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A l’invitation de la Confédération des Petites et Moyennes Entreprises de l’Yonne, les candidats aux régionales ont été conviés à une rencontre explicative, se rapportant à l’un des volets essentiels de leurs programmes : l’économie. Quoi de plus naturel en somme que d’exposer les axes prioritaires de cet item face aux chefs d’entreprise, premiers concernés par lesdites mesures ! Sauf que sur les sept listes invitées à cet exercice oratoire, quatre s’étaient faites porter pâles ! Inquiétant quand toutes évoquent  l’attractivité du territoire !

 

AUXERRE : Un succès, cette rencontre informelle entre les représentants du conseil d’administration de la CPME de l’Yonne et les acteurs du monde politique, prétendants conquérir les sièges de l’hémicycle régional ?

Oui à plusieurs titres ! D’une part, pour l’originalité de la démarche, déclinée au plan de l’Hexagone, par toutes les délégations départementales de la Confédération des Petites et Moyennes Entreprises qui souhaitaient faire plus ample connaissance avec la liste pléthorique de candidats à ces échéances en découvrant le fondement de leurs programmes économiques.

D’autre part, pour évaluer avec exactitude et à sa juste valeur ce que représente réellement le poids de l’économie et de ses perspectives au-delà d’une simple profession de foi adressée dans chaque foyer sous pli postal.

Au vu de l’avalanche de déclinaisons négatives à cette requête, au demeurant parfaitement bien fondée pour tout électeur qui se respecte, on pourrait y ajouter un troisième aspect. Fondamental !

Découvrir la réelle appétence accordée par certains candidats à cette dimension économique et entrepreneuriale qui reste, et de très loin, le socle même de notre société et de son fonctionnement à bien des égards.

Que serait en effet la culture, l’aménagement du territoire, la vie sociétale et sociale, le développement du numérique et des technologies, la notion de l’enseignement, de l’orientation et de la formation, le tourisme et les arts de vivre, sans cette valeur intrinsèque de l’économie et de son corollaire primordial, l’emploi !

 

 

Trois réponses positives sur les sept listes en présence : pas sérieux s’abstenir !

 

Visiblement, et nonobstant ce qui est imprimé sur une rudimentaire feuille de papier A4, certaines de ces candidatures visant à accéder au pouvoir exécutif régional au soir du 27 juin (l’organe institutionnel possède seul la compétence économique territoriale avec les EPCI sur les départements) ont dû oublier de leur pensum de campagne qu’ils devaient aller obligatoirement à la rencontre de ces entrepreneuses et entrepreneurs qui justifient à eux seuls leurs engagements !

Comment peut-on expliquer alors que sur les sept listes concourant à cette échéance électorale capitale pour les six prochaines années de la mandature régionale, quatre se soient abstenues de répondre aux représentants de la CPME de l’Yonne ? Est-ce ainsi qu’ils traitent les acteurs de l’économie, ceux qui portent à bout de bras tous les rouages financiers de la société ? Et nourrissent et font vivre leurs futurs administrés ?

Même si l’exercice ne comportait pas d’apparences officielles, il s’agissait d’un échange basique entre les membres du conseil d’administration de la CPME affûtés de questions et les porte-voix desdits programmes politiques.

 

 

 

A ce petit jeu-là, on ne peut que saluer au nom de leur honnêteté intellectuelle et de leurs devoirs politiques les représentants des listes soucieuses de tâter le pouls d’une caste en proie à de sérieuses difficultés du fait de la crise sanitaire. C’est-à-dire les ambassadeurs icaunais de Marie-Guite DUFAY, de Denis THURIOT et de Gilles PLATRET !

Quid des autres engagés s’étant abstenus de toute présence ? Ils n’ont pas daigné répondre à l’invitation lancée par la CPME, tout simplement ! Un manque de civisme et de politesse…

Une pilule, sans doute amère à avaler pour les électeurs de la filière professionnelle qui auront pu disserter à loisir avec celles et ceux de leurs intervenants ayant exposé leur vision économique à six ans. Avec en mémoire, le vieil adage qui précise que les absents ont toujours tort !

