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Conscients des graves difficultés auxquelles les agriculteurs ont dû faire face tout au long de l’année 2017, les responsables de la coopérative régionale ont réduit les dépenses de fonctionnement de leur organisme en appliquant une gestion saine et rigoureuse menée fermement par son conseil d’administration. Compte tenu de la bonne situation financière de la structure, celle-ci n’a pas hésité à verser une enveloppe de compléments de prix dès le mois de juin pour soutenir les adhérents en proie aux aléas imputables aux phénomènes climatiques et conjoncturels. Un geste solidaire qui a été très apprécié de la part des coopérateurs…

AUXERRE : Jamais la devise propre à la coopérative agricole n’aura été autant d’actualité au terme de cet exercice. Le credo « Nous sommes toujours avec vous à 110 % » s’est révélé exact à bien des égards au cours de cette année, qualifiée une fois de plus de désastreuse, par le président Gérard DELAGNEAU, l’un des responsables de 110 BOURGOGNE lors de l’assemblée générale. Malheureusement, 2017 ressemble à s’y méprendre à l’année antérieure qui avait déjà connu une moisson historiquement basse.

Les années se suivent et se ressemblent avec les mêmes conséquences…

En recul de 36 % ce qui représentait 173 000 tonnes de grain en moins à récolter, l’épisode 2016 avait vu la chute du blé de 44 %, celle de l’orge de 30 %, du colza de 23 % et des pois à 50 %. Une récolte moindre, certes, pour une qualité de produits fortement dégradés notamment au niveau du blé. Le grain a ainsi dû être travaillé trois fois plus que d’habitude pour ramener des lots aux normes de commercialisation de l’année et répondre aux attentes des clients de la coopérative.

Que dire de la navrante période de ce printemps 2017 qui a occasionné beaucoup de dégâts dont les exploitations les plus fragiles peinent encore à se remettre. Même s’il y eut de relatives économies sur l’emploi de fongicides, cet argument ne peut consoler celles et ceux qui ont souffert cruellement de ce manque à gagner inévitable dans leur budget.

Pourtant, les dirigeants de la coopérative régionale ne gardent pas les deux pieds dans le même sabot. Ils essaient d’apporter sans cesse de la valeur ajoutée à leurs adhérents en les encourageant vers la pratique de la diversification, grâce au renforcement de nouvelles filières à l’instar du lin, du millet, du chanvre, du chènevis, du soja, du sarrasin et même de la moutarde.

« Choisir cette voie, c’est l’une des pistes essentielles à préconiser pour parvenir à la diversification de nos assolements par le développement de nouvelles cultures, concède le président de 110 Bourgogne,  notre objectif est simple : conserver le pouvoir économique des agriculteurs de notre région et leur restituer les meilleures marges possibles… ».

Parallèlement, la campagne a été marquée par la mise en place du dispositif « Activité Partielle », déployé dans le cadre de ce plan d’économies pour faire face à la mauvaise récolte 2016. Exceptionnel et limité dans sa durée, ce processus accordé par le ministère du Travail pour les entreprises enregistrant une forte baisse d’activité aura été une bouffée d’air pur appréciable pour les salariés de la coopérative et de la filiale 110 AGROSERVICES. Grâce à ce dispositif, chaque service a pu planifier au plus près ses besoins à travers la mise en place, le paramétrage et le suivi hebdomadaire, assurés par le pôle des ressources humaines en lien avec le ministère du Travail, à l’aide d’un nouveau logiciel de paie et de gestion du temps de travail. In fine, cette optimisation des effectifs, la polyvalence et l’adaptabilité de l’ensemble des salariés, couplés à leur volonté de service rendu à l’adhérent, ont permis de réaliser près de 20 000 heures d’activité partielle, engendrant 500 000 euros d’économies.

