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Elle se sent un peu comme chez elle, la présidente de la Région Bourgogne Franche-Comté. Lorsqu’elle se déplace dans le Tonnerrois, cela lui procure toujours beaucoup de fierté. Celle d’avoir pu agir, au nom de la collectivité dont elle possède les rênes depuis bientôt six ans, en faveur de l’entrepreneuriat et de l’emploi. Accueilli par le secrétaire général de la Compagnie DUMAS, Cédric PIRES, Marie-Guite DUFAY a pu découvrir les multiples facettes du leader haut de gamme de la literie de luxe, made in France…

TONNERRE: Affichant un large sourire à la descente de son véhicule, la présidente socialiste de la Région Bourgogne Franche-Comté aime se rendre dans la ville de la fosse Dionne.

C’est avec réel plaisir qu’elle y fait étape dès qu’elle le peut lors de pérégrinations officielles la menant dans la partie septentrionale de la contrée dont elle brigue un nouveau mandat.

Provenant de Sens où elle aura concentré son intérêt sur le club de La Patriote Sénonaise (une référence nationale dans la discipline du tir sportif qui est susceptible d’accueillir les entraînements d’athlètes qualifiés aux Jeux de Paris en 2024), la présidente ne pouvait se soustraire de faire étape à Tonnerre lors de cette mini-tournée dans l’Yonne. Tournée qui ne concernera pas Auxerre, soit dit en passant…

Avant de poursuivre la route jusqu’à Avallon pour d’autres réjouissances du même acabit (la visite du complexe aquatique entièrement rénové et la rencontre avec des associations sportives), Marie-Guite DUFAY a pris soin de s’immerger dans l’univers de la literie de luxe telle qu’elle se définit au sein de la Compagnie DUMAS.

La structure familiale aujourd’hui dirigée par Edouard DUMAS règne depuis 1910 sur les grandes maisons privées et les hôtels de la capitale en matière de literie et autres couettes.

 

 

Des processus de fabrication judicieusement préservés…

 

Traversant d’une foulée dynamique la grande cour centrale devant la conduire vers les bureaux de la société, la présidente de la Région était accompagnée de Nicolas SORET, président de la communauté du JOVINIEN et édile de Joigny, de Gilles DEMERSSEMAN, conseiller régional en phase de renouvellement de bail et de Jamilah HABSAOUI, première élue d’Avallon.

La présidente fut accueillie à l’entrée des ateliers par le nouveau maire de Tonnerre, Cédric CLECH, et le secrétaire général de la Compagnie DUMAS, un autre Cédric, dont le patronyme était fort naturellement différent de son voisin, soit PIRES.

Ce dernier expliqua durant de longues minutes sous le chaud soleil estival les fondements mêmes de cette société industrielle de renom, véritable pépite du made in France à l’international.

Employant 45 salariés, DUMAS conçoit des oreillers et des couettes de grand standing dont les processus de fabrication sont secrètement gardés. D’ailleurs, toutes prises de vues photographiques sont formellement interdites une fois pénétré dans le saint des saints de ce paradis des nuitées hôtelières réussies !

Annuellement, il sort plus de deux millions d’oreillers de cette unité de production qui tourne à plein régime ; il y est également produit plus de deux cent mille couettes et vingt mille sur-matelas.

 

 

Un soutien de la Région par le passé d’environ 300 000 euros…

 

Sur un rythme rapide (respect du timing oblige !), le petit cortège se focalisera sur les points principaux de cette fabrication, slalomant entre les machines dont la plus récente (et la plus impressionnante) a été financée avec le soutien de la Région, soit un subside de près de 300 000 euros.

Ce qui fera dire, un peu plus tard, à Marie-Guite DUFAY que « la puissance publique était en capacité de faciliter les investissements des entreprises… ».

Le savoir-faire séculaire de DUMAS n’est d’ailleurs pas prêt de se tarir ; la direction générale a fait savoir que plusieurs projets tant au niveau du développement durable que de la production allaient pouvoir se concrétiser dans un avenir proche.

