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La structure fait partie des huit abattoirs de Bourgogne Franche-Comté retenus dans le cadre du Plan France Relance. Elle va bénéficier à ce titre d’une enveloppe de 1,355 million d’euros. Une aide bienvenue qui contribuera à accélérer les investissements menés par l’entreprise pour le développement de son activité. Que ce soit en termes d’amélioration des conditions de travail, de protection animale ou d’amélioration des conditions sanitaires…

MIGENNES : Créée il y a 65 ans dans la localité du Centre Yonne, et depuis, étroitement liée à l’histoire de la cité cheminote, la SICAVYL a changé de dimension en 2017 de par sa fusion-absorption avec le groupe SICAREV. Aujourd’hui spécialisé dans l’abattage, la découpe et le désossage de bovins et ovins, le site emploie 340 salariés dont 300 en CDI.

Après celui de TRADIVAL LAPALISSE, il est le second site du groupe à bénéficier d’un soutien de 1,355 million d’euros dans le cadre du plan France Relance de modernisation des abattoirs. Un « coup de pouce bienvenu qui va nous permettre d’enclencher les investissements de manière simultanée » confiait Sylvain PRUDON, directeur de la filière viande du groupe SICAREV, lors de la visite effectuée sur les lieux par le préfet de l’Yonne Henri PREVOST.  

 

 

 

Améliorer la protection animale via la vidéosurveillance : une priorité…

 

C’est au total plus de 8,4 millions d’euros d’investissements que le groupe va engager à Migennes d’ici 2023. Une stratégie portant pour 3,4 M€, sur la modernisation de l’outil et du process, dont plus de 2,2 M€ pour le volet développement et compétitivité.

Concernée également : l’amélioration de la protection animale au travers du renforcement de la vidéosurveillance. Pas question pour autant de filmer l’abattage des animaux souligne Sylvain PRUDON : « cela ne serait pas acceptable pour les opérateurs procédant à la mise à mort de les filmer en permanence alors qu’ils sont formés et contrôlés. Par contre, tout ce qui est réception, manutention des animaux, transport, le sera ».

Les salariés, pour leur part, verront leur travail facilité, notamment par la mise en place d’un système de convoyage automatisé à l’atelier désossage. Autre chantier prévu s’achever d’ici la fin de l’année : la modification des installations frigorifiques pour une enveloppe globale de plus de 1,8 M€. Avec l’objectif de réduire de 20 % la consommation d’énergie thermique et électrique du site. 

 

 

 

 

Un troisième volet d’investissements est en cours, avec le démarrage dès novembre prochain, d’un atelier de fabrication de steaks hachés. Un projet à 3,2 millions d’euros qui valorisera sur place une partie des bovins abattus, avec à la clé de 20 à 25 créations de postes, pour un volume annuel de 2 500 tonnes à l’horizon 2023. Le marché est porteur et les chiffres encourageants, la SICAREV ayant enregistré l’an passé une hausse de 15 à 20 % de la demande en viande hachée.

Autant de signes prometteurs qui font de Migennes un outil stratégique pour le groupe, explique Sylvain PRUDON : « c’est un site sur qui, du fait de sa proximité avec les bassins de consommations et les lieux de production, repose d’énormes ambitions. Par ailleurs, Migennes est l’un des six sites industriels français agréés pour exporter de la viande bovine en Chine. On se tient prêts si la conjoncture nous est favorable ».

Des projets en ce sens avaient été engagés début 2020, mais un certain virus est passé par là !  

 

 

En savoir plus :

De 2 000 à 3 000 ovins sont abattus chaque semaine sur le site de Migennes.

Les bovins abattus à Migennes sont issus à 70 % de la race charolaise

Les exosquelettes installés à l’atelier de découpe dans le cadre du plan de modernisation contribuent à faciliter le travail des opérateurs.

 

Dominique BERNERD

 


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Ce n’est que le reflet vertueux d’un long cheminement intellectuel en faveur de la mobilité électrique, ayant débuté il y a déjà…onze ans. Entre le leader de la grande distribution et le constructeur automobile, l’osmose est parfaite pour promouvoir le mode de locomotion de demain. Le réseau des 510 agences de location LECLERC sera bientôt équipé des premières DACIA SPRING 100 % électriques. Une révolution dans l’offre locative ?

 

IVRY SUR SEINE : Il y avait déjà la Renault ZOE qui permettait d’offrir une opportunité locative à des tarifs très abordables (6 euros par jour)  à la clientèle de l’enseigne distributrice. Il y aura désormais, et en sus, la DACIA SPRING dans sa variante 100 % électrique !

