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Les projets, ils fleurissent en multitude dans sa tête. Bar à tapas, bar à vins, optimisation de l’activité traiteur et réception mariages, découverte culinaire autour des produits du terroir, agrémentée d’un indéniable savoir-faire et d’une bonne dose d’empathie. Adepte de la joie de vivre, Cornélius de LAMINNE s’est entretenu cette semaine avec les responsables du CIFA de l’Yonne pour faire fructifier ses idées. Celles-ci reposent aussi sur le recrutement de nouvelles compétences…

 

MEZILLES : Idyllique, le cadre offre une vision très agréable de la Puisaye nimbée sous la lumière du printemps. La rivière, dès l’arrivée du visiteur curieux sur le petit parking, offre un point de vue enchanteur. Le silence et du repos. Un autre plan d’eau plus statique, proche de l’établissement, évoque plutôt la mare à la grenouille. Quand les batraciens pullulaient jadis dans les endroits les plus humides de nos campagnes. Bienvenue au Moulin de CORNEIL.

C’est un de ces restaurants typiques qui fleurent bon l’authenticité tant dans l’assiette que dans son décorum. Une ancienne scierie qui a été entièrement remodelée à la sauce des adeptes d’ESCOFFIER pour celles et ceux qui possèdent encore des références gastronomiques !

Ici, tout est correct. L’accueil, on ne peut plus sympathique du maître de ces lieux : Cornélius de LAMINNE. La table, savoureuse et faite maison (l’onglet de bœuf sublimé par la saveur subtile de l’ail des ours, un régal !). L’ambiance, où les copains se succèdent aux amis, férus fidèles de la maison. On se tutoie, on se fait la bise, on est tactile. On fait fi des salamalecs imposés par la distanciation sociale et autres gestes de reculade des relations humaines. Ici règne l’esprit de l’auberge de campagne d’autrefois comme on les aime et qui réchauffe le cœur. Cela représente l’aura de ce site.

 

Le lancement d’une nouvelle formule branchée dès le mois d’avril…

 

Cornélius est accueillant. Un mot, voire plus pour chaque convive. Une parole, toujours réfléchie pour évoquer la cohorte de projets qu’il enfile comme des perles à force de les égrener !

D’ici le 01er avril, et ce n’est pas une blague imputable à un quelconque poisson qui n’a rien d’une référence évangéliste, s’ouvrira à la Mare aux Fées (complexe édifié à quelques encablures de là) le nouvel endroit branchouille de la Puisaye pour amateurs d’oisiveté et de loisirs. Il y combinera le bar à tapas, bar à vins, bar à cigares (sans doute), bar à ambiance pour les after work, endroit où la vie reprend ses droits en suivant son cours sans se préoccuper des atermoiements du monde extérieur.

D’ailleurs, Cornélius de LAMINNE en a déjà fait écho auprès de deux responsables du CIFA de l’Yonne, Delphine ENGELVIN, l’une des encadrantes du centre de formation et Maxime LAUZET, pur produit de la communication numérique.

 

 

Objectif : recruter au plus vite des jeunes pousses qui veulent se lancer dans le métier de la restauration, secteur qui aura tout de même perdu près de 140 000 âmes au sortir de la COVID 19 au grand dam de l’UMIH !

Cinq postes sont à pourvoir de suite au Moulin de CORNEIL. Deux en cuisine et trois au service en salle. Logique : la haute saison pointe déjà le bout de ses oreilles avec son flux incessant de touristes étrangers et nationaux qui sillonnent dès les beaux jours venus la flamboyante contrée de Puisaye.

L’univers moyenâgeux de Guédelon n’est pas très loin. Toucy et Saint-Fargeau, non plus par ailleurs. Quant au parc naturel de Boutissaint, il se situe à quelques portées de brame de cerfs de là !

 

Des postes à pourvoir avant le début de la haute saison…

 

Mais, d’autres besoins humains occupent l’esprit entrepreneurial du chef d’entreprise originaire de la capitale. Il lui faut renforcer sa force de frappe très vite avec le lancement de ces nouvelles affaires qui vont l’accaparer ces prochaines semaines. In fine, c’est une vingtaine de personnes qui doivent composer son effectif de compétences au service de la clientèle.

Avis aux amateurs des arts de vivre et de la filière alimentaire : il y a des postes à pourvoir immédiatement à Mézilles !  