Précisons que durant la crise sanitaire, la Région a acheté à la société tonnerroise ainsi qu’au spécialiste du chanvre, le voisin GEOCHANVRE à Lézinnes, plus de trente mille masques de protection.

Satisfaites de cette petite heure instructive vécue dans le milieu de la literie de qualité, Marie-Guite DUFAY et sa délégation pouvaient continuer leur programme tonnerrois qui comprenait d’autres rendez-vous.

 

Thierry BRET

 

 


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La messe est dite : ci-gît le bon vieux moteur thermique ! Dans dix ans, tous les constructeurs turbineront exclusivement aux autos électriques. Les pouvoirs publics ont décidé de faire barrage aux méchants carburants et leur sentence est désormais irrévocable.

 

AUXERRE : Chez Ford, Fiat, Volvo, Jaguar, Mini, Bentley et Alpine, la décision est prise : dans dix ans, il n’y aura plus une seule auto thermique au catalogue. Et la grande majorité de leurs concurrents prend aussi la direction menant au « zéro émission ». A l’origine de ce virage foudroyant, les mesures drastiques de réduction des émissions de CO2 à 95 grammes par kilomètre, imposées manu militari par les autorités publiques, quitte à mettre sous perfusion, à coups de fiscalité ultra généreuse, une industrie automobile qui n’a guère d’autres choix. 

 

Mettre la charrue avant les bœufs… 

 

Rouler en électrique ? C’est plutôt magnétisant. Au moins sur le papier : faire du bien à la planète et accessoirement à nos poumons ; ne plus se salir les mains à la pompe à essence (de quoi ravir les filles !) et posséder une automobile à batterie qui réclame moins d’entretien (le rêve pour le porte-monnaie qui n’est pas forcément celui du Faubourg Saint-Honoré) ; profiter d’un couple immédiat à chaque accélération (le plein de sensations !) et bien sûr la réduction des nuisances sonores en ville, associée à une forme de « zénitude » pour le conducteur et les passagers. 

Tout cela est rigoureusement exact et le plaisir de conduire une auto électrique est réel. Seulement, dans la vraie vie, le courant ne passe pas aussi bien. Car le nerf de la guerre, c’est l’autonomie. Et c’est là que ça disjoncte. L’autonomie, elle fond comme une « Häagen-Dazs » au soleil !

Pas le choix, il faut recharger sans cesse. Et pour se gaver de volts, l’heureux possesseur de voiture électrique doit se plier à un véritable jeu de piste, s’il n’a pas la chance de pouvoir se brancher au bureau ou chez lui. Même en ville où la voiture électrique nous est vendue comme idéale, c’est le parcours du combattant. Comment la recharger lorsque l’on vit au troisième étage d’un immeuble ou que l’on bosse dans une Tour de la Défense au 25e ?  

 

 

Born to be alive…

 

Aujourd’hui, 90 % des recharges s’effectuent à la maison ou au travail, mais plutôt en province ou en banlieue. Pour les autres - et ils seront de plus en plus nombreux -, il ne leur reste que leurs multiples cartes d’abonnements aux systèmes de charge pour pleurer. Il en faut huit différentes pour se brancher où l’on veut. Faut-il encore trouver une borne de recharge !

Car sur les 31 000 points de charge disponibles pour le grand public, il faut, outre le dénicher, prier pour qu’il n’y ait pas d’auto déjà branchée dessus, ou qu’elle ne soit pas en panne. 85 % des utilisateurs sont tombés sur des systèmes défectueux d’après une récente étude de l’AFIREF (Association Française pour l’itinérance de la recharge électrique des véhicules). 

Alors, Paris-Marseille en douze heures, ça vous tente ? Et pourquoi pas des vacances sur les aires d’autoroutes ? 

 

La mariée était trop belle…

 

Reste tout de même un gros village d’irréductibles Gaulois qui n’entendent pas succomber à la mode écolo. Pour eux, cet engouement pour les voitures électriques est incompréhensible.

Ils voient bien que les prix des autos électriques sont beaucoup plus élevés (entre 25 000 et 90 000 euros), malgré les aides de l’Etat ; qu’elles sont plus lourdes (à cause des batteries) et surtout que les chiffres promis sur leur autonomie sont bidons.

