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Ah, cette maudite recherche de collaborateurs ! Celle qui perturbe au plus haut degré les responsables des ressources humaines, ne sachant plus à quels saints patrons se vouer pour trouver la solution idoine ! Celle qui hante de ses nuits blafardes des chefs d’entreprise dont les carnets de commandes croulent sous les exigences ultra réactives de leur clientèle. Pas sérieux s’abstenir quand on veut prétendre à l’emploi. Formatrice chez CoRessources, Sabine THOMAS tentera d’apporter les solutions les plus pertinentes à ce « Rubik’s Cube » grandeur nature : celui du recrutement…

 

AUXERRE : Combien sont-ils autour de nous ces entrepreneurs qui se morfondent à l’idée de ne jamais pouvoir recruter la perle rare dont ils auraient grandement besoin dans leur société ?

Un réel paradoxe alors que le nombre de demandeurs d’emploi, même s’il diminue quelque peu dans l’Hexagone, reste au demeurant très élevé selon les secteurs d’activités et les tranches d’âge.

Recruter est aujourd’hui aussi difficile que de dégoter une aiguille dans une botte de foin. Un passage obligé très complexe, pour ne pas dire plus dans un environnement économique qui a été torpillé par une crise sanitaire sans précédent !

Néanmoins, il n’y aura pas d’autre alternative possible avec l’amorce de la reprise qui pointe le bout de son nez pour celles de ces PME/TPE qui veulent repartir de l’avant.

Dirigeants stressés et DRH au comble du désespoir auront peut-être des réponses pertinentes et précises de la part d’une consultante en évolution professionnelle (la belle formule !) qui interviendra lors d’une causerie à l’heure du déjeuner.

Surtout pour celles et ceux qui en ont eu l’opportunité, grâce à un rendez-vous pris ou à prendre ce mardi 08 juin entre 12 et 14 heures entre Chablis et Tonnerre sur invitation.

C’est précisément l’animatrice icaunaise de la structure GERME Catherine GUIGNARD-MILLET qui a concocté ces retrouvailles en présentiel, gustatives et intellectuelles, baptisées « Les Rencontres du Champ des Possibles », ouvertes à tous. Là aussi, c’est la formulation adéquate pour résumer l’initiative !

Ancienne cadre dans une société de service, aujourd’hui composante d’un triangle 100 % féminin à la tête de CoRessources aux côtés de Florence PUJADE et Florence CLEMENT-DIETRICH, Sabine THOMAS, conférencière d’un jour, posera les jalons de son exercice oratoire autour de la thématique suivante : « Comment recruter quand j’ai le sentiment d’avoir tout essayé ? ».

Question liminaire, certes, mais qui va aiguiser bien des appétits pour en savoir davantage sur les procédés permettant à terme de trouver l’oiseau rare…

 

Thierry BRET

 


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Le retour à la normalité vers l’emploi. Il ne s’agit que de cela, en résumé, dans la ligne de conduite à laquelle les responsables de la structure associative ne dérogent jamais d’un iota. Même dans les moments les plus délicats, en référence à la crise sanitaire. Celle-ci a contraint l’entité à suspendre toutes ses activités pendant deux mois lors du premier confinement. Une adaptation qui fut l’objet de dynamique pour l’atelier couture, confectionnant des masques de protection contre la COVID-19…

 

AUXERRE: Le sens de l’adaptabilité est une vertu léonine que sait s’appliquer à elle-même l’association AMIDON 89 ! L’épidémie du coronavirus l’aura démontré à maintes reprises au cours de ces derniers mois. Normal, lorsque l’un de ses deux ateliers accueillant des personnes sur le chemin de la réinsertion professionnelle se consacre à la couture !

Opiniâtres, les boussoles éclairantes de cette entité dont ne présente plus le travail accompli depuis tant d’années dans le microcosme icaunais ont cru bon au plus fort moment de la crise sanitaire de rejoindre le projet Contrat de Ville. Un programme qui leur aura permis de poursuivre à travers des ateliers installés dans de grandes salles de deux équipements de quartier de concevoir…des masques en tissu avec le concours altruiste de riveraines. Ce fut une étape fondamentale pour faire faux bond à l’adversité de l’époque et tenir ferme, au niveau du moral.

De cela, de ces états d’âme, de ces instants de doutes et d’atermoiements, de ces espérances aussi, il en aura été question lors de la prise de parole servant de préambule aux travaux de l’assemblée générale par le président Guy PARIS. Devant une assistance plus que restreinte (obligations sanitaires à respecter en limitant la jauge de participation), la session a pu se dérouler dans son antre habituel : l’amphithéâtre du Phare.

