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Ce n’est que le reflet vertueux d’un long cheminement intellectuel en faveur de la mobilité électrique, ayant débuté il y a déjà…onze ans. Entre le leader de la grande distribution et le constructeur automobile, l’osmose est parfaite pour promouvoir le mode de locomotion de demain. Le réseau des 510 agences de location LECLERC sera bientôt équipé des premières DACIA SPRING 100 % électriques. Une révolution dans l’offre locative ?

 

IVRY SUR SEINE : Il y avait déjà la Renault ZOE qui permettait d’offrir une opportunité locative à des tarifs très abordables (6 euros par jour)  à la clientèle de l’enseigne distributrice. Il y aura désormais, et en sus, la DACIA SPRING dans sa variante 100 % électrique !

Quatre mois après l’annonce d’un partenariat unique élaboré entre les Centres E.LECLERC et le constructeur automobile hexagonal, l’accélération promotionnelle des véhicules électriques devient une réalité tangible parmi les réseaux de location présents sur le marché.

D’ici le terme du printemps, les 510 vitrines locatives de l’enseigne de la grande distribution auront reçu leurs dotations de véhicules new-look. Avec une offre qui serait considérée comme l’une des plus abordables du marché, soit un débours de cinq euros par jour sans engagement de durée, assurance et entretien inclus, pour celles et ceux qui tenteraient l’expérience !

Précisons que la clientèle du spécialiste de la distribution serait la première à pouvoir rouler avec les nouveaux modèles produits par DACIA qui ne seront disponibles dans les concessions françaises qu’à partir de l’automne.

 

 

Un programme de sensibilisation national décliné depuis 2010…

 

Dès 2010, les centres E. LECLERC se sont investis aux côtés de leur partenaire automobile historique dans le cadre d’un programme décliné en faveur de la mobilité électrique. Outre l’acquisition de véhicules de fonction (ZOE) destinés aux collaborateurs, l’enseigne de la grande distribution a su poser les jalons d’un club des ambassadeurs en région afin d’assurer la sensibilisation de ce moyen de locomotion par le biais de la pédagogie.

Signataire de la charte portée par le ministère des Transports, « 100 000 bornes », le groupe a prévu d’agrandir son parc actuel de points de recharge électriques pour le porter à cinq mille dans les deux prochaines années, puis à dix mille d’ici 2025. Le site du magasin auxerrois en sera pourvu (une dizaine) d’ici le dernier trimestre de l’année…

Pour l’officialisation de ce partenariat, Michel-Edouard LECLERC, président du Comité stratégique du groupe, et Luca de MEO, patron du groupe RENAULT, avaient choisi l’une des vitrines marchandes implantées à Orly pour donner le coup d’envoi de cette opération.

 

Thierry BRET

 


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Dire qu’il a été satisfait par le contenu de sa visite au CIFA, le président de la Confédération nationale de la Boulangerie Pâtisserie, serait un doux euphémisme ! Subjugué, l’ambassadeur de la puissante filière artisanale n’a pas tari d’éloges sur ce qu’il a découvert tout au long de ce périple immersif dans l’antre de l’excellence qu’est devenu au fil des années le centre de formation de l’Yonne. Une visualisation enthousiaste et concrète de l’apprentissage avec un A majuscule…

 

AUXERRE: Voilà une manière idéale de rendre à l’apprentissage ses lettres de noblesse pour celles et ceux qui en auraient encore douté ! Il suffit de consacrer deux heures de son emploi du temps à la découverte du centre de formation auxerrois, le CIFA de l’Yonne, pour percevoir de visu que bien des poncifs n’ont plus lieu d’être à propos de cette méthode d’enseignement.

Loin d’être appréhendé désormais comme le rebut indolent de l’initiation à la vie professionnelle réservé aux seuls décrocheurs de l’Education nationale, l’apprentissage se décline, se vit et se pratique en totale osmose avec notre époque : c’est-à-dire à l’heure de la digitalisation, du modernisme, de la multitude de cursus diplômants et de débouchés potentiels (nombreux selon les filières) à pourvoir en bout de course.

Alors, c’est sûr quand un personnage aussi emblématique de l’artisanat à la française, le numéro un de la boulangerie pâtisserie, Dominique ANRACT, porte-étendard de la Confédération nationale, fédérant des milliers de professionnels et autant d’entreprises, pose les pieds dans ce périmètre du savoir manuel, on se dit que ses hôtes ne peuvent que se frotter les mains. Sans le recours au gel hydro-alcoolique de préférence !

