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Entrepreneur en France, Alan Carey a opté très jeune pour les États-Unis. Attiré par le positivisme des USA, il décide de s'y installer pour y fonder une famille et y bâtir sa carrière. Après une expérience au sein de grands groupes industriels et la création d'une entreprise à Chicago, il aide désormais les sociétés françaises à s'implanter ou à se développer Outre-Atlantique. Dernier projet en date : le développement en Arizona d'un incubateur « sport et tourisme ». Direction les États-Unis pour ce nouvel entretien avec le dirigeant de www.deciderjuste.com, notre contributeur Philippe CARPENTIER qui accompagne les entrepreneurs lors des moments clés de leur existence. Extraite de son blog « 16h44 », son interview nous procure des éléments de réponse pour mieux comprendre les rêves de cet entrepreneur…

TRIBUNE : Alan, tu nous dis que quand un français a une idée des États-Unis, elle est souvent fausse...

Effectivement, les États-Unis ne peuvent être réduits à une vision unique. Vivre à Paris ou Oslo ne permet pas de connaître l'Europe dans sa diversité, c'est la même chose pour les USA qui renferment des territoires très variés. Chaque état est particulier, avec ses lois et sa culture propre. Certains sont faits pour vous et votre entreprise, d'autres non.

Si vous êtes dans les arts graphiques, par exemple, 80 % de votre marché se situe dans un rayon de sept cents kilomètres autour de Chicago. Si vous travaillez dans les cosmétiques, en revanche, c'est plutôt Los Angeles ou New York qu'il faut viser. Et si votre domaine est l'aménagement de maison, l'automobile, l'aéronautique aérospatiale, l’industrie bio ou encore les objets connectés, choisissez l'Arizona.

Quelles spécificités américaines as-tu pu observer au fil du temps ? 

Déjà, j'ai pu constater que certains mots sont tabous, bien plus qu'en France. Il vaut mieux ne jamais parler de sexe, de politique ou de religion dans le business. Les plaisanteries ou les jeux de mots directement traduits du français ne marchent jamais... Il faut essayer de s'adapter sans transposer le modèle français. D'ailleurs, l'américain moyen ne s'intéresse pas vraiment à la France, qui est pour lui un pays parmi tant d'autres.

Ensuite, j'ai observé que certains réseaux originaux propres aux USA offrent une voie de distribution intéressante. Les lieux de culte, notamment, constituent un réseau très puissant, souvent ignoré des étrangers. Le pays est si vaste qu'un Américain peut vite se retrouver isolé s'il change de territoire. Le lieu de culte demeure alors un lieu de sociabilité, d'ancrage et de confiance. Des relations essentielles s'y nouent. Des grandes églises possèdent des terrains de basket, organisent des dîners de partage, etc. En arrivant dans une ville, il peut être intéressant de faire du « church shopping », pour rencontrer des entrepreneurs. Cela fonctionne aussi avec les écoles, ou les clubs en tous genres. En leur donnant 30 % des bénéfices, vous vendez et faîtes connaître votre produit, tout en aidant le club. C'est une pratique très développée aux États-Unis.

Enfin, ce qui me semble être caractéristique des USA, c'est ce qui m'a attiré ici avec ma famille et que j'appelle le positivisme. Dès l'école notamment, la norme est d'atteindre l'objectif et d'obtenir des A ou des B. Le F est une exception et cela génère moins d'anxiété pour les élèves. Au contraire, ça favorise la motivation et l'envie de réussite. Tout est mis en place pour que l'élève comprenne et qu'il ait envie de s'investir. D'ailleurs, il est courant que les étudiants fassent une activité sportive, du théâtre, participent à une fanfare, le matin avant les cours. En France, l'échec d'un élève sera facilement affiché, alors qu'ici au contraire, on n'hésitera pas à convoquer un élève pour le complimenter à propos d'un bon résultat.

 

 

Pour implanter mon entreprise aux États-Unis, ou exporter, quels sont les fondamentaux ?

