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Le siège du nouvel outil à l’estampille de la vénérable institution se situe à Lyon. Logique : c’est de l’ancienne capitale des Gaules que rayonne le mouvement qui fédère une dizaine de structures. Dont celle de Bourgogne, accueillie à Auxerre. Grâce à ce réseau flambant neuf, l’association souhaite peser davantage à l’échelle du globe. Un atout majeur pour la mutualisation des connaissances, la solidarité et l’échange de bonnes pratiques entre francophiles…

AUXERRE: Le faire-part de naissance comporte une date qui fera office de référence lors des futurs anniversaires : le 15 septembre. L’histoire de ces relations qui unissent les peuples se souviendra longtemps que c’est ce jour-là qu’a été proclamé par voie d’un communiqué de presse le RIMF, un acronyme désignant le Réseau International des Maisons des Francophonies.

Au plan étymologique, c’est bien des « francophonies » dont on parle puisqu’elles sont plurielles, diversifiées et inclusives dans leurs régions respectives.

En cette période de reprise, une trentaine d’organisations se sont donc rassemblées pour porter sur les fonts baptismaux cette entité nouvelle. Celle-ci agira dans seize pays d’Afrique, d’Asie, d’Amériques et d’Europe.

Eloignées les unes des autres au plan géographique, toutes sont en revanche unies comme les cinq doigts de la main pour vivre la même ferveur dans la défense et la valorisation du français. Avec une immense force passionnelle...

La vocation de ce nouvel appareil favorisant les relations à l’international ne se bornera pas à ces seize premiers pays. Président de la Maison de la Francophonie de Lyon et co-président de ce nouveau réseau, le mentor de cette structure associative, Christian PHILIP, invite par ailleurs l’ensemble des francophones et francophiles de la planète à rejoindre dès que possible le réseau social porté par le RIMF. Au nom du pluralisme des idées et de l’enrichissement de la diversité.

Parmi les principales actions de cet auxiliaire à la promotion de la culture hexagonale, citons l’enseignement de la langue chère à Molière, mais aussi la reconnaissance des diverses francophonies existantes de par le monde. Rappelons que 85 pays (auxquels il serait judicieux d’ajouter des régions plus ciblées) se retrouvent dans les valeurs inculquées par la France.

Des actions étayeront ce dispositif. Elles mettront en exergue les valeurs de la francophonie dans leurs dimensions culturelles, académiques, économiques, patrimoniales, sociales et environnementales.

 

Une première initiative ouverte à celles et ceux qui ont de l’imagination…

 

L’une d’entre elles se nomme « Ma Minute Francophone ». Elle prend la forme d’un concours ludique, ouvert aux francophones et francophiles du monde entier, sans distinction d’âge ni critère de nationalité.

L’objectif est de s’exprimer par le biais d’une très courte vidéo de 60 à 90 secondes sur sa vision personnelle de la francophonie.

Sa mise en œuvre a été confiée à la Maison des francophonies de Berlin et au Centre de la francophonie des Amériques, basé à Québec où agit avec pugnacité Michel ROBITAILLE, président du conseil d’administration de ladite institution et co-président du réseau RIMF.

Les participants peuvent adresser leur document en y adjoignant une chanson, un slam, une poésie, un sketch, une animation visuelle, un récit…Il suffit simplement de répondre à diverses questions se rapportant à la perception que l’on se fait de la francophonie aujourd’hui. Via un quizz : comment s’exprime votre amour pour la langue française ? Pourquoi avez-vous appris le français ? Quels avantages vous apporte le fait de parler et de comprendre le français ?

Le dépôt des vidéos se fera jusqu’au 31 octobre 2020 via un formulaire à compléter sur le site suivant : www.maminutefrancophone.fr

Le jury international sélectionnera les seize meilleures créations qui recevront chacune une bourse de 350 euros. La remise des prix, quant à elle, se déroulera en décembre…

 


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D’ordinaire, c’est Outre-Quiévrain à Ardooie que se déroulent ces traditionnelles journées thématiques annuelles. Celles qui permettent de regrouper durant soixante-douze heures plus de cent cinquante sapeurs-pompiers provenant des quatre points cardinaux de l’Hexagone. Logique, la Belgique accueille l’un des partenaires majeurs des SDIS de France, l’équipementier SIOEN. Crise sanitaire oblige, c’est le centre de formation d’Auxerre qui a eu l’heureuse idée de reprendre au pied levé l’organisation de ce rendez-vous international devant se clôturer ce jeudi…Une grande première.

