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Cette fois, c’est la bonne ! Après moult pérégrinations et autres atermoiements imputables aux soubresauts de la pandémie, les sociétaires du BNI Migennes (Business International Network) vont enfin retrouver le rythme matinal de leurs réunions régulières, ce vendredi 11 juin dans la salle Valmy qui leur est habituellement attitrée. Des retrouvailles attendues depuis longtemps !

 

MIGENNES : Exit les visioconférences et leurs sempiternelles tracasseries technologiques et sonores, imputables à la faiblesse d’une bande passante réfractaire au bon fonctionnement !

Place désormais aux discussions en vis-à-vis, sous le même toit malgré les sacro-saints principes des gestes barrières et la panoplie de mesures protectionnistes qui vont de pair. Ces dernières devront être respectées avec le doigt rivé sur la couture du pantalon.

Qu’à cela ne tienne : la quinzaine d’adhérents du groupe de networking du Centre Yonne ne boudera pas son plaisir de vivre ce presque retour à la normale d’ici peu. La date est déjà biffée sur tous les agendas. Il s’agit du vendredi 11 juin (la Saint Barnabé !) où dès potron-minet, les organisateurs de la séance de travail peaufineront les ultimes préparatifs de ce rendez-vous.

 

 

Une animation un peu spéciale, il est vrai, telle que l’a confirmé la présidente de la structure associative apparue localement en 2013, Laurianne BELLIER     

« Pour cette reprise, confie-t-elle, qui marque le retour de nos activités en présentiel, nous organisons une réunion spéciale en accueillant des invités… ».

Ceux-ci proviennent de la sphère économique et institutionnelle du cru, terreau à privilégier côté recrutements.

Concept venu d’Outre-Atlantique depuis son éclosion en 1984, BNI aura attendu deux décennies avant de conquérir l’Hexagone. Qui lui rend très bien, par ailleurs, avec un florilège de clubs qui sont répartis aujourd’hui aux quatre coins de notre territoire. L’Yonne recense plusieurs entités où se fructifient les rencontres et le développement des affaires sur recommandations. On en trouve à Sens, Avallon, Auxerre…

 

Thierry BRET

 

 


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Serait-ce une rencontre au sommet, immortalisée par la focale d’un appareil photographique entre ces trois personnages ? Peut-être ! En tout cas, les discussions entre ces représentants de la sphère industrielle, du bâtiment et de la politique se seront prolongées. Longuement ! Il aura été question de perspectives, de chiffres et de projets économiques entre ces trois-là, réunis dans l’une des salles du Pôle environnemental d’Auxerre. Lieu de visite du candidat aux régionales, Denis THURIOT, ce mardi…

 

AUXERRE : Fidèle à lui-même dans l’approche perfectionniste qu’il l’anime, Jean-Marc DENIS s’était préparé à cet entretien avec l’un des prétendants au fauteuil présidentiel de la Région, devant disserter avec lui en ce mardi 01er juin sur les réalités économiques du département de l’Yonne. Et en particulier, sur l’une des facettes industrielles qui en a fait sa renommée : c’est-à-dire la filière de l’aéronautique.

Le représentant de la Maison de l'Entreprise 58/89 avait affûté ses nombreux arguments quelques instants avant ce rendez-vous, en s’isolant dans son automobile afin d’y préparer la somme de ces informations qu’il ne manquerait pas de distiller pour expliquer les origines du groupement GISEAéro.

Un assemblage de composantes entrepreneuriales, faites de sous-traitants et de PME de niche, dans l’une des filières qui aura été la plus en souffrance avec les effets néfastes de la pandémie : l’aéronautique dont l’Yonne est un digne représentant.

En déplacement sur le territoire le plus septentrional de Bourgogne Franche-Comté, la tête de liste de la représentativité présidentielle candidatant aux échéances régionales, le maire de Nevers LREM Denis THURIOT, proposa cette rencontre informelle, très éloignée des sacro-saints principes protocolaires d’usage pour entamer la conversation avec le porte-parole des milieux industriels. Afin de mieux toucher du doigt les opportunités offertes par ce secteur d’activité.

 

 

Devait se joindre dans ce face-à-face courtois et studieux entre les deux interlocuteurs : le secrétaire général de la Fédération départementale du bâtiment Christian DUCHET.

Débuta alors une discussion sur le futur de l’économie au travers ses perspectives et les filières industrielles qui se déploient sur notre territoire. Un entretien devant se prolonger un long moment avant qu’il n’accueille un quatrième intervenant en la personne d’un chef d’entreprise à la tête d’une PME du cru.