C’est aussi tout l’intérêt de cette rencontre en b to b avec les dirigeants du CIFA de l’Yonne qui n’auront nullement manqué cette opportunité pour présenter les atouts de leur établissement. Via, on s’en doute, le prisme de l’apprentissage et de son corollaire pratico-pratique, l’alternance…L’excellence de la formation professionnelle se plaît à répéter la sémillante Delphine ENGELVIN…

 

Thierry BRET

 


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L’ambiance se veut presque potache. Indéniablement, le plaisir de se retrouver transpire à chaque contact. Et du chef d’entreprise, il y en a à foison au centimètre carré ! Il est vrai que l’espace d’accueil de la Maison de la Mutualité à Paris dispose de solides atouts pour accueillir une telle manifestation. La rencontre de la fine fleur des industriels de France (celles et ceux qui sont inféodés à l’UIMM) et les cadors de la politique hexagonale, en prise directe pour disputer une joute électorale se nommant la présidentielle…

 

PARIS: Sur un plan intellectuel, l’initiative a du bon. Idem au niveau de la communication car l’exercice est suivi par plus d’un millier de personnes. Et pas n’importe lesquelles. Celles qui occupent des rôles stratégiques et d’influence aux manettes du développement économique et sociétal de l’Hexagone, à savoir les patrons. A l’estampille de la seule filière industrielle car il s’agira bien dans les propos qui suivront de débattre autour de l’un des thèmes de campagne fort de cette présidentielle : le renouveau de l’industrialisation.

Une antienne qui au fil de l’eau s’est imposée comme un leitmotiv inéluctable à accommoder à toutes les sauces. Après celles vécues pendant la crise sanitaire où la dépendance industrielle de la France envers les pays asiatiques s’est muée en une véritable plaie béante et douloureuse, traduisant notre incapacité à faire montre de réactivité et d’efficience pour s’équiper de masques et de produits de protection dans les meilleurs délais.

Avec celles que nous vivons désormais depuis un peu plus de trois semaines, du fait de ce conflit inattendu (mais prévisible par les Américains) en Europe, opposant les deux voisins et néanmoins pays frères aux mêmes origines que sont la Russie et l’Ukraine.

Forcément, face à ce millier de personnes à qui on ne l’a fait pas côté tactique industrielle, cela ne devait pas être si aisé de pouvoir dérouler son programme électoral, spécifique à une thématique ô combien fondamentale par les temps qui courent.

 

Industrialisation rime avec formation, fiscalité et emplois…

 

Pourtant, l’équation est tellement simple. Qui dit industrialisation, en effet, suppose dans la foulée de la formation, avec à la clé les nécessaires emplois qualifiés dont ont besoin de manière viscérale les capitaines d’industrie hexagonale, notre indépendance productiviste face aux pays émergents de la mondialisation qui faussent la donne en cassant les coûts de production, une fiscalité adaptée aux réels attentes des entrepreneurs, et in fine une souveraineté énergétique en vue de ne pas subir la poussée de fièvre inflationniste (et surtout très spéculative) assurée par une poignée de profiteurs sans morale aucune ni respect d’autrui.

Voilà sur quoi l’enjeu de cette rencontre passionnante reposait entre les professionnels de la politique, possédant des velléités d’endosser la vêture présidentielle au soir du 24 avril, et des chefs d’entreprise soucieux de repartir avec du concret dans leur escarcelle.     

Certes, on pourra regretter l’absence de plusieurs candidats à ce grand oral, digne d’un concours d’éloquence, minuté, et formaté par les organisateurs de l’UIMM, l’Union des Industries et des Métiers de la Métallurgie. Un sérieux poids lourd dans le giron de l’entrepreneuriat français. Excusez du peu mais le président de l’entité syndicale n’est autre que le président de DASSAULT Industries, Eric TRAPPIER !     

Gravitent à ses côtés quelques noms célèbres flirtant avec les indices boursiers du CAC 40 !

 

 

Une brochette réduite à quatre candidats seulement…

 

Mais, revenons à nos postulants. Sommet européen oblige sous les ors de Versailles, le président-candidat Emmanuel MACRON, initialement prévu pour prendre part à cet échange avec les milieux économiques (il adore en règle générale ce type d’exercice oratoire) ne sera pas là. On sent une pointe de déception manifeste parmi l’assistance lorsque la « madame loyale » de la cérémonie, journaliste sur les antennes de Canal +, déroule le contenu de ce copieux menu, à avaler en quantité abondante sur la journée, et fait part de cette nouvelle de dernière minute. Pas même une petite vidéo, histoire de nous mettre l’eau à la bouche sur les intentions élyséennes ?

