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Le soutien de Mourad YOUBI à la liste « Auxerre Ecologie La Ville Envie » est tout sauf une réelle surprise. Il se situe dans la logique des choses. Tant les points de convergence entre ces trois figures de l’opposition à la gouvernance actuelle (LOURY, ROYCOURT et lui-même) sont similaires. C’est aussi l’histoire d’une belle rencontre entre les deux ex-conseillers municipaux qui se sont trop peu côtoyés durant la dernière mandature. Inversion de tendance en cas de succès dimanche soir ?

AUXERRE: Ils se sont promis de travailler ensemble quoi qu’il advienne au soir du 28 juin. Elus ou battus. Florence LOURY, Denis ROYCOURT et Mourad YOUBI affûtent pour l’heure leur stratégie commune après la signification officielle de ce dernier d’appuyer la candidature du tandem écologiste en lice pour l’ultime round des municipales.

Certes, constateraient les observateurs avisés : ce n’est ni une alliance de circonstance ni un ralliement en pure et bonne forme. Seulement un soutien. Net, précis et sans contrepartie ! Il n’a pas été formulé du bout des lèvres par l’ancienne tête de liste d’ « Auxerre, ensemble pour un avenir meilleur ». Son projet n’aura peut-être recueilli que près de 3 % des suffrages après le premier tour de scrutin, mais ses colistiers suivent l’initiative. Après tout, chaque voix sera déterminante au moment du décompte final…

Cet appui représente juste l’envie velléitaire de développer des idées partagées depuis longue date entre ses signataires. Dans le seul but d’améliorer la qualité de vie des habitants de la capitale de l’Yonne et surtout de placer les quartiers dits « sensibles » au centre des valorisations tant attendues.

Réunis le temps d’un point presse où toute la lumière sera faite sur les raisons de ce nouvel assemblage, ces trois-là se sont donc découverts une philosophie commune. Avec ce qu’il faut d’empathie et de dynamisme pour que le travail puisse s’effectuer sans aucune prise de tête. Ni guerre des chefs.

 

Le conseil de quartier n’est pas une chambre d’enregistrement…

 

D’ailleurs, que l’on ne s’y méprenne pas : certaines propositions du candidat Mourad YOUBI figurent désormais en bonne et due place sur le nouveau tract électoral distribué par Auxerre Ecologie. Notamment les nombreux additifs qui visent à renforcer le poids et la prégnance des quartiers dans ce vote si incertain.

Prôner l’ouverture du conseil de quartier au plus grand nombre traduit ce désir d’instaurer davantage de confiance entre les diverses populations qui y habitent. Cet élan de démocratie participative est nécessaire pour Mourad YOUBI : il ne veut plus voir des personnes se sentir exclues de cet organe représentatif.

« Le conseil de quartier n’est pas une chambre d’enregistrement réservée au seul et unique noyau dur qui en phagocyte son fonctionnement depuis sa création, souligne-t-il, cet outil possède un pouvoir qui agit dans l’intérêt constructif général. Il n’est pas à l’apanage de la même vingtaine de membres qui y exercent leurs prérogatives depuis trop longtemps… ».

Donner des moyens aux quartiers, c’est aussi légitimer leur rôle pour les sortir de leur isolement par rapport au cœur de ville. Des axes complémentaires dont se nourrissent volontiers Florence LOURY et Denis ROYCOURT.  

  

Un salon de l’emploi envisagé dans les quartiers…

 

L’une des suggestions importantes à cette nouvelle feuille de route se rapporte à l’emploi. Et par ricochet à la formation. Le projet de porter un évènementiel en ce sens trouve une place qui n’a rien d’incongrue dans ce flux de propositions favorables à l’éducation et aux quartiers.

« Je suis toujours choqué d’entendre dire qu’il y a pénurie d’emplois, affirme Mourad YOUBI, alors que des personnes de bonne volonté qui ne connaissent pas les métiers en tension sont prêtes à postuler afin de combler le manque… ».

