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« Il voyage en solitaire, et nul ne l’oblige à se taire, il chante la terre… ». On a tous en mémoire l’ode poétique de Gérard MANSET, interprétée en 1975. Des paroles empreintes de liberté et de sérénité qui vont comme un gant à ce « Marcheur au grand cœur », puisque que tel est le surnom donné à ce natif du plat pays belge et membre du Lions Club International de Bruxelles Saint-Hubert, Jean-Marie VAN BUTSELE. Ce dernier a fait une double étape dans l’Yonne cette semaine. Traçant inlassablement sa route, sac de 20 kg sur le dos pour une noble cause : la récolte de dons pour lutter contre les cancers pédiatriques…

 

AUXERRE : Dites trente-trois ? Non, blague à part, notre sexagénaire au tonus d’airain et au moral d’acier – un visage de jeune homme avec les traits, certes, un peu tirés après une longue journée de marche dans la petite brise hivernale qui balaie l’Yonne – a choisi de rejoindre la localité de Palamos au cœur de la touristique Costa Brava – ah, ça fleure bon la période estivale et les tapas à déguster sans modération à l’aide d’une sangria sur l’une des superbes plages de ce littoral de la province de Gérone – non pour pas y conter fleurette en mode dilettantisme comme tout bon retraité qui se respecte, mais bel et bien pour y collecter des dons, servant à une noble cause. La lutte contre les cancers pédiatriques, ceux qui frappent cruellement la chair de notre chair, nos enfants.

Trente-trois ? Parce que ce marcheur impénitent, à la silhouette de pèlerin cheminant vers Compostelle – ça, c’est de l’autre côté de la péninsule ibérique ! – s’est donc lancé dans une folle aventure pédestre et en solitaire de plus de 1 100 kilomètres. 1 177 km avec précision répartis sur trente-trois étapes lui permettant de sillonner sa Belgique natale, l’Hexagone et un tout petit morceau d’Espagne ! Un raid, où il est accompagné en tout et pour tout d’un unique compagnon, son sac à dos chargé d’une vingtaine de kilos de produits strictement nécessaires. Pas de quoi acheminer toute une garde-robe, convenez-en !

 

Le soutien inconditionnel à la Fondation des Bâtisseurs d’Etoiles en Belgique

 

« Le Marcheur au Grand Cœur ». C’est comme cela que Jean-Marie VAN BUTSELE est surnommé dans sa royale contrée par la kyrielle de médias qui se sont entichés du personnage. Car, notre atypique sportif de l’extrême – d’une rare courtoisie et d’une joie de vivre à condamner définitivement à la fermeture tous les cabinets des psys et autres coaches en ressources bien-être mental ! – n’en est pas à une excursion près. Chaque année, il biffe sur son agenda, bien rempli en courses es qualité de guide de haute montagne (Mont Blanc) ou de conférences proposées auprès de clubs services et des associations, une période de temps nécessaire à l’accomplissement de son Graal personnel : décliner avec aisance altruisme et générosité, à plus de 70 ans, via ses randonnées au long cours, une opération caritative au service d’une cause. Notamment, celle défendue par la Fondation des Bâtisseurs d’Etoiles.      

 

 

Une structure accueillie en Belgique qui agit en faveur des enfants sans distinction pour que ces derniers puissent bénéficier des meilleurs soins médicaux. Des bambins et adolescents qui sont touchés par la maladie ou le handicap…

En provenance de Tonnerre où il fut accueilli par des membres de l’ancien Lions Club local – un réseau de cœur où l’humanisme est capital -, le marcheur solitaire arriva mardi en fin d’après-midi au terme de sa longue étape de transition, devant le conduire ensuite vers la Nièvre limitrophe, du côté de Chitry-les-Mines. Point de chute : Voutenay-sur-Cure.

