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Deux jours en immersion en Bourgogne Franche-Comté, ou plus exactement dans le Jura et en Saône-et-Loire, pour le président national de la Chambre de Métiers et de l’Artisanat ne peuvent être qualifiés d’ordinaire. Découverte d’un CFA  ou visite d’une entreprise constituait le gros du programme. Mais, le plus significatif de ce séjour restera la convention régionale signée avec Pôle Emploi afin de promouvoir la filière artisanale…

 

LONS-LE-SAUNIER (Jura) : Difficile de faire un choix, le plus souvent celui-ci est cornélien, quand il s’agit de définir une destination et un but précis de rencontre de travail. Surtout lorsque les sollicitations se multiplient et que l’on est à la tête de la puissante chambre consulaire qui défend les intérêts de la filière artisanale.

En déplacement cette semaine dans deux des huit départements que compte notre contrée, Joël FOURNY, président national de la Chambre de Métiers et de l’Artisanat, a pu être accueilli par Emmanuel POYEN, président de la région Bourgogne Franche-Comté, lors de cette courte visite, au demeurant très dense côté contenu.

C’est par la découverte du CFA du Jura que le responsable national de la branche artisanale débuta son périple en rencontrant des apprentis et les équipes enseignantes/administratives de l’établissement localisé à proximité de Lons-le-Saunier, à GEVINGEY. Le président eut le plaisir de pouvoir échanger le temps d’une discussion nourrie avec un meilleur apprenti de France et un candidat aux fameuses épreuves du « Worldskills ».

 

 

Puis, toujours dans le chef-lieu du Jura, ce fut un rendez-vous constructif avec le dirigeant de la société PAGNIER, structure spécialisée dans la fabrication de siège de salle de spectacles. Une manière concrète et appréciable de comprendre les enjeux d’un artisanat qui n’a rien de virtuel.

Le 27 mai, c’est en Saône-et-Loire que Joël FOURNY achèvera ce parcours de découverte bourguignon en assistant à la signature d’une convention régionale entre Pôle Emploi et la Chambre des Métiers et de l’Artisanat de Bourgogne Franche-Comté.

Un document sur lequel nous reviendrons afin de vous expliquer les quatre axes retenus dans cet accord valable pour trois ans sur la promotion des métiers, l’accès à l’apprentissage, l’initiative entrepreneuriale et la réponse aux besoins de compétences des entreprises…

 

Thierry BRET

 


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Fragile, cette petite fleur des champs ? Pas si sûr ! Certes, elle ne se développe que dans des endroits propices à son épanouissement, dépourvus de toute pollution. Mais, sa prolifération se veut rapide. Eclatante, sa couleur vive représente l’ardeur, le dynamisme, l’action. Elle est devenue le symbole de l’essor et du rayonnement des cœurs de ville, soutenus par « Centre-Ville en Mouvement ». Son directeur national était présent à Auxerre, encore toute auréolée de sa nouvelle distinction…

 

AUXERRE: « Comme un p’tit coquelicot, mon âme, comme un p’tit coquelicot… ». La célèbre ritournelle de Marcel MOULOUDJI, créée en 1952, a-t-elle influencé les responsables de « Centre-Ville en Mouvement » dans le choix du symbole floral qui conviendrait le mieux pour traduire ce désir de « refleurissement » commercial des cœurs historiques de nos agglomérations ?

La question n’a malheureusement pu être posée à l’issue de la remise de la distinction du jour à Pierre CREUZET, directeur fondateur de la structure associative qui récompensait l’édile d’Auxerre et président de l’Agglomération de l’Auxerrois Crescent MARAULT.

Pour autant, certains de celles et ceux qui avaient plus de vingt ans parmi cette assistance hétéroclite d’élus et de représentants institutionnels ont peut-être intérieurement chantonné cette référence musicale, fleuron onirique de la chanson hexagonale.

 

 

Un copieux plan de relance sans dose homéopathique…

 

Les quelques mots prononcés à l’issue de cette brève cérémonie, concoctée à l’hôtel de ville ce vendredi 28 mai au matin, par le premier élu de la localité faisaient part de sa fierté. Celle de se voir attribuer une distinction nationale qui salue les initiatives qui sont et vont être déclinées en faveur de la dynamique commerciale.

A la lecture du copieux plan de relance qu’il souhaite administrer sans dose homéopathique au bassin de l’Auxerrois et à sa ville phare, devenue son territoire de prédilection, au cours de la prochaine décennie, l’élu de la droite et du centre droit, à la manœuvre depuis bientôt un an, veut mettre le paquet pour rendre son lustre aux commerces du cœur de ville.

