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Présenté par les deux députés de l’Yonne, le Républicain Guillaume LARRIVE et l’UDI André VILLIERS, l’amendement déposé dans le cadre de l’examen de la loi d’orientation des mobilités propose de confier aux acteurs de terrain, en particulier le préfet de département et le président du Conseil départemental, le soin de décider, au cas par cas, de la vitesse autorisée sur le réseau routier, dans la limite de 90 km/h. Le texte est en cours de traitement par les services de l’Assemblée. Mettra-t-il enfin un terme à ce long feuilleton qui n’en finit pas de durer ?

PARIS : Depuis le 01er juillet 2018, date à laquelle le gouvernement a décidé l’abaissement de la vitesse maximale autorisée sur le réseau routier secondaire, il ne se passe pas un jour où le flou artistique qui règne en maître absolu autour de ce dossier, ne ressurgisse à la surface médiatique et ne soit comparable à un véritable casse-tête chinois pour l’exécutif.

Il est vrai que prendre la décision de réduire de dix kilomètres par heure ladite vitesse, soit de 90 à 80, ne pouvait engendrer une cote de sympathie naturelle à ce projet quelque peu alambiqué. Et pour le moins inattendu…

Même si celui-ci était défendu bec et ongles dès le début par le Premier ministre. Instigateur du concept, Edouard PHILIPPE avait déjà utilisé les forceps pour « vendre » l’idée au président de la République, guère convaincu par la pertinence de cette suggestion forcément impopulaire.

La mobilisation sociale de la mi-novembre n’aura pas manqué de cibler ouvertement cette baisse généralisé de la vitesse sur les routes françaises et de l’inscrire parmi le lot des revendications privilégiées.

Avec en toile de fond, un argument tangible se rapportant aux habitants des territoires ruraux : leur pénalisation assurée puisque ne disposant pas d’alternative possible pour se déplacer autrement dans leur vie de tous les jours.

Faciliter l’arbitrage par le préfet et le président d’un conseil départemental…

Or, les choses évoluent, semble-t-il, autour de ce texte législatif. Ce lundi 29 avril, lors de la séance de l’Assemblée nationale où les parlementaires examinaient le projet de loi d’orientation des mobilités, les deux députés de l’Yonne, le Républicain Guillaume LARRIVE et l’UDI André VILLIERS, sont donc montés au créneau : ils ont présenté l’amendement numéro 305.

L’exposé du texte, signé en tandem par les élus de l’Yonne, demande une justification formelle et chiffrée de cette mesure perturbante pour les automobilistes.

« Si la diminution du nombre de victimes d’accidents de la route est un objectif essentiel de toute politique de sécurité routière, il reste toutefois à démontrer que cette mesure contraignante et applicable à un réseau routier de 400 000 kilomètres ait pu y contribuer…écrivent de concert les députés icaunais.

S’en suivent deux alinéas. Le premier concerne le rôle du président du Département. Ce dernier, par arrêté motivé, fixerait la vitesse maximale autorisée pour les routes départementales, celles qui ne possèdent pas de séparateur central et hors agglomération, dans la limite de 90 km/h.

Le deuxième définit l’intervention du représentant de l’Etat dans le département. Ainsi, le préfet pourrait, en concertation directe avec le président du Conseil départemental, fixer la vitesse maximale autorisée pour les routes nationales et selon les conditions similaires au précédent alinéa. Une manière intelligente de gérer au cas par cas et selon les typologies de ces routes du réseau secondaire la mise en application de la loi. L’amendement est en cours de traitement par les services de l’Assemblée. Beaucoup croisent aujourd’hui les doigts pour que cet additif soit au final retenu par le Parlement…et applicable sur les routes de France.

 


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Personnage emblématique de la vie politique de notre territoire, l’Auxerrois qui fut le plus jeune conseiller municipal de la capitale de l’Yonne de 1989 à 1995, se lance un nouveau défi : celui de la bataille des Européennes. C’est toujours sous l’étiquette du Mouvement démocrate (MoDem) dont il est l’incontournable leader dans le département que l’adjoint au maire d’Auxerre a été investi sur la liste nationale, RENAISSANCE, pilotée par Nathalie LOISEAU…

AUXERRE : Agé de 58 ans, le cadre bancaire et supporter actif de l’AJ Auxerre ne désarme pas dans son engagement au service des citoyens. Cette fois-ci, le représentant charismatique du MoDem de l’Yonne s’intéresse aux échéances européennes, celles du 26 mai, lui qui a déjà participé à plusieurs joutes électorales depuis ses débuts dans le sérail politique en 1989.