Pas de Jean-Luc MELENCHON, non plus ! Dommage : il aurait été passionnant de suivre les échanges par questions interposées entre le tribun volubile qui n’a pas sa langue dans la poche et les représentants de ce monde économique, à l’origine de tous les maux de la société selon sa perception des choses. Yves JADOT ne dévoilera pas non plus ses positions contradictoires sur sa vision de l’économie industrielle et écologiste.

A contrario, Marine LE PEN (RN), Anne HIDALGO (PS) et Valérie PECRESSE (LR) donneront le change à ce public impatient, se succédant l’une après l’autre au pupitre de cette scène immense. A l’instar du candidat souverainiste de Reconquête, Eric ZEMMOUR, électron libre de la pensée politique du moment.

Galanterie oblige du fait d’une parité excédentaire en faveur de la gent féminine (!), c’est ce dernier qui ouvrira donc le bal. Sous les yeux scrutateurs de milliers de têtes pensantes qui n’en manqueront pas une miette !

 

 

 

Se passer de la main d’œuvre étrangère : le credo du candidat ZEMMOUR !

 

Bille en tête, l’ancien éditorialiste mais toujours polémiste démarre au quart de tour sur la main d’œuvre issue de l’immigration ! Un des participants, composant le petit groupe UIMM de l’Yonne, glisse fort à propos de manière ironique : « Ca y est, c’est parti : on en a pour quarante minutes de cette litanie ! ».

Pointant de l’index les impôts de production et les effets de seuil qui ne permettent pas aux PME de croître, Eric ZEMMOUR égrène différentes propositions utiles lui permettant de démontrer que la chose économique ne lui est pas aussi étrangère que l’on veut bien lui prêter. Si la priorité nationale s’apparente à une évidence dans les commandes publiques,  le candidat souverainiste fustige les frais de successions et surtout les inégalités dès qu’il évoque la concurrence internationale. Quant à l’immigration et ses multiples travers (le credo du personnage), elles auront été longtemps explicitées durant cette intervention.

 

 

Anne HIDALGO :  une odyssée de l'économie en quatre actes…

 

Que dire de la prestation à contre-courant de la maire de Paris, la socialiste Anne HIDALGO ? Une candidate qui a suscité bon nombre de sourires moqueurs de la part du public, affirmant au passage qu’elle avait pu relier la Défense à la Maison de la Mutualité en moins de vingt minutes, montre en main. Un exploit en matière de locomotion qui a su faire germer le doute quant à la véracité de ces propos aux heures sombres de nombreux bouchons et autres embouteillages dont les Parisiens sont coutumiers !

Puis, revenant au sujet du jour, la candidate du PS a décliné la présentation de son « odyssée » qu’elle souhaite appliquer à l’économie française. Une odyssée segmentée en quatre actes : la santé, les énergies renouvelables, la mobilité et le numérique. Elle s’appesantira passablement sur la formation et la promotion de l’individu à travers l’égalité salariale entre femmes et hommes. A compétences identiques, il va de soi. Avec l’obligation pour les entreprises de s’y soumettre, et d’obtenir des bons points à l’appui pour les meilleures d’entre elles et surtout des sanctions économiques pour celles qui refuseraient de le faire !

Des pistes de réflexion qui n’ont guère convaincu l’assistance peu encline à devoir subir d’autres griefs économiques au vu de la conjoncture…

 

 

Marine LE PEN : " La France doit rester maître de ses moyens industriels"…

 

Souriante, très à l’aise, ne lisant pas ses notes, l’égérie du Rassemblement National Marine LE PEN s’est entretenue ensuite avec ce « jury » spécifique du grand oral de l’industrie. « Les pays en possession de leurs moyens industriels restent maîtres de leurs orientations ! ». Le ton est donné pour l’oratrice qui avait échoué en 2017 à accéder à la présidence. La faute à un débat télévisé pour le moins curieux si ce n’est catastrophique.

Lors de cette prise de parole, la cheffe de file du mouvement bleu marine parle de nucléaire comme de l’automobile, surfant sur le coût des énergies et le besoin de s’engouffrer vers l’hydrogène. Favorable à la nationalisation des autoroutes, l’oratrice rappelle que réindustrialiser la France représente un enjeu d’aménagement du territoire essentiel à notre pérennité. La boucle est bouclée et aux dires de plusieurs rangées de spectateurs interrogés, le dossier est maîtrisé.

