Découvrez nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
logo-credit-agricole-90x90.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
groupama_small.png
logo-cerfrance-bfc-accueil.png
capeb-logo.png
logo banque populaire bourgogne franche-comté
logo-cm.jpg
logo-edf-site.jpg
ccj-logo-petit-1.jpg
110 Bourgogne
Région Bourgogne France-Comté
Criquet Magazine
Lycée Saint-Joseph de la Salle
mercato de l'emploi yonne bourgogne
Caisse d'épargne Bourgogne Franche-Comté
chambre des métiers et de l'artisanat
Groupe La Poste
Chambre d'Agriculture de l'Yonne

Nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
banque_populaire_bfc-long.png
capeb-logo.png
Lycée Saint-Joseph de la Salle
Caisse d'épagne Bourgogne Franche-Comté
cerfrance bfc
Communauté de Communes du Jovinien
Chambre d'Agriculture de l'Yonne
Criquet magazine
logo-edf-site.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
logo-cm.jpg
groupama_medium.png
logo-credit-agricole-90x90.jpg
région Bourgogne Franche-Comté
20211006_lpg_logo_cmjn-616fec3863034.png
mercato de l'emploi yonne bourgogne
chambre des métiers et de l'artisanat
logo-110-bourgogne-ok.png

Warning: Creating default object from empty value in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/components/com_k2/views/itemlist/view.html.php on line 743

L’ambassadrice, la plus séduisante de l’Yonne, réalise un important come-back sur l’une des scènes publiques de sa ville de prédilection : la capitale de l’Yonne. Elle y retrouvera le temps d’un récital de deux heures programmé lors d’un après-midi dominical de fervents aficionados qui la suivent depuis le début d’une très longue carrière…Sa voix cristalline, gorgée d’émotions, de chaleur et d’amour, emportera le public dans le tourbillon intemporel de la vie dans les rues de Paris.   

AUXERRE: Eclectique Christelle LOURY ! On la connaissait comme l’une des dignes héritières du patrimoine culturel inspiré par la Môme Piaf et là voilà qui s’imprègne, lors de nouvelles pérégrinations musicales, de l’univers appesanti et plein de déchirures à l’âme d’une Barbara dont elle sait magnifier à la perfection et à la note près, la prestance scénique.

Virevoltante dans le choix de ses interprétations, où elle narre avec le ciselage minutieux d’une conteuse enjouée l’environnement explicatif de la chanson, la jeune femme persiste et signe lorsqu’elle ajoute un nouvel ingrédient de poids à ce qui deviendra très vite dans sa ligne artistique la trilogie ultime des plus grandes chanteuses françaises : Juliette GRECO.  

Mais, avec ce nouveau tour de chant, l’interprète à la tessiture si personnelle de « L’hymne à l’amour » et de « Déshabillez-moi » élargit encore la quadrature du cercle. Celle dont la popularité ne cesse de croître dans certaines contrées de notre globe (Russie, Pologne…) n’en oublie pas de diversifier le spectre de ses possibilités vocales, lorgnant vers un répertoire plus hétéroclite. Mais toujours sublimée lorsqu’elle daigne y toucher…

Comment alors ne pas saluer la performance de la demoiselle qui fit ses gammes en suivant les cours de chant du Conservatoire ou au théâtre. Christelle est cosmopolite dans ses influences musicales (variété française, gospel, pop, rock, jazz…) comme elle peut l’être dans ses périples scéniques qui la conduisent sur une scène à New-York, à Moscou ou à Monaco.

 

 

La félicité au fond des cœurs…

 

Dans le cas présent, c’est à Paris qu’elle a décidé de poser ses valises. En y incluant toutes ces odes écrites à la gloire de la ville Lumière. Actionnant la machine à remonter le temps, avec une once de nostalgie dont elle ne peut se départir sur scène et c’est tant mieux, Christelle LOURY invite les spectateurs à se souvenir de ces airs d’autrefois. Parfois canailles mais jamais coquins. Ceux qui parsèment cette chronologie de l’histoire musicale où elle prête vie aux immortels Léo Ferré, Jean Ferrat, Gilbert Bécaud, Serge Lama, Michel Legrand, Charles Trenet…

Reste le brelan d’as de ces voix éternelles : Jacques Brel, Yves Montand et Charles Aznavour. 

