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On y rentre furtivement en quête de la bonne emplette. On s’y s’attarde aussi plus longtemps. Privilégiant le contact avec le professionnel qui assure sa démonstration. Le concept a su séduire les habitants de la capitale de l’Yonne lors du premier volet de l’opération qui a couru sur juin. Cinq nouveaux artisans ont pris le relais jusqu’au 31 juillet. Initiative louable que celle menée par l’Agglo, la Ville et la Chambre des Métiers et de l’Artisanat…

 

AUXERRE : Une tête se présente hâtivement dans l’encadrement de la porte, avant de se raviser ! « Je reviendrais plus tard ! ». Une autre silhouette féminine pénètre derechef dans la boutique mais constate que des discours y sont prononcés. Elle s’efface là aussi promptement du champ visuel des orateurs, promettant de revenir très vite y acheter quelque chose.

En deux temps et trois mouvements, les officiels présents à cette séance inaugurale du second mois de l’opération auront pu juger par eux-mêmes la popularité exponentielle du projet. Une chose est certaine : la boutique éphémère de la rue Fécauderie rencontre le succès !

Accueillant des spécialistes ou des néophytes des métiers d’art, la vitrine offre un magnifique tremplin à celles et à ceux de ces professionnels qui ont eu à subir les miasmes du confinement, privés de relations directes avec leur clientèle pendant une période interminable.

Selon David MARTIN, vice-président de la Chambre des Métiers et de l’Artisanat de l’Yonne, « la fréquentation de ce commerce sur la période de juin a été très satisfaisante… ». Ce ne sont donc pas les cinq artisans d’art qui occupaient précédemment l’endroit qui s’en plaindront manifestement. Surtout s’ils ont pu joindre l’utile (la vente de leurs produits) à l’agréable (le plaisir de se retrouver en présentiel en contact avec leurs clients).

 

 

 

Des enjeux aux effets gigognes autour de l’opération…

 

 

Les nouveaux venus savent donc à quoi s’en tenir sur le plan de la positivité induite par l’initiative. Céramiste, maroquinière, concepteur de mobilier et d’objets en béton, créateur de ceintures et de sacs ou ingénieuse inspiratrice sachant donner une seconde vie au papier recyclé auront tout le loisir de profiter de l’excellente exposition réservée par cet espace commercial jusqu’au terme de juillet.

En ce sens, l’éphémère ne dénature pas la qualité de leurs productions, bien au contraire. Elle en ferait presque une denrée rare dont il faut s’approprier très vite la substance.

Isabelle JOAQUINA, adjointe de la Ville en charge de l’Artisanat et du Commerce, évoqua les fondements essentiels de ce dispositif ayant pour but de valoriser le travail de ces professionnels de proximité. Les enjeux sont multiples.

Outre la possibilité de se faire connaître pour les artisans, le concept correspond à un melting-pot d’idées d’où émergent les notions du développement durable (le réemploi de certaines matières pour créer de nouveaux objets usuels), l’excellence de la formation et de la vocation envers les métiers manuels, l’attrait inhérent au tourisme et aux produits du terroir. Un credo global qui unifie les trois porteurs de projets institutionnels investis dans ce dossier, l’Agglomération de l’Auxerrois, la Ville et la chambre consulaire.

 

 

 

 

Une scénographie réussie pour se mettre en avant au plan commercial…

 

 

Porte-voix de la Chambre des Métiers et de l’Artisanat, David MARTIN fit les mêmes observations lors de sa prise de parole. Saluant le rôle de chacun des partenaires dans l’aboutissement de ce projet.

Soulignant aussi la dimension portée par le label « Artisans du Tourisme », faisant toute la lumière sur les métiers d’art sur notre territoire. Une incontestable plus-value auprès des touristes de passage, ayant des incidences heureuses sur le savoir-faire, l’économie, la créativité et le social, c’est-à-dire l’emploi.