Son plan de redynamisation s’articule en divers points s’imbriquant les uns les autres, allant de la réhabilitation de l’habitat à la maîtrise du foncier en passant par la mise en place d’une politique de loyers maîtrisés, sans omettre la densification des projets commerciaux.

Parmi les particularismes évocateurs qui ont été dévoilés à ce spécialiste national du commerce et de l’artisanat en centre-ville qu’est Pierre CREUZET, la rénovation programmée du marché de l’Arquebuse, la création d’un concept original de « halle » installée en centre-ville ou encore le lancement d’un concours de restaurants éphémères.

Une idée qui ne devrait que séduire les acteurs économiques déjà investis localement pour soutenir la filière des métiers de bouche. On pense ainsi à Philippe BULANT, directeur de METRO, qui aura beaucoup œuvré depuis le début de l’année pour sortir de l’ornière les professionnels en réel manque de chiffre d’affaires.

 

 

Le coquelicot, symbole de bonnes actions qui fleurissent chaque année …

 

Alors, recevoir le diplôme du Coquelicot d’Or n’a rien d’anodin en soi pour la capitale de l’Yonne qui procèdera bientôt au recrutement d’un manager de centre-ville.  

Au-delà du symbole et de son emblème fleuri, ce prix confère une ambition nationale au projet de développement auxerrois de ce commerce de proximité à ressusciter coûte que coûte.

Il en va de l’attractivité territoriale de l’agglomération icaunaise. Il en va aussi du rayonnement de notre cité et de son poids réel parmi les centaines d’autres villes de l’Hexagone qui détiennent elles-aussi ce précieux symbole à l’inspiration champêtre. Ce coquelicot nous rappelle que d’année en année, ce sont les bonnes actions qui fleurissent autour de nous, afin de redonner vie et réactivité à des cœurs de villes qui en ont plus que jamais grandement besoin…Espérons que cette éclosion nouvelle portera ses fruits pour notre territoire.

 

Thierry BRET

 

 

 

 


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Les membres du collectif « Stop Panhard », des citoyens, syndicats et associations (ADENY, Le Ruban Vert, Sens-Ecologie et Solidarité) se sont exprimés devant l’hôtel de ville le 20 mai 2021, au dernier jour de l’enquête publique menée dans le cadre de la construction d’un parc logistique. Il serait dédié au développement du e-commerce...

 

SENS : Après une forte mobilisation à la mi-avril qui avait réuni près de trois cents personnes au rond-point des Droits de l’Homme, le collectif « Stop Panhard » poursuit sa lutte contre le projet d’implantation d’un entrepôt par la société Panhard Développement dans la zone des Vauguillettes.

Incitation à la surconsommation, pollution des sols, destruction du patrimoine naturel et rural du Sénonais, recul de l’activité agricole, etc. : ce collectif ne manque pas d’arguments pour contrecarrer ceux de la municipalité qui mise tout sur la création d’emploi. Un projet ambitieux de plus de 150 000 mètres carrés de bâtiments qui contraste, somme toute, avec la volonté affichée de la collectivité de lutter contre la pollution et la défense de l’environnement.

Elle s’apprête d’ailleurs à procéder à la signature du CRTE (Contrat de relance et de transition écologique) prévu dans le cadre du plan de relance, en présence de la préfecture de l'Yonne, des vice-présidents de conseil départemental et régional ainsi que des maires des 27 communes de la CAGS (Communauté d’agglomération du Grand Sénonais). 

 

 

« Ce projet nous parait démesuré et disproportionné avec la ville de Sens »...

 

Le collectif a réaffirmé avec force et détermination son hostilité à ce projet d’environ 40 hectares de terrain d’assise auprès de la population, en direct sur Facebook. Ils ont ensuite rencontré l’enquêteur et lui ont remis des pétitions appelant à l’abandon de ce projet. Une pétition qui réunit près de 4 000 signatures.

Le collectif a également recueilli les témoignages des habitants qui ont participé à cette enquête publique. Beaucoup souhaitent que ce projet soit retiré et estiment qu’il va « à l’encontre de ce que nous voulons pour notre vie, notre avenir, celui de nos enfants et des générations futures ».