En quelques quatre décades bouleversantes, ponctuées de souvenirs et d’anecdotes remplies de malice, la chanteuse Icaunaise, notre Marianne officielle à l’international, engendre les rires, fait couler les larmes, et prend par la main celles et ceux de ces spectateurs qui souhaitent l’accompagner là-haut au plus près des nuages.

Un exercice de félicité qui durant près de deux heures ouvre ensuite les cœurs à davantage d’amour et de poésie. Sous les acclamations qui en redemandent encore et encore…

Récital Christelle LOURY

Dimanche 13 octobre à AUXERREXPO

A 16 heures

Tarifs : de 22 à 25 euros et carré d'or à 35 euros.

Réservation au 03. 86. 42. 06. 00.

Ou sur le site auxerrexpo.com

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Entre les mois d’août et d’octobre, plus de cinq mille tonnes d’orge ont été expédiés depuis la France jusqu’au Vietnam. Prouvant ainsi la pertinence de la nouvelle ligne fluviale, qui rapproche les zones portuaires de Ho Chi Minh à celle de GRON dans le nord de l’Yonne. L’envoi des céréales aura servi à la fabrication de trente millions de litres de bière. Une boisson dont raffolent de plus en plus les Vietnamiens. Face à ce marché en pleine croissance, la coopérative agricole régionale entend répondre favorablement à cette demande. Comme le confirme son président, Laurent PONCET.

SENS : Devant le besoin d’approvisionner le marché du « Dragon asiatique », YNOVAE se dit prête à envisager le développement de ses exportations. Une hypothèse qui tient la corde à l’heure actuelle tant les attentes des consommateurs locaux se font pressantes.

Alors que cet état du Sud-Est de l’Asie connaît un taux de croissance qui oscille entre 5 et 10 % par an, la consommation d’orge et de blé tendre enregistre des records. Même si, pour l’heure, le Vietnamien lambda ne boit encore que dix-neuf litres de bière à l’année et par habitant.

Toutefois, force est de constater qu’une porte a été enfoncée grâce à la création de la nouvelle liaison de fret maritime, initiée par LOGI Yonne, et sa filiale, LOGI Viet France. Une brèche aux contours positifs dans laquelle l’un des partenaires du logisticien bourguignon, la coopérative agricole YNOVAE, semble vouloir s’engouffrer.

Avec le concours de l’autre coopérative régionale, 110 Bourgogne, et dans le cadre de leur union de commercialisation SEINEYONNE, l’opportunité idéale est d’exporter des produits le plus possible à l’autre bout du monde. Les professionnels du secteur céréalier veulent profiter de l’aubaine. Celle qui prend forme depuis peu avec le développement stratégique de LOGI Yonne dans cette partie du globe qui s’appuie sur la compétitivité offerte par le fret maritime.

 

 

L’orge de l’Yonne se métamorphose en bière en Asie…

 

Dès 2010, YNOVAE avait accepté de répondre à une première demande d’expédition d’orge de brasserie vers la Chine. Déjà à cette époque, la structure coopérative travaillait en parfaite osmose avec le logisticien du Sénonais. Le transit avait été assuré par conteneurs vers Le Havre. Puis, acheminé par la mer.

Bénéficiant d’un climat tempéré, la Bourgogne représente le terreau idéal pour la culture des orges de brasserie. D’où une forte propension de malteries présentes depuis des décennies en région bourguignonne mais aussi en Ile-de-France et en Champagne. Pour mémoire : la France se situe parmi les trois premiers exportateurs d’orge destinée à la conception de la fameuse boisson. Celle qui est de plus en plus appréciée par les Vietnamiens.