Quatre mois après l’annonce d’un partenariat unique élaboré entre les Centres E.LECLERC et le constructeur automobile hexagonal, l’accélération promotionnelle des véhicules électriques devient une réalité tangible parmi les réseaux de location présents sur le marché.

D’ici le terme du printemps, les 510 vitrines locatives de l’enseigne de la grande distribution auront reçu leurs dotations de véhicules new-look. Avec une offre qui serait considérée comme l’une des plus abordables du marché, soit un débours de cinq euros par jour sans engagement de durée, assurance et entretien inclus, pour celles et ceux qui tenteraient l’expérience !

Précisons que la clientèle du spécialiste de la distribution serait la première à pouvoir rouler avec les nouveaux modèles produits par DACIA qui ne seront disponibles dans les concessions françaises qu’à partir de l’automne.

 

 

Un programme de sensibilisation national décliné depuis 2010…

 

Dès 2010, les centres E. LECLERC se sont investis aux côtés de leur partenaire automobile historique dans le cadre d’un programme décliné en faveur de la mobilité électrique. Outre l’acquisition de véhicules de fonction (ZOE) destinés aux collaborateurs, l’enseigne de la grande distribution a su poser les jalons d’un club des ambassadeurs en région afin d’assurer la sensibilisation de ce moyen de locomotion par le biais de la pédagogie.

Signataire de la charte portée par le ministère des Transports, « 100 000 bornes », le groupe a prévu d’agrandir son parc actuel de points de recharge électriques pour le porter à cinq mille dans les deux prochaines années, puis à dix mille d’ici 2025. Le site du magasin auxerrois en sera pourvu (une dizaine) d’ici le dernier trimestre de l’année…

Pour l’officialisation de ce partenariat, Michel-Edouard LECLERC, président du Comité stratégique du groupe, et Luca de MEO, patron du groupe RENAULT, avaient choisi l’une des vitrines marchandes implantées à Orly pour donner le coup d’envoi de cette opération.

 

Thierry BRET

 


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Dire qu’il a été satisfait par le contenu de sa visite au CIFA, le président de la Confédération nationale de la Boulangerie Pâtisserie, serait un doux euphémisme ! Subjugué, l’ambassadeur de la puissante filière artisanale n’a pas tari d’éloges sur ce qu’il a découvert tout au long de ce périple immersif dans l’antre de l’excellence qu’est devenu au fil des années le centre de formation de l’Yonne. Une visualisation enthousiaste et concrète de l’apprentissage avec un A majuscule…

 

AUXERRE: Voilà une manière idéale de rendre à l’apprentissage ses lettres de noblesse pour celles et ceux qui en auraient encore douté ! Il suffit de consacrer deux heures de son emploi du temps à la découverte du centre de formation auxerrois, le CIFA de l’Yonne, pour percevoir de visu que bien des poncifs n’ont plus lieu d’être à propos de cette méthode d’enseignement.

Loin d’être appréhendé désormais comme le rebut indolent de l’initiation à la vie professionnelle réservé aux seuls décrocheurs de l’Education nationale, l’apprentissage se décline, se vit et se pratique en totale osmose avec notre époque : c’est-à-dire à l’heure de la digitalisation, du modernisme, de la multitude de cursus diplômants et de débouchés potentiels (nombreux selon les filières) à pourvoir en bout de course.

Alors, c’est sûr quand un personnage aussi emblématique de l’artisanat à la française, le numéro un de la boulangerie pâtisserie, Dominique ANRACT, porte-étendard de la Confédération nationale, fédérant des milliers de professionnels et autant d’entreprises, pose les pieds dans ce périmètre du savoir manuel, on se dit que ses hôtes ne peuvent que se frotter les mains. Sans le recours au gel hydro-alcoolique de préférence !

Car, dans les têtes bouillonnantes d’idées de ces mentors du savoir-faire à transmettre que sont Michel TONNELLIER (président) et Marcel FONTBONNE (directeur), chacun sait déjà quels seront les résultantes à moyen terme d’un tel choc avec la réalité pour le visiteur.

 

 

 

Un enthousiasme non feint à relayer sur le territoire…

 

Celle virtuelle mais pas encore augmentée inhérente au fameux « Clic Store », conçu avec le précieux concours du prestataire idoine sur la place, IDXPROD, dont nous envie l’ensemble des CIFA de l’Hexagone ; celle de la boutique factice, certes, mais si proche du naturel mettant en lumière dans leurs vitrines appétissantes les produits de la boulangerie, de la viennoiserie et de la confiserie ; celle de ces métiers de bouche, fleurons de la gastronomie que sont la boucherie, la restauration ou les métiers de service.