Car, dans les têtes bouillonnantes d’idées de ces mentors du savoir-faire à transmettre que sont Michel TONNELLIER (président) et Marcel FONTBONNE (directeur), chacun sait déjà quels seront les résultantes à moyen terme d’un tel choc avec la réalité pour le visiteur.

 

 

 

Un enthousiasme non feint à relayer sur le territoire…

 

Celle virtuelle mais pas encore augmentée inhérente au fameux « Clic Store », conçu avec le précieux concours du prestataire idoine sur la place, IDXPROD, dont nous envie l’ensemble des CIFA de l’Hexagone ; celle de la boutique factice, certes, mais si proche du naturel mettant en lumière dans leurs vitrines appétissantes les produits de la boulangerie, de la viennoiserie et de la confiserie ; celle de ces métiers de bouche, fleurons de la gastronomie que sont la boucherie, la restauration ou les métiers de service.

Mention spéciale également pour l’éducation partagée qui prend corps et acte avec le e-learning, concept technologique particulièrement éclairé en période de pandémie et de confinements successifs !

Le représentant de la CNBPF n’a pas caché son enthousiasme devant pareille initiative, prometteuse et à déployer dans tous les centres de formation de France et de Navarre selon lui.

 

 

 

Naturellement, le must de cette rencontre opportune à laquelle prenaient part également le président de l’U2P de Bourgogne Franche-Comté, Christophe DESMEDT et le représentant départemental de ladite structure David MARTIN (le garçon est aussi vice-président de la Chambre des Métiers et de l’Artisanat) fut le contact privilégié avec la relève boulangère.

Dominique ANRACT écouta avec grand intérêt les explicatifs fournis par Marcel FONTBONNE sur l’organisation et la gestion de cet atelier pédagogique très prisé de la jeune génération.

 

 

Un échange avec la relève de la filière boulangère …

 

Avant de se saisir d’une baguette (ce fameux fleuron croustillant de la gastronomie française dont la reconnaissance universelle se jouera dès l’année prochaine dans les commissions consultatives à l’UNESCO) et de la soupeser en exégète de la corporation qu’il est. S’en suivit un bel échange avec l’un des mitrons, fier de pouvoir échanger avec le symbole syndical de la profession.

Conquis par la vision d’autant de diversités pédagogiques réussies, le président de la Confédération nationale de la boulangerie pâtisserie pouvait s’en retourner vers la capitale avec bon nombre d’idées lumineuses en tête.

Après un  court arrêt à Villeneuve-sur-Yonne pour y remettre le label de « Boulanger de France » à l’artisan Jean-Marc DANIEL, l’un des mille professionnels à bénéficier de cette nouvelle certification de l’excellence. Un accessit qui rappelle la philosophie du CIFA, en somme !

 

Thierry BRET

 

 

 


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La micro-brasserie artisanale située à Saint-Bris-Le-Vineux a remporté plusieurs récompenses au concours international de Lyon grâce à deux des quatre bières présentées. Une satisfaction pour les gérants de la brasserie qui viennent seulement de fêter la première année d’activité de leur entreprise…

 

SAINT-BRIS-LE-VINEUX : Simon BERHAUT et Romain SORIN sont âgés respectivement de 33 et de 35 ans. Leur rencontre a abouti à la création d’une micro-brasserie, implantée sur notre territoire en 2019.

Frère d’un brasseur amateur, Simon a tout de suite été bercé dans l’apprentissage de ce métier. Romain, élève en viticulture, a rapidement été pris de passion pour l’organisation de soirées festives où il souhaitait maîtriser son sujet.

A la suite de leur rencontre, ils ont eu l’envie de se projeter et de créer ensemble un projet basé sur le local et l’écoresponsable. Pour le réaliser, ils se sont appuyés sur certains acteurs locaux tels que BGE, un réseau d’accompagnement et d’aide à la création d’entreprise. INITIACTIVE 89 les a soutenus dans l’élaboration de leur projet d’entreprise. C’est ici que FAYYAR est né.

 

 

Une première commercialisation en pleine période de confinement…

 

Cette entité, c’est avant tout, la conception de bières biologiques, une revalorisation des drêches (résidus de malt après empâtage) et moins de déchets. La structure dispose d’une gamme fixe de cinq bières (Pale Ale, Witbier, Porter, Amber Ale et IPA) et une gamme éphémère, avec des bières élaborées en fonction des saisons (Cherry Milkshake, une bière blonde aux cerises et lactose), des rencontres (l’exotique variante Sumatra) mais aussi de leur folie créative (une bière aux baies de Timut, des bières aux bourgeons de sapin et miel, etc.). Ces produits peuvent être achetés dans le réseau BIOCOOP ou dans la boutique auxerroise à l’appellation si curieuse « PYNEAU PRUNUTZ », consommés à La Scène des Quais ou au restaurant du « Grandgousier » à Auxerre.