Chez YNOVAE, 75 % de la production des orges sont destinés au secteur de la malterie pour la production de bière. La Bourgogne produit 200 000 hectares d’orge chaque année ; soit 900 000 tonnes ce qui représente 10 % de la collecte nationale. Le département de l’Yonne, à lui seul, représente l’équivalent de 80 000 hectares.

 

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Importateur du fameux fruit exotique en France depuis décembre 2018, après avoir connu une longue période de vaches maigres, ce jeune entrepreneur de l’Yonne joue la carte de la diversité et de la complémentarité des produits pour accroître sa notoriété. Son rayonnement dépasse aujourd’hui le territoire de l’Yonne pour s’inscrire dans une démarche de centrale d’achat à destination d’autres places consuméristes à travers l’Europe et le Maghreb…

AUXERRE : Les notions d’import/export ne lui sont pas inconnues. Dans une vie antérieure, le garçon au sourire si sympathique et à la franche cordialité commercialisait du matériel médical dans son pays où il a vu le jour : l’Algérie. Parfois, ses pérégrinations professionnelles le conduisaient jusqu’à la lisière des dunes ensablées du Sahara. Le rêve !

Si ce commerce est rentable à l’époque, l’activité tourne pourtant court à la suite d’un incident de la vie. L’un de ceux dont on ne se relève que très péniblement au plan psychologique quand tout bascule d’un jour à l’autre : un divorce.

Exit le confort douillet de l’existence, Haïdar plonge alors dans une abîme sans fond. Percevant le RSA (moins de 460 euros par mois) ce qui l’oblige à vivre la plupart du temps dans une camionnette qui lui sert de modeste refuge.

Ce scénario de l’impossible s’éternise. Quatre longues années de disette où s’alimenter à raison de deux repas quotidiens ressemble à s’y méprendre à un véritable parcours du combattant. Multipliant les entretiens d’embauche qui demeurent stériles, ce diplômé supérieur en art dramatique prend son mal en patience. Sans réels résultats. Quatre années de galère avant une immersion en terre algérienne où en 2018 lui vient une révélation. Divine ? Allah est grand…

 

 

Les soutiens salutaires de la CCI de l’Yonne et d’INITIACTIVE 89…

 

Accueilli à bras ouvert par son neveu, Mohamed Amine, il découvre les potentialités d’un marché dont il méconnaissait jusque-là l’existence. Celui de la datte. C’est à TOLGUA, agglomération reconnue en Algérie pour ses capacités de production de ce fruit à la chair si délicate que son neveu, agriculteur, exploite une structure entrepreneuriale où se dressent 1 180 palmiers. Soit un rapport en termes de récoltes de 200 à 400 kg par arbre !

Il n’en fallait pas davantage pour que notre futur grossiste ait une idée de génie : travailler avec le membre de sa famille en exportant ses produits en France. Mohamed Amine vendait déjà ses dattes appréciées pour leur succulence vers l’Allemagne, le Canada, l’Espagne et le Maghreb. Mais, il n’y avait pas encore de débouché possible vers la France.

Ragaillardi par cette idée lumineuse, Haïdar BOUDJERADA, de retour à Auxerre, s’en entretient avec un de ses amis médecins, Mustapha MIMOUN. Généreux, ce dernier lui avance l’argent nécessaire à l’extirper de sa camionnette afin de lui trouver un appartement digne. Puis, tout s’enchaine très vite.

Le pôle RSA de l’association d’aide à l’accompagnement des personnes créatives de projets économiques, INITIACTIVE 89, vient à son secours. L’un de ses conseillers, Julien LACOMBE, croit à la pertinence du dossier qu’il a devant les yeux. La Chambre de Commerce et d’Industrie lui emboîte le pas. Convaincue par la richesse de ce projet, le futur entrepreneur crée et enregistre sa société sur le registre ad hoc.

Fin octobre 2018, une première livraison de dattes arrive à l’aéroport d’Orly : soit 1,2 tonne de marchandises à écouler sur la région. La diaspora algérienne fonctionne à merveille. Hassan SHEHTTA, exploitant de la société « Meubles 89 », le dépanne pour stocker ses produits. Alors que Haïdar tente d’écouler timidement ses dattes fraîchement arrivées du pays sur les marchés d’Auxerre, la nouvelle miraculeuse vient de Rungis.