Le nouveau responsable de l’association des Artisans d’Art de l’Yonne, Julien CORDIER, ébéniste de son état, remercia les institutionnels pour leur prise d’initiative réussie.

Faisant montre d’esprit d’ouverture auprès de la relève artisanale, les incitants à postuler dès que possible pour grossir les rangs de la vénérable institution dont il tient les rênes depuis peu.

Le travail de Maud DUSSOL, collaboratrice d’Isabelle JOAQUINA en charge de l’animation commerçante de la Ville et de Thierry HUMBLOT, incontournable pilier consulaire au service des artisans, fut également salué.

Vendredi en fin d’après-midi, un exercice inaugural similaire se déroulera à l’espace culturel de GURGY. Tonnerre et le Vézelien, en phase de création, disposent également de leurs boutiques éphémères à la gloire de ces artisans d’art. Qui savent pertinemment se mettre en scène au plan commercial…

 

Thierry BRET

 

 

 


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Le chantier devrait voir ses premiers coups de pelleteuse cet été. Une fois le verdict de l’appel d’offres rendu. Celui-ci désignant l’attribution des lots aux différentes sociétés intervenantes extérieures. A l’instar d’autres sites que compte l’industrie du nucléaire dans l’Hexagone, la centrale de Belleville située à la frontière du Cher et de la Nièvre sera créditée d’un nouveau bâtiment opérationnel d’ici 2023 : un centre de crise local (CCL)…

 

LERE (Cher) : C’est la résultante logique de l’accident survenu en mars 2011 au Japon à Fukushima. Les dix-huit centrales nucléaires de l’Hexagone (elles exploitent une totalité de 56 réacteurs) seront pourvues à horizon 2025 de nouveaux bâtiments, facilitant la gestion d’éventuelles crises, les CCL (Centre de crise local).

Une initiative sécuritaire maximale qui a reçu la bénédiction de l’Autorité de Sûreté Nucléaire (ASN).

L’un des premiers complexes à avoir été équipé de la sorte n’est autre que la centrale de Flamanville dans la Manche. Celle de Tricastin, en cours de réalisation, bénéficiera bientôt du même avantage additif.

Plus près de nous, la centrale nucléaire de Belleville, implantée en bordure de la Loire près de Léré, devrait voir les travaux débutés d’ici quelques semaines. A terme, toutes les centrales EDF disposeront de ce nouvel espace, long d’une cinquantaine de mètres sur une trentaine de mètres de largeur.

 

 

 

L’information a été confirmée par le responsable du site José de CARVALHO lors d’un récent point avec la presse dans le cadre d’une journée d’exercice faisant intervenir les membres de la FARN (Force d’Action rapide du Nucléaire) engagés dans une manœuvre importante de quatre jours.

Plusieurs partenaires d’EDF, rassemblés au sein d’un groupement d’entreprises, auront à leurs charges le marché de conception et de réalisation de ces centres de crise locaux.

Ces bâtiments seront destinés à accueillir, à proximités des centrales, toutes les personnes habilitées à intervenir en cas de situation extrême, soit une soixantaine de spécialistes.

Conceptuellement, ces bâtiments CCL accueilleront une zone de protection radiologique (local de contrôle, local de décontamination…), des bureaux où seront opérationnels les postes de commandement, des salles de réunion, des pièces destinées à la surveillance ainsi que des lieux de vie et des espaces technologiques.

 

Thierry BRET

 

 


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Il n’était point présent pour assister au paraphe de l’accord visant à accélérer le processus de la transition écologique des PME entre le représentant de l’Etat et les présidents nationaux des chambres consulaires quelques minutes auparavant. Pourtant, le député André VILLIERS n’a pas manqué de se distinguer auprès du ministre en charge des PME Alain GRISET au nom de l’industrie et des entreprises en difficulté dont il voulait être le porte-parole…

 

AUXERRE : Le parlementaire de la seconde circonscription de l’Yonne est arrivé à ses fins. Tel qu’il nous l’avait précisé en aparté quelques instants avant que le ministre en charge des PME Alain GRISET ne visite le restaurant « Les Quais » dans le cadre de l’explication de texte servant à promouvoir l’accélération de la transition écologique auprès des entreprises artisanales, commerçantes et indépendantes.

