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La table où il accueille le public au terme du dernier spectacle de ces « Misters Class de l’Humour » présente l’un des ouvrages de l’acteur et humoriste. Un opus d’une centaine de pages, publié en 2017, où sont couchées ses « pensées ». Ses meilleurs jeux de mots y côtoient sa propre vision du monde. Avec talent et émotion. Selon lui, « le dictionnaire est une balançoire dans le jardin de l’imaginaire… ». Un imaginaire que l’on sait fertile et débordant d’énergie…

 

CHATEL-CENSOIR : Sur scène, micro à la main, aux côtés du premier élu de la localité Olivier MAGUET, discutant avec le public lors de la réception amicale ou prenant la pose le temps d’une séance photo impromptue après la signature d’une dédicace du recueil dont il assure la promotion, SMAIN se démène comme un beau diable dans la salle des fêtes.

Il virevolte comme un courant d’air, félicitant au passage son « poulain » l’excellent comédien qui incarne le personnage totalement décalé et hors sol de l’aristocrate fauché (Amaury de GONZAGUE) – il vient de livrer une prestation humoristique de très belle facture arrachant les rires d’une salle comble conquise par l’artiste -, et invitant les gens à le rencontrer au terme de ce rendez-vous dominical qui clôture la seconde édition de ces « Misters Class de l’Humour », portés par l’association TRIODARTS.

Entre l’Yonne et SMAIN, c’est devenu une belle histoire d’un amour passionnel.

On se souvient de sa double représentation d’avant COVID donnée chez les troubadours de la poésie de Puisaye, Andrée et Gérard-André, qui l’avaient accueilli dans leur antre de La Closerie à Etais-la-Sauvin. On se remémore tout le travail effectué par une Nadia FENNIRI, en cheffe d’orchestre talentueuse à la baguette de l’association culturelle TRIODARTS qui a nourri ce futur projet collaboratif avec le comédien et humoriste et ce public de néophytes, désireux de s’essayer lui aussi à la pantomime et au rire, devenant le temps d’un stage fructueux en atelier – les Misters Class – beaucoup plus que de simples humoristes en herbe.

 

 

Entre l’Yonne et l’humoriste, une belle histoire d’amour…

 

Durant trois jours de stage et quatre ateliers à suivre avec leurs professeurs, ces férus de rire et de calembours potaches se sont perfectionnés à leur manière sur scène, afin de mieux resplendir dans la lumière. Ce fut le cas lors de la restitution le samedi soir.

Quant à SMAIN, parrain de la judicieuse initiative, il s’est dit ravi de cette opportunité de retrouver le public. « On a passé trois jours merveilleux avec tous ces jeunes, confia-t-il aux spectateurs, il n’y a pas qu’à Paris qu’il y a du talent, il y en a aussi en zone rurale… ».

Puis, il eut un mot agréable pour TRIODARTS, source originelle de ce concept artistique novateur et terriblement efficace.

« J’espère que le concept va se perpétuer dans les années à venir, devait-il souligner, avec pourquoi pas l’organisation d’un premier festival d’humour accueilli ici à Châtel-Censoir ? ».

Avant de conclure sa prise de parole par des souvenirs personnels le renvoyant à sa tendre jeunesse lorsqu’il fréquentait en 1966 le centre de loisirs d’Arcy-sur-Cure, près du lac Sauvin où il donna ses premiers sketches !

Entre l’Yonne et SMAIN, c’est bien de l’amour, avons-nous dit, le vrai !

 

Thierry BRET

 

 


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Grandiose ! Désopilant ! Brillantissime ! Assister à une conférence du pourtant très sérieux économiste et ultra diplômé Philippe DESSERTINE équivaut à prendre part à un spectacle dont on aimerait qu’il ne se termine jamais. Un de ces one-man-show où l’humour est distillé par des bons mots et des exemples forts en cocasserie – mais tellement vrais et pertinents - à la manière d’un métronome. Ou comment démystifier le sabir très hermétique de l’économie et de ses incidences en le vulgarisant à l’extrême, le sourire en plus. CERFRANCE a gratifié ses suiveurs d’un tel rendez-vous, vendredi soir à Auxerre, où l’inflation tenait le tout premier rôle…en faisant rire et sourire ! Un comble…

 

AUXERRE : Adeptes de « L’Economie pour les Nuls », remisez cet ouvrage de vulgarisation pour néophytes au fond d’un tiroir et assistez coûte que coûte à l’une des prestations scéniques – mais ô combien sérieuse sur la trame – de l’un des maîtres de la discipline, j’ai nommé Philippe DESSERTINE !

