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La Région Bourgogne Franche-Comté a pris la décision au terme de sa séance plénière du vendredi 12 octobre de décréter un plan d’urgence de dix millions d’euros en faveur des agriculteurs victimes de la sécheresse. La situation est catastrophique pour de nombreux éleveurs et céréaliers. Le président de la chambre consulaire des milieux agricoles nous livre lors d’un entretien sa perception de cette actualité…

AUXERRE : Quels sont à chaud à vos réactions à la suite de cette annonce ?

Le premier semestre 2018 a été favorable à la constitution de réserve pour affourager les animaux pendant l’hiver. Malheureusement, la sécheresse qui sévit depuis fin juin a empêché une pousse normale de l’herbe et a obligé les éleveurs à utiliser depuis juillet les réserves hivernales. Ces réserves détournées de leur usage premier s’avèreront vite insuffisantes. Le recours à l’achat d’aliment sera nécessaire. Les responsables de la Région Bourgogne Franche-Comté ont décidé en session de venir en aide aux éleveurs à hauteur de 10 millions d’euros. Cette décision devrait également impliquer les départements.

C’est une initiative qui est perçue positivement. Est-elle suffisante ? Non, mais c’est un effort à forte portée symbolique.

Le département de l’Yonne fait partie  des régions les plus touchées. Hormis la vigne et l’arboriculture, cette sécheresse touche toutes les productions qui sont sensibles aux aléas climatiques. Les cultures récoltées à l’automne ont particulièrement souffert et les rendements sont souvent très mauvais (tournesol, maïs, betterave, etc.). Là aussi, les éleveurs ont peiné à constituer des réserves d’ensilage de maïs pour nourrir leurs animaux. Aucun modèle d’agriculture n’est épargné. C’est aussi une mauvaise année pour les producteurs Bio. La récolte 2019 est déjà impactée, la sole de colza va représenter de 20 à 30 % d’une année normale. Les assolements vont être très perturbés.

La sécheresse qui perdure depuis plusieurs mois dans notre pays concerne principalement les zones centrales et orientales de la France. Quel est réellement la situation en Bourgogne Franche-Comté ? Et dans par extension sur le département de l’Yonne ?

En l’absence d’herbe, les éleveurs sont contraints soit de rentrer prématurément leurs animaux soit de les nourrir au champ et les abreuver régulièrement. Les céréaliers travaillent leurs terres dans de mauvaises conditions, l’impact sera réel pour les mois à venir.

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Trouver un équilibre équitable entre les différents protagonistes…

Pensez-vous que ce plan d’urgence soit adapté à la réalité de la situation ? Rappelons que 5 millions d’euros contribueront à des soutiens directs auprès des exploitations ; le reliquat étant affecté au financement de nouveaux bâtiments servant à accroître les capacités de stockage du fourrage…Aurait-il fallu davantage d’argent pour subvenir aux besoins actuels des agriculteurs ?

Le plan d’urgence qui concerne les éleveurs de ruminants se divise en deux parties. Un plan d’urgence de 5 millions d’euros et un plan d’investissement de 5 millions d’euros lui aussi. La règle de répartition de cette aide n’est pas arrêtée à ce jour. La profession est sollicitée pour permettre la mise en place de priorités pour éviter un mitage de l’enveloppe. Ce n’est pas le plus facile que de trouver une règle équitable entre les départements et entre les éleveurs. La Région a répondu rapidement à la demande de la profession. Quel sera le délai entre la décision prise politiquement et l’arrivée de cette aide sur le compte de l’éleveur, nul ne le sait à ce jour.

Cette intervention publique concernera la Région et les Départements. Un avis sur ce choix stratégique ?

L’intervention publique concernera également les Départements. Quelle sera la position du Conseil départemental de l’Yonne qui aurait accepté de contribuer ? Je n’ai pas la réponse à ce jour. Des Départements s’étaient positionnés avant la Région en Bourgogne Franche-Comté. Dans un positionnement régional, il est logique que les départements se saisissent de cette demande.

Mobiliser toutes les énergies régionales et nationales pour aider la profession…

Que faudra-t-il faire à l’avenir si les canicules à répétition persistent dans notre pays ?

Les aléas climatiques se répètent souvent. Changement climatique ou pas, on ne peut pas solliciter régulièrement des plans d’urgence. Il faut que l’agriculture intègre cette réalité et s’inscrive dans un plan de progrès pour faire face à ces aléas. Le bureau de la Chambre régionale de Bourgogne Franche-Comté a décidé de s’inscrire dans cette logique en validant récemment un PACTE (Plan d’Adaptation au Changement climatique sur les Territoires). Les Chambres d’Agriculture doivent s’inscrire dans une politique de collecte de références, de recherche, de formation pour accompagner les agriculteurs. Elles doivent mobiliser les énergies au niveau régional et national pour donner une vision à l’agriculture et redonner de l’optimisme aux agriculteurs trop souvent démoralisés.


