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Derrière le charmant sourire de cette jeune fille se cache en réalité une véritable spécialiste du monde agricole. Diplômée de l’école d’ingénieurs de PURPAN près de Toulouse en agriculture générale, mais ayant choisi de bifurquer quelque peu de sa trajectoire initiale en rejoignant la presse, la nouvelle journaliste recrutée par notre confrère « Terres de Bourgogne » depuis le 01er juillet occupait jusque-là une place éminemment stratégique au sein de la COPYC : la Commission ovine des Pyrénées centrales, zone géographique dont elle est originaire. Orianne MOUTON aura la lourde tâche de succéder à une autre pointure de l’art journalistique agricole, Dominique BERNERD, devenu durant l’été un sémillant et heureux retraité…  

AUXERRE : Après avoir opéré en binôme durant quelques jours avec Dominique BERNERD, l’une des figures emblématiques de la presse icaunaise, la jeune femme originaire de la région de Toulouse investie désormais seule le terrain de l’actualité agricole et viticole de notre département.

Le média régional « TERRES de BOURGOGNE » lui a accordé sa confiance afin de remplacer notre confrère qui a fait valoir ses droits à une retraite amplement méritée.

Présente pour sa première sortie officielle sur le « DEPHY Tour Viticulture » du Grand-Est et de la Bourgogne Franche-Comté, entre Saint-Bris-le-Vineux et Irancy, à la mi-juillet, Orianne MOUTON a déjà pu initier les contacts nécessaires avec les représentants de la chambre départementale d’agriculture et ceux des fédérations professionnelles de ce segment économique très important dans notre contrée.

Déjà chargée de communication et de la qualité auparavant…

Aux côtés de Jean-François LAYSSE, président et de Fabienne GILOT, directrice, la jeune femme aura vécu une expérience riche et approfondie au sein de la COPYC, la commission ovine des Pyrénées centrales durant une quinzaine de mois.

Chargée de mission au sein de la structure basée à Saint-Gaudens (Gers), Orianne MOUTON a su peaufiner ses connaissances théoriques et techniques en multipliant les chantiers. Celui de l’animation qualité, entre autres.

Mais, aussi celui de la communication afin de valoriser la marque « Agneau des Pyrénées », et de promouvoir le produit Label rouge phare, la sélection des Bergers.

On ne peut que lui souhaiter une réussite similaire, à la suite de la prise de ces nouvelles responsabilités, qui l’amèneront à noircir régulièrement les colonnes de l’hebdomadaire bourguignon…


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Avec l’ouverture de sa onzième filiale à l’international, le leader dans les ingrédients et auxiliaires technologiques de la filière blé-farine-pain s’offre de nouvelles perspectives de développement dans ce pays de l’Amérique du Sud, riche d’une quarantaine de boulangeries industrielles et de trente minoteries. Depuis Medellin, siège de cette nouvelle filiale, le groupe, côté sur le marché Euronext de Paris, souhaite étendre sa présence technique et commerciale dans cette partie du monde…

DIJON (Côte d’Or) : Déjà présente via ses filiales au Mexique, au Pérou et au Brésil, EUROGERM entend accroître son influence technique et commerciale en Amérique latine avec l’inauguration récente de sa nouvelle filiale, EUROGERM COLOMBIA.

Dirigée par l’ingénieur André BUILES, spécialiste des ingrédients alimentaires et partenaire de la société depuis plusieurs années, cette entité apportera un avantage logistique et une assistance technique locale à la clientèle colombienne. En personnalisant un peu plus ses produits et ses offres de services, l’un des axes de succès du groupe.

Créée en 1989, EUROGERM est devenue le leader national dans son segment d’activité à partir d’une offre originale. L’enseigne commercialise des correcteurs de meunerie, des améliorants de panification et des ingrédients servant à améliorer la régularité, la qualité et la valorisation des produits de la filière blé-farine-pain.

Pour le président directeur général du groupe, Jean-Philippe GIRARD, l’ouverture de cette onzième filiale dans ce pays de l’Amérique du Sud représente une excellente opportunité et constitue une étape essentielle dans la stratégie d’expansion à l’international.

La structure pesait près de 104 millions d’euros de chiffre d’affaires au 31 décembre 2017.


