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Testé depuis quelques mois sur l’une des deux plateformes expérimentales gérées par  SEINE YONNE, l’union des coopératives regroupant « YNOVAE » et « 110 Bourgogne » à Précy sur Vrin, l’emploi de produits phytosanitaires dans le traitement de cultures céréalières pourrait aboutir à des résultats plutôt favorables à cette pratique originale, inspirée du retour au naturel et au bio. Pour l’heure, et avant que ne soient officialisés de manière définitive les résultats de ces études d’ici plusieurs mois, les experts en agronomie de la structure reconnaissent l’absence d’agressivité constatée sur les blés ayant reçu leurs doses de décoction à base de purin d’ortie ou d’origan…

PRECY SUR VRIN : Soigner et traiter les plantes de la culture céréalière par d’autres végétaux, à partir de décoctions ou d’huiles essentielles, pourrait devenir à terme une pratique largement répandue auprès des milieux agricoles traditionnels. Les experts et techniciens de SEINE YONNE, l’entité opérationnelle fédérant les deux coopératives « YNOVAE » et « 110 Bourgogne », ne sont pas avares en explication lorsqu’ils dévoilent avec moult détails le contenu de leurs expériences qui se réalisent au quotidien sur les surfaces consacrées à l’utilisation de produits phytosanitaires.

Un passionnant travail de prospective expérimentale…

Au gré de plants qui occupent ces larges espaces de pousses sans fongicide, les techniciens conçoivent des batteries de tests en aspergeant les jeunes blés de différentes mixtures, faites à partir de savants mélanges à la Géo TROUVETOU où la presle, l’ortie, l’origan ou l’ail, représentent des variétés végétales pouvant jouer un rôle fondamental dans cette stratégie de traitements et de soins naturels. Grâce à leurs vertus en souffre.

Ces macérations appliquées consciencieusement sur différentes variantes de blé permettent d’obtenir des analyses fines et précises sur la réaction obtenue à partir de ces bio-solutions. Néanmoins, les experts précisent qu’il leur faudra patienter au-delà d’un cycle de vie complet de la céréale traitée pour rendre un verdict définitif sur la pertinence de cette pratique encore peu usuelle.

Afin d’éradiquer toutes velléités nocives dans l’emploi de ces produits, pouvant être trop puissants à cet usage agricole en particulier pour les huiles essentielles, les techniciens de SEINE YONNE se fournissent directement auprès de spécialistes garantissant les origines des distillats. S’en suivent, après maintes précautions, des manipulations très sérieuses dans le grammage et le dosage de ces solutions normées.

Vers de nouvelles stratégies de la pratique agricole ?

Au-delà du préventif vis-à-vis des ravageurs et des parasites, les spécialistes en agronomie souhaitent stimuler la plante de manière naturelle en y incluant aussi le curatif si nécessaire. Enfin, l’ensemble de ces soins prodigués par les techniciens le sont avec l’utilisation d’eau de pluie qui permet de garantir les vertus naturelles de ce procédé écologique. L’accès à une autre forme d’agriculture, intégrant les paramètres de la nature et de la santé, est ainsi possible à brève échéance.

D’où l’impatience des responsables des coopératives « YNOVAE » et de « 110 Bourgogne » de connaître les premiers résultats de cette heureuse initiative, qui est respectueuse de l’environnement.


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Plus ambitieux, mieux construit et gagnant en maturité, le projet de développement de la jeune start-up auxerroise, METEO 89, se peaufine minutieusement dans la tête de son pygmalion, l’entrepreneur-étudiant Raphaël ROTH. A 21 ans, et après quelques jours d’un salvateur repos amplement mérité du côté de la Vendée, le jeune homme nous revient frais émoulu pour entamer cette nouvelle période d’activité en finalisant un business-plan très structuré. Ce document devrait lui permettre d’obtenir de substantielles possibilités d’aides et de soutiens financiers favorables à l’optimisation de son concept. Achevée fin mai, cette phase analytique conçue avec le précieux concours de la Junior entreprise de l’IFAG Auxerre, dévoilera les perspectives évolutives de la SASU. Des informations utiles devant être présentées ensuite aux partenaires économiques et institutionnels de Bourgogne Franche-Comté…

AUXERRE : Objectif : concevoir une levée de fonds indispensable à la pérennisation du concept auprès des milieux agricoles/viticoles, ceux du bâtiment et des travaux publics, voire les collectivités. Moyen idoine pour y parvenir : le montage d’un business-plan solide et pertinent servant à structurer le projet avant de le dévoiler à d’éventuels partenaires et investisseurs.