Absent de la séance officielle où fut signé le document entre le représentant du gouvernement et les partenaires des chambres consulaires dans les salons de la préfecture, le député UDI a eu tout le loisir de pouvoir échanger après coup avec l’ancien président national de l’U2P. Aujourd’hui, officiant es qualité de ministre au sein du gouvernement CASTEX.

L’entrevue entre les deux hommes se déroulera sur la terrasse du restaurant auxerrois, non loin de quelques clients retardataires qui furent tout surpris d’une telle agitation présentielle en terminant leurs repas.

 

 

 

Au-delà des salutations de circonstance et protocolaires, André VILLIERS a pu s’entretenir durant quelques minutes avec Alain GRISET pour lui exposer le cas de plusieurs entreprises icaunaises, confrontées aux marasmes de la réalité économique, en attente d’éventuels repreneurs.

De sa besace, le député UDI et conseiller départemental réélu il y a peu aura tiré deux noms qui occupent désormais les colonnes des médias depuis plusieurs semaines : SKF à Avallon et BENTELER Automotive à Migennes. Une conversation qui n’avait rien de conciliabules ayant pour témoins le maire d’Auxerre Crescent MARAULT et son directeur de cabinet Yves LASMATRES, le conseiller départemental Christophe BONNEFOND, la secrétaire générale de la préfecture Dominique YANI, le président de la Chambre des Métiers et de l'Artisanat de l'Yonne Jean-François LEMAITRE ou encore le président régional de la CNAMS (Confédération nationale de l’artisanat des métiers et des services) Christophe DESMEDT.

Deux études de cas grandeur nature à résoudre pour le représentant du gouvernement qui aura été interpellé sur la question par un André VILLIERS bien décidé à se battre pour préserver l’emploi et le tissu industriel sur son territoire…

 

Thierry BRET

 


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Innovation pédagogique à tous les étages au sein de l’établissement à vocation agricole de l’Auxerrois ! L’apport de simulateurs de conduite d’engins devrait être un sérieux plus éducatif pour les élèves qui fréquentent la filière. D’autant que sept de ces appareils aux multiples options y seraient fonctionnels pour assurer une découverte des risques inhérents aux métiers, mêlant aspects ludiques et modernistes. Qui a dit que l’enseignement agricole n’était pas à la pointe de la technologie ?!

 

VENOY : C’est presque une révolution de palais au sein de l’institution agricole de l’Auxerrois. Appréhender toutes les subtilités techniques propres aux différents métiers de la filière par le prisme de la simulation électronique représente un sérieux avantage pour celles et ceux des apprenants qui s’y exercent.

Testés par plusieurs élèves, trop heureux de vivre cette expérience unique, les simulateurs de conduite d’engins offrent une kyrielle de possibilités, devenant une étude de cas grandeur nature où le conducteur doit savoir manier les manettes de ce pseudo engin virtuel avec dextérité et prudence.

Muni de diverses options (enjambeur, véhicule agricole, transport animalier, van, tractation d’une remorque…), l’appareil plaçait dans un contexte proche du réel ces jeunes gens encore inexpérimentés à la conduite qui souhaitaient en découdre avec lui, histoire de se mesurer aux vertus du digital !

 

Le volet sécuritaire examiné en priorité…

 

Naturellement, du fait du confort usuel de cet appareil issu du made in France, les apprentis conducteurs d’engins agricoles purent aborder le volet sécuritaire et la découverte des dangers existants à leur mauvaise maniabilité. Avec en filigrane, le souci de l’optimisation économique des engins, bien réels ceux-là, que ces jeunes apprenants seraient amenés à piloter ultérieurement lors d’exercices sur le terrain. En maîtriser avec plénitude les gestes serait un gage supplémentaire pour en éviter la casse ! Donc, les coûts inutiles à leur réparation !