FAYYAR s’est aussi élargi dans tout le département avec d’autres points de vente par exemple à la « Boutique des Saveurs » à Joigny ou chez « Gamm Vert » à Toucy. La structure développe doucement son réseau de distribution hors du département.

Les premiers produits ont été commercialisés seulement trois semaines avant le premier confinement en mars 2020. Les deux entrepreneurs ont alors tenté de trouver des solutions en allant sur les marchés hebdomadaires de différentes villes ou villages. De plus, ils en ont profité pour mettre en place la logistique pour les livraisons à domicile. Ils ont tout même réussi à obtenir une aide de l’agglomération pour un projet basé sur la réduction de déchets.

 

 

Un concours plus que positif pour les deux entrepreneurs…

 

Avec un chiffre d’affaires annuel de 50 000 euros, les deux garçons décident de tester leur fabrication. Ils participent à deux concours. L’un est le national de la bière du musée Français à Nancy où les résultats ne sont pas encore publiés à ce jour. Le second étant le concours international de Lyon où ils remportent deux trophées.

Ils y présentent quatre bières : Pale Ale, Porter, Witbier et Sumatra, où cette dernière a été évaluée dans la catégorie de bière spéciale. La bière brune Porter et la bière Sumatra qui est ambrée aux fèves de café, un concept mené en collaboration avec la Boutique des Saveurs à Joigny, ont été primées lors de ce concours. La première a obtenu la médaille d’or, la seconde décrochée l’argent.

Les bières ont été jugées sur leur qualité organoleptique évaluée par le jury selon la grille de notation qui est fournie par le concours.

Ces challenges ne sont pas nouveaux pour ces deux amis. Ils les ont vus naître étant donné qu’ils sont dans la filière brassicole depuis plus de dix ans. Mais, avec à peine un an d’existence, ils pensaient que participer à une telle compétition était trop prématurée.

En décrochant ces deux médailles à Lyon, Romain et Simon ont eu l’opportunité de se faire connaître. Ils ont déjà été contactés par plusieurs professionnels. Quant aux ventes de leurs boissons, elles suivent depuis une courbe ascendante, même en dehors de la Bourgogne.

L’avenir, ils y pensent. Les deux compères souhaitent recruter un étudiant en alternance afin de lui transmettre leur philosophie dans le but de pouvoir l’embaucher ensuite.

Brasseurs mais aussi interpellés par l’écologie, les jeunes entrepreneurs ont pour projet de lancer le « growler », bouteille qui permet de réduire sensiblement les déchets.

 

Jordane DESCHAMPS

 

 


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L’école nationale vétérinaire de Maisons-Alfort a fermé son site au domaine de Crouzilles. « Il n’y avait plus de porosité avec le village » indique le maire, Eric PAURON. Les six dernières personnes vivaient en vase clos. Elles sont parties. Faute de gardiennage, des vols d’outillage et équipements ont été constatés. Les quatre personnes « clefs » de la nouvelle vie du village se sont réunies pour envisager l’avenir…

 

CHAMPIGNELLES: Ce fut un excellent réflexe. Comme le designer star Thomas DARIEL lui confiait son grand projet, François GUYARD, alors maire de Tannerre-en-Puisaye, lui a fait rencontrer Jean-Philippe SAULNIER-ARRIGHI, président de la Communauté de communes de Puisaye-Forterre (CCPF).

Il a la charge du développement économique du territoire. Ce dernier a très vite compris l’opportunité. « Ce fut alors un long marathon semé d’embûches, mais, avec Thomas DARIEL, nous avons rencontré le préfet, Henri PREVOST » rappelle le président. Heureusement, le représentant de l’Etat a saisi l’enjeu.

« Il fallait expliquer le projet et faire comprendre qu’une superficie minimale nous est indispensable » complète le designer, fort d’avoir réuni plus de trente hectares.

Jean-Philippe SAULNIER-ARRIGHI devait rappeler que « l’enseignement, la diffusion du savoir, c’est dans les gênes de Champignelles ».

Il insiste : « Grâce à ce campus, des artisans d’excellence vont être attirés ici. D’ailleurs, la Maison Normand s’installe déjà. » Sa directrice Elisabeth LEBEGUE a sauvé l’entreprise et décidé son déménagement de Saint-Amand-en-Puisaye à Champignelles, après avoir rencontré Thomas DARIEL.