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Représenté par le fils du récoltant vinificateur, Bastien, lui-même accompagné de son épouse, Carole, ce domaine viticole du Tonnerrois, cher à son propriétaire originel, Alain MATHIAS depuis 1982, a bénéficié d’une jolie carte de visite promotionnelle en répondant favorablement à l’invitation de la Jeune Chambre Economique d’Auxerre. Surtout en y dévoilant les subtilités olfactives et goûteuses de deux de ses nectars, primés au Concours général agricole cette saison : un chablis Premier cru « Côte de Jouan » tout en finesse et de très belle facture et un bourgogne Epineuil « Côte de Grisey », issu d’une parcelle idéalement située qui réunit toutes les conditions pour l’élaboration de grands vins rouges…

AUXERRE : Comme une dizaine d’autres viticulteurs avant eux, Carole et Bastien MATHIAS ont pu apprécier les vertus judicieuses des initiatives portées par la Jeune Chambre Economique à Auxerre. Il est vrai que le concept « Tous les 20 du mois, un vin du coin » ne manque pas de pertinence. Ni d’intelligence, en vérité. Profiter d’une opération de relations publiques, façon « after work », pour y mettre en valeur les producteurs du terroir local ne peut être que positif pour ces viticulteurs du Tonnerrois qui souhaitent davantage s’ancrer au plan de l’image et de la notoriété au cœur de l’Yonne.

Evoquer les particularismes de ce domaine familial de 13 hectares ne fut qu’une simple formalité pour ce  jeune couple, encore auréolé de ses très belles récompenses glanées au Concours général agricole cette saison. Les deux œnologues ont pris plaisir à expliquer leur approche authentique de la vinification, faisant déguster au passage un panel de quelques produits.

Des crus exprimant de nombreuses caractéristiques gustatives…

Les blancs, élaborés à base de chardonnay sur les terroirs de Chablis et du Tonnerrois, ont su marquer les esprits des épicuriens. En particulier, ce chablis Premier cru « Côte de Jouan » 2016 obtenu à partir de cépages plantés sur la commune de COURGIS au sud de la rive du Serein. Longueur en bouche, rondeur et salinité caractérisent ce nectar qui a pu bénéficier de la formation géologique si atypique du Chablisien. Mention positive également pour le bourgogne Tonnerre, un cru qui a été vinifié et élevé en cuve, offrant des arômes fins et subtils au nez. La cuvée 2017 révèle toute la complexité du chardonnay, entre la justesse de l’équilibre et une richesse suave au palais.

Le pinot noir, autre cépage vedette de ce vignoble, donne naissance à des rouges de grande qualité. Le bourgogne rouge Expression possède une dominante de fruits rouges, agrémentées de notes fumées, d’épices et de réglisse. Sa garde dépasse les cinq ans. Quant à la variante bio, obtenue grâce au bourgogne Epineuil « Côte de Grisey », elle a été élevée en fûts de chêne récents où elle gagne en rondeur et en structure.

Un mot, enfin, sur le rosé qui aura aussi servi de rampe de lancement à cette soirée de dégustation estivale. D’une saveur fruitée, il est obtenu par le pressurage des raisins de pinot noir. Gouleyant et rafraîchissant, c’est le breuvage idoine de ce type de soirée dardée de rayons de soleil.

De très belles perspectives pour le domaine créé par Alain MATHIAS…

C’est en 1982 que le propriétaire récoltant intègre la catégorie des vignerons pionniers sur le vignoble d’Epineuil, pourtant malmené jusque-là par le phylloxera. Alain MATHIAS achète des parcelles et plante de la vigne. Peu de temps après, il loue des vignes à Chablis. Avant de les acquérir et de les ajouter dans son escarcelle.

Afin d’optimiser une croissance en pleine expansion, il étend son domaine. Cet amoureux du métier de vigneron fait montre de dextérité. Il érige son chai au cœur d’une ancienne carrière. Se dotant ainsi d’un bâtiment aux trois quarts enterré offrant une température et une hygrométrie parfaitement adaptées à l’élevage du vin. Une première distinction, une médaille d’or obtenue au Concours général agricole à Paris en 1988, couronne de succès sa pugnacité. Aujourd’hui, le Domaine Alain MATHIAS exporte une large partie de sa production annuelle (60 000 bouteilles) vers les Etats-Unis, le Canada, la Grande-Bretagne mais aussi la Scandinavie et le Japon.