 

 

En savoir plus :

Les débatteurs de cette rencontre avec la CPME

Nicolas SORET pour la liste de Marie-Guite DUFAY,

Muriel VERGES-CAULLET et Jean-Philippe SAULNIER-ARRIGHI pour la liste de Denis THURIOT,

Jean-Marie SERMIER, Nadia CHOUBARD et Dorothée MOREAU pour la liste de Gilles PLATRET.

 

NB : Après la publication de l'article, les représentants d'Europe Ecologie Les Verts se sont manifestés à notre rédaction, faisant savoir qu'ils n'avaient pas été invités par la CPME pour prendre part à cette réunion consacrée à l'économie. Une thématique qui les passionne puisque leur tête de liste aux régionales, Stéphanie MODDE, avait pris part le 26 mai dernier à un débat organisé à Dijon par le MEDEF de Côte d'Or. Rendons à César ce qui leur appartient ! 

Thierry BRET

 

 

 


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On connaissait déjà les « Crop Circle ». Ces cercles aux formes bizarroïdes qui occupent çà et là des parcelles d’exploitation. Aux confins du réel, de la supercherie ou pourquoi pas du surnaturel ! Mais, là, il s’agit de tout autre chose nettement plus terre-à-terre qui se nomme le « relay-cropping ». Un anglicisme de plus, à découvrir pour les professionnels de l’agriculture, ce jeudi 17 juin dans le cadre de la journée INNOV’ACTION portée par la Chambre d’agriculture de l’Yonne…

 

AUXERRE : Définir cette technique novatrice pourrait se résumer en une ligne : le « relay cropping », c’est une piste de réflexion innovante pour récolter deux cultures sur une même campagne.

Et qui d’autre pour l’évoquer que les techniciens de la Chambre départementale d’Agriculture qui, dans le cadre d’une journée du programme INNOV’ACTION, décortiqueront à loisir ce processus.

L’épisode II de cette saga se poursuivra donc avec la complicité de la SEP de Bord à Bligny-en-Othe, ce jeudi 17 juin en matinée, entre 10 et 13 heures.

Entre la visite de parcelles et le retour d’expérience observé sur les semis de sorgho, soja et tournesol, les participants ne manqueront pas de sujets de discussion, assurément !

 

Thierry BRET

 

 


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Elle se sent un peu comme chez elle, la présidente de la Région Bourgogne Franche-Comté. Lorsqu’elle se déplace dans le Tonnerrois, cela lui procure toujours beaucoup de fierté. Celle d’avoir pu agir, au nom de la collectivité dont elle possède les rênes depuis bientôt six ans, en faveur de l’entrepreneuriat et de l’emploi. Accueilli par le secrétaire général de la Compagnie DUMAS, Cédric PIRES, Marie-Guite DUFAY a pu découvrir les multiples facettes du leader haut de gamme de la literie de luxe, made in France…

TONNERRE: Affichant un large sourire à la descente de son véhicule, la présidente socialiste de la Région Bourgogne Franche-Comté aime se rendre dans la ville de la fosse Dionne.

C’est avec réel plaisir qu’elle y fait étape dès qu’elle le peut lors de pérégrinations officielles la menant dans la partie septentrionale de la contrée dont elle brigue un nouveau mandat.

Provenant de Sens où elle aura concentré son intérêt sur le club de La Patriote Sénonaise (une référence nationale dans la discipline du tir sportif qui est susceptible d’accueillir les entraînements d’athlètes qualifiés aux Jeux de Paris en 2024), la présidente ne pouvait se soustraire de faire étape à Tonnerre lors de cette mini-tournée dans l’Yonne. Tournée qui ne concernera pas Auxerre, soit dit en passant…

Avant de poursuivre la route jusqu’à Avallon pour d’autres réjouissances du même acabit (la visite du complexe aquatique entièrement rénové et la rencontre avec des associations sportives), Marie-Guite DUFAY a pris soin de s’immerger dans l’univers de la literie de luxe telle qu’elle se définit au sein de la Compagnie DUMAS.

La structure familiale aujourd’hui dirigée par Edouard DUMAS règne depuis 1910 sur les grandes maisons privées et les hôtels de la capitale en matière de literie et autres couettes.