La MaNa, comme « manufacture nationale », est le nom de baptême de l’ensemble créé par celui-ci. La formation dispensée s’adresse à des professionnels diplômés, déjà actifs. Ils sont architectes, ébénistes ou autres. Ils sont attentifs aux évolutions des usages et désireux de se perfectionner.

En recherche d’évolution et d’excellence, ces professionnels veulent innover, dans le choix des matériaux comme dans celui des formes et fonctionnalités. A côté des salles de conférences, ils disposent d’espaces de travail et de production. Les programmes proposés varieront de deux à douze semaines, en résidence.

 

 

Un concept créatif unique en France…

 

« La superficie est nécessaire car les stagiaires vont avoir la possibilité de créer des maquettes à l’échelle un » précise Thomas DARIEL. Ainsi un architecte pourra construire une représentation de villa à sa taille normale. « C’est unique en France » souligne le créateur.

Les équipements du campus sont étudiés en conséquence. Dans le bâtiment central, les ateliers individuels voisinent avec une riche bibliothèque de matériaux, des plus anciens à ceux du futur. Pour le travail du métal, une ferronnerie prend place dans un bâtiment indépendant, bientôt doté de sa forge. D’autres ateliers sont répartis sur le domaine, à l’exemple de la menuiserie ou de la céramique.

Naturellement, le campus est relié au village par une voie douce. Un garage de vélos est prévu. Dans un premier temps, quinze chambres sont aménagées dans la maison de maître, avec tous les équipements nécessaires.

Le campus ainsi créé est le vaisseau amiral. Des artisans d’excellence vont s’installer dans ce lieu et alentour. Ce positionnement est à l’image de ce que le faubourg Saint-Antoine fut pour la menuiserie parisienne.

Le bouillonnement induit par la « MaNa » est précieux pour des professionnels soucieux d’échanger leurs expériences.

« La Puisaye est par tradition une terre d’excellence pour les métiers d’art » rappelle le président de la CCPF.

Créée en 1736, la Manufacture Normand est la plus ancienne manufacture de grès de France. Elle apporte son prestige, telle une perle sur la couronne en construction. Depuis sa reprise par Elisabeth LEBEGUE en 2017, elle a obtenu le label « Entreprise du Patrimoine Vivant » (EPV).

Elle fournit le Château de Versailles, pour le Hameau de la Reine. En effet, à partir d’un ancien modèle de pot répertorié par le conservateur, une fabrication nouvelle a été développée. Le grès ne gèle pas. C’est essentiel pour un usage en extérieur.

Pragmatique, le président Jean-Philippe SAULNIER-ARRIGHI refuse de tirer des plans sur la comète. Cela ne l’empêche pas de répéter que « grâce à l’énergie de Thomas DARIEL, l’avenir de Champignelles, « Cité des Métiers d’Art », s’annonce florissant ».

 

Thierry CARABIN

 

 


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Le profil idoine est le suivant. La TPE auxerroise recherche des personnes possédant de solides expériences dans la transaction immobilière. Et cette immodérée soif de se constituer un portefeuille clientèle et de biens qui ne demandent qu’à croître. Surtout que le secteur de l’immobilier n’a pas été impacté par les effets coercitifs de la crise dans notre contrée. Trop de Franciliens voulaient quitter la capitale…

 

AUXERRE : En matière d’emploi, la filière de l’immobilier demeure une valeur sûre en cette période de marasme économique. Même si les prémices d’une future embellie se font quelque peu ressentir.

Prenez à titre d’exemple, l’Atelier de l’Immo. Une entité professionnelle qui a pignon sur rue en plein cœur d’Auxerre. La structure pilotée par Julie GENEST croule sous les demandes les plus diverses se rapportant à la transaction de biens.

Majoritairement, ces besoins émanent de prospects franciliens désireux de reverdir leur existence en province, loin des miasmes de la capitale. D’autant que la pandémie et les confinements successifs ont laissé des traces quasi indélébiles dans les esprits.

 

 

Aujourd’hui, l’agence immobilière recherche deux nouveaux collaborateurs. Objectif : occuper dès que possible les fonctions de négociateurs sur un rayon d’action qui englobe Auxerre et sa grande périphérie.

La cible devant intégrer ses futurs portefeuilles se constituerait de potentiels acquéreurs parisiens en quête de leur Eldorado en proche province. Du pain béni pour celles et ceux qui feraient acte de candidature d’autant que la demande est plutôt florissante. De plus, les postes sont à pourvoir de suite.

Pour y prétendre, il suffit juste d’avoir la fibre intérieure et de croire en sa bonne étoile pour décrocher la timbale !

 

Thierry BRET

 

 

 


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