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Le profil idoine est le suivant. La TPE auxerroise recherche des personnes possédant de solides expériences dans la transaction immobilière. Et cette immodérée soif de se constituer un portefeuille clientèle et de biens qui ne demandent qu’à croître. Surtout que le secteur de l’immobilier n’a pas été impacté par les effets coercitifs de la crise dans notre contrée. Trop de Franciliens voulaient quitter la capitale…

 

AUXERRE : En matière d’emploi, la filière de l’immobilier demeure une valeur sûre en cette période de marasme économique. Même si les prémices d’une future embellie se font quelque peu ressentir.

Prenez à titre d’exemple, l’Atelier de l’Immo. Une entité professionnelle qui a pignon sur rue en plein cœur d’Auxerre. La structure pilotée par Julie GENEST croule sous les demandes les plus diverses se rapportant à la transaction de biens.

Majoritairement, ces besoins émanent de prospects franciliens désireux de reverdir leur existence en province, loin des miasmes de la capitale. D’autant que la pandémie et les confinements successifs ont laissé des traces quasi indélébiles dans les esprits.

 

 

Aujourd’hui, l’agence immobilière recherche deux nouveaux collaborateurs. Objectif : occuper dès que possible les fonctions de négociateurs sur un rayon d’action qui englobe Auxerre et sa grande périphérie.

La cible devant intégrer ses futurs portefeuilles se constituerait de potentiels acquéreurs parisiens en quête de leur Eldorado en proche province. Du pain béni pour celles et ceux qui feraient acte de candidature d’autant que la demande est plutôt florissante. De plus, les postes sont à pourvoir de suite.

Pour y prétendre, il suffit juste d’avoir la fibre intérieure et de croire en sa bonne étoile pour décrocher la timbale !

 

Thierry BRET

 

 

 


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Commencé il y a plus d’un an, cet atelier spécifique accueilli au lycée des métiers auxerrois sensibilise les élèves au développement durable. Ces séances pédagogiques s’appuient sur les connaissances transmises par des enseignants et deux associations qui favorisent d’ordinaire les principes de l’écologie.

 

AUXERRE : Labellisé établissement « E3D » (École en Démarche globale de Développement Durable), ce projet favorise les initiatives environnementales. Elles s’effectuent en collaboration avec l’association « Au Bonheur des Chutes » et « Le Parc ».

Lothaire CARLIER, un des dirigeants de l’association « Au Bonheur des Chutes », en donne les contours explicatifs. L’entité récupère les rebuts de matériaux collectés chez les industries locales. Elle les revend ensuite en magasin pour que soient créés de nouveaux produits. Dans le cas présent, l’établissement pédagogique l’avait contacté afin de concevoir des outils de jardinage ainsi qu’un hôtel à insectes.

Pauline DAVIER, coordinatrice de l’association « Le Parc », explique sa démarche. Des pôles spécifiques ont été créés autour du potager. L’association est intervenue dans le petit jardin au sein des plantes aromatiques et des petits fruits pour développer la curiosité des jeunes.

L’idée était d’aménager un espace vert dans l’établissement mais aussi de créer un cadre pédagogique en connexion directe avec les métiers de service et de la cuisine.

 

 

Un apprentissage sur le tas pour les élèves…

 

L’atelier comporte quatre zones distinctes. Celle du compostage évite l’achat d’engrais pour le jardin. En travaillant en partenariat avec le restaurant scolaire, les apprentis agriculteurs récoltent en moyenne 25 kilos d’épluchures de légumes ou de fruits.

La zone de pré fleuri est utile pour la biodiversité. Un hôtel accueillant des insectes sera implanté sur cette partie.

Pour approvisionner le restaurant scolaire, les jeunes gens élèvent quelques fruits et légumes dans le potager tel que des petits pois, des radis, de la salade ou encore des fraises. Cette activité leur offre l’opportunité de se rendre compte des prix pratiqués sur le marché. Tout dépend du temps et de l’investissement.

