Le concept ne peut que séduire le milieu entrepreneurial. S’appuyant sur un cycle pédagogique dont le parcours devrait durer entre dix et douze mois, il permettra de mieux s’imprégner de cette phase constructive, devant amener les décideurs économiques à passer à une logique de limitation, voire de neutralisation des impacts négatifs de leur activité sur l’environnement. Adhérer à un tel dispositif, la Convention des Entreprises pour le Climat en Bourgogne Franche-Comté, s’effectue sur la base du volontariat et de l’engagement. Soixante dirigeants et leur cadre RSE devraient franchir le pas…
SAINT-BRIS-LE-VINEUX : Le CEC prend date en 2023 avec les acteurs des milieux économiques de notre territoire. En mars, plus précisément. Au-delà des symboles propres à l’émergence du printemps et de la renaissance de la végétation, la période semble être idéale pour lancer dans le grand bain les sessions thématiques qui composeront ce cycle formatif très particulier.
Comment en effet, au vu de l’urgence climatique, basculer d’un modèle d’entreprise traditionnelle et consommateur d’énergie à un modèle ultra vertueux, voire régénératif, d’ici 2030 ? D’un modèle qui aurait une influence positive sur les écosystèmes et la société ?
N’est pas Harry POTTER qui veut ! Car, de prime abord, les baguettes magiques de sorcier – celles qui peuvent transformer le sens profond de notre univers - n’existent que dans l’imaginaire débridé de l’auteure JK ROWLINGS !
Plus de 150 entreprises déjà réunies au niveau national…
Pourtant, beaucoup en rêvent. Construire un nouveau modèle économique respectueux du vivant et le concrétiser par autant de feuilles de routes formelles et opérationnelles, porteuses de projets devant transformer durablement le territoire en le réconciliant avec l’écologie, l’économie, le social et l’humain.
Impossible n’est pas français, disait Robert LAMOUREUX ! Il suffit de se référer au contenu dévoilé par la Convention des Entreprises pour le Climat pour bien comprendre que les choses sont envisageables, sous le sceau de l’engagement et de la volonté.
Un CEC qui a déjà réuni, au niveau national, plus de 150 entreprises – et non des moindres – mobilisées au service de cette initiative novatrice en faveur de la protection de l’environnement. Pôle Emploi, BOUYGUES, ORPEA, mais aussi HEINEKEN, pour ne citer qu’elles se sont déjà engagées dans ce protocole spécifique.
Ce dernier se décompose en séances de travail, assurées en présentiel mais aussi en modules webinaires. Des cours, proposés par des experts, offrant les connaissances d’une méthodologie adaptée à la problématique. Une illustration parfaite de l’intelligence collective qui est mise en œuvre au nom du bien commun.
Rassembler une soixantaine de chefs d’entreprise et leur responsable RSE…
Afin de créer davantage de coopérations entre tous ces différents acteurs pour faciliter le retour à un écosystème sain et durable.
Louable, cette convention de partenariat multipartite est aujourd’hui encouragée par bon nombre de références institutionnelles. Sur notre territoire, elles se nomment BPI France, ADEME, MEDEF, Office Français de la Biodiversité, Mouvement Impact France mais aussi la Région, les chambres consulaires (CCI et CMA), l’Agence Economique Régionale (AER), etc.
Avec le concours de ces acteurs institutionnels, la CEC Bourgogne Franche-Comté a pour ambition de fédérer une soixantaine d’entrepreneurs et leur responsable de la RSE – un véritable binôme - autour de ce parcours de transformation unique favorisant le retour en grâce des écosystèmes. Réduire les pollutions ou la consommation de ressources ne suffit plus : il faut s’attaquer à tout autre chose désormais, se réinventer de manière à être résilient et maximiser des externalités positives sur la nature et les hommes.
En savoir plus :
Pour tout renseignement sur la CEC, un contact, Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. ou 0679.62.68.37.
Thierry BRET
La consolidation de la coopérative agricole régionale se poursuit sur le territoire avec l’acquisition de l’enseigne PHYTO Service. Présente au travers de ses silos sur plusieurs départements de la Bourgogne Franche-Comté (Côte d’Or, Yonne) mais aussi au sud de l’Ile-de-France (Seine-et-Marne), 110 Bourgogne accentue son positionnement sur le Middle Yonne en reprenant cette structure, implantée à Chablis.
CHABLIS : PHYTO Service intègre désormais le giron de la coopérative régionale 110 Bourgogne. Ainsi en a décidé le conseil d’administration de l’entité régionale – celle-ci sera en assemblée générale le 09 décembre au parc des expositions auxerrois -.
Cette acquisition s’explique par l’opportunité pour le groupe multirégional de pouvoir ajouter à son escarcelle ce magasin que bon nombre d’utilisateurs de la filière viticole connaissent bien.
L’apport de cette infrastructure enrichira le développement de l’une des filiales de la coopérative, 110 Vigne. Voire de manière plus élargie de celui du groupe.