 

 

Le coup de pouce de 500 euros des clubs Lions de l’Yonne

 

Conduit en voiture – une fois n’est pas coutume, cela fait aussi du bien de récupérer façon repos du guerrier sur le siège passager confortable d’une marque allemande -, notre singulier randonneur fut accueilli par les représentants de différents Lions Club de la zone départementale du district Centre Est 103, les deux structures auxerroises, Phoenix et Rives de l’Yonne, ainsi que les clubs d’Avallon et de Sens. Dont le président de zone, l’Auxerrois Pierre-Nicolas JOLIOT, très en verve dans ses propos de présentation.

Là, un peu fatigué, mais ravi d’être reçu avec gentillesse et sympathie, Jean-Marie VAN BUTSELE prit la parole quelques instants pour évoquer son périple physique et ses objectifs à atteindre en matière de collecte. L’an passé, sa grande traversée de la France l’avait poussé jusqu’à Monaco où reçu par la famille princière sur le Rocher il repartit avec une somme globale collectée au fil de ses pérégrinations de plus de 26 000 euros ! Encourageant pour la suite de ses projets !

Passionné de spéléologie, le cousin wallon obtint une coup de pouce supplémentaire de 500 euros à l’issue de cette soirée conviviale, où aux côtés des clubs Lions de l’Yonne, Jean-Marie VAN BUTSELE put apprécier la fraternité ambiante autour d’un bon verre de chablis et d’irancy, histoire de mieux s’imprégner des valeurs fortes de l’hospitalité icaunaise ! Promis, il reviendra !

 

Thierry BRET

 

 

 


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C’est le ras-le-bol généralisé dans le monde de l’éducation. La lente descente aux enfers, avec le chien Cerbère qui accompagne les morts ! L’incompréhension la plus totale après les derniers soubresauts politiques, menés entre le ministère de l’Education nationale et celles et ceux qui incarnent l’enseignement pédagogique dans ce pays au quotidien.

Une gabegie sans nom et sans fin, qui possède désormais ses ramifications multiples, faites de cartes scolaires aux découpages très arbitraires et préoccupants pour les zones rurales et leur attractivité.

Faite de ces obligations vestimentaires d’un autre temps, intimant aux enfants de s’affubler d’un uniforme insipide au nom de la cohésion sociale et de l’égalité des chances – quelle plaisanterie et quel retour en arrière rétrograde ! – alors que les problématiques se nomment la surcharge des effectifs en classe et la nomination de  nouveaux enseignants pour pallier aux manques spectaculaires de personnel, dans le public ! Le monde de l’école en France n’est-il pas là encore en retard d’une guerre comme dans bien d’autres domaines qui composent notre société ?

C’est risible et pitoyable à la fois ! Alors que le classement international PISA démontre un affaissement en chute libre du savoir dispensé dans l’Hexagone vis-à-vis des grandes puissances planétaires qui nous font concurrence, que les enseignantes et enseignants de ce pays souffrent de ne pas pouvoir assurer dans sa phase optimale ce pourquoi ils se sont engagés à faire en donnant des cours après avoir obtenu leurs diplômes, alors que les communes champêtres perdent les unes après les autres leurs classes et leurs élèves quand ce n’est pas l’école toute entière ; on se préoccupe davantage dans les alcôves bien-pensantes de l’Etat du choix et du coloris du vêtement qui devra être porté par les potaches dans les cours de récréation afin d’éviter jalousie, discrimination et déni ?!

Mais, où va-t-on dans cette France déclinante et hors course du XXIème siècle !!!

 

 

Déjà antan, il fallait dégraisser le mammouth !

 

Ne devrait-on pas parer au plus pressé en répondant aux sujets de fonds qui polluent et paralysent le milieu de l’Education nationale depuis des lustres. L’excellent Claude ALLEGRE en faisait état en son temps, parlant de dégraissage du mammouth en évoquant les turpitudes vécues par la « Grande Maison ». Las, il s’y est cassé les dents – même lui, diront les puristes ! – avant de repartir vers un tout autre destin. Aujourd’hui, rien ne semble avoir été fait ou presque tant les problèmes à l’école semblent abyssaux. Voire insurmontables…

Prenons l’exemple de la carte scolaire et de son nouveau découpage. Jamais, ils n’auront autant mis à dos les élus de la Nation au pied du mur, celles et ceux qui vivent dans de petites localités ayant encore la chance de posséder une école, source de vie, suscitant la venue de nouveaux habitants et l’installation de commerces de proximité.  Vital, en somme, pour leur survie économique.