Même si chaque cas est particulier, il y a quelques points à retenir : d’abord, il est vraiment plus efficace de s'implanter en profondeur dans un état que de façon diffuse sur l'ensemble du territoire. Pêcher à la ligne plutôt qu'au filet. Il faut prendre en compte les spécificités de chaque état, et ne pas sous-estimer les distances, qui augmentent les frais de prospection. Et puis votre client de la côte Est n'attendra probablement pas quatre jours un colis envoyé depuis la côte Ouest, s'il peut obtenir un produit concurrent semblable plus rapidement.

Ensuite, il faut savoir qu'un salarié est souvent plus adapté qu'un réseau de distribution pour diffuser votre produit. Le distributeur a, par définition, d'autres produits à vendre et peut être moins impliqué qu'un employé qui connaît plus précisément le produit. Le code du travail est moins contraignant qu'en France et le formalisme minimal : une lettre d'embauche suffit et l'employeur définit le niveau de couverture sociale qu'il attribue. Pour créer une société, il suffit de quarante-cinq minutes et de cent dollars.

Il faut également s'engager de façon durable. Les premières commandes ne sont que le début du processus et la prise d'un marché demande du temps. Mais, le marché américain a un fort potentiel et vaut les efforts investis. C'est comparable à une partie de baseball : en France, quand la première base est gagnée (qualité du produit), vous avez quasiment remporté le match. Ici, la première base est facile d'accès, mais il faut ensuite gagner les suivantes (disponibilité du produit ou du service, livraison, satisfaction du client) pour remporter la partie. En fait, il faut se concentrer davantage sur la demande du client que sur la qualité du produit. Votre produit peut-être d'une grande qualité, s'il ne correspond pas aux attentes du client, il ne se vendra pas.

Le relationnel sera également déterminant dans la réussite de votre implantation. C'est important partout mais vraiment essentiel ici. C'est sur le terrain de golf que se créent les relations. L'intégration des spécificités culturelles est, en ce sens, fondamentale. Que votre produit soit Made in France peut être un avantage, mais il faut faire attention à une certaine forme de réticence vis-à-vis des produits étrangers. Pour faire tomber certaines barrières (liées à la crainte du retard dans les transports, complications à la douane, monnaie différente...) pensez à offrir des garanties du type « 100 % satisfait ou remboursé ». Il faut toujours être honnête et transparent.

Enfin, soyez direct et proactif. Inutile d'être présent à un salon si vous restez derrière votre stand. À l'instar de l'américain, entreprenant, il vous faudra capter l'attention d'un potentiel client en quelques secondes.

En quelques mots, comment réussir son implantation aux États-Unis ?

L'ouverture aux changements culturels profonds est la clé. Motivation, envie d'apprendre, ouverture d'esprit et adaptabilité sont les attitudes de la réussite sur notre territoire. C'est l'expérience que j'ai vécue quand j'ai découvert les États-Unis, et je suis prêt à la partager pour votre réussite.

L'Application  

Téléchargez " whats app ". Considérez que la qualité de votre produit est un paramètre important parmi d'autres, pas le seul critère de réussite. 

Ouvrez-vous aux différences de culture sans vous arrêter à la partie visible de l'iceberg. 

Contactez Alan CAREY pour tester confidentiellement les chances de succès de votre projet, et recevoir sa newsletter mensuelle. 

 

Philippe CARPENTIER

www.deciderjuste.com

 


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Existerait-il un dénominateur commun entre la biodiversité vécue dans l’univers industriel et le développement du travail en faveur des personnes en situation de handicap ? A bien des égards, oui, si l’on consulte le calendrier qui est posé en cette période automnale. Du 18 au 24 novembre se déroulera en effet sur notre continent, la Semaine européenne pour l’emploi des personnes handicapées. C’est cette thématique précise qui a retenu l’intérêt de la Communauté d’agglomération du Grand-Sénonais dans le cadre de ses rencontres proposées aux entreprises de son bassin géographique. En invitant ces dernières à découvrir le monde du handicap, l’organisme institutionnel souhaite pointer le curseur là où les choses doivent évoluer en France…

SENS : Entre sensibilisation et pédagogie, le Grand-Sénonais avance à fleuret moucheté dans sa relation privilégiée qu’il entretient avec le milieu de l’entrepreneuriat. S’octroyant le droit, au passage, d’apporter un fin éclairage sur la réalité professionnelle, vécue au quotidien, par des personnes victimes de handicap physique et mental.