Contrairement aux apparences, l’électrique consomme beaucoup plus sur route dégagée qu’en ville. Résultat : les 300 km d’autonomie annoncés par les constructeurs peuvent allègrement être divisés par deux sur l’autoroute.

Et encore, par grand beau temps seulement : les premiers frimas, le chauffage, le dégivrage, les essuie-glaces, et autres accessoires énergivores, auront tôt fait de faire baisser la jauge.

Cerise sur le capot, quid des réelles retombées écologiques du recyclage (ou pas) des batteries dont on ne sait rien à ce jour. 

La voiture électrique ? Une jolie mariée qui nous cache bien des défauts…

 

Anne-Charlotte LAUGIER

 


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Le concept se veut original. Il s’adresse aux futurs entrepreneurs de la partie septentrionale du département. Un acte qui est posé en deux temps. Celui d’un pitch afin d’y présenter son projet. Avant ce long mais sans doute fructueux brainstorming d’une durée de trente heures permettant aux neurones de faire tilt en modélisant et en rendant opérationnel ledit concept au terme d’un week-end insolite…

 

SENS : Jamais à court d’idées, la Fabrique à Entreprendre du Grand-Sénonais ! Voilà que la structure animée par Magalie CONTUDEAU TAVARES nous concocte une opération dont elle a le secret à l’attention des entrepreneurs en herbe !

L’action a pour principal objectif de susciter l’émergence de nouveaux projets dont certains ont été menés durant la délicate et interminable période de confinement. Successif, devrait-on ajouter !

 

 

Ce « Start-up Weekend », proposé les 11 et 12 juin, offre à ses participants trente heures de réflexion pour que se concrétise réellement le projet. Ceci étant appuyé par des mentors (les partenaires historiques de la Fabrique à Entreprendre) et la Communauté du Grand-Sénonais.

L’initiative est ouverte aux étudiants mais également aux demandeurs d’emploi. Sans omettre les professionnels, voire des passionnés qui possèdent de la clairvoyance et des idées entre les oreilles !

 

En savoir plus :

On peut s’inscrire par téléphone au 03.86.42.01.10.

Nombre de places limitées

 

Thierry BRET

 


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Tous les salariés en ont rêvé et la pandémie leur a permis de réaliser ce vieux fantasme : éviter les bouchons, le métro, la cantine. Voire ce collègue qui oublie tous les matins de prendre sa douche et le chefaillon qui emploie ses journées à vérifier qu’on ne passe pas notre temps à réserver nos prochaines vacances sur le web ! Mais après un an de télétravail, c’est l’heure de la rentrée : le moment est venu de retourner au bureau…

 

TRIBUNE : Seulement voilà, selon un sondage Opinionways de ces jours derniers, 74 % des Français ne veulent pas y retourner. Les bouchons, le chefaillon et les collègues odorants, c’est niet !

Alors les entreprises et leurs DRH tergiversent. Ils négocient. Du présentiel, il en faut, et du distanciel, leurs salariés en redemandent.

Vient donc le temps de l’entre-deux. Deux jours à la maison et trois jours au bureau, c’est selon. Mais d’autres refusent toujours le télétravail et d’autres encore vont jusqu’à l’autoriser à 100 %. Qui a tort, qui a raison ?

Les dirigeants qui souhaitent du présentiel tout le temps ou ceux qui préfèrent que leurs ouailles restent à la maison, histoire de faire quelques substantielles économies immobilières ?

De fait, tout le monde a raison. Toutes les entreprises le reconnaissent aujourd’hui : la productivité de leurs salariés n’a pas baissé après une année de home working.

Au contraire, les horaires sont devenus élastiques et se sont rallongés. Quant à la capacité de concentration, elle a augmenté puisque le salarié n’est plus dérangé toutes les cinq minutes par Ghislaine de la compta qui veut prendre un café, ou par Thibaut du marketing qui veut absolument raconter les derniers « Gossips » de l’étage du dessus.