Conseiller départemental de l’Yonne, Pascal HENRIAT a décidé, à la demande du MoDem, mais aussi de La République en Marche, d’Agir-la droite constructive et du Mouvement radical, de rejoindre la liste nationale des 79 prétendants au suffrage européen, fédérés sous le sigle RENAISSANCE.

L’entité est structurée sous le sceau du rassemblement de compétences et de l’engagement à l’action présidentielle. Le candidat Icaunais y figurera en 58ème position.

Une liste ouverte à l’éclectisme…

Il ne sera d’ailleurs pas le seul à vouloir défendre les couleurs du landerneau nord-bourguignon sur cette liste pro-européenne puisque la conseillère départementale et membre du parti Agir-la droite constructive, Irène EULRIET, y est également présente.

Maire de La Ferté-Loupière, et docteur en sociologie, l’élue du canton de Charny qui avait failli créer la surprise lors de l’élection au perchoir départemental, obligeant un troisième tour de scrutin très serré face au président Patrick GENDRAUD, y occupe la 49ème place.

Les deux candidats de l’Yonne retrouveront sur la liste RENAISSANCE des personnalités politiques et de la société civile de premier plan, à l’instar de Pascal CANFIN, ancien directeur général de WWF France, de la navigatrice Catherine CHABAUD, l’ex-président des Jeunes Agriculteurs Jérémy DECERLE ou encore l’avocat Jean VEIL, fils de la regrettée Simone VEIL, européenne convaincue.

Rappelons que l’une des pierres angulaires de cette liste, la sénatrice et ancien édile de Strasbourg, Fabienne KELLER (Agir-la droite constructive), visitera deux journées durant les 03 et 04 mai l’Auxerrois, à l’invitation de Jean-Philippe SAULNIER-ARRIGHI, président de la Communauté de communes de Puisaye-Forterre, élu régional et responsable départemental du mouvement Agir-la droite constructive.

 

 


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En éditant en deux volumes un copieux opus explicatif sur l’approche consumériste intelligente des produits, l’exégète du design industriel et de la conception d’appareils électroménagers Icaunais désire faire réagir les consommateurs que nous sommes. Sur la pertinence, l’utilité fonctionnelle et l’usage réel des produits de toute typologie qui parsèment notre environnement et dont nous usons et abusons au quotidien…

SAINT-BRIS-LE-VINEUX : Trois années d’un long travail, riche et fructueux, ont été nécessaires pour obtenir ce résultat définitif qui est consultable via les plateformes de distribution. La publication, en simultanée de deux livres, ayant interpellé une maison d’édition, la Britannique ISTE.

Celle-ci a cru dur comme fer au projet : celui de réunir une somme d’éléments persuasifs et judicieux qui ont été collectés patiemment par le designer bourguignon, Michel MILLOT.

Spécialiste de marketing et esthète dans l’art et la manière d’appréhender les produits de consommation courante selon leurs usages, ce dernier n’en est pas à son coup d’essai dans son aventure livresque qui l’a animée avec passion.

Plusieurs ouvrages ont déjà été signés de sa plume et distribués par les majors de la vente en ligne, à l’instar du géant AMAZON.

Sa nouvelle livraison se décline en deux volumes. Ils auront engendré de multiples recherches. La patience est l’une des vertus de notre cherchant, qui, entre deux séjours en Chine, pays avec lequel il entretient des relations étroites dans l’approche de faisabilité des produits, aura eu le temps de se poser dans son havre de paix Icaunais pour noircir sur le papier des exemples testés en usage.

Parus à la mi-mars, ces ouvrages, sobrement intitulés, « L’embarras du choix des produits » - comment consommer différemment (volume 1) et pour une société de bien-être (volume 2), représentent une critique sans fard et sans complaisance de notre société ultra consumériste.