110 BOURGOGNE : un acteur de l’économie locale et circulaire

Côté investissements, le groupe a dégagé 2,47 millions d’euros qui ont été consacrés à l’adaptation de l’outil ainsi que la sécurité des personnes et des installations. Primo, la coopérative a eu l’opportunité de pouvoir acquérir le site de Joux la Ville afin de consolider sa capacité de stockage dans le sud Auxerrois et Tonnerrois. Secundo, 110 BOURGOGNE a assuré la rénovation de différentes cellules sur plusieurs silos en améliorant leur ventilation, la mise aux normes électriques ou leur métrologie.  Acteur de l’économie locale et circulaire, le groupe a collecté 251,4 tonnes de déchets qui ont ensuite été injectés dans la fabrication d’éléments destinés au bâtiment ou à la filière automobile.

Autre axe prioritaire pour la coopérative : les transports de ses marchandises. « 100 % de nos transports entre nos silos sont réalisés par des entreprises locales, explique Jean-Marc KREBS, directeur de la coopérative, la baisse considérable du volume de récolte 2016 nous a poussé à orienter notre plan de transport, y compris vers nos clients. Dans l’absolu, le transport routier enregistre une forte hausse, passant de 33 % à 53 % d’une année à l’autre : cela s’explique par la préférence accordée à nos partenaires locaux au détriment des expéditions assurées en trains ou en péniches vers les zones portuaires de Fos sur Mer ou de Rouen… ».

Evoquant la production de semences, les dirigeants de la coopérative régionale ont rappelé que celle-ci se situait à 38 500 quintaux en 2016. Là aussi, les facteurs conjoncturels défavorables ont impacté cette production vers une baisse de 7 % des achats de semences pour la troisième année consécutive. Entraînant de facto la diminution du chiffre d’affaires liée à cette activité.

Filiale après filiale : le panorama exhaustif des activités de 110 BOURGOGNE

Les dirigeants de la coopérative régionale, qui a vu fondre son chiffre d’affaires global de 145 millions d’euros (exercice 2015/2016) à 102 millions d’euros (2016/2017) compte tenu des mauvaises récoltes, ont ensuite détaillé les activités des filiales du groupe.

Ainsi, pour 110 VIGNE (5,09 millions d’euros de chiffre d’affaires), les bons résultats de cette filiale permettent de conforter les résultats de 110 BOURGOGNE. Même si les viticulteurs de la région n’ont pas été épargnés par les épisodes météorologiques successifs (gel, orages de grêle), soit une vendange 2016 en retrait de 40 %. L’activité enregistre une progression de 6 %. Tandis que l’activité protection de la vigne augmente de 31 % grâce à une gamme de fertilisants organiques très prisés des viticulteurs.

 A contrario, le pôle « vigne et cave » baisse de 11 % induisant moins de mise en bouteille. Signalons que le partenariat initié par 110 VIGNE, LA CHABLISIENNE et les CAVES DE BAILLY fonctionne à merveille avec comme idée prioritaire la construction d’une viticulture régionale forte et pérenne.

Pour NATI VERT (22 millions d’euros de chiffre d’affaires), la difficulté réside à l’heure actuelle à s’adapter aux phases évolutives de la conjoncture économique impactée par sa dépendance aux conditions météo et aux bouleversements consuméristes dus à une concurrence exacerbée. Dès lors, les équipes se mobilisent fortement pour créer et développer de nouveaux concepts dont le rapprochement avec l’enseigne LA VIE CLAIRE, permettant de gagner davantage en attractivité. C’est le cas à Migennes avec l’ouverture d’un espace bio intégré au NATI VERT local, source de fréquentation et de chiffre d’affaires supplémentaire. L’opération a été renouvelée auprès du spécialiste de la motoculture SOUMO dans trois magasins dont celui, une nouvelle fois, de Migennes. Le développement de la gamme de produits alimentaires destinés aux chiens a suscité la création d’une marque propre, déposée par NATI VERT auprès de l’INPI, « France’CROC ».