Vent debout ces élus, de toutes obédiences politiques, se sont révoltés ces jours derniers et se révolteront encore d’ici la rentrée prochaine contre ces coupes sombres sur la foi d’une arithmétique technocratique, pur jus, qui fragilise leurs localités et l’existence même de celles-ci.

Des élus qui n’ont plus peur de parler et d’afficher leurs mécontentements par voie de presse ou sur les réseaux sociaux.

 

 

C’est la fin de vie pour les villages ruraux

 

« Les habitants, dont les parents d’élèves de ces communes non desservies par l’Education nationale pensent qu’une fois de plus, on dépouille le monde rural, qui est pourtant l’un des ciments de la France…, confie un élu local.

Véridique ! On assiste désormais à la lente destruction de ces villages cocardiers, où autrefois régnait la joie de vivre. Terminus, tout le monde descend ! Les classes et les écoles ferment leurs portes ; la jeunesse déserte ces endroits obscurs et glauques où leur progéniture ne sera plus accueillie – si tant est qu’elle ait encore envie de procréer vu le monde de ouf dans lequel nous nous débattons ! – et les anciens, les plus nostalgiques d’entre nous, n’ont plus que leurs yeux pour pleurer.

C’est donc cela, la France des campagnes, aujourd’hui, privée de ses écoles, de ses magasins, de ses paroisses, de ses services, de ses habitants !

Les enfants seraient-ils donc pris pour des pions ? Et leurs parents, électeurs en puissance, de simples moutons de Panurge qui doivent s’exécuter sans broncher ?

 

 

Casser l’école, c’est l’amorce de l’effondrement de tout le système

 

Casser les écoles et les classes, c’est en rajouter un peu plus dans la cohorte de choses qui ne vont pas bien dans notre contrée. Petit tour d’horizon !

Où en est l’industrie ? C’est simple, elle a été délocalisée à l’autre bout du monde quand elle n’a pas été détruite en pure perte. On l’aura constaté lors de la période de la crise sanitaire et des difficultés à pouvoir se fournir en médicaments et en masques de protection.

Quid de l’armée en France ? Elle est tellement réduite à la portion congrue, quant à ses effectifs, et pas suffisamment équipée en armements que nous ne possédons pas, que face à une guerre conventionnelle de longue intensité nous ne pourrions espérer tenir qu’une quinzaine de jours selon les spécialistes ! Heureusement que nous sommes dans le club très restreint des pays à dissuasion nucléaire, non ?!

Côté santé et médecine, n’en parlons pas ! Le manque criant de médecins imputable à un numerus clausus d’arrière-garde pour protéger les prés carrés de certains et les difficultés récurrentes de l’hôpital placent la France dans un contexte de désertification médicale comme elle n’a jamais connu ! Un comble au  XXIème siècle, alors que la courbe démographique exponentielle confirme le vieillissement de la population.

Au chapitre des transports, l’actualité autour de la énième grève à la SNCF – cette fois-ci ce sont les contrôleurs de train qui privent 150 000 de nos concitoyens de vacances d’hiver parce qu’ils ne toucheront qu’un peu moins de 4 000 euros mensuels en fin de carrière ! – nous ramène à la triste réalité d’une société à multiples vitesses. Mais, pas à celle des TGV pour la grande majorité d’entre nous, en particulier celles et ceux qui n’ont jamais droit à rien !

Enfin, il y a l’agriculture qui ne cesse de tomber de Charybde en Scylla avec son lot de désespérances, de contestations, de revenus plus bas que bas, et de...suicides si ordinaires et banalisés qu’ils n’émeuvent plus grand monde.

