La consolidation de la coopérative agricole régionale se poursuit sur le territoire avec l’acquisition de l’enseigne PHYTO Service. Présente au travers de ses silos sur plusieurs départements de la Bourgogne Franche-Comté (Côte d’Or, Yonne) mais aussi au sud de l’Ile-de-France (Seine-et-Marne), 110 Bourgogne accentue son positionnement sur le Middle Yonne en reprenant cette structure, implantée à Chablis.
CHABLIS : PHYTO Service intègre désormais le giron de la coopérative régionale 110 Bourgogne. Ainsi en a décidé le conseil d’administration de l’entité régionale – celle-ci sera en assemblée générale le 09 décembre au parc des expositions auxerrois -.
Cette acquisition s’explique par l’opportunité pour le groupe multirégional de pouvoir ajouter à son escarcelle ce magasin que bon nombre d’utilisateurs de la filière viticole connaissent bien.
L’apport de cette infrastructure enrichira le développement de l’une des filiales de la coopérative, 110 Vigne. Voire de manière plus élargie de celui du groupe.
Permises par ce rachat, les opportunités de développement concerneront tous les domaines d’activité de 110 Bourgogne, à savoir la nutrition et la protection de la vigne, le palissage, les emballages, le laboratoire d’œnologie, ainsi que de nouvelles activités qui ont été mises en œuvre depuis quelques mois sur le site de Chablis.
Thierry BRET
Quinze ans. Un sacré bail, convenez-en. C’est la période durant laquelle la commission des femmes de l’artisanat de l’Yonne s’est retrouvée en vacance totale d’une présidente. La faute serait-elle imputable à l’absence d’éventuelles candidates ? Par souci de motivation ? Pourtant, la place de la gent féminine au sein de la corporation n’est plus à démontrer. Surtout au sein de la CAPEB où le statut de conjoint collaborateur y a pris ses origines…
AUXERRE: Il est content, le président de la CAPEB départementale. Jean-Pierre RICHARD a enfin trouvé son alter ego (ou presque) en mode féminin depuis la nomination de Sarah DEGLIAME-PELHATE à la tête de la commission féminine de l’institution. Plus exactement, la commission des femmes de l’artisanat de l’Yonne.
Elue depuis peu à ce poste, Sarah DEGLIAME-PELHATE, elle-même cheffe d’entreprise qui exerce son savoir-faire dans le bâtiment – elle fut autrefois engagée en politique en qualité d’adjointe à la municipalité d’Auxerre – apportera un regard constructif et novateur sur la fonction.
Son élection lui permet également d’intégrer le conseil d’administration de la CAPEB (confédération de l’artisanat et des petites entreprises du bâtiment). Seule candidate à se présenter, l’entrepreneuse sera épaulée par Séverine VALLET. Cette dernière occupera en effet la fonction de secrétaire.
Thierry BRET
Parmi les nombreuses structures associatives qui ont investi le terrain, ce samedi dans l’Yonne, au profit de la traditionnelle collecte de la Banque Alimentaire, figurait l’un des clubs service de la cité auxerroise : le Lions Club Phoenix. Ses membres se sont positionnés toute la journée dans l’un des commerces emblématiques du cœur de ville, MONOPRIX, qui pour y glaner les précieuses denrées devant alimenter in fine les actions de la Croix-Rouge.
AUXERRE : Des cartons à toucher le plafond ! Il n’en fallait pas davantage pour satisfaire les membres du club service auxerrois, le Lions Club Phoenix – l’une des deux structures associatives de la place portant au titre de l’insigne distinctive la fameuse figurine représentant la double tête du roi des animaux – mobilisé pour la circonstance.
Comme chaque année, à pareille époque, les adhérents de ce club mixte – ses portes sont grandes ouvertes pour accueillir par ailleurs des nouveaux membres pétris d’altruisme – se sont impliqués avec sérieux lors d’une collecte fructueuse permettant de récolter de nombreux dons, à base de produits féculents, conserves, farine, sucre, biscuits, petits pots pour nourrissons, mais aussi des couches et des produits d’hygiène.
Se montrant généreux et ouverts à la solidarité, les clients du magasin MONOPRIX n’ont pas hésité à contribuer au succès de cette opération dont le bénéficiaire final n’est autre que la délégation territoriale de la Croix-Rouge icaunaise en déposant des produits alimentaires dans les caddies réservés à leur accueil.
Thierry BRET
Traquer le comportement des hommes dans les alcôves…
A travers un féminisme hystérique, l’Etat sera autorisé à pénétrer jusque dans les alcôves pour traquer les soi-disant « ignobles » comportements des hommes. Dans le même temps, nos « verts » subventionnent allègrement tout ce qui concerne l’ouverture totale de nos frontières, les associations « LGBT » et autres « FEMEN ». Tout ça sur fond d’égalitarisme et de néo marxisme !
Il faut préserver les libertés individuelles en limitant les caméras à usage policier afin de faciliter la délinquance : vols, viols et trafics en tout genre (voir la ville écolo de Grenoble !). Il sera interdit d’acheter des sapins de Noël mais d’acquérir, sur fonds publiques, de jolis sapins en métal (voir la ville écolo de Bordeaux), interdit aussi de vendre des cravates ou des « donuts » (voir la ville verte de Strasbourg)… Crèches de Noël, attention danger !
