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La Suède vient de virer à droite. Les élections législatives organisées dans ce pays ont même confirmé la banalisation de l’extrême-droite incarnée par le chef du parti des Démocrates Jimmie AKESSON. Quant à l’Italie, elle vient elle-aussi de basculer à droite, avec sa figure de proue, Giorgia MELONI qui semble prendre désormais ses distances avec les deux personnalités embarrassantes de sa coalition, Silvio BERLUSCONI et Mattéo SALVINI…

TRIBUNE : Les partis traditionnels sont dans la déshérence totale. Si nous prenons le cas de la France : on y trouve une droite classique, incapable de créer l’unité autour d’un leader charismatique ; un Parti socialiste qui ne se remet pas de l’époque HOLLANDE ; le Parti communiste en chute libre et des Verts plus soucieux de la déconstruction de notre culture ou des corridas que de l’inflation.

Face aux constats d’insécurité permanente, de non-maîtrise de l’immigration, de la violence à l’école ou dans la rue, le changement radical se profile. Aujourd’hui, on trouve en présence des formations qui naviguent un peu à vue entre la droite et le centre droit et qui rassemblent des gens, qui sur des questions sociétales, ne sont pas d’accord.

 

Un pour tous, et Dieu pour personne !

 

Face à ces partis de droite, c’est assez facile de présenter un projet politique orienté sur deux ou trois items, qui sont grosso modo la sécurité, la loi et l’ordre, l’identité via l’émigration afin de réaliser un carton dans l’électorat. Cerise sur le gâteau : les partis de gauche ou d’extrême gauche ont appelé à voter Emmanuel MACRON au deuxième tour des dernières présidentielles. De quoi alimenter le découragement des Français !

Dans une majorité de pays d’Europe, c’est la technocratie à tous les étages, la perte du pouvoir et de l’autonomie de décision au profit de choix subits et assénés par une Ursula Von Der LEYEN, présidente de la Commission européenne, qui sans aucune légitimité électorale distribue des mauvais points à celles et ceux qui votent à l’extrême droite, qui exige le financement de l’effort de guerre ukrainien, et qui, très récemment, a fait interdire aux parents de punir un enfant en l’envoyant dans sa chambre ! Elle inspire de la méfiance et son discours est très politisé. Madame Von Der LEYEN roule pour qui ? Pour l’Allemagne ?

Quant à la Hongrie et la Pologne, ces nations séduisent de plus en plus de pays en Europe. Leur politique face à l’immigration est déconnectée des décisions européennes. Aujourd’hui, les Etats veulent plus de libre arbitre vis-à-vis du centralisme européen, et plus d’autonomie dans les décisions. Au final, seul le président Emmanuel MACRON veut jouer la carte européenne face aux autres pays qui priorise leurs intérêts avant tout. Un pour tous, et Dieu pour personne !

 

 

 

Droite et extrême droite : où sont les différences ?

 

Nous ne sommes pas encore à un mariage entre les Républicains et le Rassemblement National. Mais sur le plan des idées, nous ne sommes pas loin du PACS ! Les politiques sécuritaires, la lutte contre « l’islamo-gauchisme » ou la « créolisation » du pays version MELENCHON commence à faire des émules chez certains membres des Républicains.

Qu’il s’agisse de la France ou de l’Italie, aucune atteinte à la démocratie n’est à souligner. La position hongroise est contestable mais nous sommes loin des régimes totalitaires de MUSSOLINI, de FRANCO ou de STALINE. En France, le fameux « Front Républicain » ne marche plus. Marine Le PEN s’est complètement banalisée, c’est clair : elle veut gouverner et son intérêt est de respecter les institutions. Aujourd’hui, droite et extrême droite se fondent dans le creuset des intérêts nationaux et des Français. Nous devons faire attention aux poussées populistes qui récoltent des voix en proposant le rejet de la différence !

Se passer de l’aval de l’Europe dès que l’on souhaite éternuer !

Le principe de subsidiarité consiste à réserver uniquement à l'échelon supérieur – ici l'Union européenne (UE) – ce que l'échelon inférieur – les États membres de l'UE – ne pourrait effectuer que de manière moins efficace. Le principe de subsidiarité vise à s'assurer qu'une action européenne est justifiée par rapport aux possibilités qu'offrent les échelons nationaux, régionaux et locaux. Il a notamment été conçu pour éviter l'éloignement des lieux de pouvoir, lorsque cela ne permet pas de gagner en efficacité.

