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S’appuyant sur une structure inter-régionale informelle, l’antenne départementale de la Confédération des artisans des petites entreprises du bâtiment de l’Yonne y pioche de bonnes idées par le prisme de la mutualisation. Celle-ci est effective grâce à des contacts réguliers et nourris avec les autres structures des territoires qui composent le groupement. Un assemblage qui se veut précurseur et consultatif dans son mode opérationnel sur le secteur Grand-Est.

AUXERRE: L’uniformisation des processus et stratégies intègre désormais les priorités managériales de la CAPEB de l’Yonne. Ainsi, tester des innovations, récolter de saines suggestions et dupliquer de bonnes initiatives, celles vertueuses qui se pratiquent ailleurs, sont devenus des références inéluctables pour le président de l’institution, Jean-Pierre RICHARD. Cet avis est également partagé par le directeur de la structure, Christophe BERTEAU.

Forte de sa progression en nombre d’adhérents, puisque la barre des 600 membres devrait être franchie avant le terme de l’année après l’application d’un parrainage, la CAPEB joue pleinement la carte du partage de compétences et des savoir-faire avec ses homologues du Grand-Est. Ceci dans le seul souci premier de servir au mieux les intérêts des artisans de la filière du bâtiment.

« Ce G 16, confie Jean-Pierre RICHARD, peut s’apparenter en quelque sorte à un grand laboratoire d’idées, apporteur de préconisations tangibles. Sa philosophie est simple et repose sur le partage d’intérêts communs. Sur le précepte suivant : il y a toujours de bonnes idées à prendre du terrain local et à remonter vers le haut afin que chacun puisse en bénéficier… ».

L’un des exemples concrets de cette mutualisation de moyens aura été le plan de communication. La CAPEB l’a initié il y a peu. Mais, sa conception est une œuvre commune : son orientation stratégique repose sur le travail participatif.

Mis en place depuis quatre ans, ce G 16, véritable système d’échange et de rencontres entre les antennes départementales de ce syndicat patronal, fonctionne à la perfection.

D’ailleurs, celui-ci ne fait pas montre d’hermétisme : d’autres territoires frappent à la porte pour y avoir le plein accès. C’est le cas des départements du Jura et de la Meurthe-et-Moselle qui intègreront tôt ou tard de manière plus régulière ce procédé de réflexion intelligente, inspiré de la méthode girondine plutôt que jacobine, en vérité !


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Plusieurs mois de labeur auront été nécessaires à la conceptualisation de cet outil numérique au service de tous les acteurs de l’économie de notre territoire. Parce qu’il y a urgence à répondre aux difficultés de recrutement des entreprises du département, la Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Yonne propose désormais de faciliter cette rencontre entre l’offre et la demande autour de l’emploi direct. Mais, sa volonté de renforcer l’attractivité du territoire englobe aussi des propositions concrètes liées à l’alternance et à la demande de stages…

SENS : Opérationnelle depuis quelques jours, la plateforme POSITIV’EMPLOI suscite déjà beaucoup d’intérêt dans le microcosme économique départemental. L’idée se veut très séduisante. Elle est surtout consensuelle auprès de l’ensemble des acteurs de l’emploi. Répondant ainsi à la volonté de son plus ardent défenseur, le président de la Chambre de Commerce et d’Industrie en personne, Alain PEREZ.

Lors du lancement inaugural du concept, ce dernier n’a d’ailleurs pas tari d’éloges sur ses services qui se sont mobilisées autour de cet instrument numérique à forte potentialité.

Il est aujourd’hui instruit par l’une des valeurs montantes de la chambre consulaire icaunaise, Cécile NOIROT, en charge de son développement applicatif. Il faut dire que cette dernière connaît le monde du recrutement comme le fond de sa poche. Elle a été longtemps l’une des pierres angulaires d’une structure positionnée sur le marché du travail temporaire.

En invitant partenaires et référents des ressources humaines à une présentation qui se voulait didactique et démonstrative, Alain PEREZ a voulu réaffirmer que l’institution dont il défend les valeurs gardait la main sur les orientations économiques de ce territoire. Et par effet gigogne, qu’il restait à l’écoute des entrepreneurs en quête de développement, celui-ci se déclinant de facto par l’embauche de nouvelles compétences.

Un outil complémentaire des supports de Pôle Emploi…

Ouverte à tous les organismes en prise directe avec l’emploi, la plateforme est d’un abord fonctionnel très accessible. En la parcourant, on y trouve des éléments d’information détaillés qui se rapportent aux candidats à l’emploi (CV, expériences, compétences, formations…) mais aussi à la fonction professionnelle précise en attente d’être pourvue.