Les nouveaux enjeux de la mutualisation entre coopératives…

Quant à l’union SEINEYONNE, elle bénéficie de l’avènement de la nouvelle coopérative YNOVAE, qui résulte de la fusion de CAPSERVAL et de CEREPY, pour se renforcer sur le territoire. Sa configuration est la suivante : 2 500 adhérents pour 860 000 tonnes de collecte.

En collaborant en étroite osmose avec cette nouvelle entité, 110 BOURGOGNE, qui a choisi de quitter l’union CEREVIA le 30 juin dernier, entend améliorer la valorisation des productions de ses adhérents.

« Dès lors, confirme Gérard DELAGNEAU, notre volonté est développer les marchés de différenciation et accroître notre présence chez les industriels locaux et ceux du bassin francilien en promotionnant la qualité des productions du nord de la Bourgogne et du sud de la Seine et Marne… ».

Bref, à l’aide de cette mutualisation de compétences et ce travail conçu en commun, il s’agira pour l’union SEINEYONNE d’optimiser le retour de la valeur ajoutée directement dans les exploitations locales.

Reste SOREAL, filiale qui malgré une campagne 2016/2017 compliquée, poursuit son développement au plus près des attentes des éleveurs. Dotée de 5 200 clients, la structure apporte des outils d’aide à la décision chez les producteurs bovins, porcins et équins, sans omettre la filière avicole. 217 000 tonnes d’aliments ont ainsi été acheminés la saison dernière. De gros investissements ont été lancés en parallèle sur les trois unités de production avec la création de nouvelles zones de stockage et la rénovation des sites. SOREAL qui exerce ses activités en concertation avec le label « Bleu Blanc Cœur » a obtenu une accréditation, le référentiel de certification de nutrition animale (RCNA), indispensable à l’accès vers certaines filières…

Enfin, rappelons pour être tout à fait complet l’appartenance de 110 BOURGOGNE à AREA, première centrale d’approvisionnement en agrofournitures en France et qui a clos l’exercice en cours avec un chiffre d’affaires qui représente 750 millions d’euros obtenus avec ses 19 coopératives adhérentes.

De quoi valoriser la force d’un groupe qui espère une année 2018 plus clémente pour parfaire ses objectifs et son développement…


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Evoluant dans sa zone territoriale de prédilection, l’assureur mutualiste régional a suscité beaucoup de questionnements, d’intérêt et de réponses nourries de réflexion lors de séances publiques orchestrées à Orléans et à Blois en décembre. Evoquer les projets de méthanisation à travers la maîtrise des risques, tout en réunissant un panel d’intervenants experts, aura mobilisé un public d’institutionnels et d’élus mais aussi d’agriculteurs désireux d’en connaître davantage sur ces pratiques naturelles qui intègrent désormais le paysage de la transition énergétique…

BLOIS (Loir et Cher) : Un plateau de professionnels qualifiés en la matière a abordé le 12 décembre dernier de façon concise lors d’une conférence ouverte au grand public cette thématique si particulière qui agrémente bon nombre de discussions et de points de convergences auprès des milieux agricoles.

A travers des énoncés explicatifs et des exemples englobant les aspects juridiques, techniques et pratiques de ce processus de développement durable encore bien deçà de ses réelles possibilités d’exploitation en France, les représentants du monde agricole du Loir et Cher ont constaté la frilosité de l’Hexagone sur ce dossier, comparativement avec le réalisme coutumier de nos voisins allemands.

Dans ce pays, plus de 8 000 installations sont déjà opérationnelles. Un chiffre qui est loin d’atteindre ce niveau en France avec seulement 530 unités de production existantes. D’ailleurs, les pouvoirs publics français n’envisagent que l’ouverture de 1 500 centres de méthanisation d’ici 2020 !