 

Floriane BOIVIN

 

 


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La valorisation des déchets de la déconstruction est à l’ordre du jour des spécialistes de la filière du bâtiment. En diminuant leur empreinte carbone, les entreprises positionnées sur ce secteur veulent ainsi économiser les ressources naturelles. Une décision salutaire pour préserver la planète et faire progresser l’économie circulaire. Ce sera le thème de la visite de la présidente de la Région, conviée sur l’un des sites de la SAS MICHEL ce vendredi…

 

AUXERRE : A quoi peuvent donc servir des déchets issus de la démolition ? C’est une question que bon nombre d’entre nous peuvent légitimement se poser à l’heure du développement de l’économie circulaire et de la sauvegarde de la planète.

Une interrogation que, peut-être un jour au détour de l’inauguration d’un chantier traditionnel, est venue titiller l’esprit avisé de la présidente de la Région Bourgogne-Franche-Comté Marie-Guite DUFAY ! Si cela n’a été fait, la représentante de l’exécutif régional recevra nécessairement les réponses adéquates lors de sa visite en terre de l’Yonne, vendredi 28 mai, sur l’un des sites de la SAS MICHEL à Auxerre.

Elle y découvrira, aux côtés de l’entrepreneur et président de la Fédération départementale du bâtiment Didier MICHEL, une paroi en gabions édifiée en matériaux de démolition concassée. Cette surface remplace un mur de soutènement en béton.

De manière générale, la gestion des déchets de la filière varie selon de nombreux critères : nature du bâtiment démoli, composants utilisés. Les traiter s’impose comme une priorité absolue pour la corporation car le secteur du bâtiment représente 19 % de la production de déchets issus du BTP. Soit 46 millions de tonnes par an ! Pour mémoire, les déchets ménagers correspondent à un volume annuel de seulement trente millions de tonnes…

 

 

 

Or, il s’avère dans le détail que 49 % de ces détritus sont issues de la seule démolition. Leur revalorisation oscille entre 48 et 64 % selon la typologie des matériaux à recycler. Dont 60 à 80 % pour la spécificité de la démolition.

Aujourd’hui, l’ADEME s’est engagée sur un projet baptisé « DEMOCLES », une démarche collaborative fédérant une quarantaine d’acteurs, qui vise à développer le tri et le recyclage de ces déchets particuliers : plâtres, moquettes, produits ouvrants, etc.

Sensibilisée par cet item propre au développement durable, l’un de ses chevaux de bataille, la présidente de la Région devrait être tout ouïe à l’écoute des professionnels de la filière.

 

Thierry BRET

 

 


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Que ce soit dans la capitale de l’Aube ou sur les anciennes terres des ducs de Bourgogne, l’exercice s’est répété par deux fois, à quelques jours d’intervalle. Il est vrai que cette pratique oratoire, coutumière pour le staff de l’établissement financier, a du bon. Non seulement, elle satisfait les journalistes qui peuvent apprécier dans leurs moindres détails les arcanes fonctionnelles de ce poids lourd de l’économie régionale. Mais, en outre, elle offre l’opportunité de tâter le pouls côtés tendances et innovations…

 

DIJON (Côte d’Or) : L’exercice sied à ravir à l’héritier intellectuel de Jacques KERMARREC. Dans les pas de son prédécesseur qui savait le manier avec une similaire dextérité, Emmanuel VEY, directeur général du Crédit agricole Champagne-Bourgogne, sait trouver les mots justes pour expliquer le contexte dans lequel se meut aujourd’hui son établissement.

Une situation qui n’a rien de sibylline à ses yeux tant le devenir économique semble plutôt probant à bien des égards, après cette crise sans précédent vécue par l’humanité.

2020 met en exergue ce sentiment de mission accomplie pour le responsable de l’entité financière mutualiste. Malgré le profil en dents de scie de la sphère économique et de tous ses acteurs. Un terme linguistique pourrait résumer cela à lui tout seul : la présence.

Présent le Crédit agricole au  plus près de son territoire de prédilection ? Au-delà des mots, ce sont des images défilant à rythme soutenu lors de la diffusion d’un clip vidéo qui l’attesteront à travers moult exemples. Le tout servi par un générique qui en dit long sur la question, introduit par la voix du regretté Charles AZNAVOUR : « You are the one for me, for me, formidable ! ».

Alors sont-ils si formidables ces fameux professionnels de la banque au presque sortir de la crise sanitaire ? Au vu des séquences visuelles proposées, le premier financeur de l’économie territoriale n’a, certes, pas à se voiler la face à l’énoncé de son bilan.

Douze mille exploitations agricoles, installées en Champagne-Bourgogne, ont bénéficié de la pléthorique offre de services de la structure bancaire à l’identique des collectivités, entreprises et autres particuliers. La solidarité a été poussée à son paroxysme, entre altruisme et générosité, puisque des aides se sont concentrées en faveur des EPHAD mais aussi de deux cent cinq associations qui ont pu profiter pleinement de subsides accordés dans un souci solidaire par l’établissement.