AUXERRE : Un colloque international concocté trois jours durant dans la bonne ville de Paul Bert malgré les atermoiements imputables à la crise sanitaire, cela n’arrive pas tous les jours, convenez-en ! Eh bien, les représentants du SDIS 89 (Service départemental d’incendie et de secours de l’Yonne), ont été capables, eux, de relever le défi et ce, de la plus belle des manières !  

Disposant d’un centre de formation idéalement situé à la logistique multifonctionnelle, le site auxerrois a retenu les faveurs de l’organisateur national de ce colloque professionnel : le magazine « Soldats du Feu ».

Notre confrère, par la voix de son dirigeant, Carlo ZAGLIA (le seul pompier de France à détenir le précieux sésame de la filière journalistique, la carte de presse !), a été séduit par le cahier des charges que lui avaient suggéré en amont de l’évènement le directeur du groupement des sapeurs-pompiers de l’Yonne, le colonel Jérôme COSTE, et son président, le vice-président du Département, Christophe BONNEFOND. Il ne restait plus qu’à valider le tout et à se lancer dans cette belle aventure. Devenir pendant trois jours la capitale des SDIS de France !

 

 

 

 

 

La COVID-19 s’invite parmi les grands thèmes de réflexion…

 

Pour cette édition bourguignonne exceptionnelle, le thème central de ce rendez-vous se consacrait à la gestion des contaminations. Vaste programme, en vérité, puisque ces dernières peuvent être de différentes strates sur le terrain opérationnel ; à commencer par les infections virales, inhérentes à l’omniprésence de la COVID-19.

Cet item fut précisément abordé lors des tables rondes où un partage de connaissances autour d’ateliers dynamiques où circulait la parole permit aux représentants des 62 SDIS de l’Hexagone d’y voir un peu plus clair.

Second sujet qui ne manquera pas d’interpeller les participants à ce colloque international (présence de Belges et de Suisses) : la toxicité des fumées, danger numéro un pour les soldats du feu en intervention.

Parmi les thématiques abordées lors des six tables rondes, on notera celle portant sur l’impact financier sur les évolutions réglementaires et les nouvelles procédures d’entretien ou plus technique pour les profanes, l’analyse du risque pour les liaisons inter-EPI (cagoule, gants, casque, vestes, sur-pantalons…).

 

 

Mercredi, les sapeurs-pompiers présents à cette manifestation inaugurée en début d’après-midi par Christophe BONNEFOND rencontreront des partenaires industriels sur des workshops répartis dans la cour centrale du SDIS de l’Yonne.

Avant de pouvoir s’entretenir avec un représentant de l’Etat qui se déplacera spécifiquement à Auxerre le lendemain lors d’un temps d’échange. Un colloque également synonyme de belles retombées pour l'économie locale (hôtellerie/restauration) qui n'en demandait pas tant !

 

 

 

 

 

 


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La crise sanitaire n’a pas entaché le dynamisme du conservatoire du Grand Sénonais dont la rentrée s’annonce sous les meilleurs auspices. L’établissement intercommunal ouvrait ses portes en grand au public ce mercredi 09 septembre. Permettant un échange convivial avec les enseignants, loin des démarches administratives dédiées à l’inscription ou la réinscription.

SENS: La notion de « journée portes ouvertes » est à exclure, comme le souligne Marc JAMOND, le directeur du conservatoire depuis juillet 2018. « Ce n’est pas à ce point une politique volontariste et de recrutement de nouveaux élèves ». Le but était de faire découvrir l’école et ses multiples disciplines mais, avant tout, de renseigner et d’échanger avec les visiteurs, y compris avec les élèves déjà inscrits.