Des clauses d’insertion dans le cahier des charges des entreprises du BTP verraient aussi le jour : vertueuses, elles faciliteraient l’employabilité de ces jeunes gens sur les chantiers de la ville. Des orientations suffisantes pour épanouir les jeunes de ces quartiers ?

 

 


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Si l’Etat garantit les recettes de l’exécutif régional, à hauteur de celles obtenues en 2019, la Région Bourgogne Franche-Comté pourra décliner un plan de relance économique exceptionnel. Celui-ci serait soumis à l’approbation de l’assemblée plénière en octobre. Quatre cents millions d’euros viendraient alors abonder cette stratégie volontariste afin de préserver et créer des emplois…

BESANCON (Doubs) : C’est la croisée des chemins. Entre le monde désinvolte d’hier, celui d’aujourd’hui empli d’incertitudes, et surtout celui de demain où il est nécessaire de remettre le pied à l’étrier. « Nous sommes attendus par les acteurs industriels et économiques du territoire… ».

Une petite phrase qui n’a rien d’anodine et qui en dit long sur les réelles intentions de la présidente de l’organe institutionnel.

Lucide, Marie-Guite DUFAY doit agir vite et bien pour que les rouages du système économique reprennent de la vigueur. Profitant de la conférence de presse avant la tenue de la session plénière des 25 et 26 juin, la patronne de la Région a pris les devants en mentionnant l’existence d’un plan de relance de quatre cents millions d’euros.

Une enveloppe conséquente qui servira à accompagner les milieux entrepreneuriaux dans leur phase de rebond tant espéré après la crise sanitaire.

L’enjeu est de taille : il faut sauver les emplois menacés par un contexte très difficile. Dès la semaine prochaine, la valse des rencontres tous azimuts avec les syndicats patronaux et les partenaires sociaux débutera. L’Etat y sera également associé.

L’un des premiers sujets traités abordera l’avenir de la filière automobile qui a été mise à mal avec la propagation insistante du coronavirus.

La feuille de route semble déjà bien tracée. Mi-septembre, une conférence quadripartite réunira les instigateurs de ce plan afin d’en approfondir les contours. L’évoquant, la présidente de la Région est catégorique : « ce ne sera pas un fac-similé de plans déjà appliqués antérieurement… ».

L’objectif est de consolider l’activité économique avec dans le viseur des résultats immédiats pour l’emploi. A horizon janvier 2021 !  

 

Un plan vécu comme un « blitzkrieg » pour sauver l’économie…

 

Toutefois, a-t-elle prévenu l’emploi représente certes une condition sine qua non à sa réussite mais pas seulement. La contribution des entreprises à la transition énergétique et écologique doit y figurer en bonne place.

Et Marie-Guite DUFAY de citer à la manière d’un inventaire à la Prévert les ingrédients qui entreraient dans cette rénovation énergétique : la réhabilitation des lycées, le programme de rénovation des bailleurs sociaux, la mobilité écologique dans les  transports, l’adaptabilité des entreprises dans leur process industriel, le recours aux énergies vertes, sans omettre un volet essentiel à ses yeux : l’eau et la forêt.

Bref, s’il était adopté à l’automne, ce plan serait vécu tel un « blitzkrieg » (une guerre éclair) pour sauver le soldat économie. Pour y parvenir, la Région serait prête à dégrader ses excellents ratios financiers (les meilleurs obtenus dans l’Hexagone) allant de trois années de capacité d’endettement à une durée maximale de neuf ans.

Un seuil qui correspondrait à une limite maximale que la présidente socialiste de l’exécutif ne souhaiterait pas voir franchir.

Mais, avant toute chose, le préambule de cette stratégie de conquête dépend de l’Etat et de son acceptation à garantir ou non les recettes de l’organe institutionnel régional. Les tractations sont à l’étude. L’Etat annoncera sa position dans le courant du mois de juillet.