Bref : que du grain à moudre en termes de réflexion pour Denis THURIOT qui prit bonne note de toutes ces informations reçues en vrac lui servant sans doute à peaufiner davantage sa feuille de route stratégique sur le volet économique. Utile lorsque l’on brigue le Graal territorial dont c’est l’une des compétences régaliennes, n’est-ce pas ?

 

Thierry BRET

 

 


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Un nouveau type de prêt est ouvert aux petites et moyennes entreprises (PME) et aux entreprises de taille intermédiaire (ETI). Celles qui ont des perspectives de développement dès que la crise de la COVID-19 sera derrière nous. Ces entreprises peuvent y prétendre même si elles bénéficient déjà d’un Prêt garanti par l’État (PGE). Ce nouveau dispositif vise ainsi à apporter de nouveaux financements à long terme, assimilables à des quasi-fonds propres. Explications…

AUXERRE : Les quasi-fonds propres, comme les comptes courants d’associés « stables », permettent d’augmenter la capacité d’endettement des entreprises. Ce nouveau prêt, institué par la loi de finances 2021, est réservé aux sociétés qui peuvent espérer un rebond après la crise sanitaire inhérente à la pandémie.

Le décret du 25 mars 2021 est venu préciser les conditions dans lesquelles la garantie de l’État pouvait couvrir le risque de pertes lié à des prêts participatifs (ou, le cas échéant, des obligations) consentis à certaines entreprises. Sont éligibles au dispositif les entreprises qui répondent aux critères cumulatifs suivants : petites et moyennes entreprises (PME) et entreprises de taille intermédiaire (ETI) ayant des perspectives de développement mais dont la structure de bilan a été affaiblie par la crise ; celles de ces structures qui sont immatriculées en France ; celles qui justifient enfin un chiffre d'affaires supérieur à 2 millions d’euros.

 

Les caractéristiques de ce nouveau prêt participatif…

 

Ces nouveaux prêts participatifs garantis par l’État peuvent atteindre, pour les PME, 12,5 % du chiffre d’affaires 2019 ou pour les entreprises innovantes et celles créées après le 01er janvier 2019, le montant de la masse salariale 2019, si ce montant est supérieur.

Du côté des ETI, cela s’applique à 8,4 % du chiffre d’affaires 2019 de ces entreprises ou, pour les entreprises innovantes et celles créées après le 01er janvier 2019, les deux tiers de la masse salariale 2019, si ce montant est supérieur.

Toutefois, la garantie de l’État se limite à 30 % du montant du prêt. Celui-ci est remboursable sur une période de huit ans, avec un différé de quatre ans. Ce nouveau dispositif sera distribué dès la mi-avril 2021 et pourra être utilisé jusqu’au 30 juin 2022. Il se cumule avec le prêt garanti par l’Etat.

Le montant restant dû au titre du prêt garanti par l’État, cumulé au prêt participatif, ne peut être supérieur à 25 % du chiffre d’affaires 2019 ; ou, le cas échéant, à deux fois la masse salariale 2019 (l’entreprise doit démontrer l’impact de l’épidémie sur son activité).

 

 

À ce titre, l’entreprise devra faire valoir pour 2020 : une baisse de plus de 5 % de son chiffre d’affaires ou de sa masse salariale ; ou une baisse de plus de 10 % de ses investissements ou de son carnet de commandes ; ou encore une diminution de plus de 10 % du recours à la sous-traitance.

Si le prêt participatif soutenu par l’État cumulé au prêt garanti par l’État dépasse 25 % du chiffre d’affaires 2019, le montant du prêt participatif ne peut pas dépasser : 10 % du chiffre d’affaires 2019 pour une PME ou 80 % de la masse salariale 2019 s’agissant d’une entreprise innovante ou d’une entreprise créée après le 01er janvier 2019, si ce montant est supérieur) ; 5 % du chiffre d’affaires 2019 pour les ETI (ou 40 % de la masse salariale 2019 s’agissant d’une entreprise innovante ou d’une entreprise créée après le 01er janvier 2019, si ce montant est supérieur).

 

PGE et prêt participatif : deux orientations distinctes…

 

La procédure d'obtention de ce prêt participatif suppose une analyse fine des capacités de rebond et du potentiel de l'entreprise, un focus sur le projet d'investissement et ses perspectives, une modélisation opérationnelle et financière à long terme qui prendra en compte l'impact positif des investissements. Ces nouveaux produits sont distribués par les réseaux bancaires traditionnels.