Mention spéciale également pour l’éducation partagée qui prend corps et acte avec le e-learning, concept technologique particulièrement éclairé en période de pandémie et de confinements successifs !

Le représentant de la CNBPF n’a pas caché son enthousiasme devant pareille initiative, prometteuse et à déployer dans tous les centres de formation de France et de Navarre selon lui.

 

 

 

Naturellement, le must de cette rencontre opportune à laquelle prenaient part également le président de l’U2P de Bourgogne Franche-Comté, Christophe DESMEDT et le représentant départemental de ladite structure David MARTIN (le garçon est aussi vice-président de la Chambre des Métiers et de l’Artisanat) fut le contact privilégié avec la relève boulangère.

Dominique ANRACT écouta avec grand intérêt les explicatifs fournis par Marcel FONTBONNE sur l’organisation et la gestion de cet atelier pédagogique très prisé de la jeune génération.

 

 

Un échange avec la relève de la filière boulangère …

 

Avant de se saisir d’une baguette (ce fameux fleuron croustillant de la gastronomie française dont la reconnaissance universelle se jouera dès l’année prochaine dans les commissions consultatives à l’UNESCO) et de la soupeser en exégète de la corporation qu’il est. S’en suivit un bel échange avec l’un des mitrons, fier de pouvoir échanger avec le symbole syndical de la profession.

Conquis par la vision d’autant de diversités pédagogiques réussies, le président de la Confédération nationale de la boulangerie pâtisserie pouvait s’en retourner vers la capitale avec bon nombre d’idées lumineuses en tête.

Après un  court arrêt à Villeneuve-sur-Yonne pour y remettre le label de « Boulanger de France » à l’artisan Jean-Marc DANIEL, l’un des mille professionnels à bénéficier de cette nouvelle certification de l’excellence. Un accessit qui rappelle la philosophie du CIFA, en somme !

 

Thierry BRET

 

 

 


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L’ouvrage cosigné par Aurélie PEREZ et notre collaborateur Philippe CARPENTIER, auteur de chroniques spécifiques à l’univers du management publiées sur le blog « 16h44 : la minute du manager » vient de recevoir un sérieux coup de boutoir promotionnel. Grâce à la complicité sympathique de l’ancien champion olympique de ski acrobatique, aujourd’hui consultant : le Haut-Savoyard Edgar GROSPIRON !

 

LILLE (Nord) : Paru à l’hiver dernier, l’opus concocté à quatre mains par notre chroniqueur managérial Philippe CARPENTIER (ancien cadre de la Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Yonne et aujourd’hui dirigeant du cabinet de consulting « Décider Juste ») et Aurélie PEREZ, coach en développement personnel, figure parmi les belles réussites livresques consacrées à la thématique de l’épanouissement personnel.

Pas étonnant que ce livre soit arrivé sur le bureau d’un autre consultant de renom, le champion olympique de ski acrobatique et triple champion du monde de la discipline : Edgard GROSPIRON.

L’ancien sportif, lauréat également de quatre coupes du monde de ski de bosses dans les années 1990, s’est brillamment reconverti en conférencier en entreprise pour évoquer un item qui lui tient particulièrement à cœur : la motivation des ressources humaines.

Chef d’entreprise aguerri (il est associé à un cabinet en stratégie de croissance auprès des PME), Edgar GROSPIRON qui a déjà donné plus de mille conférences aux quatre coins de l’Hexagone, a été interviewé par Philippe CARPENTIER afin d’alimenter son blog mensuel conçu pour apporter de nombreuses réponses aux décideurs économiques.

Le champion olympique aime les personnalités de l’Yonne. Il avait animé une soirée anniversaire pour le compte de la société NET.COM à Sens aux côtés de ses deux dirigeants, Brice BOREL et Thomas DA ROVARE, il y a quelques années de cela.

Alors à quand un ouvrage signé de ces trois spécialistes du management que sont Aurélie PEREZ, Philippe CARPENTIER et Edgard GROSPIRON ?