Celle qui détruit beaucoup de choses en amont pour proposer à la sortie des kyrielles de produits qui ne servent à rien. Ou presque !

Réinventer le sens de l’usage des produits que nous consommons…

Sur ce domaine bien particulier dont il est un exégète, Michel MILLOT agit en franc-tireur qu’il est devenu à force d’expériences. Selon lui, la seule alternative possible face à ce fléau de la surconsommation à outrance d’objets inutiles est le discernement. Chacun doit le posséder en soi. Avant d’acheter le produit qui soit le plus approprié à l’usage réel du consommateur. Problématique : l’acquéreur dispose en réalité de nombreuses informations techniques qui caractérisent les différents produits. Mais, il n’existe rien de bien précis sur les usages réels de ceux-ci.

Un paradoxe qui est consternant pour l’auteur de « L’embarras du choix des produits ».

Pléthore de modes de communication existent dans notre société, depuis le bouche à oreille jusqu’aux réseaux sociaux. Sans omettre les conseillers commerciaux dans les magasins. Mais, l’angle technique plus que pratique demeure l’apanage de cet ensemble de vecteurs d’information.

Exit le pouvoir d’achat, place au savoir d’achat…

Partant du postulat analytique que tout est mis en œuvre pour encourager le gaspillage des biens de consommation courante, Michel MILLOT évoque un autre paradigme, bien plus important que le pouvoir d’achat. C’est le savoir d’achat.

« Tout le monde parle du pouvoir d’achat en matière d’argent pour consommer davantage, argumente le désigner-auteur, mais personne ne se soucie guère de la qualité de ces achats. Ce savoir d’achat devrait être soutenu immédiatement par l’Etat. J’en ai fait part récemment au président de la République, Emmanuel MACRON, a qui j’ai adressé un courrier explicatif autour sur cette tendance consumériste novatrice et intelligente à adopter par chacun… ».

A commencer par les industriels eux-mêmes qui ne font l’éloge que de la technologie au service du consommateur.

 


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3 % de l’activité globale : c’est ce qu’a représenté le poste spécifique de l’aviation d’affaires l’année dernière sur le complexe de l’aéroport d’Auxerre Branches. Partant de ce simple postulat que le potentiel existe et que les installations le permettent, la société exploitante du site aéronautique de l’Yonne souhaite renforcer cette activité dans les mois à venir…Pour cela, il lui faut convaincre le tissu économique local.

AUXERRE : Le département de l’Yonne et le monde professionnel de l’aéronautique sont devenus très complémentaires. Il suffit, pour le constater, de découvrir la liste des personnalités présentes lors d’un événement « séduction », décliné par le gestionnaire de l’aéroport d’Auxerre Branches, la société EDEIS.

Alliée des territoires, l’entité exploitante du site a souhaité porter à la connaissance d’un plus grand nombre d’entreprises les possibilités en matière de voyages d’affaires ou de séminaires.

Il était donc logique de retrouver, lors de ce rendez-vous, les structures ayant une réelle appétence pour cette initiative.

Une vingtaine de personnes avaient répondu positivement à ce brunch concocté dans les locaux d’EDEIS. On y a vu des représentants des sociétés FIGEAC AERO et ZODIAC ACTUATION SYSTEMS mais aussi des membres du groupement GISAERO, c’est-à-dire les acteurs de la sous-traitance industrielle du secteur aéronautique, localisés dans l’Yonne.

Ainsi, il n’était pas surprenant de constater que Claude VAUCOULOUX, délégué général du MEDEF Yonne, Thierry PECCARD, chargé des relations entreprises au Medef Yonne, Jean-Marc DENIS, délégué GISAERO et au développement industriel et innovation à l’UIMM, figuraient à l’appel.

Présence de plusieurs partenaires…

Deux partenaires de la société EDEIS étaient partie prenante de cette rencontre spécifique autour des vols d’affaires et séminaires.

L’agence de tourisme, CAROL’S VOYAGES, signifiait sa présence. Historiquement, la structure auxerroise a géré des vols charters depuis l’aéroport d’Auxerre. En outre, à l’automne 2018, l’entité a affrété un avion de type Dornier 328 à l’intention de vingt-deux collaborateurs d’une entreprise industrielle locale devant se rendre à Barcelone à l’occasion d’un séminaire.

