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La valorisation des déchets de la déconstruction est à l’ordre du jour des spécialistes de la filière du bâtiment. En diminuant leur empreinte carbone, les entreprises positionnées sur ce secteur veulent ainsi économiser les ressources naturelles. Une décision salutaire pour préserver la planète et faire progresser l’économie circulaire. Ce sera le thème de la visite de la présidente de la Région, conviée sur l’un des sites de la SAS MICHEL ce vendredi…

 

AUXERRE : A quoi peuvent donc servir des déchets issus de la démolition ? C’est une question que bon nombre d’entre nous peuvent légitimement se poser à l’heure du développement de l’économie circulaire et de la sauvegarde de la planète.

Une interrogation que, peut-être un jour au détour de l’inauguration d’un chantier traditionnel, est venue titiller l’esprit avisé de la présidente de la Région Bourgogne-Franche-Comté Marie-Guite DUFAY ! Si cela n’a été fait, la représentante de l’exécutif régional recevra nécessairement les réponses adéquates lors de sa visite en terre de l’Yonne, vendredi 28 mai, sur l’un des sites de la SAS MICHEL à Auxerre.

Elle y découvrira, aux côtés de l’entrepreneur et président de la Fédération départementale du bâtiment Didier MICHEL, une paroi en gabions édifiée en matériaux de démolition concassée. Cette surface remplace un mur de soutènement en béton.

De manière générale, la gestion des déchets de la filière varie selon de nombreux critères : nature du bâtiment démoli, composants utilisés. Les traiter s’impose comme une priorité absolue pour la corporation car le secteur du bâtiment représente 19 % de la production de déchets issus du BTP. Soit 46 millions de tonnes par an ! Pour mémoire, les déchets ménagers correspondent à un volume annuel de seulement trente millions de tonnes…

 

 

 

Or, il s’avère dans le détail que 49 % de ces détritus sont issues de la seule démolition. Leur revalorisation oscille entre 48 et 64 % selon la typologie des matériaux à recycler. Dont 60 à 80 % pour la spécificité de la démolition.

Aujourd’hui, l’ADEME s’est engagée sur un projet baptisé « DEMOCLES », une démarche collaborative fédérant une quarantaine d’acteurs, qui vise à développer le tri et le recyclage de ces déchets particuliers : plâtres, moquettes, produits ouvrants, etc.

Sensibilisée par cet item propre au développement durable, l’un de ses chevaux de bataille, la présidente de la Région devrait être tout ouïe à l’écoute des professionnels de la filière.

 

Thierry BRET

 

 


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Que ce soit dans la capitale de l’Aube ou sur les anciennes terres des ducs de Bourgogne, l’exercice s’est répété par deux fois, à quelques jours d’intervalle. Il est vrai que cette pratique oratoire, coutumière pour le staff de l’établissement financier, a du bon. Non seulement, elle satisfait les journalistes qui peuvent apprécier dans leurs moindres détails les arcanes fonctionnelles de ce poids lourd de l’économie régionale. Mais, en outre, elle offre l’opportunité de tâter le pouls côtés tendances et innovations…

 

DIJON (Côte d’Or) : L’exercice sied à ravir à l’héritier intellectuel de Jacques KERMARREC. Dans les pas de son prédécesseur qui savait le manier avec une similaire dextérité, Emmanuel VEY, directeur général du Crédit agricole Champagne-Bourgogne, sait trouver les mots justes pour expliquer le contexte dans lequel se meut aujourd’hui son établissement.

Une situation qui n’a rien de sibylline à ses yeux tant le devenir économique semble plutôt probant à bien des égards, après cette crise sans précédent vécue par l’humanité.

2020 met en exergue ce sentiment de mission accomplie pour le responsable de l’entité financière mutualiste. Malgré le profil en dents de scie de la sphère économique et de tous ses acteurs. Un terme linguistique pourrait résumer cela à lui tout seul : la présence.