 

Une rentrée artistique renforcée par un protocole sanitaire

Le conservatoire vient de recevoir les prérogatives sanitaires de l’Etat, très similaires à celles du milieu scolaire. Port du masque obligatoire pour les enseignants, interdiction d’entrer dans l’enceinte des équipements pour les parents, sauf pour les plus jeunes, jusqu’à sept ans, qui peuvent être accompagnés jusqu’à la salle de cours. Des mesures qui seront appliquées jusqu’à nouvel ordre.

Cette journée a permis de rassurer les gens sur les conditions d’accès au conservatoire dans ce contexte particulier.

 

Un conservatoire qui a le vent en poupe

 

L’école artistique du Grand Sénonais, officiellement reconnue comme « conservatoire à rayonnement intercommunal » depuis juillet dernier, accueille aujourd’hui environ 650 élèves sur les trois sites (Sens, Paron et Villeneuve-sur-Yonne). Soit 300 élèves en musique, 300 élèves en danse et à peu près 50 élèves en théâtre. Un effectif quasiment au complet hormis quelques places restantes pour des cours de musique. Ce conservatoire n’avait donc pas particulièrement besoin de publicité.

En revanche, il subsistait une nécessité d’en améliorer l’image, surtout depuis cette fusion des différentes écoles de l’agglomération en une seule entité. « Aujourd’hui, ce qu’on essaie de faire, c’est de regrouper les forces en présence, de tendre vers une unité » comme l’explique Marc JAMOND. Selon lui, l’étape la plus difficile a sans doute été de « modifier sensiblement, et très humblement, la représentation que les gens avaient d’un lieu d’enseignement artistique », « de faire admettre l’enjeu de l’intercommunalité ».

Le directeur estime que l’objectif est atteint au terme, tout de même, d’une période d’adaptation.

 

 

Le label « conservatoire » ne rend pas pour autant l’école plus élitiste

 

L’obtention de cette dénomination est le fruit d’un travail mené depuis environ deux ans. L’une des conditions à remplir était une pleine collaboration avec les établissements scolaires. Un projet qui se concrétise par un enseignement artistique toute l’année et pendant le temps scolaire, confié à des professeurs diplômés en musique, en danse ou en art dramatique. 

Aujourd’hui, dix-neuf classes du cycle 3 (CM1, CM2 et 6e) du Grand Sénonais bénéficient de ce dispositif.

Un effort nécessaire mais qui s’inscrit dans le projet plus global d’un élargissement de l’enseignement artistique. Marc JAMOND et les élus impliqués dans cette tâche, notamment Simone MANGEON, vice-président de la CAGS chargée des infrastructures et politiques intercommunales culturelles, sportives et de loisirs, prônent un partage des valeurs et de la richesse artistiques du conservatoire au-delà de ses murs ainsi qu’un rapprochement de la jeunesse.

Même la culture urbaine se trouve désormais dans le viseur de l’établissement. Street art, hip-hop, deejing, des disciplines d’ordinaire en marge des offres des écoles d’art, plus dans la lignée d’une culture populaire, vont pouvoir s’exprimer pleinement au sein de cet univers plus classique.

« J’ai vraiment envie d’engager un travail avec ces artistes qui sont moins institutionnels mais dont on a beaucoup à apprendre » confie le directeur désireux de moderniser la structure. « C’est vraiment jouer notre rôle d’acteur culturel sur l’ensemble du territoire ».

 

Floriane BOIVIN

 


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Une conférence de presse, organisée ce lundi 21 septembre à 18 heures, permettra de tirer les premiers enseignements de cette rentrée scolaire si particulière, placée sous le signe du port du masque obligatoire et de la distanciation physique dans les cours de récréation.

AUXERRE : Doit-on s’attendre à des annonces fortes et spectaculaires lors de cet exercice oratoire qui réunira à la préfecture de l’Yonne le préfet en personne, le directeur des services académiques et la déléguée territoriale de l’Agence Régionale de Santé ?

Possible, au vu du contexte sanitaire qui ne cesse de se dégrader même si pour l’heure le territoire de l’Yonne semble encore épargné par le sursaut de la pandémie qui infecte avec insistance certaines contrées de l’Hexagone.

Toujours est-il que le préfet Henri PREVOST n’aura pas tardé à réagir à la prise de parole du Premier ministre Jean CASTEX survenue en fin de semaine dernière.

