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Il s’est fait pédagogue, l’adjoint au maire d’Auxerre en charge du Logement, de l’Habitat et de la Vie associative ! C’est sur ce dernier registre que le président de l’OAH (Office Auxerrois de l’Habitat) Vincent VALLE accueillait il y a peu une délégation, composée de vingt-cinq jeunes gens, issus du CIF, le programme du Centre International de la Francophonie, piloté par le Lions Club de France. Présentant la richesse patrimoniale de l’Abbaye Saint-Germain à son auditoire, l’élu a salué l’initiative du club service qui renforce les liens entre les peuples…

 

AUXERRE: Dans le grand hall d’entrée de l’abbaye Saint-Germain, cadre d’exception patrimonial s’il en est, l’adjoint en charge du Logement, de l’Habitat et de la Vie associative s’est voulu surtout très explicatif dans sa démarche oratoire. Face à lui, de jeunes gens aux couleurs de peau différentes, aux pratiques religieuses éclectiques, mais, ayant comme dénominateur commun cette folle envie dans l’âme de tout comprendre et tout assimiler des propos qui résonnaient dans l’espace ! Le trait d’union entre ces vingt-cinq ressortissants de pays répartis aux quatre coins du globe : la francophonie !

Eux, ils ont écouté avec réel intérêt l’orateur municipal. En scrutant avec de grands yeux le moindre centimètre carré de cette construction majestueuse, chargée d’histoire. Pas sûr que tous aient déjà vu une abbaye dans leur existence !

Vincent VALLE avait dû le remarquer lui aussi : il enfonça le clou méthodiquement en insistant davantage via le verbe sur l’histoire de cet endroit peu banal. Il parla de travail, de formation, de savoirs transmis auprès de jeunes moines. Captivant ainsi l’assemblée qui se forma en demi-cercle autour de lui. Un peu en retrait, les deux présidents des deux clubs Lions auxerrois, Rives de l’Yonne et Phoenix, Pierre-Nicolas JOLIOT et Jacques GAUTHIER écoutèrent eux-aussi, accaparés par les renseignements fournis par l’édile.

 

 

« On dit que Saint-Patrick a été formé ici même par Saint-Germain, ajouta doctement le président de l’OAH que l’on retrouvait sur un tout autre terrain de jeu que le monde de l’habitat et du logement même s’il est lui-même adhérent du Rotary.

Puis, il présenta la guide devant officier ce jour, Camille, qui accompagnera le petit groupe deux heures durant lors d’une visite intense dans les moindres recoins de l’abbaye et ses jardins. Une guide experte et prolixe qui n’hésitera pas à utiliser des aspects ludiques pour intéresser davantage ces jeunes gens en provenance du monde aux richesses du patrimoine auxerrois.

Avant de découvrir ce lieu séculaire, le groupe et ses accompagnateurs, encadrés des membres des deux clubs service Lions locaux, visitèrent le centre de formation de l’AJ Auxerre ainsi que le fameux musée, nouvel atout touristique de l’approche du football dans l’Yonne. Des images qui feront le tour du monde avec les jeunes gens du Centre International de la Francophonie des Lions Clubs de France !

 

Thierry BRET

 

 

 


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Tout ça pour ça ! La plupart de nos compatriotes doivent aujourd’hui tirer les mêmes conclusions après les deux tours des élections législatives anticipées, ayant pour vocation première de clarifier le paysage politique dans l’Hexagone. Une clarification en choisissant la voix du peuple que souhaitait de tous ses vœux le Président de la République au lendemain des européennes, lassé de n’avoir que la majorité relative à l’Assemblée nationale depuis 2022 pour gouverner. Et imprimer ainsi, selon des résultats qu’il espérait tout autre sans aucun doute et en restant dans sa zone de confort, le cap de la gouvernance durant les trois dernières années de son second mandat.

Or, il s’avère que désormais sur le papier et surtout dans les faits, la France semble aujourd’hui être dans l’impasse, car devenue ingouvernable ! Près de trois semaines après le verdict du second tour des législatives au soir du 07 juillet, le pays n’est toujours pas doté d’un gouvernement, faute d’avoir pu choisir son Premier ministre qui en prendrait les légitimes commandes.