L’école, c’est sacrée ! C’est encore le lieu de l’unique espoir pour tous ceux qui croient  aux vertus citoyennes de la pédagogie et de l’enseignement pour tous, à la méritocratie en nivelant par le haut. Si désormais, on casse le jouet pour des raisons infondées en privant les élèves des zones rurales de possibilités intellectuelles accessibles, ce sera donc l’effondrement de tout le système ! Ainsi soit-il !    

 

Thierry BRET

 

 


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Stop ! Il faut que cela cesse ! Tout le monde se gausse au quotidien à grands renforts de commentaires dithyrambiques le plus souvent anglicisés, voire enjoués via les réseaux sociaux ou lors de soirées conférence proposées dans les cercles économiques, des apports faramineux de l’intelligence artificielle (IA) sur le devenir de l’humanité. Histoire de la rendre plus performante, plus sûre d’elle-même, plus crédible aux yeux de tous oui mais de qui ?, plus rentable, plus brillante encore qu’elle ne l’est déjà et surtout… plus « conne » que dans la réalité !

Georges ORWELL et René BARJAVEL nous avaient bien prévenus jadis avec leurs écrits ô combien prophétiques dont il faut relire la moindre des pages en se délectant, des écrits  qui ne ressemblaient nullement à de la science-fiction : l’homme sera tôt ou tard rattrapé par la machine et sa prétendue intelligence numérique, qui n’en est pas une dans les faits.

Car, elle est utilisée le plus souvent à mauvais escient pour mieux spolier, voler, arnaquer, escroquer, menacer, truander…celles et ceux de nos semblables, des néophytes, des béotiens, des jeunes, des vieux qui en sont les premières victimes. Comme de bien entendu…

Un sacré coup de poignard dans le dos dont bon nombre de Français (et autres citoyens de la planète) observent désormais les actes fallacieux et pervers à la vitesse grand V, répréhensibles à bien des égards par la justice.

 

Tu paies ou je te dénonce sur la toile !

 

Voulez-vous des preuves ? Il ne se déroule pas une journée sans que l’on ne reçoive sur les appareils à haute valeur ajoutée technologique que sont nos ordinateurs, portables, tablettes, etc. – nos référents bibliques du quotidien puisque nous sommes tellement intoxiqués et dépendants à leurs usages comme une drogue que nous que nous dormons même avec pour certains ! - des menaces et accusations de la part de ces « professionnels », ultra rodés et friands utilisateurs de l’« IA » à tous les étages et qui en détournent les soit disant bien-fondés, en exigeant rançons, acquittements d’une dette, pénalités, prélèvements bancaires, et tutti quanti !

Sous peine de publier les photographies, l’identité, le patronyme de votre auguste personne sur la toile en vous pointant de l’index pour des raisons ubuesques : hou, le vilain, il a commis une faute indigne et masturbatoire face à sa web caméra, il faut qu’il paie tout de suite sinon on le livre à la vindicte populaire !

Sous peine d’être convoqué par la gendarmerie nationale ou la justice qui ont le mauvais rôle dans l’histoire puisque sollicitées à tout bout de champ par ces faussaires de l’âme sans vergogne qui produisent de fausses convocations judiciaires et qui ne sont plus comme auparavant bourrées de fautes d’orthographe et de syntaxes ! A croire que les malfrats auraient gagné en neurones en prenant des cours de grammaire et de vocabulaire ?!

 

 

Le monde du XXIème siècle est devenu « cyber-connerie » !

 

Sans compter les menaces récurrentes de procès avec lourdes amendes à l’appui qui virent au harcèlement mental pour les malheureux destinataires de ces e-mails, SMS et messages téléphoniques abjects, dénués de fondement car ne reposant sur rien au plan juridique, qu’il faut donc ingurgiter à longueur de journée. Ils sont des centaines de milliers chaque jour en France et des millions dans le monde à recevoir cela ! Sans protection aucune, sauf à les dénoncer ouvertement et à les combattre !