La relève est assurée depuis 2015 avec la présence de Bastien, son fils et sa belle-fille, Carole, tous deux diplômés de la formation d’œnologie de l’université de Dijon. Ensemble, ils occupent brillamment la place de major de la promotion en étant ex-aequo ! La jeune femme ne s’arrêtera pas en si bon chemin. Carole persévère sur cette voie en intégrant l’Ecole supérieure de commerce de la capitale bourguignonne. Elle y décroche un précieux sésame : un diplôme spécialisé dans le commerce de vins et spiritueux à l’international. Pendant ce temps, Bastien enrichit ses expériences en travaillant sur le secteur de Beaune auprès de la fine fleur de la filière.

Une fois intégré au sein du giron familial, le jeune couple développe une activité de négociant-vinificateur. La structure se nomme tout bonnement la Maison MATHIAS. Aujourd’hui, le domaine Alain MATHIAS et la Maison MATHIAS travaillent en totale connivence puisque tous les vins sont vinifiés et commercialisés par la même équipe.


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Bénéficiant d’un accompagnement individuel ou d’une formation avec la Chambre d’agriculture de l’Yonne, les professionnels du monde agricole ayant opté pour la télédéclaration PAC 2018 ont déposé plus de 3 200 dossiers auprès des services de l’Etat cette année. Comme la saison dernière, la Chambre consulaire a proposé des formules clés en main aux agriculteurs. 20 % d’entre eux ont pu profiter de cycle formatif, voire d’une aide directe et personnalisée…

AUXERRE : Etre accompagné par les services de la Chambre d’agriculture dans le cadre de la déclaration de la PAC (Politique agricole commune) devient chose courante désormais parmi les professionnels des milieux agricoles icaunais.

44 % d’entre eux sollicitent leur organisme partenaire pour remédier à cette étape importante dans la vie de leur exploitation. Source de stress si elle n’est pas bien exécutée, cette formalité peut très vite tourner au cauchemar si les éléments informatifs sont mal remplis dans les cases de cet imposant dossier. En outre, est venu se greffer cette année un certain nombre de nouveautés dans la règlementation telle que le zéro phyto sur les SIE et la période de présence obligatoire départementale inter-cultures SIE (Surfaces d’intérêt écologique).

En quête de simplification et de sécurité…

596 exploitants de l’Yonne ont fait appel aux équipes de la Chambre d’agriculture pilotées par Sandra MARTINET, responsable de la cellule PAC dans l’Yonne. Il est vrai que le rôle des conseillers du partenaire consulaire est prépondérant. Car, les agriculteurs ne possèdent pas tous les connaissances spécifiques inhérentes à la règlementation. Ainsi, la Chambre d’agriculture permet d’éviter un certain nombre d’erreurs lors de la constitution du dossier.

Comme le précise Sandra MARTINET, l’action menée par l’organe consulaire est importante : « Certains viennent pour être rassurés sur leurs saisies, d’autres nous confient entièrement leur télédéclaration pour gagner du temps. La déclaration, via Mes p@rcelles, simplifie les enregistrements et l’export vers TéléPAC en quelques clics. Que ce soit pour les abonnés Mes p@rcelles ou les non abonnés, la saisie de l’assolement en groupé et les outils de découpe des parcelles permettent un réel gain de temps. Ainsi, le temps moyen passé par déclaration a été de soixante minutes…».

Un nombre élevé de conversions vers l’agriculture biologique…

2018 aura été marquée par la recrudescence du nombre de demandes de reconversions en agriculture biologique. Plus de 60 dossiers ont été enregistrés par les services de la chambre de l’Yonne. Une première, dans les annales. Ce chiffre confirme l’augmentation de 28 % du nombre d’exploitations en agriculture biologique sur le territoire nord-bourguignon. Cela place l’Yonne dans les toutes premières places à l’échelle nationale en surfaces bio…


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Portant en priorité sur les secteurs de l’agriculture, du tourisme, de l’éducation mais aussi dans la promotion des énergies renouvelables, de la culture, du sport et de l’innovation, la convention de coopération décentralisée, effective depuis le 05 juillet, rapproche ces deux territoires aux antipodes l’un de l’autre. Pourtant, entre la Province du Cap occidental et la Bourgogne Franche-Comté, il existe de réelles similitudes et de véritables enjeux de développement économique. Plusieurs projets dans les sphères viticoles et la filière touristique ont déjà vu le jour depuis 2001 visant à renforcer cette coopération internationale inédite…