Enrichis, précis, ces renseignements constituent une formidable base de données mise en musique par les services de  la CCI. Celle-ci s’appuie sur l’expertise technique et le savoir-faire de l’un de ses partenaires (ils sont nombreux à s’être engouffrés dans la brèche en faveur de la déclinaison de ce concept judicieux), la start-up METEO JOB.

Prestataire national, ce dernier avait déposé dès le lancement de l’outil consultatif par le multimédia un global de 584 offres d’emploi. Une manne informative importante qui donnait un aperçu tangible de l’ampleur de ce nouveau concept. Celui-ci devenant un corollaire naturel et harmonieux des outils qui sont déjà proposés par Pôle Emploi.

Institutionnels et entreprises, partenaires du concept…

Et avant même que ce nouveau référent ne soit officiellement en activité, plusieurs entreprises et collectivités de l’Yonne avaient déjà fourni près d’une trentaine de petites annonces dans la corbeille correspondante.

Soucieux de donner une impulsion à ce support numérique innovant, la CCI de l’Yonne avait convié l’une des actrices essentielles des ressources humaines de notre territoire, Aurélie VALLOT, de la société ARMATIS – un gros faiseur en termes de recrutement et de besoin de compétences -, à témoigner de la pertinence de cette initiative.

Cette dernière expliqua, exemples à l’appui, la façon de pouvoir naviguer avec aisance sur cette plateforme.

Quant à la présence à la tribune d’honneur de l’édile de Sens et présidente de la Communauté de communes du Grand Sénonais, Marie-Louise FORT, elle n’était pas fortuite.

Bien au contraire, l’élue fit part de sa satisfaction d’avoir choisi de faire adhérer l’organisme institutionnel en qualité de soutien et partenaire de cet outil.

Lors de sa prise de parole, le président PEREZ précisa que plusieurs syndicats patronaux, à l’instar du MEDEF de l’Yonne ou de la Fédération départementale du Bâtiment, avaient déjà apporté leurs crédits à la mise en place et à la réussite de la plateforme.

« Nous progressons pas à pas, ajouta le responsable de l’exécutif consulaire, je souhaite sincèrement que tout le monde soit uni derrière cette initiative vertueuse afin de favoriser l’aide au recrutement de nos entreprises ».

Puis, énumérant quelques statistiques, Alain PEREZ rappela que 25 % des entreprises de l’Yonne envisageaient de recruter cette année. L’Yonne, à ce titre, figurait dans le haut du panier de la création d’entreprises depuis deux ans avec 1 875 nouvelles venues dans le paysage (la moyenne nationale se situant à 1 224).

Mais, argument plus funeste, que faute de main d’œuvre qualifiée, beaucoup étaient dans l’obligation de décliner des commandes car ne pouvant y répondre dans des conditions optimales. POSITIV’EMPLOI a pour vocation de contrecarrer cela et inverser la tendance.


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A l’étude depuis plus d’un an, le projet des « Incroyables comestibles » connaîtra une nouvelle phase de sa mise en application lors d’une journée spéciale consacrée à la nature en ville ce samedi 04 mai. A l’origine de ce projet, la Jeune Chambre Economique locale. Elle souhaite promouvoir par ce biais le développement de l’agriculture urbaine et la végétalisation de la cité. Un concept qui est largement partagé par les élus de la Ville d’Auxerre, associés à cet évènement. Celui-ci bénéficiera, en outre, de la bienveillance de l’instigateur national de ce mouvement, Henri BUREAU. Présent à ce rendez-vous, il détaillera les initiatives concrètes portées à travers l’Hexagone…

AUXERRE : Le personnage figure déjà parmi les sommités incontournables dans son domaine de spécialisation. Secrétaire national de l’Université Populaire de Permaculture, Henri BUREAU effectuera un déplacement très attendu ce samedi 04 mai en territoire de l’Yonne.

Initiateur de ce mouvement citoyen qui fait florès depuis quelques années en France (les « Incroyables comestibles »), ce référent de la discipline livrera un regard d’expert sur ce concept, apparu en Grande-Bretagne dès 2008. Intervenant un peu partout en France, l’exégète est un acteur préférentiel de la permaculture auprès des collectivités, du monde associatif et de divers clubs.   

C’est à Albi, splendide ville universellement de l’Occitanie connue pour sa somptueuse cathédrale, que notre homme a développé le principe des « Incroyables comestibles ». Il est même à l’origine de la Coordination nationale qui régit ce mouvement environnemental novateur.