Bonjour, le respect de l’intégrité morale ! Merci à cette « Intelligence Artificielle » de daube pour ne pas dire autre chose qui est à l’origine de ces nouveaux maux qui polluent la société ! Une société qui n’avait vraiment pas besoin de cela, à l’heure actuelle, qu’on en convienne…

Qu’on se le dise, mesdames,  messieurs, le monde du XXIème siècle (totalement pourri, répugnant et nauséabond au plan de la moralité et du civisme) est devenu cyber à bien des égards. Cyber sécurité. Cyber attaque. Cyber contre-attaque, aussi. Bref, surtout cyber connerie !

 

 

Des conséquences catastrophiques sur l’économie et la société…

 

Sauf que dans les faits, les répercussions sur le mental des humains, sur les pans de l’économie toute entière, sur le fonctionnement des institutions sont catastrophiques. Chaque jour, les harceleurs dont il faut pendre haut et court toutes les initiatives scandaleuses provoquent des drames aux conséquences funestes incalculables.

Ici, des PME et entreprises sont en proie à des grandes difficultés car soumises à d’innombrables rançons auxquelles il est impératif de ne jamais verser le moindre centime d’euro (la technique de la demande de signature du faux patron est très répandue) ! Là, des centres hospitaliers sont pris en otage par les attaques cyber des états voyous de la planète – il n’est même plus nécessaire de les citer, on les identifie par simple évidence ! -, condamnant les praticiens à différer les interventions chirurgicales, faute de dossiers médicaux fiables et sérieux.

Cette semaine, ce sont plus de 33 millions de Français, vous, moi et autant d’autres, qui ont été victimes sans même le savoir des attaques coordonnées de ces « hackers » à grande échelle au niveau international, commandités par les forces  obscures du mal comme le dirait Dark Vador (!) contre des mutuelles hexagonales. Les professionnels des soins (dentaire, optique…) ne savent plus à quels saints se vouer depuis, privés pour l’heure des effets régulateurs du tiers-payant !

La France redoute des attaques de tout poil numérique lors des prochains Jeux Olympiques, accueillis à Paris  à l’été. Sommes-nous prêts pour y faire face ? Aurons-nous les parades nécessaires ? Sachant que des réponses appropriées de l’avis des experts existent pour contourner cela.

Non contente de supprimer au cours de la décennie à venir plus de 300 millions d’emplois aux Etats-Unis et en Europe – ce qui laisse a priori tout le monde indifférent à date dans nos sphères bien pensantes ! -, l’IA, mal intentionnée et détournée de ses valeurs originelles, représente une telle menace pour l’Humanité que l’on n’ose en imaginer les véritables conséquences psychiques et psychologiques sur la société. Il ne manquerait plus que son usage s’inscrive au programme des futurs Jeux Olympiques de Los Angeles en 2028 ? Elle obtiendrait assurément la médaille d’or !     

 

Thierry BRET

 

 


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Faites vos jeux, Mesdames, Messieurs ! Rien ne va plus ! La France ressemble de plus en plus à une sordide table de roulette défraîchie, dans un casino respirant l’encaustique où l’atmosphère surannée commence à sentir le souffre et la scoumoune en guise de martingale.

Les joueurs – en l’occurrence les citoyens lambda que nous sommes tous – ou du moins presque tous ! – y déposent leurs plaques (leur argent, leur espérance, leurs envies, leurs illusions, leur travail…) sur le tapis vert de la vie avant que la boule blanche ou noire, selon les cas, lancée par le gouvernement ou la technocratie européenne, tourne inexorablement avant de s’arrêter sur la case. Gagnante ? Pas si sûr dans la loterie de l’existence actuelle ! Car, on le sait tous, la loterie de la vie, elle est vraiment pipée, injuste et pas égalitaire !

 

La loterie de la vie ? A tous les coups, on perd !