PGE et Prêt Participatif ont donc des objectifs différents. Reste à savoir si beaucoup d'entreprises poursuivront les deux objectifs simultanément. En effet, le PGE vise à soutenir la trésorerie des entreprises. Il s'agit d'une aide à court terme, que l'entreprise commence à rembourser à partir de la deuxième année. Le prêt participatif, de son côté, s'adresse aux entreprises qui n'ont pas de difficultés de trésorerie mais souhaitent continuer à investir dans leur développement et peuvent rencontrer des soucis de financement sur le long terme. Par ailleurs, le PGE est pour l'instant accessible jusqu'au 30 juin 2021, alors que le prêt participatif sera ouvert jusqu'au 30 juin 2022.

 

Jean-Paul ALLOU

 

 


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Réduire l’empreinte carbone par le biais d’une économie plus circulaire s’inscrit depuis longtemps parmi les chevaux de bataille de Marie-Guite DUFAY. Un engagement que la présidente de la Région a réitéré dans sa profession de foi de candidate à sa réélection. Profitant d’un déplacement dans l’Yonne vendredi, elle a visité l’entreprise MICHEL SAS, spécialisée dans le recyclage de matériaux issus de la démolition.

AUXERRE : Telle une forteresse de Vauban, la cage métallique remplie de pierres visant à stabiliser le terrain sur lequel sont édifiés les locaux de l’entreprise fondée par Didier MICHEL, fait désormais partie du paysage de la rue Guynemer à Auxerre.

Le remplacement d’un mur de soutènement en béton par une paroi en gabions édifiée au moyen de 400 tonnes de matériaux de démolition recyclés est un choix délibéré. Il s’inscrit dans la politique menée par la PME auxerroise, depuis longtemps, engagée dans la valorisation des inertes et l’économie des ressources naturelles.

Elu en novembre dernier à la tête de l’antenne icaunaise de la Fédération Française du Bâtiment et président de la Commission environnement et développement durable au niveau régional, Didier MICHEL est « tombé dans la marmite » tout jeune, reprenant le flambeau familial : « Le recyclage, j’ai toujours vécu dedans ! Avant moi déjà, mon père en faisait, même si à l’époque, c’était plus pour permettre aux gens de réaliser des économies financières que de diminuer l’empreinte carbone… ». Aujourd’hui, le groupe éponyme emploie près de 140 salariés. Il se développe autour de trois grands pôles : la démolition, la dépollution et le gros-œuvre. Une réussite saluée par la présidente de la région Bourgogne Franche-Comté, qui a visité le siège auxerrois de l’entreprise ce 28 mai.

 

 

Chercher toutes nos matières premières en Chine, pour mieux perdre nos emplois ?

 

Ce déplacement permit à Marie-Guite DUFAY de prendre le pouls de la sphère économique icaunaise, auprès de la trentaine d’artisans et chefs d’entreprises réunis pour l’occasion. Une discussion informelle à laquelle s’est pliée avec plaisir la présidente-candidate, à l’écoute des attentes ou des inquiétudes de chacun.

Si la relance et la reprise d’activité semblent bien au rendez-vous, notamment dans le secteur du bâtiment, les inquiétudes demeurent face à la hausse du coût des matières premières, voire à la pénurie constatée pour certains matériaux. Un sentiment partagé par la présidente de région qui s’en est ouverte la semaine dernière auprès d’Emmanuel MACRON, en déplacement à Nevers : « Une situation qui nous renvoie à la difficulté de disposer chez nous de lieux de production de matières premières alors que l’on va tout chercher en Chine. Avec le risque de pertes de marchés et d’un effet boule de neige sur les sous-traitants dans les mois à venir… ».

 

 

Parmi les autres thèmes abordés, le déficit de notoriété des métiers de l’industrie ou du bâtiment auprès des jeunes : « C’est un problème culturel et ce n’est pas tant par la mise en place de formations que nous le résoudrons. Il nous faut créer des outils beaucoup plus modernes et performants pour les convaincre qu’ils seront heureux dans tous ces métiers, c’est là le nerf de la guerre… ».

A écouter les uns et les autres ce vendredi, le sujet est prégnant. Les tensions particulièrement marquées dans le BTP où, face à des projets d’embauche bien réels, les candidatures se font toujours aussi rares.