Une étude de marché conçue avec l’aide des étudiants de l’IFAG Auxerre…

Désormais seul pilote à bord de ce projet entrepreneurial de grande envergure et si insolite que représente METEO 89, le jeune Raphaël ROTH a profité de l’air marin sur les côtes vendéennes durant quelques jours pour souffler un peu, certes, après de nombreux mois de labeur mais aussi pour rendre mature ce business-plan capital pour son avenir.

« Je souhaitai un apport de compétences extérieures et un regard critique sur la constitution de ce dossier, confie-t-il, afin de ne pas passer à côté de certaines choses pouvant s’avérer fondamentales. Le choix de bénéficier de la plus-value conférée par l’intervention des étudiants de l’IFAG Auxerre, via le prisme de leur Junior entreprise, est alors devenu évident à mes yeux… ».

Conscient de la qualité du travail fourni, Raphaël ROTH a opté en faveur d’un travail collaboratif avec des représentants de la fameuse génération « Z » car il se sentait très proche de leurs valeurs. « Je suis moi-même étudiant en géographique et climatologie », lâche-t-il tout sourire.   

D’ailleurs, ce rapprochement vécu en parfaite osmose ne se limitera pas à la conception du business-plan. Dès la saison prochaine, le mentor de METEO 89 s’attèlera les services de deux jeunes étudiants en alternance dans le cadre du développement économique de son outil. S’inscrivant ainsi dans une logique citoyenne de renvoi d’ascenseur naturel en créant le terreau d’accueil nécessaire à l’insertion professionnelle des futurs diplômés de l’école de management icaunaise.

Quant à l’étude alimentée après moult mois de réflexions par le travail du monde estudiantin, elle sera terminée d’ici la fin du mois de mai.

Couvrir la totalité de l’Hexagone en implantant des centres météorologiques…

Débutera, dans un second temps, la circulation de ces analyses agrémentées de données statistiques sur la concurrence existante ou les divers avantages sur les packages marketing proposés par METEO 89 auprès des milieux institutionnels et économiques de la région. Muni de son bâton de pèlerin, Raphaël ROTH ira à la rencontre des nombreux contacts professionnels interpellés par la pertinence de ce support météorologique indépendant, ayant décidé de dépasser les simples frontières de la prévision en travaillant les segments des utilisateurs professionnels issus de l’agriculture et de la viticulture, du secteur BTP, du tourisme et des collectivités territoriales.

Envisageant l’ouverture du capital de la société même s’il en demeurera l’actionnaire majoritaire, le jeune homme voudrait obtenir gain de cause auprès des incontournables soutiens aux entreprises que sont BPI France, la Région, et d’autres organismes de la même teneur.  

De gros investissements seront indispensables à réaliser tant au niveau technologique ou R&D qu’au plan humain (prévisionnel d’une vingtaine de recrutements commerciaux et techniciens) pour le dirigeant.

« Le but est d’implanter des centres météorologiques dans chaque département français y compris ceux de l’outremer, précise Raphaël ROTH, d’ici trois ans, METEO 89 (entre-temps pourvu d’une nouvelle appellation sémantique), contrôlera un axe septentrional au-dessus d’une ligne reliant Nantes à Lyon. Avant de couvrir grâce à un maillage technique très opérationnel la totalité du pays aux alentours de 2023/2024… ».

Pour se faire, une première enveloppe estimée à 120 000 euros serait obligatoire à intégrer dans la besace de l’entreprise pour qu’elle puisse mener à bien les différentes strates évolutives de ce concept qui nécessitera l’acquisition de licences spécifiques, notamment dans l’usage des radars de météo…Des investissements incompressibles, on s’en doute…


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Ouverte aux concurrents professionnels issus de l’agriculture/viticulture, artisans des métiers de bouche et restaurateurs, la quatrième édition de ce concours plein de saveurs et de succulence gastronomique aura pour président de jury, un orfèvre en la matière, le champion du monde des métiers du dessert et Meilleur ouvrier de France catégorie pâtisserie, l’Aubois Pascal CAFFET. Le maître es chocolat à forte valeur ajoutée de pur cacao est apparu récemment dans la fameuse émission, « Le Meilleur pâtissier », diffusée sur M6. Gageons que cet habitué des concours, membre initial du jury de la première mouture de cette confrontation proposée par le Crédit agricole saura apporter son regard d’expert avisé sur les valeurs sûres de la gourmandise culinaire de la région Champagne Bourgogne…

DIJON : C’est une pointure de l’art gastronomique, spécialité pâtisserie, chocolaterie et confiserie, qui aura le privilège de dénouer les fils ténus de l’incertitude d’un jury au terme de la prochaine échéance des 4èmes Talents Gourmands édition 2018.