Conscient de cette prodigieuse avancée pédagogique favorisant la confiance et l’engouement des élèves, le CFA La Brosse, associé au lycée et au CFPPA éponymes, envisagent très sérieusement de se doter de sept de ces appareils révolutionnaires, fortement usités dans le milieu des travaux publics et du bâtiment.

Grâce au concours du Conseil régional de Bourgogne Franche-Comté qui supporterait 80 % de l’achat, l’établissement disposerait d’un reste à charge plus que correct pour en financer l’octroi.

Une enveloppe budgétaire de 700 000 euros TTC serait nécessaire pour acquérir sept de ces simulateurs de dernier cri, gavés de multiples options. Il n’est pas exclu que d’autres partenaires économiques inféodés à la cause agricole participent au projet.

 

 

Une sélection entre deux prestataires basée sur le coût et les options…

 

Selon Hélène DECULTOT, directrice du CFA agricole, le choix entre les deux prestataires français (ACREOS et TENSTAR) n’est pas encore définitivement entériné.  L’heure est toujours à la phase des essais entre les deux concepts.

Si tout se déroule comme prévu dans le cahier des charges, ces simulateurs de conduite d’engins pourraient être opérationnels au printemps 2022.

Juste avant les futures portes ouvertes du site où ils deviendront les vedettes américaines de ce rendez-vous. Près de 450 élèves ainsi que des personnes en formation continue y auraient accès par la suite.

La décision définitive sera prise en septembre quant au prestataire retenu. Le coût ne sera pas le seul critère de sélection ; l’établissement aura une préférence pour le concept le plus éclectique en termes de possibilités d’options.

La filière de l’enseignement agricole s’inscrit désormais sous le sceau de la modernité avec l’apport de ces outils numériques. A l’instar du lycée viticole de Beaune qui dispose déjà de ce dispositif d’enseignement virtuel dans ses locaux.

 

Thierry BRET

 

 

 


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L’exercice se nomme dans le jargon journalistique, le « micro tendu ». L’interlocuteur se prête volontiers, mais parfois avec une certaine hâte fébrile, au jeu de l’interview face aux médias, justifiant ainsi sa présence sur le territoire. Tout en délayant les principaux messages distillés du jour. Alain GRISET n’a donc pas dérogé à la sacro-sainte pratique de cette règle basique de communication. Par contre, le ministre en charge des PME a pris le temps de répondre à toutes les interrogations posées…

 

AUXERRE: De passage ce lundi 05 juillet après-midi à Auxerre en visite officielle, afin d’y signer la convention de partenariat concernant l’accélération de la transition écologique des artisans, commerçants et indépendants, le représentant du gouvernement Alain GRISET a fait le point sur ce dossier entre deux visites d’entreprises auprès des journalistes régionaux.

Un point presse qui lui aura permis de présenter les caractéristiques principales de ce dispositif, dans le cadre du plan « France relance », concocté en collaboration avec l’ADEME, CCI France et CMA France. Morceaux choisis…

 

Le gouvernement a décidé d’accélérer la transition écologique des artisans, commerçants et indépendants. Quels sont les objectifs de cette stratégie ?

  

« L’objectif de cette convention de partenariat avec les CCI (Chambre de Commerce et d’Industrie) et les CMA (Chambre des Métiers et de l’Artisanat) est de permettre aux entreprises, aux artisans, commerçants et indépendants d’avoir des informations pour passer le cap de la transition écologique. Après cette sortie de crise, il faut passer à autre chose, sachant que la transition écologique est un des éléments importants de notre avenir. Il y a parmi ces enjeux une attente des consommateurs qui font attention aux entreprises qui effectuent cette démarche-là…

 

Justement, une enveloppe conséquente va être engagée dans ce projet…

 

Oui, l’Etat a mis 15 millions d’euros pour permettre aux CCI et aux CMA d’aller visiter les entrepreneurs dans un premier temps et ensuite de leur donner des conseils judicieux pour pouvoir avec l’ADEME trouver les bons outils pour accompagner ces entreprises désireuses de respecter la transition écologique.