 

 

Des processus de fabrication judicieusement préservés…

 

Traversant d’une foulée dynamique la grande cour centrale devant la conduire vers les bureaux de la société, la présidente de la Région était accompagnée de Nicolas SORET, président de la communauté du JOVINIEN et édile de Joigny, de Gilles DEMERSSEMAN, conseiller régional en phase de renouvellement de bail et de Jamilah HABSAOUI, première élue d’Avallon.

La présidente fut accueillie à l’entrée des ateliers par le nouveau maire de Tonnerre, Cédric CLECH, et le secrétaire général de la Compagnie DUMAS, un autre Cédric, dont le patronyme était fort naturellement différent de son voisin, soit PIRES.

Ce dernier expliqua durant de longues minutes sous le chaud soleil estival les fondements mêmes de cette société industrielle de renom, véritable pépite du made in France à l’international.

Employant 45 salariés, DUMAS conçoit des oreillers et des couettes de grand standing dont les processus de fabrication sont secrètement gardés. D’ailleurs, toutes prises de vues photographiques sont formellement interdites une fois pénétré dans le saint des saints de ce paradis des nuitées hôtelières réussies !

Annuellement, il sort plus de deux millions d’oreillers de cette unité de production qui tourne à plein régime ; il y est également produit plus de deux cent mille couettes et vingt mille sur-matelas.

 

 

Un soutien de la Région par le passé d’environ 300 000 euros…

 

Sur un rythme rapide (respect du timing oblige !), le petit cortège se focalisera sur les points principaux de cette fabrication, slalomant entre les machines dont la plus récente (et la plus impressionnante) a été financée avec le soutien de la Région, soit un subside de près de 300 000 euros.

Ce qui fera dire, un peu plus tard, à Marie-Guite DUFAY que « la puissance publique était en capacité de faciliter les investissements des entreprises… ».

Le savoir-faire séculaire de DUMAS n’est d’ailleurs pas prêt de se tarir ; la direction générale a fait savoir que plusieurs projets tant au niveau du développement durable que de la production allaient pouvoir se concrétiser dans un avenir proche.

Précisons que durant la crise sanitaire, la Région a acheté à la société tonnerroise ainsi qu’au spécialiste du chanvre, le voisin GEOCHANVRE à Lézinnes, plus de trente mille masques de protection.

Satisfaites de cette petite heure instructive vécue dans le milieu de la literie de qualité, Marie-Guite DUFAY et sa délégation pouvaient continuer leur programme tonnerrois qui comprenait d’autres rendez-vous.

 

Thierry BRET

 

 


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La messe est dite : ci-gît le bon vieux moteur thermique ! Dans dix ans, tous les constructeurs turbineront exclusivement aux autos électriques. Les pouvoirs publics ont décidé de faire barrage aux méchants carburants et leur sentence est désormais irrévocable.

 

AUXERRE : Chez Ford, Fiat, Volvo, Jaguar, Mini, Bentley et Alpine, la décision est prise : dans dix ans, il n’y aura plus une seule auto thermique au catalogue. Et la grande majorité de leurs concurrents prend aussi la direction menant au « zéro émission ». A l’origine de ce virage foudroyant, les mesures drastiques de réduction des émissions de CO2 à 95 grammes par kilomètre, imposées manu militari par les autorités publiques, quitte à mettre sous perfusion, à coups de fiscalité ultra généreuse, une industrie automobile qui n’a guère d’autres choix. 

 

Mettre la charrue avant les bœufs… 

 

Rouler en électrique ? C’est plutôt magnétisant. Au moins sur le papier : faire du bien à la planète et accessoirement à nos poumons ; ne plus se salir les mains à la pompe à essence (de quoi ravir les filles !) et posséder une automobile à batterie qui réclame moins d’entretien (le rêve pour le porte-monnaie qui n’est pas forcément celui du Faubourg Saint-Honoré) ; profiter d’un couple immédiat à chaque accélération (le plein de sensations !) et bien sûr la réduction des nuisances sonores en ville, associée à une forme de « zénitude » pour le conducteur et les passagers. 

Tout cela est rigoureusement exact et le plaisir de conduire une auto électrique est réel. Seulement, dans la vraie vie, le courant ne passe pas aussi bien. Car le nerf de la guerre, c’est l’autonomie. Et c’est là que ça disjoncte. L’autonomie, elle fond comme une « Häagen-Dazs » au soleil !