Marie-Guite DUFAY prévient : « si l’Etat ne garantit pas l’équivalent de nos recettes de 2019, nous ne pourrons rien faire… ». Ce serait regrettable à tout point de vue…

 


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Du 04 juillet au 29 août, plusieurs rues névralgiques de la ville feront place nette pour accueillir le maximum de piétons tous les samedis soirs entre 19h30 et minuit. L’opération vise à booster l’activité des bars et restaurants qui en ont grandement besoin après trois mois de fermeture. Portée par la municipalité, l’initiative a été conçue à la demande des collectifs de commerçants…

AUXERRE : Propriétaire de « La Péniche », l’ancienne gérante du cinéma Casino Maryse LABBE le confirme sans ambages. Ce qui a été réalisé sur les quais de l’Yonne au cours de ces cinq derniers étés est une réussite. Rendre la possibilité aux piétons d’arpenter en toute nonchalance cette agréable promenade au bord de la rivière intègre désormais les habitudes des Auxerrois.

Personne ne s’en plaindra. A commencer par les propriétaires des bars et restaurants qui implantés sur ce périmètre ont vu la fréquentation de leurs établissements progresser.

Ni même les riverains, trop heureux de bénéficier de l’aubaine leur permettant de se mouvoir autrement dans leur quartier de prédilection dans une ambiance plus festive.

Alors quand l’adjoint en charge du commerce, Jean-Philippe BAILLY a dévoilé les diverses facettes du nouveau dispositif « Les Samedis de l’été » qu’il présentait lors d’une conférence de presse lundi soir en mairie, tous avaient en mémoire cette expérience concluante vécue sur les quais de l’Yonne.

 

 

Pourquoi ne pas l’étendre à d’autres endroits de la ville afin de favoriser le libre accès des chalands en période nocturne ?

Contactés en début de mois, les collectifs de commerçants représentés lundi soir par trois de leurs représentants se sont montrés ravis de la démarche municipale.

Les quatre zones concernées par ce concept qui débutera le samedi 04 juillet englobent en effet une cinquantaine de bars et restaurants. L’avis des professionnels est très favorable à ce projet qui a pour objectif d’accroître la fréquentation des commerces. Une idée, synonyme de bon sens de l’avis des présents…

 

 

Une présence de la signalétique importante pour s’y retrouver…

 

Même si le plan de circulation s’en trouve quelque peu impacté, les places de stationnement ne seront pas supprimées pour autant. Ou si peu. Les 3 300 aires de parking accueilleront tous les noctambules désireux de poursuivre leur promenade en marchant.     

« Les commerces doivent repartir du bon pied avec cette initiative, ajoute Jean-Philippe BAILLY qui est confiant devant la nature de cette opération.

Même son de cloche de la part de Bernard CHEVRIER, très impliqué dans les projets liés aux activités commerçantes de la ville, qui fut autrefois la cheville ouvrière de l’hôtel Mercure.

Evidemment, pour s’y retrouver sur ce nouveau dispositif, le service de communication éditera des plans abondamment relayés auprès des Auxerrois.

Quant à la signalétique autour de ces quatre zones choisies (les Quais de l’Yonne, la place Saint-Amâtre, l’axe Rue de Paris, Rue d’Egleny et Rue du Temple, et le quartier de la rue Paul-Bert et de la rue Joubert), elle sera d’une aide très précieuse pour se guider avec aisance. Et ce bien avant le 04 juillet.

Si le concept apporte toute satisfaction, il est déjà prévu de le réitérer en 2021. Une information qu’il sera de bon ton de confirmer après la date butoir du 28 juin : celle du second tour des municipales !