Immergés au sein d’une formation de restauration et de cuisine, les élèves apprennent à manier les aliments. De ce fait, ils ont également créé un jardin de plantes aromatiques, garni d’une cinquantaine de variétés.

 

 

Afin de titiller leur curiosité, un flashcode a été mis à disposition dans le jardin. En le scannant, les élèves arrivent sur une plateforme où ils ont toute la disposition du jardin en numérique.

De plus, en cliquant sur une plante spécifique, ils obtiennent toutes les données informatives qu’ils ont rédigées eux même à propos de celle-ci : « la récupération des parties exploitables de la plante » par exemple.

Bien que ce soient les matières professionnelles qui soient au cœur de ce projet, les matières générales y trouvent leurs places aussi. L’anglais et les mathématiques sont au premier rang de cette nouveauté où l’on apprend le vocabulaire ou le calcul à partir du rendement des plantes.

Enseignants et élèves ont pour projet de faire pousser une vigne sur quelques poteaux, installés çà et là. Recouvrir l’arche centrale de houblon intègre également leurs priorités.

 

Jordane DESCHAMPS

 


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On peut être titulaire d’une licence de biochimie et diplômé d’une école de commerce pour prétendre assurer un jour le leadership managérial d’un établissement bancaire coopératif de renom. A l’instar de la Caisse d’Epargne de Bourgogne Franche-Comté et ce, depuis le 01er mai. A 56 ans, le successeur de Jean-Pierre DERAMECOURT s’installe dans le fauteuil présidentiel. Avec l’objectif de poursuivre les missions régaliennes de l’entité : être un acteur majeur au service du développement et de l’économie…

 

DIJON (Côte d’Or) : Il a su gagner la confiance du COS, le Conseil d’Orientation et de Surveillance de l’établissement financier. Rien d’étonnant à cela, à la lecture du pedigree.

Depuis 1994, le nouveau responsable de la Caisse d’Epargne Bourgogne Franche-Comté évolue dans le milieu bancaire et de la finance. Lui, le détenteur d’une licence de biochimie !

Ses premières armes, il les pratique avec dextérité au sein de la Banque de Financement et de Trésorerie. Puis, il renforcera ses compétences chez la « cousine » mutualiste, la Banque Populaire Val-de-France. Avant de rejoindre la Lorraine où en 2003, il assurera la fonction de directeur financier de la Caisse d’Epargne régionale.

Qu’ils sont déjà loin les débuts prometteurs de ce personnage au sein du cabinet de commissariat aux comptes chez MAZARS ! Le dirigeant gagne de nouveaux galons en 2008, devenant membre du directoire en charge des finances et de l’activité commerciale de la banque du développement régional de la Caisse d’Epargne Loire-Drôme-Ardèche.

Quatre années plus tard, Jérôme BALLET quitte le sillon rhodanien pour se rendre dans la capitale des Gaules à Lyon où il intègre le directoire de la Caisse d’Epargne Rhône Alpes.

Là, il peaufine ses acquis. Au sein de la cellule de pilotage de l’établissement, il s’occupe des finances, de l’exploitation bancaire mais également de l’immobilier. Une transversalité qui lui sied comme un gant !

 

Mobiliser l’établissement pour la relance économique du territoire…

 

On connaît la suite. Une nouvelle page de ce chapitre professionnel vient de s’ouvrir pour Jérôme BALLET convié à se rendre en Bourgogne Franche-Comté pour y succéder à Jean-Pierre DERAMECOURT. Ce dernier a fait valoir ses droits à la retraite après une longue période de présidence de près d’une décennie.

Aux côtés des autres personnalités du directoire, Philippe BOURSIN, du pôle finances, Isabelle BROUTE, à la tête du pôle banque du développement régional, Fabien CHAUVE, en charge du pôle ressources et Cédric MIGNON, gestionnaire du pôle banque de détail, le président du directoire, nouvellement installé, aura à cœur de continuer le travail entamé par son prédécesseur.

