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Le contexte sanitaire aura une nouvelle fois raison de la convivialité. Dommage. Les assemblées générales des caisses locales du Crédit Agricole Champagne-Bourgogne ne dérogeront donc pas à la règle du respect absolu du protocole anti-COVID. Seul l’aspect statutaire sera abordé lors de cette série d’évènements. Avec, en sus, un dispositif de vote en ligne pour élire les représentants/administrateurs de chacun de ces établissements.

 

DIJON (Côte d’Or) : Mesures de protection anti-COVID oblige, cette année encore, les traditionnelles assemblées générales des caisses locales de la Banque Verte feront l’impasse sur l’un des instants attendus des sociétaires : la phase de convivialité.

Ces réunions se dérouleront selon le protocole sanitaire en vigueur, avec les seuls membres du Conseil d’administration. Alors que l’établissement prône les valeurs du mutualisme et la place de l’humain au cœur de ses priorités.

Ces derniers, au nombre de 283 000 sur le territoire inter-régional, auront la possibilité d’exprimer leur choix pour élire leurs représentants/administrateurs par le biais d’un scrutin électronique.

Ouvert depuis le 12 février, le vote peut également se réaliser en agence durant les quinze jours qui précèdent l’assemblée générale. L’envoi d’une convocation personnalisée par mail ou par courrier apporte son lot d’explications aux intéressés.

Précisons que l’assemblée générale de la caisse régionale se tiendra, quant à elle, le 23 mars à Dijon.

 

Thierry BRET

 

 


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Rêve-t-elle à l’instant « t » lors de la prise de ce cliché unique à une destinée politique nationale ? S’imagine-t-elle intégrer un gouvernement d’alternance où le président de la Région Auvergne-Rhône-Alpes Laurent WAUQUIEZ occuperait l’un des portefeuilles attribués par la cheffe de l’Etat Valérie PECRESSE ? Ou seraient-ce les ors du Sénat et la bonhomie de son président Gérard LARCHER à son endroit qui pourrait l’émerveiller ? Rien de tout cela, en vérité, pour l’élue de Monéteau !   

 

MONETEAU : « L’idée de partager avec vous tous ce moment est une réelle opportunité et une véritable chance. Qu'est-ce qui nous lie aujourd'hui ? Une femme. Et pas n'importe quelle femme. Valérie PECRESSE, candidate à la présidence de la République. Partageons ensemble cette ambition à ses côtés ! ».

La brève introduction de Madame le maire de Monéteau et conseillère départementale de l’Yonne a su faire mouche pour chauffer la salle auprès d’une assistance toute acquise à la cause du jour : le soutien inconditionnel à la présidente de la Région Ile-de-France, engagée dans la course à l’Elysée.

Organisé par le Comité départemental « L’Yonne avec Pécresse ! », ce rendez-vous du début d’après-midi (il ne démarrera finalement qu’après la demi-heure traditionnelle de retard) ne pouvait être lancé que par l’hôte de cet évènement, la première élue de la commune périphérique d’Auxerre, Arminda GUIBLAIN.

 

 

Sans sourciller, cette dernière s’avança vers la scène du SKENET’EAU sous la lumière vive des projecteurs tandis que les quatre orateurs du jour (Dominique VERIEN, Guillaume LARRIVE, Laurent WAUQUIEZ et Gérard LARCHER) s’installèrent tranquillement dans les fauteuils leur étant réservés face au public.

On connaît la suite. L’édile de Monéteau, peut-être un brin intimidée (?), n’en dira pas davantage pour introduire le quatuor présent dont les deux coprésidents des comités de soutien nationaux favorables à l’égérie de la droite et du centre droit.

Un moment de grâce unique, sans doute pour Madame le maire, qui sur le parvis du complexe de loisirs immortalisera ensuite à jamais cette rencontre avec deux des figures nationales des Républicains sur visionnage numérique.

Sans aucune prétention politique, c’est sûr !