Ce point complet de la situation portera sur les conditions de réalisation de cette rentrée scolaire, l’état des lieux des fermetures de classes et nécessairement la situation épidémique sur notre territoire.

Eve ROBERT, de l’ARS Bourgogne Franche-Comté et Vincent AUBERT, apporteront leurs analyses pour étayer les propos du haut fonctionnaire…

 

 


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Et trois années supplémentaires à la clé ! C’est la durée de renouvellement de cette convention paraphée par l’établissement bancaire régional et la Burgundy School of Business (BSB). Un partenariat fécond à bien des égards entre ces deux entités. Il permet d’accompagner les jeunes gens dans leurs parcours pédagogiques supérieurs par le prisme de l’alternance en les immergeant dans les rouages de l’entreprise…

QUETIGNY (Côte d’Or) : De larges sourires étaient affichés par les deux signataires de cette convention lors de la prise de vue qui a immortalisé le prolongement de ce partenariat entre la Banque Populaire Bourgogne Franche-Comté-Pays de l’Ain et la BSB !

Des sourires qui n’avaient rien de circonstanciel tant la réussite de cet accord se révèle probante depuis ses origines. Entre les deux structures, c’est une histoire sérieuse qui vire désormais au durable.

A l’instar des nombreux partenariats qui ont déjà été initiés par la banque mutualiste auprès des écoles de son territoire pour nouer de nouvelles collaborations. On pense en particulier aux accords signés avec l’IFAG à Auxerre, l’ESEM de Besançon, voire des établissements implantés dans la Nièvre.

Dans le cas présent, ce partenariat reconduit avec la BSB Dijon évoque une longue antériorité de confiance et de réciprocité. Un vrai « mariage » dédié à la cause estudiantine ayant débuté il y a déjà une décennie. Grâce à une chaire de microfinances, un item de pointe qui avait placé sur la même orbite les deux futurs partenaires à l’époque.

De ces relations fructueuses naîtra une étroite osmose entre ces deux structures qui privilégient le marché de l’emploi et de l’alternance. Profitant de l’ouverture de la gouvernance de l’école à d’autres acteurs hors de son sérail, Bruno DUCHESNE, directeur général de la Banque Populaire BFC Pays de l’Ain a eu l’opportunité de pouvoir y siéger en qualité d’administrateur.

 

 

Renforcer sa marque employeur auprès des étudiants : le challenge de la banque

 

Autant dire que son soutien à ce partenaire majeur de l’éducation et de la vie étudiante régionale (BSB dispose également d’une antenne pédagogique à Lyon) lui est acquis.

Considéré comme un acteur historique de la BSB, l’établissement bancaire régional gagne ainsi en visibilité pour placer sous la lumière ses nombreuses offres d’alternance (une cinquantaine pour cette rentrée 2020) et d’emplois qui sont proposées au terme de cette expérience dans le milieu de la finance. Sans  omettre ses prêts étudiants, il va de soi !

Outre cette première intégration dans la vie active par le biais des études, les jeunes apprenants de niveau Bac + 3 et Bac + 5 bénéficient d’une sérieuse formation pratico-pratique qui vaut toutes les études de cas réalisées parmi les salles obscures de l’enseignement. Une réalité professionnelle « augmentée » au contact de l’ingénierie financière, des services commerciaux, des ressources humaines, de la communication, de l’audit !

Le Graal se révèle dans toute sa splendeur peu de temps après pour les étudiants. Avec la transformation de ces stages immersifs de six mois en emploi qui devienne pérenne dans la plupart des cas.

Ainsi, sur la cinquantaine d’alternants accueillis sur les pôles bancaires de Chalon-sur-Saône et de Besançon la saison écoulée, une vingtaine d’entre eux ont pu trouver chaussure à leurs pieds en venant gonfler les effectifs de l’un des plus gros employeurs du territoire avec près de deux mille collaborateurs.

Leur profil : ils sont chargés d’affaires, conseillés en patrimoine, intervenants sur les marchés.

Il n’est donc pas étonnant que 96 % des étudiants qui fréquentent les cours de la BSB trouvent un emploi dans les six mois après l’obtention de leurs diplômes !

 

 


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