A l’inverse, les fans du présentiel n’ont pas tort non plus. Car ils ont bien remarqué qu’avec le télétravail à 100 %, l’imagination et l'innovation étaient en berne. Car ces choses-là se développent en équipe. Lorsqu’un salarié rebondit sur l’idée d’un autre et ainsi de suite. Et ils savent que les visioconférences ne remplaceront jamais les conversations de bureau impromptues, au détour d’un couloir ou à la machine à café.

Pour ou contre, nombre d’entreprises ont choisi de ne pas choisir. Le télétravail partiel devrait perdurer longtemps et tout le monde devrait en être content.

Le chefaillon vérifiera qu’on n'est pas sur Expedia toute la journée à coups de zooms répétés, et peut-être même que le collègue odorant, travaillant à quelques mètres de sa salle de bains, pourra s’y rendre de temps en temps !

 

Anne-Charlotte LAUGIER

 

 


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Malgré la crise sanitaire, la Bourgogne Franche-Comté se positionne à la sixième place des régions françaises en termes d’investissements venant de l’international et à la huitième place au niveau de l’échelle européenne. Malgré la crise sanitaire présente depuis plus d’un an dans l’Hexagone, notre territoire ne s’est pas laissé abattre…

 

DIJON (Côte d’Or) : Selon le dernier bilan annuel publié par « Business France », la Bourgogne Franche-Comté se classe à la sixième place au niveau des régions françaises qui accueillent le plus d’investissements directs en provenance de l’étranger. A l’échelle européenne, celle-ci occupe une méritoire huitième place.

En ayant validé l’accueil de 91 projets en 2020, notre contrée a permis d’entreprendre la création mais aussi le maintien de 1 459 emplois, là où la préservation de ceux-ci était très compliqué du fait de la crise sanitaire.

L’épidémie de la COVID-19 a engendré de la perte d’emploi mais aussi une crise économique et sociale internationale. A contrario, la Bourgogne-Franche-Comté a réussi à garder les chiffres stables.

 

La Région jouit d'une excellente notoriété aux yeux de l’étranger…

 

Grâce à un bond de + 115 % de projets d’investisseurs étrangers qui ont été concrétisés, la Bourgogne Franche-Comté s’était classée à la cinquième place en 2020. Au total, ce sont 48 000 salariés qui sont employés au sein de 800 entreprises internationales dans la région. 

Ces principaux investisseurs proviennent principalement d’Allemagne avec 29 % des projets et 25 % des emplois ainsi que des États-Unis avec 21 % des projets et 36 % des emplois.

Ces investissements internationaux se concentrent notamment au sein de la production où il y a au total 36 % des projets et 38 % des emplois avec également le secteur des points de vente avec 34 % des projets et 36 % des emplois. De plus, les fonctions de la recherche et du développement ainsi que l’ingénierie se joignent aux investissements internationaux en Bourgogne Franche-Comté en comptant 15 % des projets et 11 % des emplois. [1]

Selon l’ORBIS, plus de deux cents dépôts de stockage de ces entreprises étrangères sont situés dans le département de Côte-d’Or. Pour les autres départements tels que l’Yonne, la Saône-et-Loire et le Doubs, c’est entre 100 et 200 entreprises étrangères qui possèdent ce type de structures. Elles concernent de 50 à 100 entreprises étrangères dans la Nièvre et le Jura ; moins de 50 à l’intérieur du département des Haute-Saône et celui du Territoire-de-Belfort.

 

 

La région de Bourgogne Franche-Comté a réussi à évoluer au fil des années aussi bien sur le plan de l’emploi et des projets. En effet, selon le bilan « France 2014-2020 », elle est passée de 31 projets en 2014 à 114 en 2019 puis en 2020, ils sont redescendus à 91 projets.

Selon la présidente de la Région Bourgogne Franche-Comté, Marie-Guite DUFAY : « Parce qu’il y aura une après-crise, il nous apparaît indispensable de maintenir le cap pour être prêts à faire face aux grandes mutations économiques et écologiques de notre époque… ». Du moment que cela soit profitable à la Bourgogne Franche-Comté, bien sûr !

Jordane DESCHAMPS

 

 

[1] https://aer-bfc.com/wp-content/uploads/2021/03/bourgogne-franche-comte_investissements-internationaux-2020.pdf


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