Habitué de la tenue de conférences sur Auxerre – c’est quand même la seconde intervention qu’il nous propose en l’espace de quelques mois dans la capitale de l’Yonne mais on ne s’en lasse pas ! -, cet agrégé en sciences de gestion, professeur à l’Institut d’administration des entreprises de l’Université Paris 1 Panthéon Sorbonne, vice-président du cercle Turgot et membre du Haut Conseil des Finances publiques (entre autres !) possède l’art et la manière de rendre les choses fort complexes beaucoup plus simples à la compréhension dès qu’il est sur une scène, un micro à la main.

Les collaborateurs, partenaires et clients du groupe spécialisé en expertise comptable, CERFRANCE, ont eu tout le loisir de le vivre pleinement en seconde partie de l’assemblée générale annuelle, vendredi au parc des expositions d’Auxerre, où le très médiatique intervenant (Canal +, BFM Business, LCI, France Télévisions…) devait prendre la parole autour d’une causerie sur le « monde d’après ». Des propos fort attendus par l’auditoire où l’inflation tint la vedette quasiment du début jusqu’à la fin. Entre pessimisme et optimisme !

Se tenant bien droit sur le bord de la scène – une manière physique de mieux l’occuper sans doute- l’orateur déposa avant même de démarrer son téléphone portable à ses pieds, le positionnant sur l’option chronomètre. Pas de notes ni de slides, évidemment ! Mais, un discours suffisamment bien rôdé dans sa tête pour capter l’intérêt de ces centaines de personnes qui devaient boire les paroles de l’intervenant comme du petit lait.

 

 

« Vous êtes en train de perdre de l’argent avec vos liquidités ! »…

 

Le public ne tarda pas à rire à gorge déployée. Dès l’introduction de Philippe DESSERTINE qui constata que l’assistance semblait bien jeune pour qu’elle puisse réellement comprendre ce que signifiait en vérité le terme « inflation » ! « L’inflation, vous en entendez parler mais vous ne savez pas ce que c’est ! ».

Le ton était donné, il ne changera pas d’un iota durant cet exposé délicieux aux oreilles des aficionados de l’économie.

Faisant un parallèle chiffres à l’appui avec la fièvre inflationniste des années 70, le conférencier souligna que l’inflation actuelle était bien supérieure à ce que les personnes de l’époque avaient dû subir dans leur quotidien. « Nous n’avons jamais connu ça sauf entre l’entre-deux guerres ! ».

D’autant que de nombreuses entreprises doivent faire face actuellement à une inflation pouvant tutoyer les sommets, à 500, voire 600 % d’inflation dans certains secteurs d’activité. 

« Le cash est dangereux en période d’inflation, poursuivit Philippe DESSERTINE, c’est-à-dire que si vous possédez des liquidités – en regardant avec insistance le public – vous êtes en train de perdre de l’argent ! ». Un froid parmi l’assistance, notamment les particuliers visés par les différents exemples étayés par l’orateur !

 

 

« Avec une inflation évaluée à 6,5 %, vous perdez de l’argent sur votre cash, insista-t-il.

Evoquant le budget 2023 de la France – il a été voté par les parlementaires sur la base d’une inflation à 4,7 % -, il se situe déjà en deçà du chiffre officiel de l’inflation observée en ce dernier trimestre.

« On peut s’estimer heureux, plaisanta le professeur universitaire, la plupart des pays d’Europe sont plus près des 9 % que nous ! ».

Un autre chapitre interpella le public. Celui concernant les assurances vie.

« Vous savez, il paraîtrait que des Français en possèdent ? Mais, je suis rassuré ce n’est pas le cas avec vous, dans la salle, vous qui êtes des chefs d’entreprise pertinents et avisés ! Avec un rendement de 2,5 % lorsque l’inflation est à zéro. Mais, là, maintenant, vous avez des placements à taux négatifs qui sont proposés à moins 3,5 % ! Vous perdez de l’argent !».