Entre résolutions successives (au nombre de douze autant que les travaux d’Hercule/Héraclès pour les puristes helléniques !), et slides comprenant moult camemberts affichant une visibilité immédiate au plan de la statistique, la séance de travail s’est étirée tranquillement avec les interventions de la directrice de la structure, nouvellement nommée en août dernier, Sophie GOIRAND, et le président.

 

 

Une activité couture aux contours d’employabilité satisfaisant…

 

Loin d’un ronron aux accents passablement ennuyeux, la séance aura mis en exergue les particularismes de cette association efficace dans ses réalisations. Dans le détail, au plan comptable, les états financiers arrêtés au 31 décembre 2020 livrent un aperçu positif de la situation. Pour un budget s’élevant à 650 000 euros, le résultat d’exploitation équivaut à 17 766 euros.

Quant au nombre d’adhérents, il se maintient avec 262 personnes qui sollicitent les besoins de la structure selon les trois ateliers opérationnels à Auxerre, Chablis et Saint-Florentin.

Au niveau du nombre de demandeurs d’emploi de longue durée, à forte majorité féminine, ils ont été quarante-trois à bénéficier de cette main tendue par AMIDON 89 pour exercer un travail.

Salariées, ces femmes, jeunes ou moins jeunes, bénéficiaires des minima sociaux, habitantes dans les quartiers prioritaires de la ville, ont su apporter leur savoir-faire au cours de cette année si spécifique de 2020. Tant à l’atelier repassage qu’à celui proposant des travaux de couture.

La moitié d’entre elles a pu se diriger par la suite vers un emploi stable ou à défaut une formation. Un résultat plus mitigé que l’année précédente pour Guy PARIS qui, compte tenu du contexte de la pandémie, demeure tout à fait honorable en l’état.

Si l’activité couture peine encore à trouver ses marques, notamment dans sa rentabilité financière, elle offre pourtant la possibilité aux salariées en insertion d’acquérir de nouvelles compétences. Un levier vers l’emploi supplémentaire que nul ne doit ignorer. Des partenariats ont pu ainsi se développer avec Au Bonheur des Chutes ou LOCAVOR.

Un accent particulier a été mis sur le développement de la communication en cette année 2020, synonyme de trente années d’existence. Présence accrue sur les réseaux sociaux et relookage du site Internet offrent une vitrine satisfaisante des réalisations de la structure.

 

 

 

L’intervention de mécènes pour aider au renouvellement du matériel…

 

 

Prolixe dans ses explications, Guy PARIS n’a pas manqué d’aborder le devenir de ce porte-flambeau de la tolérance et de l’insertion efficiente que représente AMIDON 89.

Débuté en 2017, le retour à l’équilibre de l’association entre fonctionnement organisationnel et financier optimum pourrait nécessiter une période de trois ans supplémentaires. Cette projection ne pourra prendre sa source effective uniquement par le prisme de la diversification des activités.

Avec ce constat qui en dit long sur les fondements mêmes de la structure : « L’activité repassage auprès de clients particuliers demeure utile, observe l’ancien premier adjoint de la Ville d’Auxerre, mais cela est désormais moins nécessaire pour de nombreux foyers… ».

Se diversifier est indispensable. Offrir de nouveaux services à la clientèle mais aussi s’adapter aux besoins de celle-ci demeurent des pistes concrètes à travailler à l’avenir pour subsister de manière honorable.

Les responsables y réfléchissent avec une expérimentation mise en place à Chablis depuis la fin mai. Une nouvelle responsable d’atelier a été nommée. Elle n’est pas la seule puisqu’un chargé de mission de développement commercial l’a rejoint.

D’ici peu, le recrutement de quatre à cinq salariés en insertion étofferaient ainsi l’effectif. Une démarche analogue aurait lieu ensuite à Auxerre et à Saint-Florentin. In fine, l’objectif est la conquête d’une centaine de nouveaux clients de plus en douze mois. Pour atteindre un chiffre d’affaires en prestations équivalent à 120 000 euros par an.

Reste le rôle des mécènes. Il est fondamental pour la bonne santé de la structure en quête d’une enveloppe annuelle de 70 000 euros pour assurer le remplacement de ses tables à repasser. Certains agissent en ce sens : c’est le cas de la FAPE EDF, AG2R La Mondiale, du Conseil régional de Bourgogne Franche-Comté.

Récemment, la responsable  de l’Association départementale de Prévoyance Santé (ADPS) Andrée DEBERT remettait une précieuse obole de trois mille euros devant être utilisée à l’achat d’une nouvelle table. Une autre entité, l’AACUC, offre généreusement 50 000 euros pour contribuer au projet de développement.

On le voit, la marge de manœuvre est étroite pour AMIDON 89 qui doit jouer à la fois sur une politique d’économies et une politique d’investissement pour améliorer le chiffre d’affaires.