 

Le RN, parmi les « cocus » de la République…

 

Il est vrai que la physionomie politique entre les deux tours aura beaucoup changé. Surfant largement en tête au soir du 30 juin, avec plus de 33 % des suffrages, le Rassemblement National est devenu très vite hors-jeu du fait du front républicain mis en place par ses concurrents, reproduisant ainsi avec succès ce qui avait été déjà réalisé par le passé lors de précédentes échéances importantes pour le pays. Recréant un irrémédiable plafond de verre d’élection en élection sur lequel vient s’échouer à chaque fois le parti bleu marine…

Du fameux « ni, ni » au « ni » tout court contre le RN, il n’y aura eu qu’un unique pas, savamment mené par des tractations de tout poil ! Des tractations renouvelées lors du vote des vice-présidences et des postes clé au Palais Bourbon, où le Rassemblement National restera in fine en rade avec un zéro pointé, affiché au compteur quant aux postes à responsabilité devant lui échoir ! De mémoire, il y en avait plusieurs lors de la mandature précédente.

Les uns se plaignant de « magouilles » et de « tambouilles » de bas étage pour expliquer leur défaite ; les autres parlant de bon sens et de convergence d’idées et d’intérêt pour faire barrage à l’extrême droite.

In fine, dans le jeu des sept familles des « cocus » de la République, incontestablement, le RN et ses millions de partisans viennent d’étaler tout leur jeu d’un seul tenant sur la table accueillant les cartes ! Ils ont perdu la partie ! Rideau et rendez-vous à la prochaine échéance en…2027 pour un énième recommencement ?!

 

 

Le NFP enverra-t-il l’un des siens à Matignon ?

 

Mais, les représentants du Nouveau Front Populaire (NFP) ne sont pas mieux lotis ! Certes, si LFI a pu sauver les meubles, du moins certains d’entre eux, en obtenant deux vice-présidence à l’Assemblée nationale et la réélection de l’expérimenté Eric COQUEREL à la présidence de la commission des finances, quid de la nomination du nouveau locataire à Matignon au bout de bientôt trois semaines d’âpres négociations, de gesticulations en tout genre et de contradictions ubuesques entre les différentes composantes d’une union de la gauche qui semble se fissurer de toute part chaque jour !

Leurs électeurs, là aussi, en sont à se demander avec colère et découragement si malgré la victoire au soir du deuxième tour via le verdict délivré dans les urnes, ils verront bientôt un des leurs s’installer à Matignon et nommer enfin un gouvernement de cohabitation devant composer avec la ligne présidentielle recluse à l’Elysée !

Dans la seconde famille des « cocus » de la République, le Nouveau Front Populaire à l’heure où se rédigent ces lignes n’a rien à envier à la première des familles issues de la frange souverainiste ! Un partout et la balle au centre comme dirait un célèbre coach au bonnet bleu du côté de l’Yonne !

 

Des Républicains certes en arbitre mais….

 

Dire que les Républicains sautent de joie au plafond après la découverte de leurs résultats aux législatives serait là aussi extrapoler dans la béatitude ! Bien sûr, la bande à Laurent WAUQUIEZ a su jouer les pompiers de service à la cause de la majorité présidentielle lors des votes de ces jours derniers au Palais Bourbon moyennant quelques compensations (deux postes à la vice-présidence de la vénérable assemblée) et sans doute quelques accessits de second ordre, mais au bout du compte, quid de leur suprématie à leur hypothétique retour aux affaires à l’horizon (sans jeu de mot d’ailleurs pour la droite modérée résolument présidentielle comme chacun le sait !) de 2027 ?! Eux aussi intégreraient-ils le fameux jeu des sept familles « cocufiées » de la République ? Evidemment !

 

Rendez-vous en juillet 2025 pour de nouvelles élections ?