 

 

 


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Diplômé de Sciences-Po Aix-en-Provence et de Sciences-Po Paris, le garçon est un expert dans le développement des entreprises. Il suffit de s’imprégner de son brillant cursus pour constater que les nombreuses missions menées dans le domaine du conseil et des organisations professionnelles depuis ses débuts dans la vie active vont lui permettre de jouer un rôle de tout premier plan au sein de la chambre consulaire régionale…

DIJON (Côte d’Or) : Trouvera-t-il le climat continental de la capitale des ducs de Bourgogne plus rude et rigoureux que celui, davantage tempéré, de l’Occitanie-Languedoc-Roussillon ? En tout cas, depuis le 04 mai dernier, l’ancien secrétaire général de l’UIMM (Union des Industries et des Métiers de la Métallurgie) de cette belle province de l’Hexagone occupe son nouveau poste stratégique à la tête de la Chambre régionale des Métiers et de l’Artisanat.

Un poste clé au sein de l’organigramme de la vénérable institution qui poursuit sa restructuration en épousant les contours de la région Bourgogne Franche-Comté après le rapprochement réussi de ces deux anciennes entités.

 

 

Présidée par Emmanuel POYEN, la chambre consulaire a pris corps dans son nouveau périmètre géographique depuis le 01er janvier. Il fallait quelqu’un de l’envergure de Simon PHILIBERT pour assurer la coordination de l’ensemble, à travers des actions actuelles et futures définies par les élus régionaux.

A 39 ans, celui qui possède de solides expériences dans les domaines de la stratégie, du marketing et du management (il fut en charge entre 2013 et 2017 en sa qualité de directeur des affaires économiques et de la compétitivité de la Fédération de la Plasturgie et des Composites) devrait très vite imposer sa griffe personnelle au sein de cet édifice de poids.

Ses missions consisteront à déployer l’offre de formation, notamment en matière d’apprentissage, de suivre l’évolution de l’offre de services pour les artisans et de mener à son terme la restructuration régionale en cours.

 

 

 

 


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Un mois après la sortie de crise, le représentant de l’Etat reste sur le devant de la scène et veille à ce que tout se déroule pour le mieux dans l’intérêt des Icaunais. Y compris sur le volet de l’économie. L’un des dossiers prioritaires dont il assume la gestion aux côtés des partenaires traditionnels. D’ailleurs, la cellule ad hoc constituée en soutien au redressement de l’activité n’a jamais aussi bien fonctionné…

AUXERRE : Dans son for intérieur redoute-t-il l’amorce d’une seconde vague, le préfet de l’Yonne ? Celle dont beaucoup se font écho par le prisme de la voix médiatique et qui pour l’heure, fort heureusement, ne semble pas concernée l’Hexagone.

Même si de sombres nouvelles en provenance de Chine inquiètent quelque peu les observateurs scientifiques sur la résurgence hypothétique du virus.

Conscient que la COVID-19 est encore présente et continue de circuler sur notre territoire, même de façon modérée, Henri PREVOST s’attèle aujourd’hui à un tout autre chantier que le strict domaine du préventif à outrance : celui de la relance économique. La thématique lui est chère. Elle occupe la majeure partie de son emploi du temps.

Depuis plusieurs semaines, à la tête de la cellule spéciale instaurée dans l’Yonne aux côtés des partenaires idoines, le préfet ausculte avec minutie le terrain en prenant le pouls de la sphère entrepreneuriale. Identifiant du mieux possible, et en les répertoriant, les difficultés qui apparaissent au grand jour.

La semaine dernière, l’un des sujets essentiels de cette sortie de crise progressive a refait surface tel un serpent de mer : le retour des élèves dans leurs salles de cours. Une première réunion où étaient conviés les représentants des chambres consulaires, du MEDEF et de l’Education nationale aura permis d’examiner chacun des nombreux leviers qui font encore figure de freins à cette reprise ô combien nécessaire.

La question de l’apprentissage a servi, elle aussi, de corolaire à ces échanges studieux. D’autant que les centres de formation disposent de nombreuses offres potentielles pour contractualiser les besoins en  alternance des jeunes apprentis.