Présent le Crédit agricole au  plus près de son territoire de prédilection ? Au-delà des mots, ce sont des images défilant à rythme soutenu lors de la diffusion d’un clip vidéo qui l’attesteront à travers moult exemples. Le tout servi par un générique qui en dit long sur la question, introduit par la voix du regretté Charles AZNAVOUR : « You are the one for me, for me, formidable ! ».

Alors sont-ils si formidables ces fameux professionnels de la banque au presque sortir de la crise sanitaire ? Au vu des séquences visuelles proposées, le premier financeur de l’économie territoriale n’a, certes, pas à se voiler la face à l’énoncé de son bilan.

Douze mille exploitations agricoles, installées en Champagne-Bourgogne, ont bénéficié de la pléthorique offre de services de la structure bancaire à l’identique des collectivités, entreprises et autres particuliers. La solidarité a été poussée à son paroxysme, entre altruisme et générosité, puisque des aides se sont concentrées en faveur des EPHAD mais aussi de deux cent cinq associations qui ont pu profiter pleinement de subsides accordés dans un souci solidaire par l’établissement.

« On ne s’est jamais senti plus utile durant cette période en soutien des activités économiques de notre clientèle, lâche Emmanuel VEY, bien conscient que le premier « bancassureur » de la région a assuré grave, comme le dirait la jeune génération. Et justement, puisqu’il faut évoquer la jeunesse, parlons-en ! Celle-ci n’aura pas été oubliée par le staff décisionnel du groupe. Entre recrutements en nette progression, malgré l’atonie de la situation, et l’accueil de jeunes entrepreneurs, à la tête de start-ups aux contours dynamiques au sein du fameux concept iconoclaste, « Village by Crédit Agricole », un réseau d’accélérateurs de compétences et d’initiatives qui booste les talents : que dire de plus ?

 

 

Des mesures d’accompagnement répondant aux réels enjeux…

 

Si ce n’est, comme le réaffirmera le quinquagénaire directeur général, doublement diplômé d’un MBA obtenu à la Chicago Booth GSB et d’un DEA en économie internationale à Paris Sorbonne, que le Crédit agricole a su démontrer son appétence à l’adaptabilité et à la transformation afin de pouvoir réagir au mieux face à un contexte si spécifique.

Renforçant ainsi la méthodologie inhérente à cette banque qui puise ses ressources dans le sens de la relation à l’autre. Ainsi, dans les faits, plus de trois mille prêts garantis par l’Etat (PGE) ont été consentis par l’organisme financier pour un montant de plus de 400 millions d’euros. Des mesures d’accompagnement répondant à la hauteur des véritables enjeux.

Reports d’échéances de crédits aux entreprises, mise en œuvre de dispositif contractuel inédit de soutien (le geste mutualiste assurance), aides apportées aux métiers de la viticulture et de l’agriculture : le Crédit agricole Champagne-Bourgogne n’a pas ergoté sur les moyens.

8 800 clients professionnels ont pu en bénéficier au moment le plus opportun de leur existence. Près de 2,6 millions d’euros ont répondu aux attentes de plus de 630 clients pour le dispositif de soutien mutualiste.

L’accélération de la digitalisation aura été effective parmi les priorités avec un global de soixante millions de connexions enregistrées sur le site de la banque !  

« Le monde ne s’est pas arrêté du fait de la pandémie, souligne Jean-Yves REMILLET, président de l’établissement régional, nous avons proposé des solutions clefs en main et un accompagnement personnalisé aux artisans, commerçants et professionnels des quatre départements où nous agissons au quotidien : l’Aube, la Côte d’Or, la Haute-Marne et l’Yonne… ».

 

 

Une performance économique réussie malgré un contexte hors normes…

 

Autre preuve relative à ces propos : l’enveloppe de 617 000 euros qui aura été débloquée au profit de 74 structures accueillant un public de seniors. Un fonds de solidarité de 20 millions d’euros, porté par la Fondation Crédit Agricole Solidarité et Développement (CASD) au plan national, a favorisé la lutte contre l’isolement des personnes âgées.

Dans l’arborescence des résultats financiers de cette année écoulée, le Crédit agricole Champagne-Bourgogne tire incontestablement son épingle du jeu.