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Alors que la Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Yonne connaît une recrudescence d’activités au plus près du terrain et au service des entrepreneurs depuis la fin du mois d’août, le président de l’institution consulaire prend le temps de se poser entre deux manifestations en analysant la situation économique des filières entrepreneuriales en ce début de saison. Un constat à géométrie variable, plutôt mi-figue, mi-raisin…

SENS : Débordant d’énergie et toujours dans une dynamique combative en faveur des entreprises de notre territoire, le président de la Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Yonne a pris le temps de nous accorder un entretien, lui permettant de commenter à chaud l’actualité économique dans l’Yonne. Un état des lieux réalisé quelques semaines après la reprise officielle des activités.

« Nous observons des signes conjoncturels favorables à la ré-industrialisation des sociétés françaises, explique-t-il, en citant en exemple la visite de trois PME effectuées il y a quelques jours sur le département, les carnets de commande repartent à la hausse et tout irait pour le mieux à une nuance près, si la récurrente problématique de l’emploi et les difficultés inhérentes liées au recrutement étaient une fois pour toute réglées…Ce qui est loin d’être le cas ».

Nonobstant, cette embellie (sera-t-elle passagère ou durable ?) profite tout de même à certains secteurs d’activités. Et le président de la CCI de l’Yonne de citer en priorité les entreprises de service ; celles qui se positionnent sur les marchés porteurs de l’entretien et du nettoyage, de la sécurité, voire de l’intérim.

« Je constate que les entreprises de transport et logistique se portent mieux qu’à une certaine époque, ajoute Alain PEREZ, de nombreux postes en CDI sont d’ailleurs à pourvoir à l’heure actuelle. Mais, là-aussi, les responsables des ressources humaines éprouvent la plus grande difficulté de trouver chaussure à leur pied au niveau du personnel qualifié… ».

Le commerce plombé par la baisse du pouvoir d’achat…

Livrant une photographie instantanée sur le commerce, Alain PEREZ s’est montré davantage pessimiste. « Le secteur est en pleine souffrance en particulier dans les cœurs de ville. Certes, l’effet Coupe du monde de football, courant juillet, a impacté quelque peu la vente d’articles de l’électroménager (téléviseurs). Mais, cela est resté très éphémère dans le temps ».

La continuelle érosion du pouvoir d’achat tient la corde des explications fournies par le président de la chambre consulaire départementale. « On sent une vraie crise consumériste en France et malheureusement, ce sont les commerces indépendants qui en font les frais en priorité ».

Reste le bâtiment. La filière accuse près de dix ans plus tard encore les secousses de la fameuse crise immobilière née aux Etats-Unis.

« Beaucoup d’entreprises du BTP sont confrontées à l’absence de main d’œuvre et ne peuvent honorer convenablement leurs chantiers, renchérit Alain PEREZ, les observateurs que nous sommes attendons la publication des chiffres sur le deuxième trimestre. Il semblerait que ces indicateurs statistiques soient moins bons qu’en début d’année. Ce qui n’a rien d’étonnant en soi avec une commande publique devenue atone du fait des restrictions drastiques qui sont imposées aux collectivités territoriales… ».

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Où sont les 9 % de demandeurs d’emploi en France ?

Mais, le sujet d’inquiétude actuel du président PEREZ concerne l’inadéquation symptomatique entre l’offre et la demande en matière d’emploi. Nombreuses sont les entreprises industrielles, mais cela s’étend aussi à d’autres filières, qui disposent de postes en CDI à pourvoir de suite mais ne trouvent pas de candidats sérieux à mettre en face.

« C’est une véritable source de préoccupation », confie le président de la Chambre de Commerce et d’Industrie, irrité par un environnement non maîtrisé de notre société qui pénalise en bout de course les créateurs de la richesse en France, les entrepreneurs.

Alors que la vision de l’entreprise auprès des jeunes générations a évolué (« les mentalités ont changé, avec les Y qui intègrent les structures professionnelles en désirant se servir plutôt que de donner »), Alain PEREZ conserve une note d’espoir.

« La Chambre de Commerce et d’Industrie demeure très active dans la mise en place de liens ténus et consensuels pour favoriser l’alternance et l’apprentissage qui conduisent ensuite à l’intégration directe parmi nos entreprises artisanales, commerciales et industrielles. La signature d’une charte en faveur de la promotion des formations courtes et de l’apprentissage, portée par la préfecture de l’Yonne, représente une étape encourageante pour permettre aux jeunes gens de s’orienter vers cette voie de l’excellence pédagogique… ».