 

Tiens, je suis tombé sur l’emplacement de l’agriculture avec son lot de revendications à outrance, soutenues par plus de 80 % des Français. Une corporation qui se paupérise à l’extrême et dont les revenus moyens, bien en deçà des mille euros mensuels, donneraient de l’urticaire à qui veut l’entendre !

Tiens, voici celle de l’Education nationale qui n’est pas mal non plus, côté stabilité et réjouissance, avec ses enseignants et ses parents d’élèves en colère qui ne cessent de manifester pour des jours meilleurs, une vraie reconnaissance de certains de leurs métiers et des postes supplémentaires à créer pour combler les manques stratosphériques existants à toutes les étapes de la filière.

Tiens, voilà celle des élus territoriaux qui souffrent de leur ruralité et qui en ont ras-le-bol de voir partir leurs habitants, faute de services de l’Etat dignes de cette appellation, d’hôpitaux qui fonctionnent, de réseaux téléphoniques qui ne soient pas défectueux en permanence et de classes qui ferment…En y perdant leur attractivité !

Tiens, il y aussi celle de ses boîtes qui s’écroulent les unes après les autres, de ces artisans et commerçants, de ces indépendants qui vidés de leur substantifique moelle de professionnels perfectionnistes  – leur clientèle et leur savoir-faire – ne trouvent même plus la force d’ouvrir leurs boutiques et se prennent à rêver de retraite. Normal, il n’y a plus personne qui souhaite venir bosser dans leurs entreprises…Ni chez les jeunes, encore moins chez les vieux !

 

 

 

Où est le système qui viendra sauver l’Humanité ?

 

Ah oui ? Sauf que la retraite, ce n’est pas pour tout de suite, désormais : et qu’il faudra bien s’armer de patience jusqu’à 64 ans révolu et trimer comme un beau diable, en serrant les poings et les dents tout en acceptant son stress, les brimades de supérieurs parfois névrosés car soumis à trop de pression et l’arthrose afin d’effectuer dignement les ultimes trimestres (ou semestres) qui mènent tout droit vers la liberté ! De celle dont on parle avec un grand « L » !

Si, évidemment, les lourdeurs, rigueurs et autres absurdités administratives, sans souplesse aucune qui gèrent ce pays et ceux de l’Union européenne, ne viennent pas entre-temps vous clouer aux piloris avec des taxes, des pénalités et des charges à n’en plus finir qui conduisent certaines et certains – plus de 600 personne l’année dernière dans le seul milieu agricole, on aimerait bien avoir les chiffres de toutes les professions en France – à se munir d’une corde pour mieux trouver la poutre idéale à leur salut…Circuler, il n’y a plus rien à voir, cela fera cinq lignes dans la rubrique des faits divers !

Mais, alors d’où viendra-t-il ce salut salvateur à l’homme moderne, dépassé par des évènements que nul ne maîtrise véritablement ? Du retour du Messie sur Terre ? Peu probable !

De l’accueil des Jeux Olympiques de Paris, dont les mirifiques louanges nous sont vendues à grandes doses de messages mirobolants tous les quatre matins parmi toutes les mondanités institutionnelles et entrepreneuriales de France et de Navarre, alors que le pays n’est sans doute pas prêt au niveau logistique et sécuritaire à recevoir un tel évènement ?

Du premier implant digitalisé que l’une des entités technologiques d’Elon MUSK – un docteur « Follamour » incontrôlable et dangereux qui se prend pour Dieu le père en modifiant la génétique de l’homme et en envoyant des pseudos fusées dans l’espace – en posant ladite puce électronique dans un cerveau humain afin de le rendre plus intelligent ou…plus asservi à sa folie ?! Pour ne pas dire plus…

A la multiplicité de ces réseaux « associaux » qui ne véhiculent que haine et voyeurisme, qui ne provoquent que colère et jalousie en attisant les rancœurs et l’égocentrisme parmi ses suiveurs ?