Ce principe, bien cadré dans le traité de Lisbonne, doit nous permettre de nous recentrer sur les exigences nationales et l’autonomie des décisions. C’est aussi sur ce principe que Giorgia MELONI avait axé son discours électoral. Il faut la volonté d’agir dans l’intérêt de la nation. Se passer de l’aval de l’Europe dès que l’on souhaite éternuer, c’est donc possible ! Il faut juste démontrer que le niveau supérieur, l’UE, est moins pertinente que notre solution. Nous avons bien un KISSINGER ou un TALLEYRAND dans nos ressources humaines pour faire valoir notre bon droit !

Nous vivons une période trouble, certains pensent qu’il faut un régime à poigne, une autorité centrale pour venir à bout du désordre ambiant… D’autant plus dangereux que l’inculturation est prégnante.

Quand on n’a pas les mots, il reste hélas les poings ou les armes ! Je ne vise personne…Suivez mon regard…

« Ainsi commence le fascisme. Il ne dit jamais son nom, il rampe, il flotte, quand il montre le bout de son nez, on dit : C'est lui ? Vous croyez ? Il ne faut rien exagérer ! Et puis un jour on le prend dans la gueule et il est trop tard pour l'expulser. »  Françoise GIROUD.

Jean-Paul ALLOU

 


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Sortir d’une « pseudo » zone de confort la personne touchée par la maladie. En n’hésitant pas à lui faire prendre des risques, parfaitement maîtrisées, en terme d’image pour qu’elle puisse réaffirmer son goût en la vie. Oser, aussi, dévoiler une partie de son anatomie, abîmée par la pathologie en la sublimant de couleurs vives et chatoyantes. De cette rencontre puissante et ô combien riche en chaleur humaine, l’artiste peintre-photographe et plasticienne Silvana VUCIC ressortira totalement chamboulée. Le fruit de son travail illustre l’exposition « Femme au Corps », dévoilée ce vendredi à Sens…

 

SENS : Au-delà de l’incommensurable tristesse qui se lit dans la profondeur des yeux de ce modèle qui prend la pose, subsiste une lueur d’espérance. Une sensibilité à fleur de peau qui ne peut que nous faire dresser les poils de l’épiderme. Fragile, certes, mais toujours combattive pour mieux lutter contre ce fléau qui pourrit l’existence !

Du courage, il en aura fallu pour ces femmes, au nombre de six, qui se sont livrées volontairement à cette expérience si originale et résolument artistique.

Unique et presque irréelle, en somme : devenir elles-mêmes, au-delà des souffrances physiques et psychiques endurées au fil des mois par leurs corps et dans leurs âmes, des êtres de beauté, à l’esthétisme affirmé par les coups de pinceaux judicieux de l’artiste et la mise en lumière toute en finesse de la photographe.

 

 

Se mettre à nue pour montrer une autre facette de soi-même…

 

Au total, ce sont vingt-quatre prises de vue, aux lignes épurées, tellement naturelles qui vont être soumises à l’appréciation curieuse des visiteurs de cette exposition dont le vernissage officiel se déroulera ce vendredi 28 octobre au terme de l’après-midi, dans le bel espace de la salle de la Poterne à Sens.

Vingt-quatre clichés qui confèrent de la magnificence à ces femmes de tout âge et de toute condition, égales face à l’adversité et à la maladie. Des femmes qui ont osé transgresser les règles coutumières de la pudeur. Se mettant à nues pour renvoyer une autre facette d’elles-mêmes. Pas à la manière de Narcisse se contemplant altière devant le miroir mais différemment, comme si elles voulaient se montrer dans la plus simple des expressions corporelles. Renvoyant au passage ce message fort de l’espérance et de la victoire sur le mal…

 

 

Une renaissance vécue de l’intérieur qui s’étale sur les clichés…

 

L’expérience a été vécue intensément par l’artiste elle-même. Une Silvana VUCIC, d’ordinaire adepte de l’esthétisme magnifié par la pratique du body painting (la peinture sur les corps) et de la photographie « underground » où parfois brûle dans ses œuvres décalées l’impétuosité tangible d’une libération sexuelle établie, bien loin des convenances pudibondes habituelles.

Ici, dans le cas présent, le résultat fait fi d’un quelconque voyeurisme de mauvais aloi, laissant la place à la rêverie, à l’émotion, à la sensibilité, à une renaissance, en somme vécue de l’intérieur.