 

Reste la majorité présidentielle ! L’ancienne devrait-on dire en attendant la nouvelle avec les alliances de circonstance qui se font jour ? Avec la confirmation de Yaëlle BRAUN-PIVET au perchoir de l’hémicycle du Palais Bourbon en sa qualité de présidente et la désignation de plusieurs de ses représentants aux postes clé de l’institution, on pourrait presque suggérer que le pensionnaire de l’Elysée ne s’en sort pas si mal que cela, après coup ! Un vrai stratège en somme ou un veinard défiant la chance ? Les deux mon capitaine !

Non seulement, Ensemble a su éviter la fessée historique que beaucoup lui promettaient et surtout l’entre-deux-tours lui a été profitable pour renforcer ses positions qui ne tenaient parfois plus que par un fil avec l’aide de ses précieux soutiens imputables au front républicain.

Et si demain, Emmanuel MACRON reconduisait tout bonnement Gabriel ATTAL dans sa fonction de premier des ministres de son futur gouvernement ?!

Ni vu ni connu et tout ça pour ça, donc ? Et oui ! Comme aurait dit avec humour et sa gouaille légendaire le regretté COLUCHE, « on prend les mêmes et on recommence… ! ».

Françaises, français, rendez-vous en juillet 2025 pour de nouvelles échéances législatives, après dissolution, évidemment !

 

Thierry BRET

 


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Certes, cela aura été éphémère. De très courte durée parfois, au détour d’une rue traversée par le mini cortège du relayeur et de ses accompagnateurs. Une vision fugace, peut-être pour celles et ceux qui ignoraient encore l’existence de l’évènement (il y en a toujours dans le landerneau), mais le Relais de la Flamme olympique, dont on nous abreuvait tant les oreilles depuis des lustres – presque deux années de patience ! – a daigné enfin se poser sur notre territoire.

Un jour de grâce que celui du 11 juillet 2024 ! Il restera à jamais gravé dans les mémoires des habitants de l’Yonne, fiers et trop heureux d’avoir pu participer à pareille célébration, jusqu’à tard dans la nuit !

Bon, il est vrai qu’il y aura toujours les pisse-froids et les « coincés du bocal » qui exprimeront leur mécontentement sur les réseaux sociaux. Ces fameux canaux de communication si perfides et sournois pour cracher de manière anonyme ou pas, voire à visage découvert, son venin dans la soupe, sur tout ce qui se fait ou ne se fait pas ici-bas, et qui sont devenus au fil du temps de véritables exutoires dont tout le monde n’a cure au final !

 

Des émotions et des sourires qui ont fait vibrer le public…

 

Alors, celles et ceux qui remettront en question le simple fait d’avoir accueilli ce symbole universel de la paix et de l’olympisme en nos murs ; celles et ceux qui critiqueront les organisateurs (en l’occurrence le Conseil départemental de l’Yonne à l’origine de la venue du Relais) d’avoir dilapidé beaucoup trop d’argent pour recevoir ce « barnum » inutile à leurs yeux dans sept villes de notre territoire ; celles et ceux qui n’ont pas apprécié ce long cortège du fait du blocage de la circulation et des contraintes pour accéder aux commerces des hyper centres des villes ; celles et ceux qui détestent le sport et toutes les valeurs qui y sont rattachées ; celles et ceux qui ronchonnent pour un oui ou pour un non et qui intègrent une catégorie de personnes dont Coluche avait fait sa cible chronique préférée dans ses sketchs hilarants ; on peut leur dire stop à toutes ces réactions néfastes et pessimistes !

La liste des litanies est longue, trop longue même au bout du compte. Et cela n’a, in fine, que bien peu d’importance au regard des émotions, de la joie, des sourires qui auront égayé le public  venu  en nombre lors de cette journée mémorable. Que certaines et certains n’oublieront jamais de leur mémoire. Qu’ils soient jeunes ou plus vieux, ruraux ou urbains, sportifs ou inaptes à la pratique d’une quelconque discipline athlétique...