Aussi, dans le cadre de son cycle régulier de rendez-vous distillés auprès des chefs d’entreprise du secteur, l’institution n’a pas hésité à faire un focus tout particulier sur cette thématique, souvent omise des préoccupations essentielles du grand public, pour s’y engouffrer bille en tête.

Le 21 novembre, en étroite osmose avec les services de LADAPT Bourgogne Franche-Comté, la Communauté d’agglomération du Grand-Sénonais apportera des éclaircissements concrets sur les attentes de ces personnes qui évoluent parmi la sphère industrielle de surcroît.

L’édile de Sens, et présidente de la vénérable collectivité intercommunale, Marie-Louise FORT convie les acteurs économiques à se rendre dans les locaux de la société ROSLER, implantée à Saint-Clément.

Les participants de cette rencontre y seront accueillis par le directeur général de la structure, Jean-Jacques ANDREU, en présence du maire de la commune, Gilles PIRMAN.

Le fournisseur mondial sur le segment du traitement de surface (grenaillage en combinaison avec des installations de lavage industriel) expliquera sa politique en matière de ressources humaines ; et la place accordée aux collaborateurs issus du handicap. Rappelons, pour mémoire, que 80 % des handicaps ne sont pas visibles…

 

 

Sensibiliser aussi à la protection de la biodiversité en milieu industriel…

 

Quelques jours auparavant, soit le jeudi 14 novembre, un premier petit déjeuner en entreprise aura été organisé chez un autre fleuron de l’industrie germanique sur le sol de l’Yonne, BASF CHEMETALL.

Le directeur du site sénonais, Patrick GRUBERT, recevra les entrepreneurs qui le désirent autour d’un thème nourri par la richesse de l’actualité : la biodiversité dans le monde industriel.

Un item qui parle à ce spécialiste du traitement de surfaces. Le site de Sens est très attentif à son environnement naturel. Une démarche en vue de protéger la biodiversité a même été statuée avec le concours précieux de l’association LPO (Ligue de protection des oiseaux). Employant une centaine de collaborateurs, BASF CHEMETALL Sens produit environ 90 000 tonnes de produits chaque année. Ils sont utilisés dans de nombreux secteurs industriels.

Ces deux dates, ainsi programmées sur le mois de novembre, demeurent libres d’accès, mais sur réservation, auprès de la direction du développement économique, commercial et de l’emploi du Grand-Sénonais.

Contacts utiles pour y prendre part : le 03.86.65.86.42., référence téléphonique de Paula LACOSTE.

 

Un article réalisé en partenariat avec la Communauté du Grand-Sénonais et la Ville de Sens.

 

 


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Plus de 400 techniciens spécialisés dans l’art et l’exercice de la mécanique de haute précision sont activement recherchés par la marque allemande pour grossir ses effectifs au niveau national. Pour y parvenir, le constructeur de Munich a développé depuis dix-huit mois un astucieux concept, baptisé « Sourcing Techniciens ». En y intégrant divers leviers d’actions. En tout premier lieu, via son réseau de concessionnaires, la prédominance d’un ancrage utile qui s’est renforcée auprès des lycées professionnels et des CFA.

PARIS : Créé il y a un an et demi, le dispositif « Sourcing Techniciens » commence enfin à porter ses fruits au sein du groupe BMW/MINI France. Afin d’enrayer le phénomène de récurrence observé depuis plusieurs années en matière de recrutement, le constructeur d’Outre-Rhin n’a pas hésité à faire preuve de pragmatisme pour résoudre une problématique gênante qui pénalisait son réseau de distributeurs.