 

 

Les Français n’ont pas eu à subir les répercussions de 15 % des coûts de l’énergie…

 

S’en suivit le pouvoir d’achat des Français. « Nos concitoyens savent très bien de quoi on parle : lorsqu’ils vont dans un supermarché, ils s’aperçoivent qu’ils ne peuvent plus acheter ce dont ils ont envie. Les achats de pommes de terre ont nettement augmenté depuis septembre dans les grandes surfaces. Ce n’est pas bon du tout car les consommateurs n’achètent plus de légumes ni de viande… Vous savez, l’économie ce n’est pas compliqué, c’est observer que ce peuvent acheter les gens avec leur paie !».

Et, prophétique, de rajouter : « les Français n’ont pas encore eu les répercussions de la hausse inflationniste de 15 % sur les énergies à partir de janvier/février… ».

Vu de Bercy, on s’inquiète, ajoute Philippe DESSERTINE, avec le froid qui arrive et les chaudières qui vont devoir se rallumer pour chauffer les logements. D’où une surconsommation électrique.

« Le gouvernement essaie d’avoir des arrangements européens en regardant comment se partager du gaz que l’on a pas ou de l’électricité que l’on ne produit pas ! ».

Au terme de ce tableau peu idyllique de la situation brossée par l’économiste, le message se veut on ne peut clair et limpide : « il va falloir changer le mode de fonctionnement des entreprises, des exploitations agricoles, des PME, des collectivités : il va falloir changer de logiciel…».  

Une gestion différente à l’image de l’Argentine ou de la Turquie, des états hyper exposés à l’inflation car trop dépendants du dollar ? Que nenni ! Philippe DESSERTINE citera l’exemple de la Pologne qui paie tous ses fournisseurs immédiatement, en réduisant son volume de cash et les durées de paiement qui favorisent l’inflation.      

En France, Bercy suggère de retarder les délais de paiement. « Ils sont juste fous, ils exposent tout le monde à l’inflation, eux compris ! Nous sommes en présence de problèmes majeurs devant nous parce que nous n’avons pas les bons réflexes. En Pologne, on fait des devis à partir de quantité. On gère cela au plus près avec les nouvelles conditions de fonctionnement. Quand il y a de l’inflation, tout le monde perd, il n’y a pas de gagnant du tout… ».

A propos de la guerre en Ukraine, son arrêt ne signifierait pas la fin de l’inflation.

« Si vous avez pensé cela, c’est que vous êtes très jeunes ! L’inflation est liée à des problèmes de pénuries. Quant à verser des primes, il ne faut surtout pas les distribuer car cela devient coutumier mais ne règle pas le problème. L’inflation, c’est la monnaie qui se déprécie, ce n’est pas imputable à la hausse des prix… ».

Un vrai cours d’économie en version dynamique où les énoncés du problème gagnent en lisibilité pour que chacun comprenne que le modèle économique doit impérativement changer, à brève échéance, compte tenu en sus du réchauffement climatique qui occasionne déjà pas mal de dégâts à l’échelle de la planète…

 

Thierry BRET

 

 

 


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Forcément, il en aura des choses à dire sur le sujet. Qui ? Le rapporteur de la mission d’information au Sénat sur les conséquences de cette nouvelle approche professionnelle qui régit dorénavant le monde du travail. Invité par la fédération départementale du Parti Communiste Français de l’Yonne, le sénateur Pascal SAVOLDELLI tiendra une conférence sur les effets de « l’ubérisation » mercredi soir à Auxerre. Un exercice oratoire qui sera suivi d’un débat…

 

AUXERRE : Celles et ceux qui s’intéressent de très près à l’évolution de la sphère professionnelle et de ses impacts directs sur les salariés sont invités à se rendre à la Maison des Randonneurs, mercredi en début de soirée.

C’est là, dans la salle Anna, que se déroulera à partir de 19 heures la rencontre débat concoctée par la fédération départementale du Parti Communiste de l’Yonne, ouverte au public.

Il y sera question de l’une des approches révolutionnaires applicables depuis quelques années dans le monde du travail, à savoir « l’ubérisation ». Un phénomène qui n’a plus rien de modal et dont les villes de province adoptent de plus en plus les principes ainsi que ses contraintes.