 

Thierry BRET

 

 


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L’école nationale vétérinaire de Maisons-Alfort a fermé son site au domaine de Crouzilles. « Il n’y avait plus de porosité avec le village » indique le maire, Eric PAURON. Les six dernières personnes vivaient en vase clos. Elles sont parties. Faute de gardiennage, des vols d’outillage et équipements ont été constatés. Les quatre personnes « clefs » de la nouvelle vie du village se sont réunies pour envisager l’avenir…

 

CHAMPIGNELLES: Ce fut un excellent réflexe. Comme le designer star Thomas DARIEL lui confiait son grand projet, François GUYARD, alors maire de Tannerre-en-Puisaye, lui a fait rencontrer Jean-Philippe SAULNIER-ARRIGHI, président de la Communauté de communes de Puisaye-Forterre (CCPF).

Il a la charge du développement économique du territoire. Ce dernier a très vite compris l’opportunité. « Ce fut alors un long marathon semé d’embûches, mais, avec Thomas DARIEL, nous avons rencontré le préfet, Henri PREVOST » rappelle le président. Heureusement, le représentant de l’Etat a saisi l’enjeu.

« Il fallait expliquer le projet et faire comprendre qu’une superficie minimale nous est indispensable » complète le designer, fort d’avoir réuni plus de trente hectares.

Jean-Philippe SAULNIER-ARRIGHI devait rappeler que « l’enseignement, la diffusion du savoir, c’est dans les gênes de Champignelles ».

Il insiste : « Grâce à ce campus, des artisans d’excellence vont être attirés ici. D’ailleurs, la Maison Normand s’installe déjà. » Sa directrice Elisabeth LEBEGUE a sauvé l’entreprise et décidé son déménagement de Saint-Amand-en-Puisaye à Champignelles, après avoir rencontré Thomas DARIEL.

La MaNa, comme « manufacture nationale », est le nom de baptême de l’ensemble créé par celui-ci. La formation dispensée s’adresse à des professionnels diplômés, déjà actifs. Ils sont architectes, ébénistes ou autres. Ils sont attentifs aux évolutions des usages et désireux de se perfectionner.

En recherche d’évolution et d’excellence, ces professionnels veulent innover, dans le choix des matériaux comme dans celui des formes et fonctionnalités. A côté des salles de conférences, ils disposent d’espaces de travail et de production. Les programmes proposés varieront de deux à douze semaines, en résidence.

 

 

Un concept créatif unique en France…

 

« La superficie est nécessaire car les stagiaires vont avoir la possibilité de créer des maquettes à l’échelle un » précise Thomas DARIEL. Ainsi un architecte pourra construire une représentation de villa à sa taille normale. « C’est unique en France » souligne le créateur.

Les équipements du campus sont étudiés en conséquence. Dans le bâtiment central, les ateliers individuels voisinent avec une riche bibliothèque de matériaux, des plus anciens à ceux du futur. Pour le travail du métal, une ferronnerie prend place dans un bâtiment indépendant, bientôt doté de sa forge. D’autres ateliers sont répartis sur le domaine, à l’exemple de la menuiserie ou de la céramique.

Naturellement, le campus est relié au village par une voie douce. Un garage de vélos est prévu. Dans un premier temps, quinze chambres sont aménagées dans la maison de maître, avec tous les équipements nécessaires.

Le campus ainsi créé est le vaisseau amiral. Des artisans d’excellence vont s’installer dans ce lieu et alentour. Ce positionnement est à l’image de ce que le faubourg Saint-Antoine fut pour la menuiserie parisienne.

Le bouillonnement induit par la « MaNa » est précieux pour des professionnels soucieux d’échanger leurs expériences.

« La Puisaye est par tradition une terre d’excellence pour les métiers d’art » rappelle le président de la CCPF.

Créée en 1736, la Manufacture Normand est la plus ancienne manufacture de grès de France. Elle apporte son prestige, telle une perle sur la couronne en construction. Depuis sa reprise par Elisabeth LEBEGUE en 2017, elle a obtenu le label « Entreprise du Patrimoine Vivant » (EPV).

Elle fournit le Château de Versailles, pour le Hameau de la Reine. En effet, à partir d’un ancien modèle de pot répertorié par le conservateur, une fabrication nouvelle a été développée. Le grès ne gèle pas. C’est essentiel pour un usage en extérieur.

Pragmatique, le président Jean-Philippe SAULNIER-ARRIGHI refuse de tirer des plans sur la comète. Cela ne l’empêche pas de répéter que « grâce à l’énergie de Thomas DARIEL, l’avenir de Champignelles, « Cité des Métiers d’Art », s’annonce florissant ».

 

Thierry CARABIN

 

 


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