On sent la bienveillance attentionnée de l’artiste qui aura travaillé patiemment avec ses mannequins en y mettant les formes et le fond. En les bousculant gentiment, afin de leur extraire la peur indicible qu’elles pouvaient avoir en elles, lorsqu’il fallait prendre la pose et être enduites de ces peintures si salvatrices pour le moral.

 

 

Une fresque de huit mètres carrés pour tirer un trait sur la « dictature des beaux seins »…

 

Créer des capsules de joie et des pépites de bonheur au détour de différentes thématiques (florale, exotique…) était la vocation première de cette expérience visuelle très forte à vivre émotionnellement pour Silvana. Un ressenti partagé par les autres acteurs de ce concept si décapant.

Quatre personnes se sont en effet investies dans cette action de sensibilisation du dépistage du cancer du sein portée par la Ligue contre le Cancer de l’Yonne.

Outre l’artiste auxerroise qui aime aussi jouer avec le feu dans sa déclinaison concrète de l’art, on notera la participation d’une photographe – l’excellente Séverine CANESTRARO originaire de Sens qui aura usé de ses objectifs pour immortaliser les plus belles expressions de ces sujets -, une coiffeuse ainsi qu’une esthéticienne.

En sus de ces portraits éblouissants de vie, le public aura l’opportunité de (re)découvrir la fresque de huit mètres carrés, baptisée « Stand’Art », composée d’une série de soixante visuels captés en 2019.

Ce sont des images de femmes dévoilant leurs poitrines afin de couper court à la « dictature des beaux seins » - clin d’œil malicieux en lien avec la maladie- comme se plaît à le préciser l’artiste d’origine serbe. Une fresque de seins anonymes qui donne du sens à cette exposition éphémère.

 

 

En savoir plus :

Exposition Photographique « Femme au Corps »

Soirée événementielle dans le cadre d’Octobre Rose avec la Ligue contre le Cancer de l’Yonne

Salle de la Poterne

19, boulevard du 14 juillet

89100 Sens

Vernissage à 18 heures.

 

Thierry BRET

 

 


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Elle porte bien ses 74 printemps et sait distribuer du bonheur à ses visiteurs. Ils étaient nombreux à déambuler dans les rues de Chablis ce dimanche, verre en main, venus faire la fête et honorer de belle manière les trésors de l’appellation. 

 

CHABLIS : Flambée des prix, guerre en Ukraine, réchauffement climatique, avenir incertain…l’actualité anxiogène de ces derniers mois pèse lourd dans les esprits et les occasions de faire la fête sont, suffisamment rares, pour ne pas en manquer une. Tous les éléments étaient réunis ce week-end à Chablis pour qu’elle soit belle et elle le fut !

Températures printanières, soleil radieux, vins d’excellence et bonne humeur généralisée ont marqué cette 74ème Fête des vins, d’autant que le millésime 2022 s’annonce déjà des plus prometteurs, tant en quantité qu’en qualité, conjuguant un bel équilibre entre richesse en sucre et acidité. De quoi redonner le sourire aux vignerons échaudés par les multiples aléas climatiques de ces dernières années.

 

 

De nouvelles perspectives avec la Cité des Climats des Vins de Bourgogne et le domaine de Pontigny…

 

Après le traditionnel défilé dominical dans les rues sous les cuivres de l'harmonie des « Enfants de Chablis » s’est tenue la non moins traditionnelle cérémonie d’intronisation de nouveaux impétrants au sein de la confrérie des « Piliers Chablisiens » en ce lieu d’exception que sont les jardins du Domaine Long-Depaquit.

L’occasion pour le président de l’Office de Chablis Patrice VOCORET de dévoiler d’autres bonnes nouvelles, en dépit de difficultés d’approvisionnement et de hausse des prix des matières premières : « le vignoble exporte les deux tiers de sa production et grâce à ce millésime 2022, nous allons pouvoir repartir sur les marchés, avec un chiffre d’affaires toujours en augmentation… ».

D’autres raisons d’espérer, avec un retour des touristes tant attendu et la mise en place de nouvelles structures : « le rachat récent du Domaine de Pontigny ainsi que l’ouverture prochaine de la Cité des Climats des Vins de Bourgogne nous ouvrent de nouvelles perspectives… ».

Que la fête continue et qu’elle dure longtemps, très longtemps !

 

 

Propos entendus…

Marie-José VAILLANT, maire de Chablis : « mon petit doigt m’a soufflé tout doucement, mais il m’a soufflé quand même, que la flamme olympique pourrait bien passer par Chablis… ».