 

Thierry BRET

 

 

 


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La froidure d’un « petit matin d’hiver », comme le chantait si bien en souvenir de sa période scolaire Gérard LENORMAN en 1975, était bel et bien au rendez-vous de ce rassemblement protestataire devant les grilles du collège de Saint-Georges-sur-Baulche. C’est sur une toute autre musique, celle plus tendance de SOPRANO, qu’enseignants, parents d’élèves et leurs représentants ont interprété un air de révolte pour faire entendre leurs réclamations.

 

SAINT-GEORGES-SUR-BAULCHE : « Faut lutter » ! Dès les premières paroles de ce texte scandé par la quarantaine de manifestants – des professeurs, représentants de parents d’élèves et membres des familles venus soutenir ce rassemblement aux grilles du collège Jean Bertin malgré le mordant d’une température glaciale – le ton était donné !

Pas de place réservée à la poésie et aux souvenirs nostalgiques de la période scolaire : adaptée d’un morceau du répertoire de la star du rap SOPRANO (« Le Coach »), sa réécriture avait pour objectif de faire mouche par la virulence de ses propos et de son engagement à revendiquer contre le système éducatif.

Banderole déployée sur les grilles de l’enceinte pédagogique, morceaux de carton brandis à bout de bras soulignant les messages essentiels, haut-parleur brancher à quasi saturation pour porter la voix des organisateurs : rien ne manquait dans cette panoplie contestataire contre la dégradation des conditions d’études et de travail.  

« Nous dénonçons la perte de moyens qui a pour conséquence de provoquer la surcharge des classes ce qui risque de mettre en danger la scolarité des élèves présentant des signes de faiblesse et de fragilité… ».

 

 

Une politique de contraintes budgétaires au détriment de la qualité de l’enseignement…

 

En substance, la dotation horaire globalisée (DHG) est dans le viseur des protestataires. Insuffisante, voire décevante, elle n’est certainement pas à la hauteur des enjeux en matière de lutte contre le décrochage, paradoxalement l’une des priorités de la politique éducative de la gouvernance.

Oui mais voilà, sur le terrain, le son de cloche tinte différemment selon les manifestants, contrairement à la gesticulation médiatique autour de ce sujet.

« Nous sommes en total désaccord avec cette gestion approximative de l’éducation. Elle ne repose aujourd’hui que sur des contraintes budgétaires et une volonté d’optimisation et de rentabilité…. ».

Des principes qui sont contraires à la qualité de l’enseignement, et à l’intérêt des élèves et des familles.

Et la chanson de reprendre à l’unisson des quarante « choristes » en colère : « Faut entasser les ados pour ne pas dépenser, faut faire taffer les ados sans budget ».

Si la dotation d’heures actuelle est maintenue par l’académie, des problèmes surviendront en termes de capacité d’accueil de certaines classes. Sachant en outre que les calculs effectués ne prennent pas en compte les élèves de l’ULIS (unité localisée pour l’inclusion scolaire) prévu au nombre de huit dès l’an prochain, ainsi que des AESH (accompagnement des élèves en situation de handicap) qui les assistent.

 

 

Le retour des classes surchargées : le cauchemar des enseignants…

 

Autre problématique observée localement : celle qui est née de la fermeture du collège Bienvenu-Martin survenue à Auxerre en 2019 avec pour effet corollaire l’accueil d’élèves en situation de REP (Référentiel de l’éducation prioritaire) qui est largement dépassé.

On l’aura compris : les représentants élus des personnels enseignants au conseil d’administration du collège et les représentants des parents d’élèves craignent la hausse exponentielle des effectifs de ces classes, augmentation observée chaque année. Une tendance qui ne s’inversera pas à l’avenir. La récente ouverture d’une classe au sein de l’école primaire locale ainsi que la venue de plusieurs familles, installées sur la commune, le confirment. Le nombre d’élèves par classe ne peut que progresser et dépasser le seuil limite.

Précisons que la prévision des effectifs est déjà évaluée vers la hausse lors de la future rentrée de septembre, aux alentours de 670 collégiens.

« Trente élèves dans une même classe paraît que c’est la normalité, surchargé veut dire normal, je ne comprends plus mes cours de français… ».

La chanson se poursuit avec ces couplets révélateurs du mal-être persistant qui affecte le milieu de l’Education nationale

A commencer par les enseignants eux-mêmes. Ils espèrent une progression de leurs effectifs.