Une solution à préconiser dès que possible pour satisfaire le besoin en recrutement des entreprises de la région et relancer très vite la machine économique en termes de production et d’attractivité…


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Dirigeante de PME, Nathalie SABIN crée à 29 ans ce qu'on n’appelait pas encore une start-up et devient une référence nationale dans le domaine très technique du Data Management. Dans le domaine exigeant de la santé et de la statistique, elle se construit un réseau solide et développe de nombreux projets avec le souci de la réactivité et d'un service client de haut niveau.

CHRONIQUE : Experte auprès de grands noms de la santé, elle est aussi un manager qui a vécu les étapes de création, de croissance, de cession et de rebond. A la lecture de sa carrière, elle nous propose un angle original : celui de « L'intime conviction ».

Nathalie, votre parcours a été marqué par des moments « d'intime conviction »". C’est-à-dire ?

Je suis convaincue qu'à tout problème, il existe une solution. Mais que, quand au moment de décider,  on ne ressent pas cette intime conviction, c'est le signe qu'on n'est pas encore allé au bout du problème. C'est devenu chez moi indispensable pour toute décision importante (un problème mineur peut se résoudre de façon rationnelle).

Quel processus vous permet d’être « intimement convaincue »?

D’abord, je dois identifier le plus précisément le cœur du problème. A ce niveau, j'ai identifié les peurs. Celles qui m'empêchaient jusque-là une bonne perception. Ensuite, c'est la place du silence (ou du ressourcement) car les bonnes idées, chez moi, viennent dans le silence. L'agitation génère plutôt des réactions. Je m'assure alors qu'elles sont bien en adéquation avec  mes besoins, mes envies...

Et le résultat de ce processus ?

Je ressens un état de sérénité, d’apaisement (plus  de peur, plus de doute). Cela ne veut pas dire que ce sera facile, mais que j'y vais  en confiance et que je ne regretterai pas la décision. En même temps, je me sens engagée dans un challenge, un défi qui me  motive.

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L'intime conviction testée lors de trois expériences…

Lorsque j'ai créé  ma société, j'ai mis du temps à  identifier clairement  mon objectif, à ce que toutes les peurs soient  identifiées, que le vrai cœur du problème ait été atteint. Bref, que je suis convaincue que cette  solution était pour moi la meilleure et qu'elle me correspondait. Ensuite j'ai « appuyé sur le bouton » avec détermination.

Quand un partenaire me propose de participer au développement d'un software. Je devais miser  50 % du budget de développement. Je n'avais pas ce budget. En 24 heures, l'intime conviction m'est apparue. C'était une évidence. Sans l'expertise technique informatique, sans le budget, sans expérience, ce projet m'a allumée. Je SAVAIS pourtant que ce choix était le seul. Contre-exemple : la vente de parts à un associé en plein doute et sans conviction est une décision que j'ai payée cher pendant plusieurs années…

16H44 : l'application en expérimentant la conviction de l'invité

Lors de votre prochaine prise de décision importante pour vous (choix  d'un  associé, recrutement d'un collaborateur clé, investissement...) :

  • Allez jusqu'au bout de l'identification du  cœur du problème. Assurez-vous  que le problème a été cerné dans toutes ses composantes,
  • Intégrer vos attentes, vos envies. Soyez sûr que vous avez synchronisé votre solution avec vous et  vos convictions,
  • Prenez  le temps du silence, en vous retirant de l'agitation,
  • Pour savoir si vous avez atteint le cœur :
    • Ai-je encore des peurs ?
    • Ai-je encore des doutes ?
    • Ai-je encore des zones d'ombre ?
    • Est-ce que tout est limpide ?
  • Alors retardez votre décision ou ...
  • Décidez et lancez-vous ! Et expérimentez la force de votre conviction et l'énergie qu'elle dégage !

Ludiwine EVRARD et Philippe CARPENTIER


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En matière de consommation d’énergie, les collectivités doivent elles-aussi se mettre au diapason de la réalité environnementale. Et de la maîtrise de leur budget tout en garantissant un service de qualité à leurs administrés. Selon différents scénarii qui ont servi de trame de réflexion lors des nombreux débats ayant ponctué ce huitième rendez-vous d’une riche intensité. Déclinées par le Syndicat départemental d’énergies de l’Yonne (SDEY), ces assises annuelles de belle facture intellectuelle ont une nouvelle fois rempli leurs missions. Celles de présenter des solutions concrètes aux élus afin d’anticiper la saine gestion de la consommation énergétique de demain…

MONETEAU : Consacrées au principe de l’autoconsommation d’électricité, les huitièmes assises du Syndicat départemental d’énergies de l’Yonne font figure chaque année à pareille époque de laboratoire grandeur nature. Un think tank à dimension humaine au service des communes de notre territoire.