Patrick GENDRAUD, président du Conseil départemental : « Ici à Chablis, on sait recevoir, il pleut la nuit et il fait beau le jour… ».

André VILLIERS, député de l’Yonne : « le mot Chablis à l’étranger est un sésame, comme l’est Vézelay, je ne veux pas oublier l’endroit d’où je viens et fait s’éclairer les visages, c’est dire combien il participe à l’attractivité du territoire… ».

Yvon VOCORET, grand architrave des « Piliers Chablisiens » :
« Monsieur le Préfet, on vous a dit qu’on allait vous passer sur le gril, mais comme y’a pas longtemps que vous êtes là, il nous manque du bois ! On verra ça un peu plus tard quand on vous montera en grade, si vous nous aidez bien pour nos manifestations… ».

 

 

En savoir plus :

 

Parmi la quarantaine de stands, celui de l’association « Chablis terre d’Histoire », qui pour l’occasion a présenté aux visiteurs une superbe exposition d’anciennes cartes postales chablisiennes, toutes dédiées à la vigne et au vin. Le viticulteur Jean-Paul DROUIN, y a même retrouvé sur l’une d’elles sa grand-mère et son arrière-grand-mère en vendanges…

 

Dominique BERNERD

 


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La rencontre sera ouverte au public. Profitant du confortable complexe cinématographique d’Auxerre – le CGR -, elle permettra à ses participants de se projeter dans le futur patrimonial de l’Auxerrois. Il y sera présenté, en effet, cinq projections dessinées de ce que pourrait être le futur de la ville et de son agglomération, en version architecturale et urbanistique. Des esquisses nées de l’imaginaire et de la créativité des 130 étudiants de l’Ecole Nationale Supérieure d’Architecture de Nancy en résidence cette semaine dans l’Yonne…

 

AUXERRE: Intéressante initiative pédagogique et prospectiviste que celle-ci ! Mêlant matière grise et imagination débridée ! Avec en toile de fond, la Ville d’Auxerre qui sera passée à la moulinette intellectuelle de la fine fleur des futurs architectes diplômés devant sortir de l’ENSA, la fameuse Ecole Nationale Supérieure d’Architecture de Nancy. Ils sont cent-trente étudiants de troisième année au total à être du voyage en terre icaunaise, accueillis durant une semaine dans la capitale de l’Yonne, afin de prendre part à cette étude de cas proposée en format grandeur nature.

Issus d’un établissement de prestige – l’ENSA est l’une des vingt écoles supérieures hexagonales de France à délivrer le diplôme d’architecture d’Etat -, ces jeunes gens à la tête bien faite ont été reçus à l’abbaye Saint-Germain (une excellente manière de rentrer dans le vif du sujet côté édifice patrimonial local !) ce lundi par l’élu en charge de l’Urbanisme, l’adjoint Nordine BOUCHROU.

Il était accompagné de la responsable municipale du pôle jeunesse, de la formation professionnelle et de l’attractivité, l’adjointe Emmanuelle MIREDIN, et de Francis HEURLEY, vice-président de la Communauté d’agglomération de l’Auxerrois, et maire de Quenne.

 

Un projet qui conjugue la créativité et la pédagogie…

 

Une semaine d’immersion qui ne se limitera pas à admirer les vieilles pierres de l’ancien bâtiment religieux, symbole de l’attractivité culturelle et touristique de la cité de Paul BERT. Bien au contraire !

Ces spécialistes de la règle, l’équerre et le compas – aujourd’hui, les logiciels en 3 D se sont substitués à ces éléments de base de la filière ! – auront pour tâche d’imaginer l’Auxerrois de demain.

Chemin faisant, ces étudiants vont donc aller à la découverte des sites les plus emblématiques de la ville et de ses alentours ainsi que des sites « projets » en compagnie des services de la direction Stratégie et Aménagement du territoire. Il en ressortira nécessairement tout un tas d’idées et de préconisations esquissées sur des plans qui constitueront le socle de la présentation du samedi.

Un exercice plutôt astucieux qui offre la possibilité à la créativité de s’exprimer tout en stimulant les aspects formatifs de l’initiative.

 

 

In fine, les étudiants devront gérer cinq projets de valorisation du patrimoine et de l’urbanisme, dont l’un se rapportera à la commune de Saint-Bris-le-Vineux. Il s’agira de travailler à la transformation du cœur de village en lien avec l’église, l’école et la mairie. Du concret, rien que du concret !