 

 

Comment va se dérouler ce processus d’accompagnement auprès des entreprises ?

 

Dans un premier temps, il y a une analyse de la situation de l’entreprise. Pour celles qui le souhaitent, on leur propose de faire un accompagnement pour trouver des solutions. Donc, primo, un diagnostic de cet état des lieux avant de procéder à un accompagnement…

 

Vous évoquez les solutions. De quel ordre sont-elles précisément ?

 

Par exemple, prenons pour référence cet établissement (ndlr : le restaurant « Le Quai » à Auxerre que le ministre en charge des petites et moyennes entreprises visitera en début d’après-midi), on peut avoir de l’amélioration sur les économies d’énergie sur le bâtiment lui-même. Mais, il peut y avoir des solutions sur la gestion des déchets. L’établissement propose à sa clientèle de pouvoir repartir avec les restes du plat si le consommateur n’a pas terminé ledit plat.

Un travail peut se faire également sur la mobilité et les véhicules. Voire sur la gestion de la terrasse. On voit bien qu’il existe plusieurs pistes sur lesquelles on peut réfléchir et travailler, y compris dans un restaurant. Cela permet à l’entreprise d’améliorer sa situation écologique. Ce n’est pas réservé qu’aux seules grandes entreprises. Je souhaite surtout que la transformation écologique ne soit pas punitive. Il faut que l’entrepreneur y adhère tout en y trouvant son compte…

 

 

Est-ce que vous avez un objectif quantitatif par rapport à un quota d’entreprises qui suivrait ce programme ?

 

Dans un premier temps, il y a 35 000 entreprises qui vont être contactées, visitées. Cela correspond à une demi-journée de présence des CCI et des CMA dans l’entreprise, afin d’y réaliser le diagnostic. Ensuite, on table sur 10 000 entreprises que nous souhaitons voir passer à l’acte de la transition écologique. C’est celles que l’on a ciblées. Mais, j’ai la ferme intention de penser que toutes celles que l’on a suivies vont aussi irriguer, incitant d’autres structures à le faire. On a vu ce qui s’est passé avec la numérisation. Beaucoup de PME/TPE ont passé le cap. Cela devrait générer des comportements très positifs par effet de capillarité…

 

Est-ce que ce changement de cap aura un coût pour l’entreprise ?

 

Il faut que les choses soient claires : pour l’entreprise, il n’y aura rien à payer ! Quant aux 15 millions d’euros débloqués par l’Etat, c’est pour rémunérer les CCI et les CMA, soit 330 euros par projet visité. Ce qui permet de couvrir le temps agent mis à la disposition des entreprises à la réalisation de ce projet. Les entrepreneurs peuvent très facilement obtenir ce diagnostic, et cet accompagnement sans bourse déliée.

 

A propos de la mobilité, comment cela va-t-il s’appliquer aux entreprises concernées ?

 

Que ce soit sur la mobilité ou la gestion des déchets, il existe beaucoup de dispositifs qui existent. La difficulté, c’est que les entreprises ne connaissent pas forcément ces dispositifs. Avec l’ADEME, leur objectif premier sera de les informer de toutes les disponibilités possibles dans leurs entreprises. Quand il existe une aide sur le volet de la mobilité pour l’acquisition d’un véhicule électrique, il faut que ces entreprises puissent en bénéficier pour pouvoir faire des économies et avoir cette trajectoire écologique.

 

Propos recueillis par Thierry BRET

 


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