Pour en parler dans le moindre détail, la nouvelle responsable du PCF 89 – Alain RAYMONT ayant quitté ses fonctions à la tête du mouvement politique départemental durant la période estivale -, Marie-France GHERSI BURIER s’est appuyée sur l’un des spécialistes de la question, le sénateur communiste Pascal SAVOLDELLI, rapporteur au Sénat de la mission d’information traitant de ce sujet.

 

 

Mettre à plat lors d’une rencontre débat tous les ingrédients de ce dossier…

 

L’élu du Val-de-Marne a consacré un ouvrage sur la thématique (« L’ubérisation de la société, l’ère du capitalisme de plate-forme ») et a récemment légiféré au nom du groupe CRCE (Communiste Républicain Citoyen et Ecologiste) sur le rôle des algorithmes et leurs interférences à l’autonomie des travailleurs.

Au-delà du buzz existant autour du développement exponentiel de cette pratique dans les milieux professionnels, les dirigeants du PCF estiment que la question du travail mérite d’être abordée. D’autant que sont souvent mises à mal les notions de valeur travail, d’employabilité, de hausses des revenus, de réforme de l’assurance chômage, de la réforme des retraites…

L’initiative prise par le Parti Communiste de l’Yonne, en conviant l’un de ses sénateurs, à venir disserter publiquement en mettant à plat ce dossier permettra d’y voir un peu plus clair sur le sujet.

 

 

En savoir plus

Conférence sur le travail au regard de l’ubérisation

Organisée par le PCF de l’Yonne à Auxerre

Mercredi 09 novembre 2022

A 19 heures

Maison des Randonneurs, salle Anna

Entrée libre.

 

Thierry BRET

 


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Unanimité ! Le mot revient en boucle auprès des journalistes de la presse hexagonale spécialisée dans le domaine de l’automobile. Ces derniers, en effet, ont été séduits par les prouesses technologiques déclinées par le constructeur japonais avec son concept révolutionnaire, « e-POWER ». Celui-ci équipe dorénavant les nouvelles versions du X-Trail ou du Qashqai. Au point que la rédaction de l’emblématique « Auto Moto » vient de lui décerner le Prix de l’Innovation 2022…

 

PARIS : La presse est unanime et ne tarit pas d’éloges sur l’une des innovations technologiques significatives de cette année, se rapportant à l’évolution des véhicules électriques. Surtout quand cette avancée moderniste qui se veut dynamique et efficiente propose l’agrément d’une conduite 100 % électrique sans en avoir les contraintes de…recharge ! L’un des freins essentiels qui perturbent encore et pour longtemps les consommateurs français…

De quoi s’agit-il précisément ? D’une technologie exclusive, élaborée par le constructeur nippon, NISSAN, qui dit avoir envisagé les choses autrement en se lançant dans ce projet !

Une approche résolument pragmatique puisqu’elle offre l’opportunité aux modèles qui en sont pourvues (les nouvelles variantes du X-Trail ou du Qashqai à découvrir d’ores et déjà en concessions dont celles gérées dans l’Yonne par le groupe JEANNIN Automobiles) de pouvoir circuler sans que l’automobiliste ait justement besoin de recharger la batterie.

 

 

Un concept de motricité unique qui va plaire aux férus de technologie…

 

On l’aura compris, c’est un sérieux plus optimal pour les utilisateurs qui découvrent avec ces modèles une configuration unique de l’électrification automobile.

Dans le détail, cette motorisation baptisée « e-POWER » - jusque-là rien de trop original au niveau de la sémantique commerciale ! – se compose d’une batterie à haut rendement, d’un moteur essence turbo à taux de compression variable, d’un générateur, d’un onduleur et d’un moteur électrique. La parfaite panoplie pour les férus de mécanique et de technologie !

 

 

Là, où les choses deviennent passionnantes – et cela ne peut que justifier l’attribution de ce trophée de l’Innovation 2022 du magazine « Auto Moto » - c’est que la motorisation essence est employée uniquement à des fins de production de l’électricité tandis que les roues sont entraînées seulement par le moteur électrique.

Conséquence : le bloc essence peut ainsi toujours fonctionner dans sa plage de régimes optimale, garantissant in fine une efficacité supérieure en milieu urbain.

 

 

Un sérieux plus : ne plus se soucier de la recharge électrique !