D’ici 2020, 800 000 foyers alimentés en électricité renouvelable issue du biogaz

Pourtant, la méthanisation n’est autre qu’un procédé microbiologique, certes complexe et fragile, mais terriblement efficace qui permet à la fois de traiter des déchets et effluents organiques adaptés aux filières agricoles et aux industries agroalimentaires. Ce processus engendre aussi la production d’énergie inhérente au biogaz qui peut, en fonction des contraintes locales, soit être transformé en électricité, en chaleur ou biocarburant, voire même être injecté directement dans le réseau du gaz naturel. Au moment où la facture de gaz risque de faire flamber un peu plus le budget des ménages dès le 01er janvier (+ 6,9 %), la connaissance de ce procédé mérite que l’on s’y attarde avec clairvoyance !

En 2020, le biogaz pourrait alimenter l’équivalent de 800 000 foyers en électricité renouvelable et produire l’équivalent de 550 000 tonnes de pétrole en chaleur renouvelable.

Ce secteur, même s’il n’est encore que très peu popularisé auprès des agriculteurs, connaît néanmoins une phase de développement. Si le département du Loir et Cher n’enregistre à l’heure actuelle que trois installations fonctionnelles, il existe en revanche de nombreux projets de développement à brève échéance.

Les risques et les moyens de prévention expliqués par GROUPAMA…

A titre comparatif, le département de l’Yonne possède six centres de méthanisation dont certains bénéficient des services préventifs et assurantiels de GROUPAMA Paris Val de Loire qui s’est déjà positionné de manière stratégique sur ce concept évolutif de la transition énergétique. Huit autres projets constituent la nouvelle donne à venir…

A Blois, deux spécialistes de la question, rattachés à l’assureur mutualiste, insistaient sur l’évitement des risques techniques et les moyens de se prémunir de ces derniers en cas de sinistre. Des renseignements précieux pour la centaine d’agriculteurs présents dans la salle, qui demeurent attentifs à ces changements de paradigme se présentant sous la forme de solutions diversifiées dans leur modèle économique. La méthanisation agrégée à sa production d’énergie représente-t-elle le nouveau défi à relever par le monde agricole à l’avenir ? Beaucoup d’observateurs s’accordent à le penser…


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L’agence de développement YONNE TOURISME propose la candidature du vignoble du Tonnerrois afin que ce dernier obtienne la labellisation tant convoitée par les professionnels de ce segment économique. Après validation du dossier par l’organe de référence ATOUT France. Ce ne serait que justice pour les acteurs touristiques de la contrée orientale du département de l’Yonne. En cas de réussite, le Tonnerrois rejoindrait les vignobles de Chablis et de l’Auxerrois qui profitent pleinement des retombées médiatiques et de la notoriété imputable de ce label à la reconnaissance internationale…

TONNERRE : Soutenue par le référent régional pour ce label, Côte d’Or Tourisme, du BIVB (Bureau interprofessionnel des vins de Bourgogne) et des principaux décideurs économiques de ce secteur géographique parfois oublié, l’agence de développement YONNE TOURISME a décidé de présenter le dossier de candidature du vignoble du Tonnerrois à ATOUT France. L’organisme délivre en effet chaque année les précieux sésames à l’obtention de l’incontournable label « Vignobles & Découvertes ».

Le verdict ne sera d’ailleurs connu qu’aux termes des premières semaines de l’année 2018. Juste avant le lancement de la nouvelle saison touristique. Au total, ce dossier de candidature s’articule autour de 41 prestataires, activités et évènements ayant un rapport direct avec le développement du tourisme régional.

Ainsi, ont été répertoriés dans cet opuscule que les membres du jury d’ATOUT France devront analyser avec discernement 14 sites d’hébergement, 9 caves, 6 restaurants et bars à vins, 4 sites patrimoniaux, un office du tourisme, deux structures réceptives qui sont déjà par ailleurs labellisées sur Chablis et l’Auxerrois, trois activités de loisirs, et, pour conclure, deux événements majeurs.