C’est là que Lazahr MANAOUI gère un établissement de primeur dans ce bastion du commerce de gros. Admiratif par la qualité des fruits exotiques, il lui achète presque une tonne de marchandise alors qu’un boucher halal d’Auxerre se constitue une réserve de 300 kilos dans sa boutique.

Nanti d’un prêt d’honneur de 3 000 euros, le néo-entrepreneur bénéficie d’un point de chute à la pépinière d’entreprise gérée par les services de la chambre consulaire.

 

 

Devenir un point névralgique européen sur le marché de la datte…

Depuis, Haïdar rencontre le succès en recevant près de 3 tonnes de fruits chaque mois durant la période saisonnière de la récolte. Son siège social fait office de commerce éphémère où il écoule en parallèle des marchés la production régulière de son neveu. Sens, mais aussi Troyes, constituent une zone de chalandise appréciable pour assurer la promotion des fruits à l’exquise succulence.

La cible consumériste est toute trouvée. Elle se forge parmi la population musulmane de ces villes. Le PARADIS des DATTES, puisque tel est le nom de la jeune société, réalise des records de vente lors du ramadan. Astucieux, Haïdar dispose même de stands sur l’esplanade des mosquées pour écouler ses produits après les prières.

Mais, si la providence a souri à Haïdar, ce dernier n’est pas au bout de ses surprises. Outre son commerce de proximité, il est devenu en un laps de temps très court, et toujours grâce à la qualité des fruits et une notoriété croissante, une vraie centrale d’achat au niveau européen, voire mondial. Les commandes affluent désormais de Belgique, d’Allemagne, du Maroc pour espérer déguster à bon prix la « reine » des dattes.

Dès octobre, de nouvelles livraisons (l’Algérie est le quatrième producteur mondial) agrémenteront les étalages de la boutique auxerroise. Les comités d’entreprise intègrent depuis peu les priorités stratégiques.

Coté investissement, Haïdar voudrait se doter d’une chambre froide afin de mieux stocker les fruits et allonger ainsi la période de vente. Il propose aussi de l’huile d’olive importée directement du Maroc.

Mais, sa grande ambition est de proposer de la datte bio, un produit qui ne requiert aucune utilisation d’engrais au cours de sept années de maturation. Promouvoir la culture du désert grâce aux produits dérivés de la datte (miel, vinaigre…) distingue ce professionnel icaunais d’hypothétiques concurrents qui pour l’heure ne se positionnent pas sur ce créneau. Les portes du « Paradis de la datte » semblent grandes ouvertes pour la prospérité…

Un article réalisé en partenariat avec INITIACTIVE 89...

 

 

 

 

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Dans les mois qui viennent, va-t-on nous rejouer avec Richard FERRAND le même spectacle politico-tragi-comique sur la scène nationale comme nous y avons eu droit par le passé avec François FILLON et François de RUGY ? Pourquoi tragi-comique ? Comique, parce que, selon cette merveilleuse expression de Beaumarchais, « il faut se hâter d’en rire avant d’être obligé d’en pleurer ! ». Tragique parce que nous autres, Français, nous voyons, une fois de plus, une classe politique à la fois inconsciente, légère et osons l’écrire, souvent peu reluisante aux manettes du pouvoir...

TRIBUNE : Mais ne commençons pas à répéter ce slogan un peu usé : la présomption d’innocence. Comme la langue d’Ésope, c’est la meilleure et la pire des choses. La meilleure parce qu’il règne dans notre pays, tant bien que mal, une justice qui avance prudemment. La pire des choses, parce que ce beau principe est mis à toutes les sauces et que les gâte-sauces s’en donnent à cœur joie.