Habitué des compétitions culinaires internationales, chantre de la sublimation des arts de vivre au fond de l’assiette, le Meilleur ouvrier de France de Troyes Pascal CAFFET se retrouvera aux commandes d’un jury composé de professionnels devant se réunir en juin afin d’examiner de manière scrupuleuse le tour de mains et les spécialités conçues par les postulants au titre suprême.

Mais, avant d’en arriver aux ultimes et très attendues conclusions de son président, le jury de la Caisse régionale du Crédit agricole Champagne Bourgogne aura eu en amont l’opportunité de pouvoir sélectionner neuf finalistes (trois représentants par catégorie) selon des critères faisant référence aux qualités professionnelles de chacun et surtout à leur capacité à travailler les produits issus du terroir régional en leur conférant une certaine magnificence. Esthétique mais aussi, ce qui tombe sous le sceau de l’évidence, gustative…

Le jour J, celui de la finale (la date n’est pas encore arrêtée de manière officielle), le jury désignera les trois lauréats qui recevront chacun des prix numéraires (3 000 euros), des cadeaux mais aussi le titre de Talent Gourmand 2018.

La clôture des inscriptions est actée jusqu’au 31 mai…

Pour prendre part à ce concours d’inspiration nationale (la plupart des caisses régionales de la Banque Verte organisent cette épreuve dans leur zone de prédilection), les candidats professionnels peuvent déposer un dossier sur le site suivant, www.talents-gourmands.fr.

Selon les trois catégories, chacun des prétendants peut ainsi choisir sa segmentation qu’il s’agisse du milieu agricole/viticole (élevage, grandes cultures, fruits et légumes, agriculteurs, en individuel mais aussi en coopératives), des artisans des métiers de bouche (bouchers, boulangers, traiteurs, pâtissiers, chocolatiers…) et aux restaurateurs (cuisiniers salariés, propriétaires, sauf la restauration rapide et collective). Seul critère sélectif à ne pas négliger : obligation est faite aux candidats de posséder le siège social de leur activité sur le territoire de la caisse régionale du Crédit agricole Champagne Bourgogne (Aube, Côte d’Or, Haute-Marne et Yonne).

Pas encore de lauréats Icaunais depuis les origines de l’épreuve…

Espérons, vu du prisme départemental, que cette année, les candidats Icaunais vaincront le signe indien qui plane au-dessus de leurs têtes. Depuis 2013, date du premier concours, aucun des représentants de ce territoire n’a pu glaner la moindre première place dans l’une des trois catégories !

Cette année, le concours se déroulera chez nos voisins de l’Aube. Souhaitons que les candidats, arborant les couleurs de l’Yonne, ne se limiteront pas à de simples accessits…


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Intégré parmi le conseil d’administration de la structure agricole départementale au cours du double exercice 2016/2018, le jeune professionnel, installé depuis septembre 2013 dans le nord-ouest de l’Yonne possède une motivation sans borne pour entamer ce mandat de président. Succédant à Mathilde LEMAITRE qui rempile dans le nouveau bureau en qualité de trésorière, le responsable des Jeunes agriculteurs de l’Yonne, fraîchement élu, dévoilera le contenu de sa feuille de route d’ici la fin avril…

AUXERRE : Adhérent des Jeunes agriculteurs de l’Yonne depuis 2015, Maxime BOUCHER vient d’être désigné par ses pairs président de la structure à l’issue du conseil d’administration qui s’est réuni le jeudi 15 mars à Auxerre.

Agé de 23 ans, le jeune garçon à la tête d’une exploitation céréalière de 124 hectares à Fouchères a profité des faveurs du scrutin pour prendre la responsabilité de cette entité qui fédère aujourd’hui près de cent-cinquante adhérents et sympathisants, âgés de 17 à 35 ans, voire un peu plus…

Détenteur d’un baccalauréat STAV obtenu au lycée de Saint-Pouange dans l’Aube, Maxime poursuivra son cursus d’enseignement supérieur en décrochant un BTS APV en 2014, au lycée de la Brosse à VENOY.