Permises par ce rachat, les opportunités de développement concerneront tous les domaines d’activité de 110 Bourgogne, à savoir la nutrition et la protection de la vigne, le palissage, les emballages, le laboratoire d’œnologie, ainsi que de nouvelles activités qui ont été mises en œuvre depuis quelques mois sur le site de Chablis.
Thierry BRET
Quinze ans. Un sacré bail, convenez-en. C’est la période durant laquelle la commission des femmes de l’artisanat de l’Yonne s’est retrouvée en vacance totale d’une présidente. La faute serait-elle imputable à l’absence d’éventuelles candidates ? Par souci de motivation ? Pourtant, la place de la gent féminine au sein de la corporation n’est plus à démontrer. Surtout au sein de la CAPEB où le statut de conjoint collaborateur y a pris ses origines…
AUXERRE: Il est content, le président de la CAPEB départementale. Jean-Pierre RICHARD a enfin trouvé son alter ego (ou presque) en mode féminin depuis la nomination de Sarah DEGLIAME-PELHATE à la tête de la commission féminine de l’institution. Plus exactement, la commission des femmes de l’artisanat de l’Yonne.
Elue depuis peu à ce poste, Sarah DEGLIAME-PELHATE, elle-même cheffe d’entreprise qui exerce son savoir-faire dans le bâtiment – elle fut autrefois engagée en politique en qualité d’adjointe à la municipalité d’Auxerre – apportera un regard constructif et novateur sur la fonction.
Son élection lui permet également d’intégrer le conseil d’administration de la CAPEB (confédération de l’artisanat et des petites entreprises du bâtiment). Seule candidate à se présenter, l’entrepreneuse sera épaulée par Séverine VALLET. Cette dernière occupera en effet la fonction de secrétaire.
Thierry BRET
Parmi les nombreuses structures associatives qui ont investi le terrain, ce samedi dans l’Yonne, au profit de la traditionnelle collecte de la Banque Alimentaire, figurait l’un des clubs service de la cité auxerroise : le Lions Club Phoenix. Ses membres se sont positionnés toute la journée dans l’un des commerces emblématiques du cœur de ville, MONOPRIX, qui pour y glaner les précieuses denrées devant alimenter in fine les actions de la Croix-Rouge.
AUXERRE : Des cartons à toucher le plafond ! Il n’en fallait pas davantage pour satisfaire les membres du club service auxerrois, le Lions Club Phoenix – l’une des deux structures associatives de la place portant au titre de l’insigne distinctive la fameuse figurine représentant la double tête du roi des animaux – mobilisé pour la circonstance.
Comme chaque année, à pareille époque, les adhérents de ce club mixte – ses portes sont grandes ouvertes pour accueillir par ailleurs des nouveaux membres pétris d’altruisme – se sont impliqués avec sérieux lors d’une collecte fructueuse permettant de récolter de nombreux dons, à base de produits féculents, conserves, farine, sucre, biscuits, petits pots pour nourrissons, mais aussi des couches et des produits d’hygiène.
Se montrant généreux et ouverts à la solidarité, les clients du magasin MONOPRIX n’ont pas hésité à contribuer au succès de cette opération dont le bénéficiaire final n’est autre que la délégation territoriale de la Croix-Rouge icaunaise en déposant des produits alimentaires dans les caddies réservés à leur accueil.
Thierry BRET
Traquer le comportement des hommes dans les alcôves…
A travers un féminisme hystérique, l’Etat sera autorisé à pénétrer jusque dans les alcôves pour traquer les soi-disant « ignobles » comportements des hommes. Dans le même temps, nos « verts » subventionnent allègrement tout ce qui concerne l’ouverture totale de nos frontières, les associations « LGBT » et autres « FEMEN ». Tout ça sur fond d’égalitarisme et de néo marxisme !
Il faut préserver les libertés individuelles en limitant les caméras à usage policier afin de faciliter la délinquance : vols, viols et trafics en tout genre (voir la ville écolo de Grenoble !). Il sera interdit d’acheter des sapins de Noël mais d’acquérir, sur fonds publiques, de jolis sapins en métal (voir la ville écolo de Bordeaux), interdit aussi de vendre des cravates ou des « donuts » (voir la ville verte de Strasbourg)… Crèches de Noël, attention danger !
Des positions intolérantes qui affaiblissent les Verts…
Pour eux, il existe des raisons supérieures qui doivent surpasser le dérisoire respect de la vie privée.
Toutes ces prises de position ont considérablement affaibli le rôle possible des « Verts » en France.
En Allemagne, les écologistes constituent une force de propositions et d’actions qui œuvre au sein de l’Etat. En France, pour EELV, toute participation gouvernementale est proscrite si l’Etat n’applique pas l’ensemble de leur programme, ils pensent que ce serait une compromission ! Finalement, leur programme est une pollution pour notre civilisation…
Si Jean-Jacques ROUSSEAU appartient au siècle des Lumières, chez Sandrine, il y a en revanche quelques coupures de courant !
Jean-Paul ALLOU