 

 

En savoir plus :

Utiliser des matériaux recyclés issus de la démolition s’avère être une réelle opportunité pour l’entreprise MICHEL SAS, sachant que le secteur du bâtiment représente environ 19 % de la production de déchets du BTP, soit 46 millions de tonnes par an, dont près de la moitié provient de la démolition (Sources : Ministère transition écologique).

Le site accueille également tout le matériel nécessaire au désamiantage, qui une fois décontaminé sera réutilisé sur les chantiers, l’amiante étant pour sa part acheminée vers des centres d’enfouissement spécialisés en dehors du département.

 

 Dominique BERNERD

 


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Joindre l’utile à l’agréable n’est pas une chose incompatible pour l’un des leaders nationaux, exerçant dans le domaine des réservoirs de production d’eau chaude et des contenants de stockage tout liquide. Labellisée RSE par l’AFNOR depuis 2020, l’entreprise sénonaise vient de signer une convention de partenariat pour faire de son site de 6,5 ha un refuge de la Ligue pour la Protection des Oiseaux…

 

SENS: Ce n’est pas un hôtel à insectes ordinaire que présente le toujours créatif patron du groupe industriel icaunais Pascal CHAROT ! Ce serait plutôt le modèle cinq étoiles, version grand luxe avec des services « all exclusive » à tous les étages pour ces bestioles qui virevoltent dans le ciel !

A deux pas de l’unité de production qui emploie près de cent cinquante collaborateurs conquis unanimement par l’initiative, trône cette majestueuse construction de bois où viennent se camoufler des myriades d’insectes vrombissants. Le jardin d’Eden ou presque pour ces insectes fréquentant les lieux qui ne manqueront pas ensuite de servir de nourriture très appétissante aux oiseaux alentours !

Le groupe CHAROT a donc choisi de verdir son image et surtout son environnement depuis l’année dernière, grâce à la signature de la labellisation RSE (Responsabilité sociétale de l’entreprise) dispensée par l’AFNOR. Une initiative que souhaitait accomplir depuis longtemps le dirigeant de la société, Pascal CHAROT.       

Il y a peu, le 26 avril, l’industriel apposait sa griffe au bas d’un document le liant via une convention partenariale avec la LPO, la Ligue pour la Protection des Oiseaux. Objectif : faire de ce site de 6,5 hectares un refuge pour les volatiles.

Conséquence, le fabricant de ballons d’eau chaude sanitaire et de réservoirs de stockage en acier et inox ne s’est pas fait prier pour installer une douzaine de nichoirs et de mangeoires, çà et là parmi ses espaces verts ; en y ajoutant une première mare artificielle qui en appelle déjà l’implantation d’une seconde, et de cet hôtel à insectes si spacieux. Une initiative intelligente et environnementale qui a vu la participation des salariés de la société !

 

 

 

Une idée fédératrice qui a débouché sur la création d’une cellule…

 

Moyennant une enveloppe budgétaire de dix mille euros (une broutille pour une PME qui réalise plus de 25 millions d’euros de chiffre d’affaires annuel), le groupe CHAROT joue avec enthousiasme et jubilation la carte de la préservation des espèces.

D’autant que les diagnostics liminaires fournis par la LPO reflètent de la pertinence de l’initiative : un troisième inventaire aviaire réalisé il y a peu fait état de la présence de vingt-cinq profils différents d’oiseaux dont, et c’est une très belle surprise, le repérage du serin « Cini », très peu répertorié dans notre région.

Fédératrices au plan de la communication en interne, les préconisations environnementales de CHAROT ont même abouti à la création d’une cellule ad hoc qui réfléchit à l’apport de nouvelles idées devant s’effectuer par la suite.

Ainsi, outre l’implantation d’une deuxième mare n’accueillant pas de poissons pour laisser libre cours à la reproduction d’insectes, devant sustenter les oiseaux, des projets de plantations d’arbres fruitiers sont dans les cartons.

Bref, cette quête à la biodiversité retrouvée, très utile pour le développement des espèces animales et végétales, s’est également propagée parmi les collaborateurs du groupe.

Une douzaine d’entre eux sont dorénavant devenus refuges LPO à titre personnel en accueillant nichoirs et autres mangeoires pour oiseaux.

La création d’un biotope n’est donc pas inconcevable avec les activités purement industrielles d’une structure comme CHAROT. Une initiative judicieuse qui pourrait bien faire des émules dans le landerneau.

 

Thierry BRET

 

 


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