DIJON : Vice-président de la Région Bourgogne Franche-Comté, en charge notamment de l’action internationale, Patrick AYACHE s’est félicité du rapprochement significatif avec cette province sud-africaine. Aux côtés du ministre des Opportunités économiques de la Province du Cap occidental, Alan WINDE et d’un aéropage de personnalités institutionnelles régionales, l’élu a paraphé une convention de partenariat très importante ce jeudi 05 juillet. Le document engage les deux collectivités pour une durée de cinq ans. Il stipule point par point le cadre dans lequel s’inscrira cette collaboration internationale très dense.

Priorité aux échanges économiques et au développement de la politique agricole…

Ce renforcement coopératif concernera prioritairement les secteurs de l’agriculture (les axes de formation afin d’initier les bonnes pratiques in situ qu’il s’agisse de la viticulture, de l’agro-alimentaire ou des filières agricoles…). Le développement des échanges commerciaux constituera une seconde priorité non négligeable au même titre que les rapprochements touristiques ou éducatifs. Quant à l’environnement, le sujet sera traité avec beaucoup d’intérêt avec le volet promotionnel sur les énergies renouvelables. Il sera aussi question de culture, d’encouragement aux échanges entre les écoles et les clubs sportifs et d’innovation.

En outre, la volonté d’initier de nouveaux partenariats économiques entre les deux parties fut au centre des discussions. Y compris en matière de politique agricole. A ce titre, la visite de deux centres de formation professionnelle du territoire intégrait le copieux programme de cette journée avec la découverte pour la délégation sud-africaine du CFPPA de Beaune (Côte d’Or) et l’ENIL de Mamirolle (Doubs).

Cela expliquait la présence d’un ensemble d’acteurs institutionnels et économiques impliqués dans la coopération internationale. Ainsi, on notait la présence de représentants de la BURGUNDY SCHOOL of BUSINESS, de la Chaire UNESCO et de nombreux chefs d’enreprise.

Une coopération avec l’Afrique du Sud vieille de plusieurs années…

En 2001, le centre de formation CFPPA de Beaune initie les premiers cycles pédagogiques en direction des salariés viticoles sud-africains. En coordination avec le Ministère de l’Agriculture de la Province du Cap occidental, des ouvriers de domaines viticoles mais aussi des sommeliers et des tonneliers s’immergent en Bourgogne pour y vivre cette expérience originale.

Petit à petit, le programme se diversifie. D’autres thématiques liées au renforcement des capacités agricoles s’ajoutent au cursus initial. Des stagiaires de la région du Cap occidental se forment en Côte d’Or depuis 2005. Même le Ministère de l’Agriculture de cette province sud-africaine y envoie des conseillers en charge de l’accompagnement à la création et au développement de projets agricoles majeurs depuis 2008. Plusieurs cadres suivent dès 2010 des échanges nourris en matière d’ingénierie de formation.

In fine, ce sont plus de 300 sud-africains qui ont pu ainsi bénéficier de ces séances informatives riches et intenses en Bourgogne Franche-Comté depuis les origines de ce partenariat. Parallèlement, près de 150 jeunes Français, issus de notre territoire, s’envoleront dans cette province du continent noir pour y accroître leurs connaissances.

La filière de l’hôtellerie/restauration noue des liens fructueux avec l’Afrique du Sud…

Il faudra attendre l’année 2014 pour que prenne naissance un nouveau projet de rapprochement éducatif entre les deux régions. Il se rapporte à la formation professionnelle dispensée en hôtellerie/restauration.

Dans l’absolu, le lycée Le CASTEL de Dijon prend attache avec différents centres de formation professionnelle de la Province du Cap occidental dont le TVET (« Technical and Vocational Education Training collèges »). Commencent alors des échanges réciproques de professeurs.

Puis, l’école hôtelière privée, basée à Johannesburg (« JHB Culinary and Pastry school »), organise des échanges d’étudiants via des stages professionnels conçus avec le concours des établissements de la région partenaire. Ces liens intéressants peuvent se développer favorablement grâce à l’implication de l’industrie hôtelière (hôtels, restaurants…) de Bourgogne Franche-Comté.


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