 

 

Oui à l’innovation et la simplification administrative pour Valérie PECRESSE…

 

Reste pour clore ce concours d’éloquence un peu spécial le passage de Valérie PECRESSE, leader des Républicains. La présidente de l’Ile-de-France semble être à l’aise à la tribune, après sa déconvenue orale du Zénith. L’industrie, elle connaît en parfaite technicienne et en visiteuse d’entreprises qui pullulent sur son territoire de prédilection. Et paradoxalement, c’est vers la revitalisation des territoires ruraux qu’elle intensifiera ses propositions !

Dénonçant au passage l’application du « zéro artificialisation nette ». Entre innovation et recherche, entre souplesse et simplification administrative, la représentante de la droite et du centre droit veut remettre le pays en ordre de bataille, n’oubliant pas l’emploi et la formation qui vont de pair. Un message fort à destination de son électorat potentiel, les chefs d’entreprise.

Au-delà des quatre interventions, une chose est sûre en qualité de dénominateur commun aux propositions faites ce jour-là à Paris : réindustrialiser la France s’inscrit parmi les priorités régaliennes de ces candidats.

Mais, après les paroles qui ont été prononcées, il est clair que la sphère entrepreneuriale dans son ensemble (et bien au-delà de l’UIMM) attend maintenant une véritable concrétisation de ces idées sous la forme d’actes clairement réalisés. Autant dire que le temps des promesses futiles est révolu !

 

Thierry BRET

 


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Prometteur Louis BARILLET ! Elève de la section BTS Cuisine au lycée Vauban à Auxerre, ce jeune homme, stagiaire au Rive Gauche de Joigny, vient de décrocher cette semaine une très belle troisième place lors du onzième concours national Olivier ROELLINGER, ex-établissement trois étoiles à Cancale. « L’Aile ou la Cuisse » est heureuse de le féliciter !

 

JOIGNY : Malgré la présence de candidats d’autres pays, Louis BARILLET a tiré son arête du jeu, peut-on dire, en travaillant la truite bio de la pisciculture de Crisenon.  

Bien entraîné par une belle équipe de professionnels (Jérôme JOUBERT et son professeur de cuisine François HENNARD notamment), ce jeune cuisinier a su séduire un exigeant jury avec ses deux plats : le dos de truite, pomelo, réglisse et dulse (une algue), puis le tartare de truite aux algues et aux agrumes, huile de coriandre.

De retour dans l’Yonne, sans iode ni embrun, Louis a gagné en terre bretonne une belle médaille.

 

Gauthier PAJONA

 


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Faire perdurer la tradition. Celle de l’organisation de superbes concours de coiffure où s’affrontent les meilleur(e)s de leurs spécialités. Qu’il s’agisse de coiffes de mariées, de coupes masculines, de projections futuristes ou que sais-je encore. Trente-six candidates se sont retrouvées à Migennes le 13 mars dernier. Objectif : se qualifier pour les finales nationales devant se dérouler en 2023…

 

MIGENNES : Ah, l’élégance et la maestria de ces jeunes apprentis coiffeurs et professionnels confirmés qui exécutent des coupes remarquables où l’inspiration se transmet jusqu’au bout des doigts via la paire de ciseaux et ne cesse de nous émerveiller ! Concocté par l’antenne départementale de l’Yonne de l’Union Nationale des Entreprises de Coiffure (UNEC), le challenge « Trophy », proposé il y a peu à Migennes, n’a pas usurpé sa réputation.

Banque Populaire

Voilà une excellente interprétation de ce que sont ces métiers de l’artisanat et des services (la coiffure) qui procurent toujours d’agréables sensations. Chères à la CNAMS (Confédération nationale de l’Artisanat, des Métiers et des services) qui en défend les valeurs et la pérennité sous l’égide de son organisme.

 

 

Ce concours, annuel quand il n’est pas perturbé par une crise sanitaire, aura prouvé que la dextérité peut réaliser des prouesses lorsque l’on maîtrise les bases fondamentales de la corporation. De l’art à l’état pur ! Et une excellente opportunité pour celles et ceux qui en sont ses ambassadeurs de pouvoir s’illustrer sous le feu nourri des projecteurs, notés par un jury d’experts.