« Les entreprises se sont concentrées dans la gestion de l’urgence, constate le préfet de l’Yonne, elles ont moins préparé l’accueil des futurs alternants. Il est nécessaire que les jeunes reviennent encours et que les entreprises les intègrent dès leur redémarrage d’activité au sein de leur unité de production… ».

Les aides de l’Etat existent. Elles se symbolisent avec des enveloppes de 5 000 euros qui se destinent à l’accueil d’un alternant mineur ou de 8 000 euros lorsqu’il s’agit de recevoir un apprenti majeur. L’allongement d’un semestre consacré au temps de recherche pour un jeune qui désire entrer en apprentissage est désormais possible.

 

 

S’assurer que les dispositifs destinés aux entrepreneurs fonctionnent bien…

 

Mais, un autre secteur de l’économie capte l’intérêt du haut-fonctionnaire : celui du tourisme. Là-aussi, la cellule de coordination en charge de la relance des activités touristiques et culturelles, pilotée par la sous-préfète de l’Avallonnais et du Tonnerrois Cécile RACKETTE, intervient à rythme régulier sur la situation. En étant au plus près des acteurs du terrain et en détectant, branche par branche, les entreprises qui éprouvent de réelles problématiques.

« Ce qui est primordial, ajoute Henri PREVOST lors de ce long entretien qu’il nous accorde à sa table de travail, c’est de sauver les emplois. Le plus possible et de mettre en place tous les moyens nécessaires en notre pouvoir pour aider et accompagner les chefs d’entreprises… ».

Le représentant de l’Etat n’est pas le seul à agir : il s’appuie sur le directeur des finances publiques, l’URSSAF, la DIRECCTE, la Banque de France, le commissaire à la restructuration, les trois chambres consulaires et les présidents des syndicats patronaux.

S’il lui est impossible de prédire l’avenir et de savoir en bout de course le nombre d’emplois et d’entreprises qui seront perdus à cause du coronavirus, en revanche, l’homme est déterminé pour que tous les dispositifs déclinés par l’Etat se muent en succès pour leurs bénéficiaires.

Une enveloppe de 246 millions d’euros de prêts garantis par l’Etat a déjà été consentie aux patrons de 2 107 entreprises du territoire. Le fonds de solidarité a vu se débloquer un budget de 12,9 millions. Quant au chômage partiel, 46 000 salariés y ont eu recours durant ce laps de temps qu’aura durée le pic de l’épidémie.

Nonobstant, les entreprises devront faire face au paiement de leurs échéances avec des recettes moindres. Un signal qui fait tilt dans la pensée préfectorale.

« Nous restons très vigilants puisque les situations sont diverses d’un secteur à l’autre. Même si certaines structures industrielles, positionnées sur des marchés de niche, ont connu a contrario une activité intense, il nous faut être très attentif à l’évolution de la situation… ».

 

 

L'environnement source d'une nouvelle impulsion...

 

Le développement durable figure parmi les orientations fortes que l’Etat souhaite désormais accélérer. Energies renouvelables, circuit court, moyens de locomotion à hydrogène sont autant de mots clés qui résonnent par la voix de son représentant dans l’Yonne.

« On a observé toutes les limites de la mondialisation avec les problèmes d’approvisionnement inhérents à de nombreuses filières économiques durant cette  période, souligne lucide l’hôte de la préfecture, l’accompagnement dans la transformation de notre mode de vie devient une nécessité pour l’Etat… ».

Des changements qui se trouvent sous influence d’un climat en perpétuelle phase évolutive avec la sécheresse qui se fait déjà ressentir par une alerte vigilance.

A ce titre, un plan de relance concernant les investissements locaux va être abondé par l’Etat afin de soutenir les initiatives environnementales des collectivités. La dotation spécifique globale de ce projet s’élève à un milliard d’euros. La somme bénéficiera ensuite d’une répartition département par département. Les EPCI devraient elles-aussi profiter de cette manne « verte »…

 


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