Quant à Air Affaires, sa présence se justifiait amplement puisque la société décline des offres de service souples et accessibles pour répondre à ces demandes de voyages professionnels.

L’accueil d’une stagiaire de l’IFAG en troisième année « Bachelor »  et responsable opérationnelle d’activité aura permis de préparer une grande partie de cette opération en amont. EDEIS a procédé à la réalisation d’un sondage au préalable à destination de 160 entreprises locales concernant leur besoin en matière de voyages d’affaires ou de séminaires. Le taux de retour s’est avéré positif avec plus de 10 % de réponses.

Créer des liens autour d’événements et de lieux cette saison…

Il ne restait plus qu’à organiser ce brunch avec ses deux partenaires naturels auxquels se joignait le MEDEF de l’Yonne.

Créer des liens autour de lieux et événements locaux intègrent la stratégie de la société EDEIS. Chaque année, il est proposé des opérations de « FLY IN » aux pilotes. C’est-à-dire une idée de sortie vers des manifestations de saison en leur offrant la taxe d’atterrissage et la navette gratuite pour rejoindre l’évènement.

Cette saison, EDEIS focalisera cette initiative judicieuse autour de « Fleurs de vigne village », le 18 mai, avec une navette oenobus mise en place par l’Office de tourisme d’Auxerre sur les quais de l’Yonne pour une découverte au sein des vignobles auxerrois.

Mais, d’autres rendez-vous sont d’ores et déjà programmés : le dimanche 16 juin, avec la journée des « Portes Ouvertes de l’aéroclub de l’Yonne et de l’aéroport », la Fête des Vins à Chablis le week-end du 26 et 27 octobre 2019 et le mercredi 18 décembre.

Quant au Père Noël, il atterrira à l’aéroport pour satisfaire les centres de loisirs avoisinants lors d’un après-midi découverte et goûter au restaurant l’Envol…

 


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Précurseur en de nombreux domaines digitaux et technologiques, l’établissement bancaire régional le prouve une nouvelle fois avec ce concept élaboré à destination des chefs d’entreprises. Désormais, la souscription d’un crédit professionnel en ligne représente une opportunité palpable pour celles et ceux qui en éprouveraient le besoin. Une stratégie d’accompagnement favorable aux projets économiques du territoire qui confère un rôle de « business partner » idoine à la Banque Populaire Bourgogne Franche-Comté…

DIJON (Côte d’Or) : Ils intègrent la catégorie des artisans, des commerçants, des professions libérales, des agriculteurs ou des viticulteurs. Tous ont à cœur de faire prospérer leurs entreprises par le prisme de projets innovants.

La Banque Populaire Bourgogne Franche-Comté s’engage à les accompagner. Comment ? En soutenant leurs perspectives de développement !

Ainsi, la demande de financement pré  accordé vise à simplifier les recours aux prêts de celles et ceux qui créent la richesse économique de notre territoire. Concrètement, en s’appuyant sur le crédit professionnel en ligne, les stratèges de l’établissement bancaire financent les projets de travaux, l’achat de véhicule ou de matériel de ces entrepreneurs perspicaces.

Un concept réactif et facile à mettre en place…

Opérationnel depuis deux mois, le principe se veut d’une rare simplicité. Le client bénéficie d’une enveloppe pré accordée d’un montant de 10 000 à 50 000 euros. La somme est remboursable sur la durée de 24 à 60 mois. Le bénéficiaire perçoit l’argent sous un délai de 48 heures et ce dès la réception de la demande client qui est validée en ligne. Le crédit est déblocable pendant trois mois.

Effectué sans justificatif et sans garantie, avec ou sans assurance, le crédit souscrit peut-être de type classique (crédit d’équipement) ou sous la forme d’un crédit-bail. L’enregistrement de la souscription s’effectue 100 % en ligne, depuis l’espace Cyber Plus du client. Une offre de service qui est déclinée par l’établissement.

Aujourd’hui, un professionnel sur trois (plus de 50 000 clients) est suivi par cette banque en Bourgogne Franche-Comté et Pays de l’Ain. Elle a financé près de 11 000 projets en 2018, portés par des entreprises pour un montant proche de 520 millions d’euros.


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