Qui sont-ils ? Nous tous, bien sûr ! Parce que, ignorant la présomption d’innocence, nous allons nous repaître dans une version moderne des jeux du cirque, du spectacle des hommes livrés aux bêtes féroces. Heureusement, on a un peu progressé : il n’y a plus de mise à mort. Mais, il y a la perte de l’honneur. Rappelez-vous l’affaire Dreyfus et prenez la peine de lire quelques extraits de presse de l’époque. Nous restons confondus par le déchaînement de l’ignominie qui peut se faire jour dans notre douce France.

 

S’inspirer des pensées de Beaumarchais…

Relisons cet auteur : « D'abord un bruit léger, rasant le sol comme hirondelle avant l'orage, pianissimo murmure et file, et sème en courant le trait empoisonné. Telle bouche le recueille, et piano, piano, vous le glisse en l'oreille adroitement. Le mal est fait. Il germe, il rampe, il chemine, et rinforzando de bouche en bouche, il va le diable. Puis tout à coup, ne sais comment, vous voyez calomnie se dresser, siffler, s'enfler, grandir à vue d'œil. Elle s'élance, étend son vol, tourbillonne, enveloppe, arrache, entraîne, éclate et tonne, et devient, grâce au Ciel, un cri général, un crescendo public, un chorus universel de haine et de proscription. Qui diable y résisterait ? »
Avez-vous reconnu l’origine de ce texte qui dit tout dans un grand style ? C’est la description de la calomnie dans « Le Barbier de Séville » Il commence ainsi : « Monsieur ! Vous ne savez guère ce que vous dédaignez. J'ai vu les plus honnêtes gens près d'en être accablés ».
Maintenant, prenons du recul et posons-nous la question : la presse qui se répercute dans les réseaux sociaux, ne joue-t-elle pas un rôle essentiel dans nos régimes qui se disent démocratiques. Mais, dont le pouvoir tombe en permanence dans l’ornière des abus de toutes sortes.

« Le pouvoir corrompt », disait Churchill. Quel est le seul frein à la corruption des hommes au pouvoir sinon la presse ?

 

 

Ainsi, la voie est tracée avec deux garde-fous : d’un côté, une justice qui essaie d’être impartiale, assortie de la présomption d’innocence, de l’autre les médias, quatrième pouvoir de nos sociétés, qui veillent et surveillent au nom des citoyens les hommes sensés diriger notre pays : « Ne croyez pas que tout vous soit permis une fois que vous avez été élus ».

 

Le choix entre dignité ou indemnités ?

 

Enfin, apparaissent une vertu, la dignité, et une qualité, l’habileté. N’a-t-il pas été affirmé haut et fort par plusieurs dirigeants politiques avant les élections, bien sûr, que l’on devait afficher une République exemplaire ?

Cela n’implique-t-il pas de façon absolue que tout homme politique, surtout quand il est investi de fonctions importantes, doit démissionner dès qu’il est mis en examen et rester en retrait jusqu’à ce que lumière soit faite ?

Voilà pour la dignité. Évidemment, cela prend du temps. Et pendant tout ce temps, on ne perçoit pas ses grasses indemnités ! Alors, dignité ou indemnités ?
Quant à l’habileté, ça consiste à tenir compte à la fois de la psychologie des fauves qui ne lâchent pas leur proie tant qu’elle bouge et de l’opinion publique qui se repaît du spectacle tant qu’il dure. Les réseaux sociaux ont amplifié ce phénomène. Tous les jours, en ouvrant leur smartphone, des millions de Français lisent des commentaires sur l’homme politique du jour. S’il avait démissionné, la justice aurait suivi son cours dans le silence et les journalistes et l’opinion publique auraient trouvé d’autres gibiers pour planter leurs crocs.
L’affaire Richard FERRAND suivra-t-elle le même cours que les séries FILLON et de RUGY ? Ou passera-t-elle comme une lettre à la poste du côté des pertes et profits ? Le suspense reste entier !