 

 

 

Oublier un bref instant le monde et ses désillusions…

 

On attendait du monde et il y a eu du monde. A Chablis, Avallon, Sens ou à Auxerre. Ailleurs, aussi. Idem en Côte d’Or dès le lendemain puisque la 55ème étape se jouait du côté de Beaune et de Dijon. Peut-être pas le succès global escompté selon les prévisionnistes, mais tout de même. Avec, pour ne citer qu’un seul exemple, ce parc Roscoff dans la capitale de l’Yonne, garni jusqu’à plus soif. Entre 17 heures et 21 heures, ce jeudi sous ce soleil couchant et ses menaces orageuses.

Les témoignages sont formels. Recueillis à chaud, auprès des spectateurs comme des organisateurs et observateurs : la joie était dans l’air. Comme un jour d’été sans fin aux couleurs bleues azur, un 14 Juillet sans l’ombre d’un nuage ou d’une perturbation. Un jour de bonheur à l’état pur pour oublier tout ce qui nous entoure. Le monde et ses désillusions, celles-ci étant distillées au quotidien…

Dire que la foule était en liesse serait peut-être un peu fort de café et encore que, à la simple vision d’un Guy ROUX toujours  aussi populaire, qui a l’âge de 85 ans passés et ayant porté la mythique torche de l’Olympe, dispose d’une cote de sympathie à faire pâlir bon nombre de politiques en ces périodes gouvernementales si complexes !

 

 

La France que l’on aime en parfaite symbiose…

 

La France du football et de MBAPPE n’auront pas su passionner nos concitoyens cette année à cause de leurs résultats en dents de scie malgré cette demi-finale inespérée perdue face à l’Espagne, les Français se sont donc rabattus, et bien avant que ne démarre la quinzaine olympique, vers le passage de ce Relais de la Flamme aux quatre coins, ou presque, de l’Hexagone.

Pour que vive l’espoir d’une France unie et unique de par sa diversité. Une France en communion, davantage dans l’allégresse que dans l’austérité. Une France qui aime entreprendre et qui remporte des victoires sur l’adversité. La France que l’on aime, en somme, la nôtre. Illuminée par cette flamme, symbole d’un hymne à la joie retrouvé, le temps d’une pause estivale…

 

Thierry BRET

 


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La ministre des Sports et des Jeux Olympiques/Paralympiques a effectué un bref déplacement en terre de l’Yonne, à l’occasion du 54ème Relais de la Flamme, ce jeudi en fin de journée à Auxerre. Une visite qui s’ajoute à celle effectuée en avril dernier à l’occasion de la phase inaugurale du musée de l’AJA où elle avait déjà été accueillie par les personnalités politiques et institutionnelles de notre territoire. Jamais deux sans trois ?!

 

AUXERRE: Elle en plaisante, elle-même, Amélie OUDEA-CASTERA ! La représentante du gouvernement revient en terre auxerroise en ce mois de juillet à l’occasion du passage de la flamme olympique dans l’Yonne, quatre mois seulement après son dernier déplacement occasionné par l’inauguration du musée de l’AJA, accueilli dans le complexe sportif de l’Abbé Deschamps.

« C’est normal, concède-t-elle, Auxerre est une grande ville sportive. Je suis très contente d’être ici. A l’époque – il y a quatre mois de cela -, j’avais été invitée par le club d’Auxerre. J’ai pu prendre de ses nouvelles et de ses équipes. C’est formidable pour l’AJA de se retrouver en Ligue 1 la saison prochaine. Et de débuter la reprise en championnat de France le 18 août face à l’OGC Nice… ».

Quelques minutes auparavant, aux côtés de Crescent MARAULT, président-maire de l’Auxerrois, de Grégory DORTE, premier vice-président du Conseil départemental de l’Yonne et du préfet Pascal JAN, la ministre des Sports et des Jeux Olympiques/Paralympiques avait pu profiter pleinement de l’allumage de la grande vasque de métal, le chaudron, par l’ultime relayeuse de ce parcours atypique proposé dans les rues du centre-ville, la basketteuse Emmeline NDONGUE.