De nombreuses actions font florès à travers l’Hexagone pour accroître les relations pérennes avec des lycées professionnels et des centres de formation liés au développement de l’apprentissage.

Une étude diligentée par la société automobile a permis d’aboutir à un constat plutôt surprenant, qui explique la frilosité des jeunes générations à tenter l’aventure professionnelle dans le groupe. 

Une grande majorité des apprenants français bénéficient de formation technique sur des véhicules de marques nationales. Or, beaucoup d’entre eux hésitent à découvrir ce qui se cache sous le capot d’un X 3 ou d’une Série 7, faute de connaissances.

De là à dire que les produits conçus par BMW et MINI effraient nos jeunes gens, on en serait pas loin si l’on écoute les représentants du pôle BMW France Formation, de passage la semaine dernière à Auxerre à l’occasion de la remise de deux véhicules par le groupe PANEL aux deux établissements pédagogiques de l’Yonne retenus pour profiter de ce double don !

 

 

 

L’Yonne, un département bien pourvu en dotation…

 

Mais, au-delà de ce curieux constat, il s’avère que cette crainte de l’inconnu s’observe également sur d’autres marques, issues du même terreau international.

Pour remédier à cela, et permettre aux futurs techniciens et mécaniciens diplômés de l’Hexagone de se sentir davantage à l’aise avec des modèles présentant des technologies avancées à leur bord, BMW France va offrir vingt-cinq véhicules de leur choix, à l’état neuf, dans le cadre de ce programme novateur.

Si l’initiative semble judicieuse, un seul bémol est à constater : il n’y aura que vingt-cinq automobiles offertes à autant d’établissements en France. Il en faudrait naturellement beaucoup plus. Mais, les dirigeants de BMW France réfléchissent déjà à poursuivre la démarche.

Néanmoins, cocorico, l’Yonne est plutôt bien pourvue avec le lycée Louis Davier de Joigny et le CIFA à Auxerre, deux récipiendaires de cet acte altruiste et généreux. Leurs responsables ont reçu la semaine dernière leur précieuse dotation et en feront bon usage dans leurs ateliers respectifs.

 

 


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La société industrielle de l’Avallonnais s’est illustrée de bien belle manière lors de la commémoration de son soixantième anniversaire. Notamment sur un double aspect, celui de l’éco-citoyenneté et du pur altruisme. Accueillant la représentante de l’Etat, la sous-préfète Cécile RACKETTE en ses murs, son directeur, Frédéric BOUILLY, a tenu à célébrer cette visite en validant un acte d’engagement fort en faveur du renforcement de la sécurité routière au sein de l’entreprise tout en encourageant ses collaborateurs à répondre aux besoins du SDIS, en quête de sapeurs-pompiers volontaires…

AVALLON : La visite officielle de la représentante de l’Etat, la sous-préfète Cécile RACKETTE, sur le site de l’industriel suédois en fin de semaine dernière se sera soldée par un geste empli de symboles pour la direction du groupe SKF Slewing Bearings.

Le directeur de l’entité icaunaise, Frédéric BOUILLY, a pris position au nom de l’enseigne qu’il représente localement en faveur du plan « Sept engagements pour une route sûre ». Un concept, porté par les services de la Sécurité routière, qui émanent de la préfecture de l’Yonne.

La signature protocolaire de ce document traduit ainsi la volonté de l’entrepreneur de veiller à la pratique d’une bienveillance déontologique en cas de mobilité de ses collaborateurs lors de leurs déplacements sur les routes.

Comme devait le préciser Cécile RACKETTE cosignataire de cette charte éthique au nom de l’Etat, « les entreprises ont un rôle extrêmement important à jouer en matière de sécurité routière car la majorité des accidents mortels du travail correspondent à des drames survenus sur la route, notamment entre le domicile d’un collaborateur et son lieu de travail… ».