« Logique, nous constatons une tendance accrue à la conversion des heures postes en heures supplémentaires. Les chiffres parlent d’eux-mêmes. Avec 7 % d’élèves en plus pour 6 % d’heures postes en plus et 19 % d’heures supplémentaires par rapport à l’année dernière… ».

 

 

Vers une classe supplémentaire accueillant les élèves de troisième ?

 

Or, cela nuit à la bonne fonctionnalité de certains collègues contraints à effectuer un complément de service sur un, voire plusieurs établissements alors que les besoins en heures sont bien présents au collège de Saint-Georges. Un état de fait qui impacte l’enseignement délivré aux élèves.

Quant à l’ouverture d’une classe supplémentaire sur le niveau de troisième, elle est souhaitée par les personnes protestataires. « Il faut que l’ensemble des disciplines puisse bénéficier de conditions pédagogiques convenables ».

Reste le demi-poste d’infirmière supplémentaire, déjà opérationnel au sein de l’établissement. Son maintien aurait pour avantage de proposer une ouverture maximale de l’infirmerie sur la semaine entière.

Si la direction de l’établissement n’a pas souhaité réagir à chaud à ce rassemblement, organisé jeudi, dans la rue, peut-être que Vincent AUBERT, le directeur académique des services de l’Education nationale sera plus enclin à répondre par l’affirmative à la demande d’entrevue des manifestants. La balle se trouve désormais dans le camp du DASEN de l’Yonne.

« A Saint-Georges, on se bat, à Saint-Georges, on se bat », conclut la chanson !

 

Thierry BRET

 

 

 


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Visite symbolique que celle qui a été effectuée par le Premier ministre dans la zone industrielle de Saint-Florentin, vendredi en fin de matinée. Avant de poursuivre son court périple en terre de l’Yonne du côté de Sens où l’attendaient les équipes de France Télévisions pour le JT de 13 heures, le chef du gouvernement a fait une halte chez l’un des fleurons de l’extrusion de profilés en aluminium de France, le groupe AFE.

 

SAINT-FLORENTIN : Muni de sa coiffe de protection et d’un gilet fluorescent de couleur…orange ( !), le représentant de l’Etat s’est rendu dans l’antre de l’extrusion de profilés en aluminium de l’Yonne, afin de tâter le pouls d’une entreprise industrielle dont les résultats sont à la hauteur des espérances. Histoire aussi d’observer au plus près du terrain que le plan de relance n’a pas été distribué en vain et qu’il aura grandement aidé des structures professionnelles dans leur quête à remplir leurs carnets de commandes.

Alors, un Premier ministre en visite chez AFE (Aluminium France Extrusion), c’est nécessairement un fait sociétal qui n’est pas passé inaperçu auprès des deux cents collaborateurs que compte le site. Près de 360 salariés si l’on y ajoute la seconde implantation de la société, celle qui est située dans la Somme, à Ham.

L’héritier de Péchiney et d’Alusuisse occupe une place extrêmement privilégiée dans le secteur du traitement de l’aluminium aujourd’hui. AFE n’est autre que la seconde entité industrielle de l’Hexagone à extruder des profilés à la qualité reconnue utilisés ensuite dans les secteurs du bâtiment, des transports, de l’automobile et de l’industrie.

 

 

 

Près de 200 000 euros d’aides au titre de France Relance…

 

Flanqué sur ses talons du ministre en charge des PMI/PME et du tourisme, Jean-Baptiste LEMOYNE, de Nicolas SORET, vice-président de la Région en charge de l’économie et de l’emploi et de Yves DELOT, président de la CC Serein et Armance, Jean CASTEX a écouté avec beaucoup d’intérêt les explications des dirigeants de l’entreprise, Hervé PELCERF, directeur général et du responsable du site d’exploitation locale, Christian BEAUMEL.

AFE qui avait déjà accueilli en février 2021 le préfet de l’Yonne Henri PREVOST, a bénéficié de 200 000 euros de subventions dans le cadre du plan France Relance afin de moderniser certains équipements indispensables à son développement. En particulier, ceux qui se rapportent à l’activité de laquage.