Soit la mobilisation sans retenue de la Caisse d’Epargne au plus près de son cœur de cible : ce territoire où elle jouera un rôle prépondérant, favorable à la relance de l’activité économique et sociale de notre région.

 

Thierry BRET

 

 


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Le préfet de l’Yonne Henri PREVOST l’a réaffirmé clair et net lors de l’entretien accordé à la presse à l’issue de la 5ème Conférence départementale de la relance : « l’Etat poursuivra ses initiatives en faveur de la reprise économique et de l’emploi sur notre territoire »…Rassurant.

 

AUXERRE : Une chaîne vertueuse s’est progressivement engagée dans le paysage économique de l’Hexagone. On la doit par un effet gigogne positif en guise de réponse aux conséquences funestes imputables à la pandémie de la COVID-19.

Les investissements, consentis par l’Etat et ses divers organes représentatifs à grands renforts de plans de relance, ont pour but de rendre plus compétitives et environnementales les entreprises qui en sont les bénéficiaires.

Un sacré challenge qui n’a d’autre alternative que la réussite afin d’extraire toutes ces structures entrepreneuriales en proie aux doutes de l’ornière, compte tenu du marasme ambiant.

Lors de sa prise de parole explicative face aux journalistes, au terme de la cinquième conférence départementale consacrée à la relance, le représentant de l’Etat Henri PREVOST a rappelé le désir de la nation de soutenir l’activité économique avec des aides d’urgence.

Une contribution qui se veut conséquente depuis le début de la crise sanitaire puisque s’élevant à 569 millions d’euros apportés à ce jour aux entrepreneurs de l’Yonne sous la forme de prêts garantis par l’Etat, de fonds de solidarité, de report d’échéances fiscales, etc.

 

 

Industrie et agriculture dans le viseur de la préfecture…

 

A titre d’exemple, la filière industrielle départementale a été largement abondée par ces subsides nécessaires à la reprise des activités. Ainsi, plusieurs sociétés, et non des moindres, ont perçu des enveloppes leur permettant de se réarmer structurellement en attendant la sortie de crise.

Cela a été le cas dans le domaine automobile avec la SAS BOUDIN sur le Sénonais, du fabricant de semi-remorques FRUEHAUF à Auxerre ou encore parmi les nouveaux bénéficiaires de l’entreprise LOUAULT à Saint-Fargeau qui voit ainsi ses projets soutenus par la préfecture.

Le secteur agricole n’a pas été oublié de cette manne financière importante. La coopérative 110 Bourgogne a reçu récemment la visite du préfet sur l’un de ses silos à Nitry tandis que la SICAREV installée à Migennes a obtenu également de précieux subsides. Même le secteur des graines et plants se situe dans le viseur préfectoral avec des pépinières ayant reçu 450 000 euros d’aides pour le développement de projets agronomiques. Et cela n’est pas fini…

 

Thierry BRET

 


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Expérimenter le sticker « Oui Pub », autorisant la dépose de documents à vocation publicitaires, à la place du traditionnel «  Stop Pub » qui en interdit toute réception dans les boîtes aux lettres, est l’une des 150 préconisations issues de la Convention Climatique Citoyenne. Une idée qui ne fait pas que des heureux si cet alinéa de la loi Climat était adopté par les parlementaires. Chez MEDIAPOST, beaucoup d’opérateurs s’inquiètent de perdre leur emploi à l’avenir…Acte deux de notre enquête.

 

AUXERRE : Quatorze années de bons et loyaux services s’inscrivent déjà au  compteur. Malgré cela, Sandrine LE GOFF ne rechigne jamais pour assurer la distribution par tous les temps de ces prospectus et autres dépliants à vocation commerciale qui sont aujourd’hui au cœur d’une sérieuse polémique. Une parmi tant d’autres, pourrait-on dire qui affecte les rouages opérationnels de cette belle société qui est la nôtre !