Aux partis politiques, enfin, tous en ordre de marche, parés à livrer la mère des batailles à l’assaut du palais élyséen en…2027 ? Déjà, que les Européennes ne passionnent pas les foules ! C’est dire !

 

D’une roulette à l’autre, il n’y a qu’un pas pour certaines filières…

 

Cet inventaire à la Prévert pourrait noircir des centaines de pages, c’est évident. Tant il existe des fractures qui ressemblent à des failles sismiques, voire abyssales, dans notre société, notre pays, notre monde. Sociale, numérique, financière, intellectuelle, sectorielle, géographique, culturelle et cultuelle, pour sûr !

On naît tous égaux, dit-on, à l’image, soi-disant, de notre créateur. Sauf que dans la France, l’Europe, le monde du XXIème siècle, l’égalité est une valeur qui n’a plus lieu d’être, au vu de cet individualisme galopant et cet incivisme exacerbé qui nous conduisent tous à notre perte.

De même, les deux autres mentions qui sont frappées sur les frontons de nos mairies, liberté et fraternité. Belles paroles démocratiques que celles-là qui ploient sous le joug des régimes autoritaires, ne cessant d’étendre leur influence sur le globe.

Le problème, c’est que ce petit jeu-là, celui de la roulette où politiques et technocrates font tourner sans cesse à leur manière et en leur faveur la boule blanche ou noire de notre vie, selon leur bon vouloir et sans concertation aucune avec les citoyens, commence à peser lourdement sur les existences et le moral de ces hommes de bonne volonté, qui possèdent encore une once de discernement dans les neurones.

Peut-être que ces derniers n’auront alors plus qu’un seul choix, un jour, pour faire face à toutes ces décisions imposées méthodiquement par le haut. Celui de jouer avec une toute autre roulette, nettement plus funeste et irréversible quant à l’issue, russe de surcroît…Faites vos jeux, rien ne va plus…

 

Thierry BRET

 


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Ca barde sec dans les fermes et les exploitations tricolores ! Depuis une huitaine de jours, la France des villes se sera donc souvenue qu’il existait  bel et bien une France des champs, et celle-ci le fait savoir. Une France agricole qui ne doit pas être seulement honorée, une fois l’an, lors de l’incontournable évènement version image d’Epinal de la filière, soit le Salon international de l’Agriculture, accueilli en février à Paris.

En l’espace de quarante-huit heures, le ton protestataire a donc bien changé à travers l’Hexagone. Exit la signalétique qui se retrouve tête-bêche à l’entrée des villages – une action symbolique sans doute trop gentillette et puérile pour inquiéter les pouvoirs publics ! -, place dorénavant à de vraies opérations coups de poing, réalisées dans un esprit pacifique et bon enfant, à l’aide de tracteurs et autres matériels agricoles, servant à mieux gêner la circulation.

Surtout autoroutière, soit dit en passant. Cela tombe bien : juste avant la prochaine hausse habituelle de 3 à 5 % des tarifs pratiqués dès le portique du péage franchi sur ces voies à très grande vitesse ! Qui prendra en charge, par ailleurs, les dédommagements du manque à gagner de ces sociétés privées qui appliquent avec une arithmétique méthodique et dans la quasi indifférence générale les hausses annuelles comme si de rien n’était ?! Bing, ça tape dur sur leurs chiffres d’affaires ! Personne ne sortira de mouchoir pour la perte sèche !

 

 

Plus de 600 agriculteurs passés de vie à trépas en 2023…

 

Mais, là, n’est pas le débat. Cela fait déjà plusieurs mois que le monde agricole dénonce les incohérences gouvernementales, surtout l’absence de cohésion dans leurs discours et dans les actes, au sujet des grands items qui réglementent la filière. Deux syndicats, entre autres, sont montés au créneau de la revendication depuis l’automne : la puissante FNSEA (Fédération nationale des syndicats d’exploitants agricoles) et les JA. De jeunes agriculteurs qui prennent de plus en plus d’importance dans la sphère paysanne hexagonale et qui osent se montrer.