Localement, Henri BUREAU s’est fait le chantre d’une pédagogie ouverte au plus grand nombre en proposant un module d’initiation à la permaculture dans le cadre des programmes assurés par l’Université pour Tous. Idée qu’il a aussi déclinée auprès du lycée agricole de Fonlabour autour d’un module diplômant en agriculture urbaine et permaculture.

Enfin, et dans un souci de pragmatisme, le spécialiste a conçu la mise en place d’une ferme urbaine de six hectares opérationnelle dans la capitale du Tarn.

Une déclinaison du concept dans plusieurs quartiers d’Auxerre…

Après une phase analytique sur la faisabilité de ce projet, les membres de la JCE se sont rapprochés des organismes et structures susceptibles de participer à cette aventure pour le moins insolite. Les retours ont été positifs. Plusieurs quartiers de la capitale de l’Yonne ont montré leur appétence à se lancer dans ce défi. Ils cherchent à mettre à disposition des bacs-potagers, des espaces pour y cultiver des légumes en pleine terre et promouvoir la valorisation des espaces verts.

Rive Droite, les Rosoirs, le Centre, les Brichères, les Piedalloues, Saint-Julien/Saint-Amâtre, Saint-Siméon, Saint-Gervais/Brazza et le Port de plaisance se sont mobilisés avec réel intérêt pour cette réappropriation du végétal en zone urbaine.

Même les scolaires sont entrés dans la danse ! Les établissements élémentaires de la ville ont participé aux premiers semis des futurs légumes, intégrant cette initiative, ludique à ses débuts, à leur projet pédagogique. Prouvant que cette initiative heureuse est bien l’affaire de tous !

 


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C’est dans une zone de chalandise très dynamique et prometteuse, en périphérie de Lyon, que la filiale française du groupe d’Outre-Rhin a choisi d’ouvrir son nouveau point de vente. Inaugurée officiellement le 24 avril, la structure complète l’offre globale du spécialiste de la vente de produits chimiques, de fixation, d’outillage et de consommables techniques, leader de la distribution multicanale.

VAULX-EN-VELIN (Rhône) : Le projet aura été de longue haleine. Dans sa phase d’élaboration et de positionnement. Devant l’accélération croissante des attentes de sa clientèle et au développement de la digitalisation dans les relations commerciales, l’ingénierie de BERNER France a capitaliser sur son expérience, vieille d’un demi-siècle, pour évoluer à travers ce nouveau concept de magasin.

Implantée dans l’Yonne depuis 1969, la déclinaison hexagonale du groupe allemand s’est forgée au fil du temps une solide réputation auprès des professionnels de la mobilité, de la construction et de la maintenance industrielle. C’est-à-dire son cœur de cible.

Aujourd’hui, BERNER France pèse 238 millions d’euros de chiffre d’affaires. L’entreprise recense 1 500 collaborateurs dont mille commerciaux qui font fructifier un portefeuille de plus de 100 000 clients.

Ouvrir une structure de la sorte dans le département du Rhône répondait à un besoin stratégique. Comme le précise Didier GOGUELIN, directeur général de la filiale française.

« Ce projet s’inscrit dans notre stratégie « omnicanal », c’est-à-dire du vendeur terrain à l’e-commerce qui vise à nous rapprocher de notre clientèle. Nous cherchons tous à améliorer l’expérience client. Nos clients sont aujourd’hui en contact constant avec notre marque, que ce soit via notre centre de relations client, notre commercial terrain, l’appli web, le site marchand ou nos supports imprimés tel que le catalogue. Le point de vente doit fonctionner de la même manière et c’est pourquoi nous voulions créer un parcours client simple, homogène et familier. En entrant dans le magasin, le client fait le lien avec la marque, ses produits et services grâce à la cohérence entre tous les points de contact ».

Un concept résolument ouvert vers l’humain

Attaché à la dimension humaine, la vitrine commerciale lyonnaise a été pensée dans cet état d’esprit. L’espace de vente en libre-service s’étend sur 300 mètres carrés et créé une ambiance plus accessible et plus proche. Pour permettre au visiteur de se repérer simplement dans le magasin, les gondoles centrales ne dépassent pas 1,50 mètre. Quant à la signalétique, elle est colorée et épurée. Cela contribue à donner une image structurée du magasin. Tout a été imaginé pour faciliter la compréhension de l’offre qui est proposée par univers produits.