 

Grâce à cette traction 100 % électrique, il n’y a pas de retard à l’accélération comme avec un moteur à combustion interne ou un hybride traditionnel. La sensation de conduite est particulièrement plaisante pour l’automobiliste.

Recevant la distinction il y a quelques jours à Paris, Richard TOUGERON, directeur général de NISSAN France, a salué « l’obtention de ce prix qui traduit l’esprit pionnier de la marque à travers cette technologie qui représente une étape importante dans la stratégie d’électrification de NISSAN ».

Avec cette technologie particulièrement séduisante – les conducteurs disposent d’une conduite 100 % électrique sans se préoccuper de la recharge ! -, NISSAN prouve qu’il existe désormais sur le marché un excellent compromis entre les motorisations électriques et thermiques en termes d’usage.

Un compromis abouti que les services communication et marketing de la marque ne devraient guère cesser d’encenser au fil de ces prochaines semaines dans l’Hexagone !

 

Thierry BRET

 


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 raison d’un rendez-vous pédagogique mensuel, le public de la Mission Locale a désormais la possibilité de découvrir en compagnie d’un professionnel l’un des métiers de l’artisanat que défend à juste titre la CNAMS Bourgogne Franche-Comté. Une initiative judicieuse, fruit d’un nouveau partenariat que viennent de contracter les deux organismes sur le bassin de l’Auxerrois…

 

AUXERRE : Le plus important sera de mobiliser un artisan à raison d’un après-midi par mois afin de rencontrer le jeune public qui fréquente d’ordinaire les locaux de la Mission Locale de l’Auxerrois.

La réflexion – elle se veut pertinente - émane de la représentante de la CNAMS Bourgogne Franche-Comté, Dominique NUNES, qui assure les permanences hebdomadaires de la Confédération nationale de l’Artisanat des métiers de Service et de Fabrication régionale dans l’Yonne.

Mais, le fondement de ce nouveau partenariat, instauré depuis peu entre la Mission Locale de l’Auxerrois et l’organisme patronal, est tout autre, bien évidemment. Il s’agit de valoriser les métiers de l’artisanat, de service et de fabrication auprès du plus grand nombre. En l’occurrence de celles et de ceux qui sont en quête d’un emploi, d’une formation ou qui intègrent la catégorie des décrocheurs. Des jeunes gens en quête de repères que souhaitent leur donner par la voix du démonstratif et de l’échange les deux instigateurs de ce partenariat.

 

Un accompagnement utile des jeunes vers les métiers de l’artisanat…

 

Sous le format « atelier », la CNAMS de l’Yonne pilote dans les locaux de la Mission Locale de l’Auxerrois ce rendez-vous en conviant l’un des artisans des métiers d’art à venir présenter la filière. Au-delà des explicatifs théoriques, se développe aussi un condensé très démonstratif du métier.

Lors de la rencontre initiale, proposée le 21 octobre, c’est Jean-Claude LARRIVE, tapissier de profession, qui est venu parler de son métier face à une douzaine de personnes à la curiosité acérée. Succès garanti car les questions ont fusé durant l’échange pour mieux s’imprégner de cette filière qui n’est pas au firmament de l’actualité, côté emploi.

 

 

« C’est en développant de ce type d’initiative sur le savoir, les formations et le parcours d’un professionnel que la CNAMS accompagne les jeunes générations vers les métiers de l’artisanat, de service et de fabrication, confie Dominique NUNES.

Le 18 novembre, un focus instructif sera proposé lors du second rendez-vous à partir de 14 heures sur le métier de cordonnier par la CNAMS, et ce au même endroit, c’est-à-dire la Mission Locale de l’Auxerrois.

 

 

Une extension de ce partenariat aux autres Missions Locales de l’Yonne ?

 

On ne sait encore, pour l’heure, si ce partenariat ayant pris corps depuis le mois dernier sur le seul bassin de l’Auxerrois s’étendra par effet gigogne aux autres territoires de l’Yonne où agissent des Missions Locales.

Sans doute la nouvelle présidente de la délégation icaunaise de la CNAMS, Sonia MICHAUT, y réfléchit-elle parmi ses projets ; elle qui a succédé à Christophe DESMEDT à ce poste le premier août. Celui-ci se consacrant désormais uniquement sur la présidence régionale de Bourgogne Franche-Comté.

 

Thierry BRET

 


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