Sa solidité financière s’est confirmée. Quant à la continuité de service, rien n’a pu l’en empêcher. Pas même ce satané virus, sorti de nulle part. Les équipes, mobilisées à distance (1,4 million d’euros investis pour équiper l’ensemble des collaborateurs en ordinateurs portables et en téléphone) ont été fonctionnelles jusqu’au bout pour répondre aux attentes et besoins des 600 000 clients.

L’indice de recommandation client est en nette hausse. Près de 23 000 prospects se sont mués en une véritable clientèle nouvelle au terme de cette année si exécrable pour le moral et la joie de vivre.

Avec un résultat net s’élevant à 74,1 millions d’euros, la Banque verte peut donc envisager l’avenir avec sérénité. Le produit net bancaire conforté à 329,1 millions d’euros rappelle que la performance économique a été solide en dépit d’un environnement hors normes.

Reste l’avenir et les perspectives évolutives, tant en 2021 que pour les exercices suivants. Ce sera l’objet du second volet de cette introspection journalistique au cœur de la Banque verte, celle qui dit « agir chaque jour dans l’intérêt de ses clients et de la société »…Ce qui ressemblerait à la vérité, au vu des chiffres avancés !  

 

Thierry BRET

 


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La première levée de fonds, initiée début 2020, s’est close avec le résultat escompté. Soit une coquette somme de 250 000 euros, permettant d’assurer le lancement du premier étage de la fusée « MUGI » ! Depuis, la SARL via son enseigne commerciale « METIS MINING » a fait l’acquisition d’une parcelle de deux mille mètres carrés en Puisaye. Elle y inaugurera de manière privative le 26 juin son premier Datacenter…

 

TOUCY : Leur petite entreprise ne connaît pas la crise ! Normal, jamais l’intérêt des investisseurs n’aura été autant exacerbé par les progressions fantasmagoriques offertes par ces crypto-monnaies qui défraient depuis un certain temps la une des chroniques !

Même si l’une de ces monnaies virtuelles ambassadrices de tout l’édifice, le bitcoin, a enregistré un sérieux coup de mou la semaine dernière du fait de quelques turbulences venant de Chine, les tendances expansionnistes demeurent résolument orientées vers le beau fixe pour celles et ceux qui croient en ces nouvelles valeurs monétaires. Et leurs gains potentiels à réaliser en bout de course !

C’est donc dans cet état d’esprit que l’équipe de la SARL MUGI procèdera à l’inauguration de leur premier Datacenter sur la parcelle de terrain qu’ils ont acquise à Toucy. L’évènement se déroulera le samedi 26 juin de manière quasi confidentielle en Puisaye-Forterre, contraintes sanitaires oblige.

 

 

Grâce à ces premières unités de calculs informatiques, qualifiées de très performantes, le quintette assurant la gestion et le développement de ce concept insolite mais prometteur (Fanny VIAUT, Maxime CHERY, Mickaël CHAPOTIN, son frère Raphaël et Alexandre TEINTURIER) devrait connaître une nouvelle phase d’expansion en renforçant l’infrastructure et en achetant un nouveau terrain.

La SARL qui se positionne différemment des rares autres structures évoluant sur ce segment (elle propose un service clé en main sous la forme d’une solution technique d’investissement spécifique aux actifs numériques), a créé une ferme de minage mutualisée. En optant sur la mise en commun des fonds de ses clients afin de créer un outil technique capable de lever de la valeur.

La structure est également soutenue par un pool de treize actionnaires piloté par le président de METIS Invest SAS, Francis MOREAU.

 

Thierry BRET

 

 


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Elle est l’une des nouvelles marques proposées par son concessionnaire exclusif sur notre territoire, le groupe JEANNIN Automobiles. Ce pur produit du savoir-faire de la péninsule ibère n’a d’autre vocation que de concurrencer le SUV du constructeur BMW, le X4. Un combat des chefs quasi inéluctable pour mettre en exergue le premier modèle inédit du fabricant espagnol développé en interne ?