Un casse-tête chinois à renouveler chaque année pour ne pas oublier que la priorité essentielle de cette structure spécialiste de l’insertion vise toujours le chiffre de 70 % de sorties positives pour les personnes qui fréquentent ses ateliers…

 

Thierry BRET

 

 

 


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Dès le 01er juillet 2022, tous les véhicules neufs seront équipés d’une boîte noire. Cet enregistreur de données sur route imposé par la réglementation européenne ne pourra en aucun cas être désactivé. Ce qui provoque une avalanche de commentaires de la part des automobilistes qui craignent d’être pistés. « Big brother » ou paranoïa complotiste ?

 

TRIBUNE : Dès l’année prochaine, tous les véhicules neufs vendus en Europe devront obligatoirement embarquer une puce électronique nichée dans un endroit inaccessible du propriétaire et impossible à désactiver.

Nombreux sont les automobilistes qui craignent que leurs conversations à bord de leurs autos ne soient enregistrées. Ils ont tout simplement peur d’être fliqués par les pouvoirs publics.

Si bien que, sur les réseaux sociaux, fleurissent les doutes et les craintes liés à ce dispositif : « Après le QR code des vaccins, la boîte noire des voitures, dictatures », « Aura-t-on le droit de choisir la couleur de sa boîte noire » ou encore « plus de contrôle, moins de liberté ».

Aux Etats-Unis, où toutes les autos neuves enregistrent différentes données depuis 2012, il y a eu cette même crainte du « Big brother is watching you » lors de sa mise en place.

 

 

Boîte noire : indemniser plus rapidement les victimes…

 

Que les automobilistes se rassurent : cette fameuse boîte noire enregistre beaucoup de paramètres mais ne se préoccupe ni du téléphone ni des discussions entre passagers. C’est d’ailleurs ce qui différencie ce boitier de celui que l'on retrouve dans les avions. L’idée de ce dispositif installé en 2022 dans nos autos sera uniquement de se concentrer sur les données cruciales relatives à la conduite.

En enregistrant de multiples informations, trente secondes avant et après l’accident, l’EDR n’a qu’un objectif : établir les responsabilités plus rapidement. L’article 6 énumère plus précisément les renseignements qui seront conservés : « la vitesse du véhicule, le freinage, la position et l'inclinaison du véhicule sur la route, l'état et le taux d'activation de tous ses systèmes de sécurité, le système eCall embarqué fondé sur le service 112, l'activation des freins et tout autre paramètre d'entrée pertinent des systèmes embarqués de sécurité active et d'évitement des accidents ».

 

 

Les données (anonymes) ne pourront être exploitées que par les forces de l’ordre. Autrement dit, l’assurance des conducteurs n’y aura pas accès. Les automobilistes peuvent donc se rassurer. Même si un flou persiste sur l’usage réel que des pouvoirs publics futurs et mal intentionnés peuvent faire de cette inestimable banque de données.

 

 

Réduire le nombre d’accidents sur les routes…

 

Aux Etats-Unis qui ont bien souvent une longueur d’avance sur les Européens, les statistiques montrent que depuis l’installation obligatoire de la boîte noire à bord des véhicules, les accidents ont chuté de 20 %.

Idem chez nos amis Italiens. Alors pourquoi cela n’aurait-il pas les mêmes effets positifs dans l’Hexagone ? Réponse dans un an. Une chose est sûre : si les assureurs ont moins d’accidents à indemniser, ils réaliseront des économies, ce qui fera logiquement baisser le tarif des assurances auto... 

De nombreux autres dispositifs déboulent grâce à ce système. La boîte noire ne sera pas seule. Elle sera accompagnée de systèmes d’aides à la conduite qui feront monter en gamme, en termes d’équipements, toutes les autos neuves.

Plus technologiques, plus chères à réparer, ces nouveautés, et surtout obligations, pourraient ainsi faire grimper les cotisations d’assurances auto, tout comme le prix des voitures neuves. 

 

Anne-Charlotte LAUGIER

 

 


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Elle connaît le territoire de l’Yonne comme le fond de la poche de l’imperméable qu’elle porte ce jour-là, Véronique MORLIGHEM ! Il est vrai que la déléguée régionale d’ORANGE en Bourgogne Franche-Comté n’est pas avare en déplacements. Profitant de l’inauguration de la énième armoire accueillant la fibre optique, le porte-voix de l’opérateur s’est rendu dans l’Auxerrois afin de constater que le déploiement de ce moyen de communication progresse à grands pas…

 

BLEIGNY-LE-CARREAU : 118 armoires accueillant les fils multicolores de la fibre optique (selon la diversité des entreprises proposant les services de ce mode de communication) ont déjà été installées sur le bassin de l’Auxerrois.

Est-ce à dire que la responsable régionale du groupe ORANGE, qui en facilite l’accès direct sur le terrain, aurait participé à chacune des inaugurations officielles aux côtés des autorités ? Si tel était le cas, les kilomètres affichés au compteur de son véhicule qui lui permet de voyager entre le siège de Côte d’Or et le département septentrional de Bourgogne seraient proprement vertigineux !