Lors de son mandat précédent, au sein du conseil d’administration, le jeune professionnel a eu en charges les dossiers des grandes cultures, environnement et relation avec la Fédération départementale des syndicats d’exploitants agricoles de l’Yonne.

Au cours de ce mandat qui devrait le porter jusqu’en 2020, Maxime BOUCHER bénéficiera de la présence d’une équipe solide et aguerrie constituée de Guillaume GOUX, secrétaire général, Loïc SAUTREAU, secrétaire général adjoint, Mathilde LEMAITRE, trésorière, Jean-Baptiste GODEFROY et Jean-Baptiste TRIBUT, responsables installation, Charlotte RENARD, responsable de la communication, Guilain DESNOYERS, responsable des filières, Bertrand MASSON et Julien CAILLARD, candidats à Jeunes Agriculteurs Bourgogne Franche-Comté ainsi que l’ensemble du conseil d’administration élu lors de l’assemblée générale le 01er mars 2018…


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Parce que les accidents de tracteur représentent la première cause de décès accidentel en milieu agricole, l’assureur mutualiste GROUPAMA Paris Val de Loire propose, tout en le finançant, un programme à vocation pédagogique et sécuritaire régulier, baptisé « Dix de conduite rurale ». En ce mois de mars, quatre-vingts pensionnaires du lycée agricole de la Brosse à VENOY ont pu bénéficier d’une séance de travail spécifique permettant de mieux appréhender les risques. Et surtout de les éviter…

VENOY : Chaque année, en France dans le secteur de l’agriculture, 35 % des décès accidentels sont imputables au contact avec une machine agricole. Et même si l’on enregistre moins d’accidents depuis quatre décennies, il n’empêche que les conséquences de cette accidentologie professionnelle occasionnent des effets irréversibles.

Les plus sérieux de ces accidents qui pourraient être évitables à 90 % surviennent avec des machines très volumineuses à l’instar des moissonneuses-batteuses, des récolteuses de légumes, des pailleuses ou des désileuses.

Les origines de ces catastrophes funestes (on dénombre une cinquantaine d’accidents mortels chaque année) sont humaines. Parmi les circonstances les plus fréquentes : les rotations effectuées par les engins à la sortie d’une rangée de cultures. Entraînant la mauvaise stabilité du tracteur.

« Le plus souvent, confie un professionnel, ces accidents résultent presque tous de l’écrasement de l’opérateur, de son éjection du véhicule, d’un happement par un élément de la machine (arbre de transmission à cardan ou prise de force), de coincements par les systèmes de relevage ou de la chute de la personne depuis une nacelle ou un godet… ».

Moins de deux secondes pour que le tracteur se renverse…

Largement utilisés par les agriculteurs, les tracteurs constituent le cœur de cible de cette formation « Dix de conduite rurale ». Surtout que les statistiques ne plaident pas en faveur de cet engin côté renversement. Chaque année, on compte entre vingt et trente victimes de retournements de ces puissants véhicules. Les circonstances en sont les suivantes : le renversement peut s’effectuer sur le côté durant les opérations réalisées sur une pente raide, au bord d’un fossé ou dans un virage. Mais, plus dangereux, il y a aussi le renversement vers l’arrière (cabrage) lorsqu’un attelage ou toute autre cause provoque une élévation de la partie avant de l’appareil motorisé.

Force est de constater, qu’il est souvent trop tard pour pouvoir réagir : il ne faudra pas plus de deux secondes au tracteur pour qu’il ne se retourne complètement.

Une globalisation des thèmes autour des engins mécaniques et de manutention…

La session aura permis d’aborder d’autres items liés à la circulation de ces engins agricoles sur les routes (des véhicules évoluant avec extrême lenteur et garantissant de nombreux encombrements derrière eux), la sécurité en termes de signalisation lorsque les engins sortent de la ferme, l’entretien mécanique de ces appareils avec les risques inhérents à leur manipulation et les précautions à prendre avec les engins de manutention mécanique.

Précisions, pour être tout à fait complet sur ce dossier, que cette opération « Dix de conduite rurale » a reçu également le soutien de partenaires issus de l’entrepreneuriat (CLAAS, le fabricant d’engins agricoles ou TOTAL) mais aussi de la Compagnie Républicaine de Sécurité et de ses représentants, plus connus sous l’appellation de CRS…


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