Des positions intolérantes qui affaiblissent les Verts…
Pour eux, il existe des raisons supérieures qui doivent surpasser le dérisoire respect de la vie privée.
Toutes ces prises de position ont considérablement affaibli le rôle possible des « Verts » en France.
En Allemagne, les écologistes constituent une force de propositions et d’actions qui œuvre au sein de l’Etat. En France, pour EELV, toute participation gouvernementale est proscrite si l’Etat n’applique pas l’ensemble de leur programme, ils pensent que ce serait une compromission ! Finalement, leur programme est une pollution pour notre civilisation…
Si Jean-Jacques ROUSSEAU appartient au siècle des Lumières, chez Sandrine, il y a en revanche quelques coupures de courant !
Jean-Paul ALLOU
Ce n’était pas la peine d'être bachelier pour pouvoir y entrer ! C'est donc ce que fit récemment votre serviteur pour la première fois de sa vie, content de découvrir une tricentenaire université de Bourgogne, avec ses locaux et toilettes propres, des ascenseurs en état de fonctionnement. Force est de reconnaître que je m'attendais à pire ! Tant mieux pour nos étudiantes et étudiants, mais aussi pour les finances de notre pays qui y consacre une part budgétaire non négligeable.
DIJON (Côte d’Or) : En effet, ce soir-là, Aurélie BULANT, étudiante en droit ou en langues orientales (à moins qu'il ne s'agisse des deux disciplines à la fois, le cheminement estudiantin étant peu compréhensible pour les non-initiés !) organisait une dégustation de potages, soupes et autres bouillons, à l'intention d'un aréopage estudiantin du monde entier.
A la manœuvre culinaire, le chef Jérôme JOUBERT, du « Rive Gauche » à Joigny, que l'on ne présente plus. Juste de vous à moi, allez donc y goûter son vol au vent de la mer, accompagné d'une nappeuse sauce au Savagnin : un grand plat !
Mais revenons à nos cuillères ! Dans une salle de la bibliothèque, nous eûmes l'espace d'un moment privilégié l'impression d'un tour du monde avec cette jeunesse venue de Pologne, du Kenya, des États-Unis, du Venezuela, d'Inde ou encore du pays du Soleil levant.
Le potage à travers l’Histoire…
Aurélie eut à cœur de tester le palais de ses convives d'un soir, entre consommé de bœuf aux petits légumes, velouté « Du Barry » et autres nages de langoustines au safran, dans l'esprit d'une bouillabaisse (plat mythique marseillais). Tous les invités furent enchantés de cette inattendue dégustation, de mets (potages) dont l'histoire débuta au XIIIème siècle : cuit alors dans le pot, il s'agit d'un plat complet, un peu comme une potée.
L'évolution se fit avec le temps, marquée par la fin du XVIIIème siècle qui connut la naissance des restaurants. Après la Révolution, nombre de cuisiniers de nobles furent désœuvrés et ouvrirent de petites gargotes, juste histoire de restaurer les passants.
Entre velouté Du Barry et nage de langoustine…
Notre potage devient alors plus liquide, se déclinant en bouillon, nage, consommé, soupes ou veloutés. Ce dernier nécessitant une liaison avec un jaune d'œuf ou de la crème fraiche.
Mais revenons à la faculté dijonnaise. Le velouté Du Barry (chou-fleur) est dégusté comme il se doit. Arya, la souriante indienne, a un faible pour le potage saint-Germain à base de pois cassés, lui rappelant quelque peu la variété de la succulente cuisine végétarienne de sa terre natale.
Quant à Yumiko, la nipponne, elle préfère la nage de langoustine (un peu dans l'esprit du bouillon « dashi » à base de copeaux de bonite séchée du Japon). C’est à l’unisson que les étudiants américains dégustent tout avec appétit !
Un velouté poire/chocolat vient conclure cette originale dégustation. Au revoir, sayonara, namaste, goodbye ! Ce fut un joli moment intercontinental par soupes interposées ! Mission gourmande accomplie pour la jeune Aurélie...
Une table pour aller dîner : "L’Evidence"…
Ensuite, pour le petit noyau d'organisateurs, vint l'heure du souper. « L’Evidence » s'imposa à nous. Cette table dijonnaise récente, distinguée au Michelin d'un « bib gourmand » s'est rapidement faite une place, sous le soleil gourmand de la capitale bourguignonne !
Des mets francs du collier (la parfaite cuisson des noix de Saint-Jacques entre autres), un fromage blanc accompagné d'une délicieuse crème fraiche et une inattendue tarte au cacao, pas plus sucrée que nécessaire.
Un service aimable paracheva notre souper post soupes estudiantines !
Un dernier mot sur Dijon : la capitale de Bourgogne, son marché et ses effluves méritent amplement une visite. A l’instar de la minuscule charcuterie Fauchon, rien de commun avec la fameuse enseigne parisienne…
Contact :
L'Evidence
53 Rue Jeannin
21000 DIJON
Tel : 03.80.67.69.37.
Fermeture samedi et dimanche.
Gauthier PAJONA