Un rituel qui se répète ainsi d’étape en étape à travers l’Hexagone depuis le 08 mai dernier, date à laquelle « le BELEM » avait ramené la flamme depuis la Grèce, berceau de l’olympisme.

 

Les valeurs de la flamme, entre paix, unité et concorde…

 

En l’espace de deux heures et plus, la représentante du gouvernement se sera immergée dans cette ambiance chaleureuse et festive à plusieurs endroits stratégiques de la ville, avant de terminer son périple au parc Roscoff, site de l’allumage du chaudron. Sans omettre de visiter auparavant les installations du club de football et son centre de formation.

« J’aime me retrouver sur le terrain, explique-t-elle, il y a une mise en valeur exceptionnelle du patrimoine de l’Yonne, aujourd’hui, avec l’accueil de la flamme à Vézelay, dans le vignoble de Chablis ou ici, au centre-ville d’Auxerre. J’ai pu apprécier aussi la ferveur qui existe toujours autour de Guy ROUX et cette admiration qu’il suscite même auprès des plus jeunes. C’est magique et c’est cela l’esprit du Relais de la Flamme… ».

Une alchimie entre un territoire, des personnalités, le temps qui passe, aussi.

« Les valeurs de la flamme veulent dire beaucoup, ajoute-t-elle, au niveau de la paix, de la concorde, de l’unité. Tout cela a un sens… ».

 

 

Une ministre rassurée par la qualité de l’eau de la Seine…

 

A J – 15 de l’échéance, la France est donc fin prête à accueillir ces Jeux d’été. « Même s’il y a encore quelques finitions, précise Amélie OUDEA-CASTERA, mais cela est normal. On est excités de recevoir le monde entier et de sentir que l’image de notre pays va être positive en montrant notre art de vivre à la française, tout en mettant à l’honneur les sportifs de la planète… ».

Question que l’on se pose de toute évidence : les récents chamboulements politiques auront-ils un impact sur l’organisation de ces JO de Paris ?

Réponse catégorique de la ministre : « Non, pas du tout ! On continue de travailler en équipe avec la même concentration, avec le même engagement. Tout est réuni pour que le pays livre un évènement exemplaire… ».

Reste la qualité de l’eau actuelle dans la Seine. Une qualité de l’eau qui pourrait peut-être faire défaut pour les épreuves du triathlon ?

« Cela ne m’inquiète plus, assure la ministre, les mesures de la qualité de l’eau nous rendent optimistes. Nous sommes tout à fait confiants pour la bonne tenue des épreuves… ».

Pour respecter l’adage, jamais deux sans trois, reverra-t-on le 18 août Amélie OUDEA-CASTERA du côté de l’Abbé Deschamps au soir du match d’ouverture de la Ligue 1 ? « Ah pourquoi pas ! En tout cas, je suivrais de très près les résultats de l’AJA cette saison… ».

 

Thierry BRET

 

 


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Il a un peu les traits tirés, Damien LECLERC. Non pas à cause du « jet-lag » et du décalage horaire : Londres ne se situant qu’à trois quarts d’heure de la capitale hexagonale par les airs ! Mais, la journée de ce mardi 09 juillet fut gérée au pas de course pour le directeur général de la coopérative viticole centenaire. Un aller-retour chez nos voisins Anglais qui lui aura valu son lot d’émotions et son pesant de joie avec à la clé le titre pour la maison dont il a la destinée de « meilleur vinificateur de vin blanc » au monde ! Une distinction qu’il doit à la jeune et talentueuse œnologue, Estelle ROY…

 

CHABLIS : Un large sourire s’affiche sur le visage encore juvénile de la jeune femme. Arrivée au sein de la fameuse coopérative viticole icaunaise en juillet 2019, cette native du Territoire de Belfort savoure son premier titre de gloire, avec délectation. Fruit de son travail qualitatif et de son expertise qui elle, n’a rien de naissante. Un succès collectif, se plaît-elle à souligner, aux côtés du chef de cave de la maison, Cyril GROS.