Chacun de nous a encore en mémoire cette fameuse action « On marche sur la tête ». Un slogan empreint d’humour pour une opération qui n’en manquait nullement : retourner les panneaux indicateurs des entrées de village dans les territoires ruraux mais aussi en agglomération !

 

 

Ce sont les apprentis automobilistes qui ont dû se poser quelques questions  à chaque bourgade traversée en compagnie de leur moniteur d’auto-école ! Ce n’était pas inscrit dans le Code de la Route !

Déjà, à cette période, FNSEA et JA exigeaient des mesures concrètes, fortes, visibles pour sortir de leur marasme et de l’ornière ces milliers d’exploitations en pleine déshérence sociale. Une gabegie innommable qui a coûté l’existence à plus de 600 agriculteurs en 2023, passés de vie à trépas après leurs suicides. Eloquent…

Trois axes prioritaires prévalaient donc parmi les revendications exprimées par des agriculteurs déjà en colère : rendre sa dignité à l’agriculteur (souvent traité de pollueur du fait de l’utilisation de produits phytosanitaires), mieux rémunérer le fruit de leur travail (un fait avéré déjà pointé du doigt avec le fameux texte de loi EGALIM appliqué par quasiment aucune grande enseigne de la distribution) et le rétablissement des conditions acceptables dans l’exercice du métier.

 

 

Le GNR : le minimum vital que l’on pouvait nous accorder !

 

Et là, sur ce sujet si brûlant, les manifestants de la campagne profonde en ont à foison des arguments vindicatifs à réclamer ! A commencer par l’accumulation de ces normes édictées parfois en dépit du bon sens (400 000 à l’échelle de la France et l’UE réunies) qui perturbent à n’en plus finir le quotidien de ces travailleurs oubliés de tous, qui multiplient le nombre d’heures de boulot par semaine afin de mieux nourrir la planète !

Oui, mais voilà, de tout cela on parlait déjà il y a trois mois ! Et même avant puisque la problématique agricole, talon d’Achille dans le système économique français, ne remonte pas d’hier, mais de plus de vingt à trente ans !

Dans sa première intervention en qualité de Premier ministre plutôt néophyte sur ce domaine – on peut reconnaître sans vergogne que Gabriel ATTAL a tout de même bien potassé ses dossiers avant de se rendre en Haute-Garonne pour y rencontrer de visu les représentants des délégations syndicales qui tenaient l’un des barrages, érigé sur une portion d’autoroute – a tenté de répondre aux besoins urgents et immédiats de la filière professionnelle.  

Notamment sur le volet du GNR, le Gazole Non Routier, qui se verra donc amputer jusqu’à nouvel ordre de son augmentation de taxe initiale. « C’était le minimum vital qu’il pouvait nous proposer », aura confié à l’issue de la prestation un brin laconique, un syndicaliste gréviste à Nitry sur l’A6 ayant écouté les propositions ministérielles.

Et après, pourrait-on dire ? L’intervention de Gabriel ATTAL aura-t-elle convaincu celles et ceux qui bloquent les accès autoroutiers et se relaient pour entretenir la flamme nourrie des braseros ? Il semblerait que non, au moment où se rédigent ces lignes.

Pire, les représentants de la Confédération Paysanne évoquent désormais la possibilité pour les grévistes de se rendre à Rungis, plaque tournante de tous les circuits de distribution alimentaire de notre pays, pour y mettre la pagaille ! Et ce, dès lundi !

Bref, si la souveraineté alimentaire à la française semble bien avoir du plomb dans l’aile en ces derniers jours de janvier, il se pourrait bien, avec une telle action devant se prolonger durablement si l’Etat ne lâche pas sérieusement la bride, que tout le pays ait à souffrir de ce blocus, notamment sur les étals de la GMS ! Avec, à prévoir des rayonnages vides et une hausse des prix répercutés aux consommateurs, une tradition cocardière en somme…

 

Thierry BRET

 


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