L’organisme présidé par Jean-Noël LOURY (voir son intervention) a une fois de plus réussi son pari. Faire salle comble dans le complexe du Skénet’Eau. Soit une jauge de plus de trois cents personnes qui, pour la plupart, étaient issus des rangs des élus communaux et territoriaux.

Certains étaient également accompagnés de techniciens. Celles et ceux qui sont concernés directement par la maîtrise de la consommation électrique à l’heure du développement durable et des enjeux environnementaux liés à la sauvegarde de la planète.

Comme devait le marteler à maintes reprises le président du syndicat, « nous construisons ensemble l’Yonne énergétique de demain ». Un avis ô combien partagé par l’édile de Monéteau, vice-président du Conseil départemental, Robert BIDAUT, qui avait le plaisir d’accueillir une nouvelle fois cet évènement prospectiviste dans sa finalité.

Plusieurs interventions, entre débatteurs de bon aloi, permettaient de pointer du doigt des sujets devant faciliter la transition énergétique des communes à plus ou moins longue échéance. En particulier, l’optimisation énergétique, un nouveau service dorénavant apporté par les services du syndicat départemental icaunais.

Que ce soit de petites localités ou des agglomérations de plus grande importance, chaque responsable, à leurs têtes, doit aujourd’hui se poser les bonnes interrogations. Comment faire baisser sa facture énergétique en ne remettant pas en péril la qualité du service ?

L’accompagnement des communes : la priorité du SDEY…

Le syndicat de la Bourgogne septentrionale développe depuis plusieurs mois un nouveau service dont sont bénéficiaires ses adhérents. L’apport instructif de deux conseilleurs en énergie partagés a permis d’identifier une dizaine de communes, prêtes à franchir le cap de la consommation énergétique autrement. Un bilan énergétique aura convaincu leurs élus d’appréhender différemment sur cette ligne budgétaire importante de leur budget. « Optimiser sa consommation énergétique, c’est surtout identifier la manière dont on peut réaliser des économies », devait préciser Jean-Noël LOURY.

Partant du postulat, confirmé par les résultats d’un sondage national, que l’idéal de vivre en zone rurale était partagé par 81 % de nos concitoyens, le président du Syndicat départemental d’énergies de l’Yonne affirma avec volonté qu’il était nécessaire de disposer d’un territoire champêtre moderne. « 56 % des Français considèrent par ailleurs qu’il y a un très net déclin dans les campagnes au niveau des équipements technologiques », devait-il souligner ensuite.

Investir dans les réseaux intelligents…

Depuis que le syndicat ne forme plus qu’une seule et unique entité fonctionnelle à la suite du regroupement des 23 syndicats d’électrification, le SDEY n’a de cesse de se préoccuper de l’aménagement du territoire de l’Yonne. Dès lors, différents réseaux dits intelligents y ont été déployés. A l’instar de l’installation des 115 bornes de charges pour les véhicules électriques ou depuis peu de l’auto-partage, une procédure mise en place sous la forme d’un service public par la commune de Perrigny sur Armançon. Sans omettre l’autoconsommation d’électricité.

Ces assises annuelles auront démontré la vitalité de ce syndicat d’énergies qui n’est, grâce au professionnalisme et à l’expertise de ses nombreux collaborateurs, jamais à court d’idées. Ni de projets…


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 Le service commercial de l’agence de développement Yonne Tourisme effectue le déplacement durant trois jours dans la ville francilienne au célèbre château. Objectif : convaincre près de deux cents clubs, associations et autres professionnels du tourisme de la pertinence de l’offre initiée dans la Bourgogne septentrionale…

AUXERRE : Durant trois journées, du 17 au 19 octobre, le service commercial Yonne Réservation sera à pied d’œuvre en Ile de France pour y vanter les curiosités de notre département.

La 14ème Rencontre nationale des « Destinations Groupes » qui accueille plus de deux cents influenceurs des voyages touristiques collectifs permettra aux professionnels de l’Agence de développement économique icaunais de présenter les nombreux trésors de notre patrimoine.

Il s’agira aussi de dévoiler le contenu de la nouvelle brochure, édition 2019, destinée aux groupes de touristes. Et de poser les jalons de programmes à concocter sur mesure.

La brochure, tirée à 13 000 exemplaires en français, présente une sélection de vingt-cinq destinations et séjours gastronomiques, festifs et culturels pour découvrir et apprécier le département de l’Yonne. Cet opuscule est distribué auprès de prospects et clients francophones, tout au long de l’année, ainsi que sur les salons professionnels.

Pendant ces trois journées, quarante-deux services de réservation proposant la commercialisation d’une offre d’excursions et de séjours pour groupes prendront part à ces échanges, organisés par Tourisme & Territoire, le réseau national des destinations départementales (ADT).


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