« On ne s’est jamais senti plus utile durant cette période en soutien des activités économiques de notre clientèle, lâche Emmanuel VEY, bien conscient que le premier « bancassureur » de la région a assuré grave, comme le dirait la jeune génération. Et justement, puisqu’il faut évoquer la jeunesse, parlons-en ! Celle-ci n’aura pas été oubliée par le staff décisionnel du groupe. Entre recrutements en nette progression, malgré l’atonie de la situation, et l’accueil de jeunes entrepreneurs, à la tête de start-ups aux contours dynamiques au sein du fameux concept iconoclaste, « Village by Crédit Agricole », un réseau d’accélérateurs de compétences et d’initiatives qui booste les talents : que dire de plus ?

 

 

Des mesures d’accompagnement répondant aux réels enjeux…

 

Si ce n’est, comme le réaffirmera le quinquagénaire directeur général, doublement diplômé d’un MBA obtenu à la Chicago Booth GSB et d’un DEA en économie internationale à Paris Sorbonne, que le Crédit agricole a su démontrer son appétence à l’adaptabilité et à la transformation afin de pouvoir réagir au mieux face à un contexte si spécifique.

Renforçant ainsi la méthodologie inhérente à cette banque qui puise ses ressources dans le sens de la relation à l’autre. Ainsi, dans les faits, plus de trois mille prêts garantis par l’Etat (PGE) ont été consentis par l’organisme financier pour un montant de plus de 400 millions d’euros. Des mesures d’accompagnement répondant à la hauteur des véritables enjeux.

Reports d’échéances de crédits aux entreprises, mise en œuvre de dispositif contractuel inédit de soutien (le geste mutualiste assurance), aides apportées aux métiers de la viticulture et de l’agriculture : le Crédit agricole Champagne-Bourgogne n’a pas ergoté sur les moyens.

8 800 clients professionnels ont pu en bénéficier au moment le plus opportun de leur existence. Près de 2,6 millions d’euros ont répondu aux attentes de plus de 630 clients pour le dispositif de soutien mutualiste.

L’accélération de la digitalisation aura été effective parmi les priorités avec un global de soixante millions de connexions enregistrées sur le site de la banque !  

« Le monde ne s’est pas arrêté du fait de la pandémie, souligne Jean-Yves REMILLET, président de l’établissement régional, nous avons proposé des solutions clefs en main et un accompagnement personnalisé aux artisans, commerçants et professionnels des quatre départements où nous agissons au quotidien : l’Aube, la Côte d’Or, la Haute-Marne et l’Yonne… ».

 

 

Une performance économique réussie malgré un contexte hors normes…

 

Autre preuve relative à ces propos : l’enveloppe de 617 000 euros qui aura été débloquée au profit de 74 structures accueillant un public de seniors. Un fonds de solidarité de 20 millions d’euros, porté par la Fondation Crédit Agricole Solidarité et Développement (CASD) au plan national, a favorisé la lutte contre l’isolement des personnes âgées.

Dans l’arborescence des résultats financiers de cette année écoulée, le Crédit agricole Champagne-Bourgogne tire incontestablement son épingle du jeu.

Sa solidité financière s’est confirmée. Quant à la continuité de service, rien n’a pu l’en empêcher. Pas même ce satané virus, sorti de nulle part. Les équipes, mobilisées à distance (1,4 million d’euros investis pour équiper l’ensemble des collaborateurs en ordinateurs portables et en téléphone) ont été fonctionnelles jusqu’au bout pour répondre aux attentes et besoins des 600 000 clients.

L’indice de recommandation client est en nette hausse. Près de 23 000 prospects se sont mués en une véritable clientèle nouvelle au terme de cette année si exécrable pour le moral et la joie de vivre.

Avec un résultat net s’élevant à 74,1 millions d’euros, la Banque verte peut donc envisager l’avenir avec sérénité. Le produit net bancaire conforté à 329,1 millions d’euros rappelle que la performance économique a été solide en dépit d’un environnement hors normes.

Reste l’avenir et les perspectives évolutives, tant en 2021 que pour les exercices suivants. Ce sera l’objet du second volet de cette introspection journalistique au cœur de la Banque verte, celle qui dit « agir chaque jour dans l’intérêt de ses clients et de la société »…Ce qui ressemblerait à la vérité, au vu des chiffres avancés !  

 

Thierry BRET

 


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