et des bâtons ! ».

Quant à nos règlements financiers de demain ? Peut-être, qu’ils s’effectueront avec des coquillages, des lingots de thé, voire des échanges entre collectionneurs à l’instar de deux vieilles cartes bleues contre une ancienne « Mastercard ».

Vive l’aire du troc, qui nous reviendra bientôt, c’est certain  !

 

Jean-Paul ALLOU

 


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Retranchée depuis le 04 décembre dans une grève syndicale stérile, l’économie française a pris de l’avance sur sa mise en quarantaine. Nous ne parlons pas là, de savoir ce que nous serons à l’âge pivot, mais de ce qui va se passer dans l’année des deux vingt…

 

TRIBUNE : Fils de paysan et d’ouvrier, c’est avant tout mon expérience d’entrepreneur qui guide ma plume.  Ayant été expatrié en « Terre du dragon » (le Vietnam), il m’est possible, sous base de pragmatisme, de constater l’incroyable.

Tout d’abord la mise en quarantaine de la France par une minorité syndicale a eu pour effet de rayer de la carte économique le pavillon Français à l’international.

En effet, depuis le 04 décembre, les navires maritimes n’escalent que très rarement en France. Le risque syndical minoritaire a poussé la majorité des compagnies maritimes mondiales à ne plus venir sur notre vielle terre sociale. Résultat pour nos ports de l’Hexagone : ce sont plus de 500 000 conteneurs perdus en l’espace de deux mois.

Il y a des choses bonnes à savoir. Par exemple, mille conteneurs, c’est l’équivalent d’un emploi de docker… Ainsi l’acharnement à sauver la tête d’un secrétaire général syndicaliste français aura coûté plus de 500 emplois de dockers ! Une goutte d’eau très mal venue en ces temps d’arrêté comptable au 31 décembre 2019…

 

La grande crue est à venir…

 

Avec ces deux mois syndical d’avance, le gros de la paralysie économique est à notre porte. Avril ne te découvre pas d’un fil…Nous n’allons une fois de plus par ignorance, ne pas respecter le dicton de nos anciens. Pourtant, notre malaise ne sera que le préambule des premiers signes de notre état grippal.

Après la grève (d’ailleurs on ne sait plus si il y a encore grève ou pas tellement il y en a !) vient le « BLANK SAILLING » : exit l’import, terminé l’export, car l’économie Chinoise est paralysée. Elle est prise dans un étau et nous en sommes la manivelle. 

 

 

 

La non-confiance du peuple Chinois vis-à-vis de ses gouvernants et la surmédiatisation occidentale d’une grippe ont pour effet que les travailleurs Chinois préfèrent rester en campagne, auprès de leurs proches plutôt que de se soigner dans des usines urbaines surpeuplées. 

Mois de mai, fais ce qu’il te plaît ! Mais sache, en cette année des deux vingt, que ton barbecue ou ton salon de jardin t’en coûtera cher…

Dans une société de surconsommation qui fait honneur à la TVA, première recette fiscale d’état, ce printemps, faute d’approvisionnements, sera triste : les rayons des grands magasins risquent d’être appauvris.

 

 

Réindustrialiser le  pays : une priorité…

 

Les antis-mondialistes peuvent se réjouirent, la production sera relocalisée en France.

Snif ! Second symptôme d’un état grippal : vu la politique de désindustrialisation qui a été menée dans notre pays pendant plus de trente ans, il va nous falloir du temps pour reconstruire la pyramide des âges de compétences de ces anciens, partis trop tôt à la retraite sans pouvoir transmettre leurs savoir-faire à une jeunesse qui n’attendait que cela.  

Courbons la tête, la tempête de février n’est que l’effet de « Mère nature »…

 

Didier MERCEY

 


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En nommant depuis peu au poste de responsable RSE, Jean-Charles HAMELIN, le numéro un national des ingrédients et auxiliaires technologiques de la filière blé, farine et pain confirme son engagement sociétal envers la sauvegarde de l’environnement. Un geste fort qui étaye sa démarche déjà orientée vers ce domaine depuis les certifications qui ont été obtenues ces années antérieures…

DIJON: La nomination vient d’être signifiée à la presse depuis peu. C’est désormais officiel : EUROGERM dispose dorénavant parmi son organigramme d’un spécialiste de la RSE, Jean-Charles HAMELIN.

Le dirigeant possède une expertise transversale de la fonction : il est passé successivement dans l’équipe commerciale meunerie, puis aux achats, avant de prendre la responsabilité du centre d’expertises du groupe (ARPEGES).