Rappelons que ce label national distingue les territoires qui multiplient des services et activités autour du vin. À ce jour, 98 acteurs de notre territoire, liés à l’oenotourisme, arborent déjà ce label de référence. Les professionnels du Tonnerrois pourraient eux aussi s’inscrire dans la même veine en cas de réussite…


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Le spécialiste de la filière blé, farine et pain de Côte d’Or a joué les généreux donateurs le 05 décembre dernier à Paris lors du gala de Noël de l’association, lui remettant un chèque d’une valeur de 22 800 euros. Un moment magique, empli d’émotion et d’optimisme pour cette structure associative qui mène un combat quotidien aux côtés des enfants victimes de la cruelle pathologie et de leur famille. Ce geste solidaire a été salué par Benoît HUVET, directeur général du groupe qui s’est spécialisé dans la conception d’ingrédients et solutions technologiques à forte valeur créative. Cela n’empêche nullement ce poids lourd de l’agro-alimentaire de se parer aussi de la vêture du Père Noël…en déposant une somme aussi importante au pied du sapin des petits malades…

PARIS : Vive émotion au soir du mardi 05 décembre sous les projecteurs du Palais des Congrès de la capitale. C’est en ce lieu prestigieux que l’association caritative « Tout le monde contre le cancer » organisait son traditionnel gala de fin d’année, en présence de nombreuses personnalités et artistes, devant un public composé de plus de cinq mille personnes.

Au cours de cet événement solidaire, le directeur général de la société EUROGERM, Benoît HUVET, qui était accompagné de la directrice de la communication Emmanuelle DEROSSI, gagnait la scène pour remettre un chèque de la somme de 22 800 euros au profit de la structure associative. Un geste qui devait générer un tonnerre d’applaudissements.

C’est sous le couvert de la judicieuse initiative des Trophées de l’innovation EPIX d’Or que la référence des solutions nutritionnelles de Bourgogne soutient depuis plusieurs années l’association nationale. Grâce à la mise en place d’une cagnotte remplie généreusement par les salariés de la structure professionnelle et les partenaires de cet événement annuel.

Afin de récompenser les meilleures initiatives de valorisation de la filière, EUROGERM, via ARPEGES l’institut à vocation scientifique et pédagogique, a lancé ces fameux trophées mettant en exergue l’innovation.

En 2018, les EPIX d’Or, appellation sympathique de ces trophées, poursuivront leur soutien à l’association caritative et continuera à organiser l’événementiel « Toques en Truck », le premier food truck introduit au cœur d’un univers hospitalier…


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La société de service de l’Yonne, spécialiste de la prévision météorologique et de préconisations technologiques auprès des professionnels de l’agriculture et du bâtiment, profitera d’une soirée exceptionnelle organisée ce vendredi 15 décembre dès 18 heures à la salle des fêtes de BEINES pour s’interroger sur les conséquences de ces fameux changements climatiques qui perturbent, et ce n’est pas fini, de plus en plus notre quotidien…

AUXERRE : Arnaud BELLEMERE, conseiller auprès des viticulteurs avec une structure indépendante qui s’appelle PROVYNETUM, Yves RICHARD, climatologue au CNRS de Dijon, Alain MAZAUD, climatologue au Laboratoire des sciences du climat et de l’environnement de Paris ou encore Loïc ROUSVAL, présentateur météo sur la chaîne de télévision « CNEWS », ont tous répondu favorablement à l’invitation de Raphaël ROTH et de son équipe de METEO 89 à l’occasion de ce plateau conférence, premier du genre, ayant attrait à une thématique d’importance auprès de nos concitoyens qu’ils soient particulier ou professionnels : les tendances actuelles de la météorologie.

Vendredi 15 décembre, à partir de 18 heures, les intervenants de la première table ronde auront tout le loisir de pouvoir débattre sur une thématique qui semble déjà cruciale dans le choix de l’intitulé : « l’adaptabilité aux changements climatiques ». Un sujet qui donnera d’emblée le tempo et l’orientation de ce que voulaient les responsables de la jeune structure prévisionniste de l’Yonne en proposant ce concept.