Rappelant les principes élémentaires de sécurité que chacun se doit de respecter au quotidien, la sous-préfète de l’Avallonnais et du Tonnerrois insista sur le rôle de l’employeur qui fait figure d’inéluctable prescripteur dans les comportements civiques de tous les jours.

En outre, l’utilité de cette convention ne se résume pas à une simple annonce médiatique, qui marquerait les esprits. En interne, la direction de SKF alimentera de conseils et d’informatiques pratiques les différents services en vue de les éduquer sur une optimisation des bonnes manières vécues derrière le volant.

 

 

Encourager le développement du volontariat des sapeurs-pompiers…

 

Un autre bonheur ne venant jamais seul, SKF a profité de cet instant cérémonial auquel participaient le député de la circonscription André VILLIERS, la représentante de la Région, Muriel VERGES-CAULLET, la conseillère départementale Sonia PATOURET et le maire d’Avallon, Jean-Yves CAULLET, pour formaliser la mise à disposition de sapeurs-pompiers volontaires auprès du SDIS de l’Yonne, le Service départemental d’incendie et de secours.

Pour l’heure, la convention signée avec les autorités de secours ne concernent qu’un seul et unique collaborateur travaillant chez l’industriel scandinave. Mais, il est certain qu’un effet gigogne va survenir à la suite de cette annonce et susciter des vocations supplémentaires.

Précisons que les directions de Pneu LAURENT et de la Carrière d’Asnières-sous-Bois ont accepté il y a peu de prendre les mêmes dispositions à l’égard de leurs collaborateurs pour accroître les effectifs du SDIS dans la partie méridionale de notre territoire.

 


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Inscrite au programme annuel de formation des élus de Puisaye-Forterre, cette thématique, en marge de la loi de Finances 2020, constituera l’un des temps forts des fameux Entretiens, organisés depuis plusieurs décennies. Ceux-ci débuteront leur nouveau cycle informatif ce mardi 22 octobre au Centre de rencontres de la localité de Puisaye…

CHAMPIGNELLES : Chaque année, à pareille époque, nous reviennent parmi le flux de l’actualité institutionnelle de l’Yonne, les « Entretiens de CHAMPIGNELLES ».

La manifestation est proposée aux élus de Puisaye-Forterre (maires, conseillers municipaux mais aussi à des édiles qui bénéficient d’un mandat départemental ou régional). L’objectif primordial étant de leur distiller de précieuses informations techniques et juridiques se rapportant à des sujets majeurs qui leur permettent de les aider dans l’exercice de leur fonction.

Très suivi, ce colloque de belle facture dans son approche organisationnelle et intellectuelle se décompose en trois temps.

Deux rendez-vous y seront déclinés sous la forme de conférences débat. A ce titre les dates à retenir lors de cette édition 2019 sont le 22 octobre et le 15 novembre. Elles seront agrégées d’un voyage d’étude à l’étranger dans l’un des pays européens.

Après la Roumanie, ce sera au tour de la Bulgarie de dévoiler son mode de fonctionnement étatique et territorial aux congressistes qui ne manqueront pas de se rendre sur place, à Sofia et dans quelques-unes des localités rurales alentours, du 03 au 07 novembre afin de constater cela de visu.

Lors de la session prévue cette semaine, l’association de formation des élus de Puisaye-Forterre, présidée par le maire de la commune de CHAMPIGNELLES, Jacques GILET, accueillera le sénateur du Cantal, Bernard DUCROS.

Celui-ci interviendra dans le cadre d’une conférence traitant de l’état des lieux des finances des communes dans l’Hexagone. Un exposé attendu avec beaucoup d’intérêt par les élus du territoire icaunais qui ne manqueront pas de réagir aux propos de l’élu du Palais du Luxembourg.

Un second orateur, Philippe ALPY évoquera le rôle de l’Etablissement Public Foncier dont il représente les intérêts en Bourgogne Franche-Comté en sa qualité de président régional.

 

 

 


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