Emmanuel RACINE

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

La société manufacturière de textile chilienne pose enfin ses jalons en Europe. Par l’entremise de sa toute nouvelle filière hexagonale dont la gestion et le rayonnement incombent à un jeune entrepreneur âgé de 22 ans, Alexis AUSTRUI. Ce dernier voue une passion sans borne pour la mode. Elle lui a été transmise par son père qui a consacré sa vie à promouvoir ce segment d’activité. Des ingrédients qui s’ajoutent à une rencontre fortuite vécue dans le pays bordant la Cordillère des Andes et qui aboutissent à l’ouverture de la première vitrine commerciale dans le Sénonais…

SENS : Particularisme de la chaîne sud-américaine et ce qui l’a différencie de ses autres concurrentes : ses commerces spécialisés dans la vente de prêt-à-porter et de sous-vêtements englobent tous les univers consuméristes en un même lieu. Ainsi, dans une surface de vente identifiée selon des typologies spécifiques, le consommateur pourra tout à loisir assouvir sa quête d’achat que ce soit pour ses enfants, son conjoint(e) ou pour lui-même. Sachant qu’une grande variété de produits manufacturés au Chili y est commercialisée à des coûts modiques tout en se préjugeant d’une certaine qualité.

C’est ainsi que s’est bâtie la solide notoriété de ce groupe apparu en 1880 à Santiago-du-Chili. Son fondateur historique, Julius KAYSER, pourrait être fier de sa progéniture au vu du succès rencontré par l’enseigne. Présente dans une trentaine de pays, mais encore peu implantée en Europe, KAYSER se devait tôt ou tard de franchir le Rubycon sur le sol français.

Il aura fallu d’un voyage d’affaires dans le pays des lamas en 2017 pour que le jeune entrepreneur français, Alexis AUSTRUI, ne revienne de ce charmant pays si pittoresque avec une idée géniale dans sa besace. Implanter la marque sous le mode opératoire de la franchise et ensuite la développer aux quatre coins de l’Hexagone, et plus si affinité !

 

 

Une licence d’exploitation valable dans de nombreux pays européens…

 

Muni d’un contrat établi en bonne et due forme, le jeune homme, originaire de l’Yonne, titulaire d’un BTS Banque et assurance, c’est-à-dire aux antipodes de sa nouvelle carrière, possède l’exclusivité nationale. De surcroît, il a ajouté d’autres nations dans son bas de laine : celles de la péninsule ibérique mais également la Belgique, l’Italie et le Luxembourg.

La première boutique à l’emblématique couleur rose (ce sont les coloris du groupe KAYSER au Chili mais il existe aussi des versions de magasins en bleu) ouvrira sa devanture d’ici quelques jours. Localisée Grande rue, et d’une superficie de cinquante mètres carrés, elle y accueillera Delphine, fraîchement embauchée au poste de vendeuse.

Là, la clientèle découvrira une gamme de produits catalogués dans la catégorie des sous-vêtements : collants, bas, pyjamas, nuisettes, slips, culottes, soutien-gorge,…bref, il y en aura pour tous les goûts et à tous les prix !

 

 

Gérant de la SARL au capital de 8 000 euros, Alexis se fixe des objectifs très précis au niveau de l’évolution de la marque. Primo, il est déjà en quête de futurs partenaires pour déployer le maillage de la franchise au niveau national. Une première cible pourrait être identifiée à Lille, bastion historique du textile en France.

A cinq ans, l’ambitieux entrepreneur se voit à la tête d’un réseau de boutiques oscillant entre 25 à 40 unités sur le territoire français mais aussi dans les pays dont il possède la licence d’exploitation.

Le projet aura vu le jour grâce au coup de pouce indispensable donné par INITIACTIVE 89, la structure associative icaunaise qui accompagne les porteurs de projets dans leur développement.

Une prise de contact avec l’un des spécialistes de la création d’entreprise, Julien LACOMBE, aura permis à Alexis AUSTRUI de valider ce rendez-vous opportun en un salvateur prêt d’honneur qui sera complété par un prêt à taux zéro. Une enveloppe globale de 15 000 euros indispensables à l’agencement du commerce et à l’achat du stock.

Un article réalisé avec le partenariat de l'association INITIACTIVE 89...

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Articles

Bannière droite accueil