Autant dire que le nouveau directeur déploiera sa stratégie avec une parfaite latitude pour répondre à la volonté d’engagement du groupe qui officie dans la filière de l’agro-alimentaire.

 

 

Ainsi, deux volets seront abordés dans cette mission au fil de ces prochaines semaines : l’application de la politique RSE à l’ensemble du groupe EUROGERM et ses filières à l’international (une douzaine de pays) et la mise en œuvre d’un plan d’actions qui prendra en ligne de mire toutes les parties prenantes qui travaillent avec la structure industrielle : depuis les fournisseurs jusqu’aux partenaires sans omettre les clients et les collaborateurs.

Rappelons que le groupe de Côte d’Or pèse plus de cent millions d’euros de chiffre d’affaires. IL est aujourd’hui devenu un acteur clé à l’international où il réalise plus de 60 % de ses résultats.

 


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La Saint-Valentin, une fête, une tradition, une légende…La célébration des amoureux est planétaire. On ne récolte pas moins à cette occasion 200 millions de roses (rouges si c’est la passion, blanches pour un amour pur et sans tâche). Et pourquoi ne pas annoncer un divorce en douceur : en lui offrant des roses jaunes ! Bref, un jour de petits cadeaux : ce sont des kyrielles de bijoux, fleurs, chocolats et le fameux dîner aux chandelles qui se profilent devant vous ! In fine, c’est douze 12 milliards de dépenses sur la planète !

 

TRIBUNE : Il existe une différence entre créer un besoin pour faire du business, comme avec Halloween (on a voulu relancer la fête mais ça ne mord pas), et répondre au désir de fêter la Saint-Valentin. C’est une tradition plusieurs fois séculaire ! Il y eu plusieurs saints appelés Valentins. Celui qui nous intéresse s’appelle Valentin de Terni, prêtre au Vème siècle (certains disent même IIIème siècle…). Ce cher curé brave l’interdit de célébrer des mariages. Il fut emprisonné puis tué un 14 février.

Dès qu’un bon chrétien meurt, Rome saute sur sa dépouille et lui colle une auréole ! Le gentil Saint-Valentin, tombé amoureux de la fille aveugle de son geôlier, lui décrit l’environnement, les couleurs du temps…

On raconte que grâce à Valentin la jeune fille retrouva la vue. Un pape décida de célébrer chaque 14 février la fête des amoureux, chastement bien sûr…

Cependant, on fêtait aussi le 14 février comme jour où les oiseaux commencent à s’accoupler ! Toujours en avance sur leur temps, les Anglais seraient les précurseurs de « mariés au premier regard » !

Au XIVème siècle (XVIème pour d’autres), ils décident de former des couples choisis complètement au hasard. Une tradition qui est née dans le milieu aristocratique.

Durant une journée entière, un « Valentin » et une « Valentine » doivent obligatoirement se faire de petits cadeaux, des galanteries, se dire des mots doux...

 

Condamner celles et ceux qui se détestent à s’adresser des mots doux…

 

Cette journée, appelée « Valentinage », se déroule tous les 14 février ! Dès le XVIIIème siècle, la coutume se généralise dans toute l’Angleterre. Fleurissent alors les fameuses cartes de la Saint-Valentin.

Les Britanniques partagent la tradition en Amérique du Nord qui célèbre dans la foulée le « Valentin Day » ! A partir de 1945, les G.I. répandirent, avec le chewing-gum, la fête de la Saint-Valentin.

Aujourd’hui, 64 % des Français font un geste chaque 14 février. On peut noter qu’une femme sur sept s’achète des fleurs ! Alors serait-ce la Saint-Valentin, du business dites-vous ?

Bien sûr qu’il s’agit de dépenses, comme pour n’importe quelle fête. Mais une journée pour dire « je t’aime » c’est plutôt salutaire pour renforcer le système immunitaire !

Une journée pour célébrer l’amour, c’est finalement peu de chose.

Je suggère la reprise du « Valentinage » de nos amis Anglais : choisir au hasard ceux qui sur terre se détestent cordialement et les « condamner à s’envoyer des mots doux.

Au hasard, on pourrait y trouver Palestiniens et Israéliens, Gilets Jaunes et l’Elysée, Turques et Kurdes, Russes et Ukrainiens, Hégésippe SIMON et Paul BIRAULT…

Vous voyez, en fait, que du pur hasard dans ce choix cornélien…

 

Jean-Paul ALLOU  

 

 


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