Elle le reconnaît, elle a aussi beaucoup appris aux côtés de Vincent BARTEMENT, l’ancien œnologue de la maison de Chablis, parti aujourd’hui vers d’autres aventures, et qui avaient ramené dans l’escarcelle de « La Chablisienne » bon nombre de trophées prestigieux, dont le « White Winemaker of the Year », obtenu lors du très rigoureux processus d’évaluation, « IWC », déjà accueilli à Londres en 2022.

Décidément, les années paires sourient aux décideurs de la coopérative aux 250 adhérents ! Il suffit de contempler la grande vitrine attenante à un espace de présentation, dans le show-room, pour le constater. S’y dévoilent plusieurs trophées et carafes à l’estampille des plus grandes références internationales qui couronnent le travail d’orfèvre de ces amoureux de la dive bouteille. Côté conception et vinification, il est vrai ! 2016, 2014, 2018…les années s’égrènent et correspondent à autant de distinctions ramassées ! « La Chablisienne », une coopérative olympique au niveau des récompenses ?!

 

Une jeune femme de 34 ans épanouie et sereine…

 

Clin d’œil sympathique, le Relais de la Flamme sera accueilli quelques heures plus tard dans cette belle ville de Chablis, son cortège passant juste devant les édifices caractéristiques de la coopérative aux 60 millions d’euros de chiffre d’affaires.

Pendant ce temps, Estelle ROY se raconte. Sereine, détendue après le stress occasionné par ce déplacement en territoire britannique si trépidant. A 34 ans, elle touche le Graal avec ce premier succès qui en appelle irrémédiablement d’autres de l’avis de Damien LECLERC. Epanouie, elle exprime sa fierté d’appartenir à la grande famille de « La Chablisienne ».

De son côté, le « boss » de la coopérative se satisfait des deux beaux exercices réalisés au cours de ces dernières années. De quoi mettre du baume au cœur quand les sinistres frappent dur dans les vignobles, comme ce fut le cas au printemps dernier avec la grêle.

 

 

Naturellement, la production 2024 en sera impactée. Mais, on n’y pense pas trop encore et on se contente d’engranger les bénéfices de cette magnifique animation, accueillie dans un stade de criquet londonien plein comme un œuf où devaient s’affronter une kyrielle de producteurs et de vignerons venus du monde entier.

L’international ? Une notion de commercialisation qui parle bien au dirigeant de « La Chablisienne ». L’enseigne est présente aujourd’hui dans plus de quatre-vingt-dix pays (92 pour être exact). Quasiment, sur les cinq continents et réalisant 62 % de ses ventes à l’exportation.

 

Une confrontation vineuse entre le Vieux monde et le Nouveau monde…

 

Lors de cette quarantième édition, organisée à Londres où le super jury aura dû trancher après des séances de dégustation et d’annotation très poussées, le participant de l’Yonne aura été confronté à des productions venant de pays majeurs positionnés sur le vin blanc, à l’instar de l’Afrique du Sud, de l’Australie, de la Nouvelle-Zélande ou de l’Argentine. Le Vieux monde confronté au Nouveau monde, en somme !

Ce qui n’a pas empêché nullement « La Chablisienne » de glaner par le passé quatre titres de « meilleur vinificateur de vin blanc au monde » ; le cinquième lui revenant de droit il y a quarante-huit heures grâce au travail efficient de la jeune œnologue, Estelle ROY.

« Un millésime, c’est une page blanche, affirme Damien LECLERC, il faut se remettre en question, tout le temps. C’est comme un chef étoilé… ».

Ce nouveau trophée, « La Chablisienne » le doit à son travail global sur la vinification et pas à un produit en particulier, même si dix-neuf de ses nectars ont récolté au passage des médailles distinctives lors de cette cérémonie. Une soirée inoubliable pour la coopérative qui a ajouté de nouvelles contrées à son catalogue export, cette année, avec Israël, la Malaisie ou encore, et c’est paradoxal car il est gros producteur de vin, l’Australie !

 

Thierry BRET

 


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