 

 

 

Plus sérieusement, cela traduit que la patronne de l’opérateur de télécommunication veille de très près à la bonne fonctionnalité des réalisations. Comme elle le pratique à chaque rendez-vous, accompagnée de deux de ses partenaires institutionnels en charge du développement du numérique, soit au plan départemental, Malika OUNES, soit au plan de l’agglomération de l’Auxerrois, Arminda GUIBLAIN, Véronique MORLIGHEM a donc profité de cette antépénultième visite accordée à l’Yonne pour faire le point de la situation.

Un contexte qu’elle qualifie de positif, non loin de la face émergée de l’iceberg fibre optique, c’est-à-dire ladite armoire métallique, unique représentation visuelle palpable aux yeux du commun des mortels à propos de ce sujet.

ORANGE, devait-elle rappeler, déploie à l’heure actuelle la fibre optique sur ses propres deniers dans une vingtaine de localités de cette agglomération auxerroise. Tout ceci sous le sceau du plan France Très Haut Débit.

 

 

 

 

96 % des logements de localité de l’Auxerrois peuvent souscrire une offre…

 

L’opérateur installateur de ces armoires ne chôme pas. Circulation de la COVID ou pas, d’ailleurs ! 600 000 logements de notre contrée régionale disposent déjà des connexions idoines, les reliant au monde à la vitesse de l’éclair. Sur le bassin auxerrois, ce chiffre équivaut à plus de 33 000 logements. Soit 84 % du parc potentiel de foyers à raccorder.

A Bleigny-le-Carreau, environ 96 % des 160 logements que compte la bourgade dirigée par Frédéric PETIT, peuvent désormais souscrire à une offre auprès du fournisseur d’accès Internet de leur choix.

Dans l’absolu, il ne reste plus que cinq habitations à équiper ; autant dire une broutille qui devrait être rapidement comblée.

 

 

 

Au-delà de ces armoires, ORANGE poursuit l’installation des points de branchement. Ce sont des petits boitiers qui sont indispensables pour faciliter le raccordement des logements à la fibre. L’opérateur en appelle à la mobilisation des bailleurs, des particuliers, des syndics à accepter la pose de ces points de branchement sur leur façade ou à l’intérieur des bâtiments à raccorder.

Rappelons que le terme de ce déploiement est prévu fin 2022. Conformément aux engagements pris par l’Etat pour réduire la fracture numérique et offrir l’accès aux moyens de communication modernes à chacun des Français.

 

Thierry BRET

 

 


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Cette fois, c’est la bonne ! Après moult pérégrinations et autres atermoiements imputables aux soubresauts de la pandémie, les sociétaires du BNI Migennes (Business International Network) vont enfin retrouver le rythme matinal de leurs réunions régulières, ce vendredi 11 juin dans la salle Valmy qui leur est habituellement attitrée. Des retrouvailles attendues depuis longtemps !

 

MIGENNES : Exit les visioconférences et leurs sempiternelles tracasseries technologiques et sonores, imputables à la faiblesse d’une bande passante réfractaire au bon fonctionnement !

Place désormais aux discussions en vis-à-vis, sous le même toit malgré les sacro-saints principes des gestes barrières et la panoplie de mesures protectionnistes qui vont de pair. Ces dernières devront être respectées avec le doigt rivé sur la couture du pantalon.

Qu’à cela ne tienne : la quinzaine d’adhérents du groupe de networking du Centre Yonne ne boudera pas son plaisir de vivre ce presque retour à la normale d’ici peu. La date est déjà biffée sur tous les agendas. Il s’agit du vendredi 11 juin (la Saint Barnabé !) où dès potron-minet, les organisateurs de la séance de travail peaufineront les ultimes préparatifs de ce rendez-vous.

 

 

Une animation un peu spéciale, il est vrai, telle que l’a confirmé la présidente de la structure associative apparue localement en 2013, Laurianne BELLIER     

« Pour cette reprise, confie-t-elle, qui marque le retour de nos activités en présentiel, nous organisons une réunion spéciale en accueillant des invités… ».

Ceux-ci proviennent de la sphère économique et institutionnelle du cru, terreau à privilégier côté recrutements.

Concept venu d’Outre-Atlantique depuis son éclosion en 1984, BNI aura attendu deux décennies avant de conquérir l’Hexagone. Qui lui rend très bien, par ailleurs, avec un florilège de clubs qui sont répartis aujourd’hui aux quatre coins de notre territoire. L’Yonne recense plusieurs entités où se fructifient les rencontres et le développement des affaires sur recommandations. On en trouve à Sens, Avallon, Auxerre…

 

Thierry BRET

 

 


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