Des investissements qui ont pour résultante à terme de créer de nouveaux emplois et de pouvoir diversifier les commandes en les augmentant.

Pour mémoire, rappelons que la société, dont le propriétaire n’est autre que la holding d’investissement OPEN GATE CAPITAL depuis 2013, exporte à date 12 % de sa production de profilés en aluminium vers une dizaine de destinations. Elle a réalisé un chiffre d’affaires de près de 104 millions d’euros en 2021.

 

Thierry BRET

 

 

 

 


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L’ombre de Darry COWL, génial interprète du « Triporteur », n’est pas très loin. Surtout quand on examine de plus près ce nouveau mode de locomotion dont va faire usage désormais La POSTE. En développant le principe du vélo-cargo, testé depuis le 01er février à Sens, l’entreprise innove en garantissant une livraison « propre » des colis. La réponse appropriée à la transition écologique !

 

SENS: Est-ce que les facteurs, habilités à piloter ce nouvel engin de la mobilité douce, après en avoir reçus les rudiments en matière de formation, devront s’habiller de la célèbre tenue vestimentaire arborée par le loufoque comédien de ce film à succès datant de 1957 ?

Inspiré de l’ouvrage de l’écrivain bourguignon René FALLET (auteur entre autres de « La Soupe aux choux »), « Le Triporteur » avait été mis en lumière par un jeune cinéaste débutant, Jacques PINOTEAU, offrant ainsi l’un de ses premiers grands rôles de comique à ce clown facétieux et zézayant de Darry COWL. Sa vêture, un pull marin que l’acteur vedette porte tout au long de ses péripéties, lui apporta aussi la gloire.

Depuis le début de ce mois, un triporteur au profil ergonomique un peu spécial circule dans les rues de la cité la plus septentrionale du département. Affichant les couleurs jaunes traditionnelles de La POSTE que l’on ne présente plus !

Mais, là, s’arrête la comparaison avec le personnage fictif d’Antoine. Il s’avère que ledit triporteur se nomme vélo-cargo et qu’il répond aux besoins de l’entreprise de livrer les colis en mode doux dans la sous-préfecture de l’Yonne.

 

 

Un appareil à assistance électrique maniable et facile à stationner…

 

Explications fournies par Samuel CADON, responsable de l’excellence logistique du groupe postal en Bourgogne Franche-Comté : « ce moyen de locomotion permet d’augmenter l’emport de colis grâce à sa capacité et son agencement intérieur tout en garantissant un niveau de sécurité maximale… ».

Plus que jamais, La POSTE fait de la logistique urbaine l’une de ses priorités. Pour se faire, le groupe utilise des véhicules à faible émission et optimise ses circuits de distribution. Dans le respect des attentes de ses clients, particuliers et professionnels.

Lancé le 01er février, le vélo-cargo triporteur, placé sous la tutelle administrative des services Courrier et Colis de Saint-Denis-les-Sens promène sa silhouette si caractéristique au gré des rues de l’hyper centre de Sens. Maniable, ce véhicule à assistance électrique emprunte les voies cyclables et achemine ses colis en passant par les zones piétonnes. Un gain de temps pour les facteurs qui peuvent stationner avec facilité leur engin.

Le groupe postal a intégré les pratiques de dépollution et de décongestion des cœurs de villes parmi ses axes stratégiques en matière de transition écologique. A l’échelle de la région, La POSTE possède une flotte de plus de 2 600 véhicules afin de desservir plus d’1,7 million de foyers. L’acquisition de cinq vélos-cargos est une réponse appropriée pour adopter une logistique urbaine novatrice et efficiente en termes de résultats.

D’un volume utile minimal de 1 200 litres, cet engin que les Sénonais découvrent désormais dans leurs rues peut contenir jusqu’à 130 colis et parcourir son périple à la vitesse maximale de 25 km/h. En ce qui concerne l’autonomie, l’énergie est suffisante pour une tournée de 4h30 avec cent kilos de charge.

Le groupe possède également 1 819 véhicules automobiles électriques sur le territoire régional, des « Staby » (en lieu et place de scooters cause de trop d’accidents) au nombre de 249 et 24 quads électriques.

 

Thierry BRET

 

 


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