 

AUXERRE : Ils l’ont annoncé il y a peu, lors de la remise du trophée qui a auréolé leur nouveau modèle, le « FORMENTOR », détenteur du prix de meilleur SUV de l’année 2021. Les dirigeants de la firme espagnole CUPRA ambitionnent de doubler les ventes de leurs véhicules sur le marché européen et de dépasser ainsi le milliard d’euros de chiffre d’affaires.

Pour y parvenir, l’enseigne ibérique, apparue en février 2018 – elle était auparavant la division sportive du constructeur SEAT – va s’appuyer sur deux produits de sa gamme : la CUPRA LEON et ce fameux SUV, dont les spécialistes ne cessent de vanter les éloges.  

En l’espace de trois années, dont 2020 très particulière pour la sphère automobile du fait de la pandémie, CUPRA a pu commercialiser plus de 60 000 modèles dans le monde. Second produit dans la chronologie de la gamme, le « FORMENTOR » a été lancé il y a déjà douze mois.

En Bourgogne, mais aussi sur les départements limitrophes que sont la Seine-et-Marne et l’Aube, les amateurs de nouveautés peuvent en découvrir ses subtilités chez le concessionnaire exclusif de la marque, le groupe JEANNIN, dans l’un de ses nombreux points de vente. Des corners spécifiques à ce nouveau fleuron de l’ingénierie espagnole y ont été aménagés.

 

 

 

Lors de la remise des prix de l’Automobile Award, il a été précisé que la CUPRA « FORMENTOR » avait décroché le pompon pour ses aspects novateurs tant au plan de l’esthétisme que de la praticabilité et de la technologie embarquée. Lancé en octobre 2020, le véhicule a su coiffer sur le fil dix-sept autres concurrents, et non des moindres !

C’est le premier sésame remporté par la marque espagnole dans l’Hexagone. Gageons que ce ne sera pas le dernier. L’avenir est en bonne voie avec trois nouveaux modèles, qui se présentent sous forme d’hydrides rechargeables hautes performances dont on devrait reparler d’ici peu.

Le premier véhicule 100 % électrique apparaîtra sur le marché d’ici la fin de l’année. Son nom de baptême est CUPRA El Born. Un clin d’œil non feint aux bornes de recharge, sans doute !

 

Thierry BRET

 


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« Quand je dis que je suis conseiller en gestion du patrimoine, la première réaction de mon interlocuteur est la suivante : « tu fais de la défiscalisation ? ». Sûrement pas ! Je préfère que mes clients investissent par rapport à des besoins et qu’ils utilisent les avantages fiscaux qui correspondent à leurs besoins…».

 

PUBLI REDACTIONNEL : En effet, la fiscalité ne s’achète pas. Acquérir un produit seulement pour son avantage fiscal et non pas pour la valeur qu’il apporte ou l’utilité qu’il produit ne permet pas d’optimiser son investissement.

Si par exemple, après avoir fait le point sur votre retraite, vous sentez le besoin de vous fabriquer un complément de revenu, vous avez la possibilité de répondre à ce besoin à travers le PERIN (Plan d’Epargne Retraite Individuel) tout en bénéficiant d’avantage fiscal : la cerise sur le gâteau.

Il est également possible de se fabriquer un complément de revenu à travers l’acquisition d’un bien immobilier tout en récupérant la TVA (gain de 20 % de l’investissement) et/ou en bénéficiant de l’amortissement de votre bien sur environ trente ans, c’est-à-dire qu’un bien de 300 000 euros permettrait de déduire 10 000 euros par an des revenus immobiliers pendant environ trois décennies.

 

 

De plus, vous pouvez également bénéficier d’avantages fiscaux si vous souhaitez améliorer votre habitat ou donner du confort à votre famille (femme de ménage, etc.).

L’avantage fiscal s’utilise donc comme un levier afin d’atteindre des objectifs, et de répondre à des besoins pour votre vie d’aujourd’hui et de demain.

Moralité : la fiscalité ne s’achète pas, mais elle s’utilise !

 

Julie GENEST

CABINET J3G PATRIMOINE

13 rue de l'Horloge

89000 AUXERRE

Tel : 03 86 94 10 11

 


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