Réveiller les consciences sur les risques encourus par les professionnels

« Il s’agit surtout d’interpeller les professionnels du bâtiment, des travaux publics et des filières agricoles de la situation, explique Raphaël ROTH, les prévisions météorologiques sont devenues primordiales pour les entreprises de ces segments d’activité puisque leurs chiffres d’affaires en dépendent parfois… ».

Outre la présentation officielle de cette jeune start-up, née de la passion commune de la climatologie entre trois jeunes gens, Raphaël ROTH, Clément MEIRONE et Alexandre SLOWIK qui ont officialisé leur outil en septembre 2016, l’objectif sera aussi de faire réagir les consciences autour du facteur risques engendré désormais par de nombreux phénomènes incontrôlables et surtout imprévisibles. Le territoire de l’Yonne ayant payé un lourd tribut au printemps 2016 lors de crues mémorables qui demeureront dans les annales selon les experts avisés à l’instar de l’assureur GROUPAMA…

Fournisseuse de prévisions qualifiées auprès d’une quinzaine de gros domaines viticoles de la région de Chablis, l’entreprise METEO 89, accueillie aujourd’hui dans le business center de l’assureur mutualiste en son siège d’Auxerre, dispose à l’heure actuelle d’un site Internet faisant référence dans le paysage : il est l’un des plus consultés par les internautes de notre territoire. Et pour cause, non seulement les prévisions météorologiques y sont fiables, précises et pertinentes, mais en outre, elles font l’objet de remises à jour constantes selon des cycles évolutifs de trois heures. Traduisant ainsi le sérieux et le sens du professionnalisme de ces jeunes gens, adorateurs de géographie à la base.

La seconde table ronde évoquera l’évolution du bâti et de l’économie locale par rapport au réchauffement climatique. Plusieurs acteurs de la vie professionnelle et institutionnelle s’exprimeront, en donnant leur point de vue sur une situation difficile à gérer. On attend sur scène les représentants de la CAPEB, la Confédération artisanale des petites entreprises du bâtiment avec son président Jean-Pierre RICHARD, ceux de la coopérative agricole 110 BOURGOGNE (Eric DUCORNET) ou encore la direction de BIG MAT GOURMAND, négoce de matériaux de construction, représentée par Vincent EYBERT BERARD.

Faire l’exégèse des solutions météos existantes pour répondre aux besoins des entreprises…  

Alexandre, Clément et Raphaël qui pianotent le plus souvent sur leurs claviers de leurs ordinateurs afin de traquer les courbes des précipitations, les tendances des températures, la nébulosité du ciel, le point de rosée, le taux d’humidité expliqueront dans le troisième tiers de cette intervention les impacts de ce réchauffement dans l’Yonne. Avant d’aborder les solutions préventives qu’ils déclinent par l’entremise de leur structure, et destinées aux métiers de l’agriculture, de la viticulture et du bâtiment.

D’ailleurs, dès l’apparition des périodes délicates où les grands froids induisent de fortes gelées, le trio ne lésine pas sur les horaires de présence au bureau ni d’apporter des réponses en direct aux problématiques rencontrées par les agriculteurs et les viticulteurs. L’équipe de METEO 89 change alors de registre et troque sa casquette de prévisionniste avec celle de conseiller pour inciter les professionnels confrontés à ces aléas hivernaux de choisir le système de lutte le plus efficient contre le gel à titre d’exemple.

« Nous développons un nouveau service de prévisions autour des traitements phytosanitaires, en étudiant d’autres paramètres comme celui du taux de condensation ou du taux de rosée. METEO 89 est aujourd’hui la seule entreprise en France à développer ce concept… ».

Au terme de cette soirée importante, les responsables de la SASU auront donc accompli leurs missions : celle de dévoiler toutes les subtilités novatrices de leurs applications visant à tranquilliser les professionnels les plus exposés face aux rugueux caprices de Dame Nature…


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