Un challenge encouragé par la CNAMS de Bourgogne Franche-Comté. L’organisme accompagne ainsi sur le terrain l’une de ses fédérations professionnelles adhérentes, en faisant toute la lumière sur ce beau concours qui a su faire rêver celles et ceux qui suivent de près l’actualité de l’artisanat. Une réussite, vraiment…

 

Thierry BRET

 

 


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Et une commune de plus à ajouter dans l’escarcelle de l’opérateur de télécommunication ! ORANGE poursuit sa mission. Celle qui consiste à déployer sur ses fonds propres la fibre optique dans les dix-neuf communes que compte l’agglomération de l’Auxerrois. Bourgade connue pour la qualité de ses vins, CHITRY voit ainsi ce déploiement de la haute technologie arrivé à son terme. Pour la plus grande satisfaction de ses élus et de ses habitants…

 

CHITRY : Bras croisés, à l’écoute de la moindre phrase explicative, Christian BOULEY ne cache pas son contentement. Au côté du maire, ses deux adjoints font de même. Ils découvrent studieux le saint des saints de ce système de communication qui a révolutionné la planète au fil de ces dernières années : la fibre optique !

Béante, les deux portes grandes ouvertes, l’armoire NRO (nœud de raccordement optique), livre ses secrets. Fait de multiples fils multicolores et de points de soudure d’une extrême précision qui s’entrecroisent avec méthodologie pour assurer la bonne fonctionnalité de la liaison. Celle qui relie citoyens, collectivités et entreprises au monde entier !

 

 

Déjà plus de 37 000 logements et locaux professionnels éligibles sur l’Auxerrois…

 

Une aubaine pour les 257 foyers ou locaux professionnels de la commune qui vont pouvoir désormais en bénéficier. Un tour de force, une prouesse devenue accessible à tous sur l’Auxerrois ou presque. Les travaux d’aménagement vont en effet se poursuivre jusqu’au terme de 2022 sur d’autres localités, conformément aux engagements pris auprès de l’Etat afin de raccorder l’ensemble des 40 000 logements de ce bassin.

Etre éligible à la fibre, c’est naturellement s’offrir des opportunités nouvelles dans les usages au quotidien. Un gain de réactivité et de puissance pour les ordinateurs. Une qualité du son et de l’image exceptionnelle pour les appareils audiovisuels. Bref : l’ultra modernisme à la portée de tous.

Devant l’armoire métallique, au coloris vert foncé (une nuance chromatique en harmonie avec Dame nature et son environnement bien pensée), les élus questionnent leurs interlocuteurs. A commencer par Véronique MORLIGHEM, déléguée régionale de l’opérateur en Bourgogne. Elle rappelle en préambule la genèse de cette opération pharaonique qui a conduit ORANGE à s’engager sur ces innombrables chantiers.

« A fin février, précise-t-elle, plus de 37 000 logements et locaux professionnels de l’Auxerrois étaient éligibles à la fibre optique… ».

 

 

 

La pose de boitiers de raccordement, étape actuelle de l’opération…

 

Et ce n’est pas fini ! Car l’opérateur, on l’a bien compris, met les bouchées doubles pour arriver à couvrir tout ce périmètre d’ici la fin de l’année. Les armoires identifiables dorénavant fleurissent çà et là. A l’intersection de plusieurs rues. Aux abords d’un lotissement. Sur des points névralgiques d’une localité. Elles sont 118 à avoir été installées à ce jour !

Mais, ce n’est pas tout. ORANGE pose à l’heure actuelle des points de branchement. Ils sont indispensables pour faciliter le raccordement des logements à la nouvelle technologie. Dans les faits, l’opérateur contacte les particuliers mais aussi les syndics et les bailleurs afin que ces derniers acceptent d’être équipés de ces précieux boîtiers. On peut les distinguer machinalement sur la façade des habitations. Certains sont placés à l’intérieur des bâtiments. Mais, tous ont pour vocation d’optimiser l’arrivée de la fibre optique.

 

 

Reste l’ultime étape. Celle de l’opérationnalité officielle du système. Puisque le réseau fibre optique déployé par ORANGE repose sur la mutualisation, les utilisateurs ont la faculté de pouvoir choisir leur abonnement auprès de l’un des quatre opérateurs reconnus à ce jour. Les spécialistes du Très Haut débit qui font office de fournisseurs d’accès Internet dans l’Hexagone depuis plusieurs années.

Le progrès en matière de communication ne cesse d’avancer. CHITRY vient à son tour de le constater !

 

Thierry BRET

 

 

 


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