Le point de vente dispose de salles de réunion. Elles faciliteront le lien avec la force de vente itinérante régionale, qui en profitera pour organiser des réunions d’équipes, des journées techniques ou des séances de formation sur site. Comme le précise Christian LEJET, directeur commercial Construction, « Le but d’ouvrir un magasin est d’une part de renforcer notre image de marque et notre ancrage local et d’autre part d’affirmer notre proximité avec nos clients et prospects… ».

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Dans le point de vente, sis 15 rue Jacques Tati à Vaulx-en-Velin, quatre collaborateurs dont le responsable accueillent les clients, uniquement professionnels. Ces derniers évoluent dans les différents univers en libre-service et peuvent s’adresser à tout moment aux conseillers du magasin pour bénéficier de leur expertise produits ou leur demander des informations sur les services proposés exclusivement en boutique. In-situ, les salariés peuvent réaliser des devis et ouvrir de nouveaux comptes en toute autonomie pour plus de réactivité et de gain de temps. Les commandes spéciales se gèrent avec le savoir-faire du siège à Saint-Julien-du-Sault.

 


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Présenté par les deux députés de l’Yonne, le Républicain Guillaume LARRIVE et l’UDI André VILLIERS, l’amendement déposé dans le cadre de l’examen de la loi d’orientation des mobilités propose de confier aux acteurs de terrain, en particulier le préfet de département et le président du Conseil départemental, le soin de décider, au cas par cas, de la vitesse autorisée sur le réseau routier, dans la limite de 90 km/h. Le texte est en cours de traitement par les services de l’Assemblée. Mettra-t-il enfin un terme à ce long feuilleton qui n’en finit pas de durer ?

PARIS : Depuis le 01er juillet 2018, date à laquelle le gouvernement a décidé l’abaissement de la vitesse maximale autorisée sur le réseau routier secondaire, il ne se passe pas un jour où le flou artistique qui règne en maître absolu autour de ce dossier, ne ressurgisse à la surface médiatique et ne soit comparable à un véritable casse-tête chinois pour l’exécutif.

Il est vrai que prendre la décision de réduire de dix kilomètres par heure ladite vitesse, soit de 90 à 80, ne pouvait engendrer une cote de sympathie naturelle à ce projet quelque peu alambiqué. Et pour le moins inattendu…

Même si celui-ci était défendu bec et ongles dès le début par le Premier ministre. Instigateur du concept, Edouard PHILIPPE avait déjà utilisé les forceps pour « vendre » l’idée au président de la République, guère convaincu par la pertinence de cette suggestion forcément impopulaire.

La mobilisation sociale de la mi-novembre n’aura pas manqué de cibler ouvertement cette baisse généralisé de la vitesse sur les routes françaises et de l’inscrire parmi le lot des revendications privilégiées.

Avec en toile de fond, un argument tangible se rapportant aux habitants des territoires ruraux : leur pénalisation assurée puisque ne disposant pas d’alternative possible pour se déplacer autrement dans leur vie de tous les jours.

Faciliter l’arbitrage par le préfet et le président d’un conseil départemental…

Or, les choses évoluent, semble-t-il, autour de ce texte législatif. Ce lundi 29 avril, lors de la séance de l’Assemblée nationale où les parlementaires examinaient le projet de loi d’orientation des mobilités, les deux députés de l’Yonne, le Républicain Guillaume LARRIVE et l’UDI André VILLIERS, sont donc montés au créneau : ils ont présenté l’amendement numéro 305.

L’exposé du texte, signé en tandem par les élus de l’Yonne, demande une justification formelle et chiffrée de cette mesure perturbante pour les automobilistes.

« Si la diminution du nombre de victimes d’accidents de la route est un objectif essentiel de toute politique de sécurité routière, il reste toutefois à démontrer que cette mesure contraignante et applicable à un réseau routier de 400 000 kilomètres ait pu y contribuer…écrivent de concert les députés icaunais.

S’en suivent deux alinéas. Le premier concerne le rôle du président du Département. Ce dernier, par arrêté motivé, fixerait la vitesse maximale autorisée pour les routes départementales, celles qui ne possèdent pas de séparateur central et hors agglomération, dans la limite de 90 km/h.

Le deuxième définit l’intervention du représentant de l’Etat dans le département. Ainsi, le préfet pourrait, en concertation directe avec le président du Conseil départemental, fixer la vitesse maximale autorisée pour les routes nationales et selon les conditions similaires au précédent alinéa. Une manière intelligente de gérer au cas par cas et selon les typologies de ces routes du réseau secondaire la mise en application de la loi. L’amendement est en cours de traitement par les services de l’Assemblée. Beaucoup croisent aujourd’hui les doigts pour que cet additif soit au final retenu par le Parlement…et applicable sur les routes de France.

 


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