Du côté d’Auxerre, les architectes en devenir s’intéresseront à des endroits névralgiques de la ville : le quartier de l’Abbaye Saint-Germain, la place de l’Arquebuse, celle des Cordeliers, et évidemment compte tenu de la récente actualité la concernant la « Maison de l’Eau » ainsi que le quartier Batardeau-Montardoins.

Cerise sur le gâteau : les cent-trente universitaires auront aussi la faculté de participer à une conférence grand public sur l’architecture, assurée par le parrain de cette opération, Grichka MARTINETTI, membre de l’agence PNG à Paris et lauréat de l’Equerre d’argent 2021.

 

 

 

En savoir plus :

 

La semaine d’accueil des étudiants de l’ENSA Nancy à Auxerre comprend deux évènements ouverts au public :

Le mercredi 26 octobre à 19 heures à l’Abbaye Saint-Germain à Auxerre : conférence ouverte au public en présence du parrain de l’opération Grichka MARTINETTI.

 
Samedi 29 octobre à partir de 9h00 (Cinéma CGR Auxerre) : présentation publique des cinq projections dessinées par les étudiants durant la semaine en présence des élus municipaux et communautaires ainsi que des enseignants de l’ENSA.

 

Thierry BRET

 


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La nouvelle est jubilatoire pour Marcel FONTBONNE, directeur du CIFA de l’Yonne, le centre interprofessionnel de formation d’apprentis localisé à Auxerre. L’une de ses protégées, Léa ROUGIER, dix-huit printemps au compteur, vient de décrocher le sésame suprême en s’octroyant le titre de « Meilleure apprentie de France » dans la catégorie service et arts de la table. L’une des disciplines phare de ces métiers de bouche qui ont su faire la réputation de l’Hexagone à l’international.

 

AUXERRE : Il se frotte les mains, Marcel FONTBONNE ! Lui, le chantre de l’excellence à tout crin en jubile d’aise ! D’ailleurs, il n’est pas le seul. A ses côtés, Michel TONNELLIER, président du CIFA de l’Yonne – les deux esthètes de l’apprentissage et de l’alternance en mode excellence sur ce territoire assistent à la remise des prix du concours régional des « MAF » pâtisserie dans leur antre pédagogique – est satisfait lui aussi de l’information qui leur a été communiquée en fin d’après-midi de ce lundi.

Le titre de « Meilleure apprentie de France » a été attribué à la juvénile et gracieuse, Léa ROUGIER, fréquentant le CIFA, et qui a su vaincre l’adversité ainsi que les autres concurrents venus des quatre coins de France en triomphant dans ce difficile concours, catégorie service et arts de la table. L’un des atouts majeurs de la profession hôtelière et de la restauration.

 

 

Un titre obtenu à force d’abnégation et de travail…

 

Suivant un cursus en « Bac Pro commercialisation et service en restauration », en alternant sa présence au sein du CIFA de l’Yonne et dans l’un des plus beaux fleurons de la gastronomie hexagonale, « La Côte Saint-Jacques » à Joigny, la demoiselle n’a pas volé son succès, préparant de longue date cette épreuve de très haut niveau.

Une finale nationale – elle se disputait dans le saint des saints de l’art culinaire à la française, l’hôtel MEURICE du fameux Alain DUCASSE – à laquelle elle s’était qualifiée au printemps dernier après son succès au terme de la sélection régionale.

Depuis l’annonce de ce titre aux relents de « cocorico », Léa a reçu pléthore de messages de sympathie et de félicitations sur les réseaux sociaux, à commencer par celui de « La Côte Saint-Jacques » et de sa célèbre toque, Jean-Michel LORAIN : « quel bonheur, bravo à Léa, c’est un concours remporté grâce à ton travail et ta motivation à toute épreuve ! ».

Le CIFA en fera de même en n’oubliant pas de remercier l’une des enseignantes de la maison, Mme CHATELAIN pour son accompagnement durant toute la préparation.

De leur côté, Magali et David HOUZE, propriétaires de « La Pause Gourmande » à Auxerre, n’ont pas omis de saluer avec énormément de plaisir le résultat obtenu par leur ancienne apprentie de jadis.

Une victoire qui revient par ricochet à tous ces acteurs professionnels de la filière des arts de la table et de la gastronomie de l’Yonne qui ont su porter la jeune fille vers le firmament et…les étoiles.

 

Thierry BRET

 

 


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