Pas le choix, il faut recharger sans cesse. Et pour se gaver de volts, l’heureux possesseur de voiture électrique doit se plier à un véritable jeu de piste, s’il n’a pas la chance de pouvoir se brancher au bureau ou chez lui. Même en ville où la voiture électrique nous est vendue comme idéale, c’est le parcours du combattant. Comment la recharger lorsque l’on vit au troisième étage d’un immeuble ou que l’on bosse dans une Tour de la Défense au 25e ?  

 

 

Born to be alive…

 

Aujourd’hui, 90 % des recharges s’effectuent à la maison ou au travail, mais plutôt en province ou en banlieue. Pour les autres - et ils seront de plus en plus nombreux -, il ne leur reste que leurs multiples cartes d’abonnements aux systèmes de charge pour pleurer. Il en faut huit différentes pour se brancher où l’on veut. Faut-il encore trouver une borne de recharge !

Car sur les 31 000 points de charge disponibles pour le grand public, il faut, outre le dénicher, prier pour qu’il n’y ait pas d’auto déjà branchée dessus, ou qu’elle ne soit pas en panne. 85 % des utilisateurs sont tombés sur des systèmes défectueux d’après une récente étude de l’AFIREF (Association Française pour l’itinérance de la recharge électrique des véhicules). 

Alors, Paris-Marseille en douze heures, ça vous tente ? Et pourquoi pas des vacances sur les aires d’autoroutes ? 

 

La mariée était trop belle…

 

Reste tout de même un gros village d’irréductibles Gaulois qui n’entendent pas succomber à la mode écolo. Pour eux, cet engouement pour les voitures électriques est incompréhensible.

Ils voient bien que les prix des autos électriques sont beaucoup plus élevés (entre 25 000 et 90 000 euros), malgré les aides de l’Etat ; qu’elles sont plus lourdes (à cause des batteries) et surtout que les chiffres promis sur leur autonomie sont bidons.

Contrairement aux apparences, l’électrique consomme beaucoup plus sur route dégagée qu’en ville. Résultat : les 300 km d’autonomie annoncés par les constructeurs peuvent allègrement être divisés par deux sur l’autoroute.

Et encore, par grand beau temps seulement : les premiers frimas, le chauffage, le dégivrage, les essuie-glaces, et autres accessoires énergivores, auront tôt fait de faire baisser la jauge.

Cerise sur le capot, quid des réelles retombées écologiques du recyclage (ou pas) des batteries dont on ne sait rien à ce jour. 

La voiture électrique ? Une jolie mariée qui nous cache bien des défauts…

 

Anne-Charlotte LAUGIER

 


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Le concept se veut original. Il s’adresse aux futurs entrepreneurs de la partie septentrionale du département. Un acte qui est posé en deux temps. Celui d’un pitch afin d’y présenter son projet. Avant ce long mais sans doute fructueux brainstorming d’une durée de trente heures permettant aux neurones de faire tilt en modélisant et en rendant opérationnel ledit concept au terme d’un week-end insolite…

 

SENS : Jamais à court d’idées, la Fabrique à Entreprendre du Grand-Sénonais ! Voilà que la structure animée par Magalie CONTUDEAU TAVARES nous concocte une opération dont elle a le secret à l’attention des entrepreneurs en herbe !

L’action a pour principal objectif de susciter l’émergence de nouveaux projets dont certains ont été menés durant la délicate et interminable période de confinement. Successif, devrait-on ajouter !

 

 

Ce « Start-up Weekend », proposé les 11 et 12 juin, offre à ses participants trente heures de réflexion pour que se concrétise réellement le projet. Ceci étant appuyé par des mentors (les partenaires historiques de la Fabrique à Entreprendre) et la Communauté du Grand-Sénonais.

L’initiative est ouverte aux étudiants mais également aux demandeurs d’emploi. Sans omettre les professionnels, voire des passionnés qui possèdent de la clairvoyance et des idées entre les oreilles !

 

En savoir plus :

On peut s’inscrire par téléphone au 03.86.42.01.10.

Nombre de places limitées

 

Thierry BRET

 


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