La stigmatisation récurrente de l’imprimé publicitaire telle qu’est vécue à l’heure actuelle ne fait pas la une des grands médias nationaux. Dommage, à vrai dire. Il y a pourtant péril en la demeure pour environ dix mille salariés de ces filières évoluant sur ce secteur qui risquent bientôt de pointer à Pôle Emploi si rien n’est fait dans le sens de la préservation de leur métier. Celui qu’exercent les collaborateurs de MEDIAPOST, une des filiales du groupe La POSTE appartenant à la branche service, courrier et colis.

Car, proscrire la distribution de ces informations commerciales de nos boîtes aux lettres telle qu’elle est suggérée par la Convention Climatique Citoyenne conduira à licencier à terme ces personnes. Dont certaines remplissent la tâche depuis fort longtemps avec des contrats aux horaires adaptés.

 

 

Le respect des distributeurs face aux autocollants « Stop Pub »…

 

Pour l’heure, l’expérience de l’autocollant « Oui Pub » à apposer sur les boîtes aux lettres n’est pas encore adoubée par le parlement. Mais, nous n’en sommes pas très loin. Il suffit que les députés la valident. Prendront-ils alors réellement conscience des enjeux économiques et sociétaux qui résulteront de leurs votes ?

Sur l’Auxerrois, sur les 47 076 boîtes aux lettres répertoriées, seules un peu plus de quatre mille d’entre elles disposent d’un autocollant « Stop Pub » sur leur couvercle latéral. Une signalétique que respectent scrupuleusement les employés de MEDIAPOST lors de leurs pérégrinations sur le terrain. Enfreindre la volonté du possesseur de la boîte à l’estampille de ce sticker très explicite est passible d’amendes.

« Le montant peut s’élever jusqu’à 1 500 euros, concède Hubert PREVOT, responsable de la plateforme de distribution à Auxerre.

 

 

Depuis plusieurs mois, les autocollants interdisant l’accueil de la promotion commerciale par dépliants dans les boîtes aux lettres sont en augmentation sur ce secteur de l’Yonne. Les zones rurales sont nettement moins touchées par cette tendance. Sans doute parce que moins destinataires de la publicité. Toutefois, annuellement, ce sont près de 50 à 70 kg de ces documents imprimés qui arrivent dans nos boîtes. D’où l’ire de certains réfractaires à ce mode de communication qui rejettent l’idée de recevoir de manière hebdomadaire ce monceau de papier.

 

 

A Auxerre comme à Sens, les distributeurs de MEDIAPOST tremblent pour leur avenir…

 

En France, 30 % de nos concitoyens ont déjà posé le fameux sticker informatif sur leurs boîtes aux lettres. Douze points de mieux qu’en 2015…

Supprimer la distribution de ces imprimés publicitaires déstabiliserait à coup sûr toute une filière. Celle de la distribution, en particulier. Le métier que pratique avec tant de passion Sandrine.   

Travaillé au moins six fois, le papier utilisé à la conception de ces prospectus nourrit également tous les emplois du recyclage. Sans parler des transporteurs, des imprimeurs, des publicistes, des graphistes, des commerciaux de la presse et diffusion.

 

 

Mais, ce qui perturbe le plus Sandrine LE GOFF, c’est de priver d’un lien social toute une frange de la population, généralement des seniors, qui se procurent de l’information en parcourant ces flyers une fois installé dans un fauteuil. Une source de renseignements vitale pour celles et ceux qui ne comprennent que couic à la technologie du digital.

Aujourd’hui, les vingt-six personnes qui exercent leurs activités au sein de la plateforme MEDIAPOST d’Auxerre (elles sont 21 à Sens) tremblent pour leur avenir. Si la décision encouragée par les écologistes était acceptée par la voie parlementaire, ce serait 50 % des effectifs qui seraient ainsi rayés de l’organigramme.

Un étrange paradoxe alors que six Français sur dix disent consulter dès qu’ils les réceptionnent ces documents aujourd’hui voués au rebut.

25 millions de ces imprimés publicitaires transitent par le centre auxerrois à date. Combien en restera-t-il si cet alinéa de la loi Climat venait à être promulgué demain ?

 

Thierry BRET

 

 


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