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Parmi les conséquences de la guerre russo-ukrainienne, la plus forte à long terme sera surtout la flambée des prix du baril de Brent. Les pays producteurs de pétrole ne pourront pas pallier l’arrêt des importations venant de Russie, face à une demande croissante. De plus, les réserves de l’Europe ne sont pas au plus haut et la France assure trois mois d’autonomie. Un impact certain sur l’automobile…

 

TRIBUNE : Si la Russie ne peut plus exporter son pétrole, c’est tout de même le troisième producteur mondial, le Brent pourrait rapidement atteindre 120 dollars le baril ! On peut difficilement compter sur d’autres pays qui sont déjà au taquet. L’Iran peut cependant augmenter sa production de un million de barils/jour et les Etats-Unis peuvent dépasser les 11,5 millions de barils/jour. Pour cela, il faut réaliser des investissements qui ne produiront leurs effets qu’en fin d’année 2022. De plus, il y a fort à parier que l’Iran en profitera pour exiger des assouplissements concernant sa production d’uranium enrichi…

A 120 dollars le baril, nous serons à plus de deux euros le litre d’essence. Contrairement à ce que dit le patron du MEDEF, les taxes à elles seules n'expliquent pas tout. Il y a une autre raison : c'est la valeur de l'euro face au dollar, plus faible aujourd'hui qu'il y a une dizaine d'années. L'euro a perdu environ 15 % de sa valeur face à la monnaie américaine. Cela pèse fortement sur la facture pétrolière de la France puisque nous payons toujours l'or noir en dollars. Peut-on jouer sur les taxes de l’Etat ?

La composition du prix du carburant est la suivante : pétrole brut (37,6 %), raffinage (6,1 %), transport et distribution (7,2 %), fiscalité (49,1 %). L’Etat prélève ainsi près de la moitié du prix de l’essence. Peut-il diminuer les taxes ? Oui en théorie car il l’a fait dans le passé, alors pourquoi pas de prévision de diminution substantielle ?

 

Comparatif véhicule à essence / voiture électrique…

 

Parlons du prix : toutes aides confondues (Etat, région), une Renault ZOE tout électrique de 110 CV peut passer de 32 000 euros à 18 000 euros. En comparaison,  une CLIO essence de 65 CV est facturée 17 500 euros. Avec une voiture électrique, le prix d'un plein électrique est en moyenne de deux euros pour cent kilomètres en profitant d'un système de charge à domicile. Soit environ 400 euros pour 20 000 kilomètres, c'est à dire 2 100 euros de moins que le véhicule thermique. Si vous rechargez votre voiture à la maison, vous pouvez également opter pour des contrats d'électricité adaptés à la recharge de voitures électriques, sous le mode d'alternance heures pleines-heures creuses, qui vous permettront de recharger au meilleur moment pour votre budget.

Il est recommandé de réaliser un entretien du véhicule électrique tous les 30 000 km, contre 15 à 20 000 pour les voitures thermiques. Selon l’étude de « Consumer Reports », sur la durée de vie totale d’un véhicule électrique, les économies moyennes s’élèveraient à un montant presque égal à 4 000 euros.

 

 

La durée de vie d'un moteur de voiture électrique moderne est estimée à plusieurs millions de kilomètres. Pour un usage dans la moyenne (soit 30 à 40 km par jour, ou 20 000 km par an), le moteur pourrait donc fonctionner parfaitement pendant plus de cinquante ans !

On le voit bien, non seulement l’acquisition d’une voiture électrique est rentable à court terme mais également à long terme.

On peut ajouter que RENAULT vend à la Russie presque autant qu’en France. La crise ukrainienne peut aussi déboucher sur une crise dans le secteur automobile.

 

 

L’Etat travaille-t-il à une stratégie consumériste ?

 

On peut se poser la question. Existe-t-il, du côté de l’Etat, une stratégie concernant un prix de l’essence le plus haut possible afin de booster les véhicules électriques? Pourquoi pas et ce serait non seulement bénéfique pour tout le monde et y compris pour l’écologie !

Les constructeurs automobiles pourraient de leur côté réaliser une étude approfondie : quelle zone de prix acceptable par le plus grand nombre de consommateurs, pour le prix d’une voiture électrique, en tenant compte de deux facteurs. Les aides possibles de l’Etat et le seuil de rentabilité d’une telle configuration ? Plus simplement, il faudrait vendre combien de voitures au minimum  et à quel prix maximum ?

 

Jean-Paul ALLOU

 

 


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Voilà un débat qui tombe à pic ! Presque comme un cheveu au fond de l’assiette, remplie de soupe. Au moment même où la conjoncture nous rappelle que le volet énergétique demeure capital pour la pérennité de notre existence. Entre la surchauffe climatique et le conflit belliqueux en Ukraine, le nucléaire refait surface. Et pas forcément sous l’angle de la menace…

 

AUXERRE : Consommer moins d’énergie pour sauver la planète ? Une évidence, digne de l’une des vertus de Lapalisse. Mais, le contexte actuel, autour du nucléaire à travers ses applicatifs domestiques, tend à faire travailler les neurones de certains intellectuels. Notamment, du côté des Verts.

Vous souhaitez, vous aussi, vous poser les bonnes interrogations sur cet item ? Pas de soucis ! La section auxerroise d’Europe Ecologie Les Verts propose des réponses précises à toutes les interrogations. Lors d’une conférence-débat permettant à l’un des ambassadeurs de l’association « négaWatt », Olivier BERLAND, de distiller moult réflexions fondée sur la sobriété et l’efficience énergétiques à mettre en exergue. Avec en toile de fond, l’une de ces petites ritournelles lancinantes qui trotte dans la tête : « est-il possible de sortir à la fois du fossile et du nucléaire ? ».

 

 

Regroupant des professionnels de l’énergie et des citoyens, la structure associative s’invite dans le débat d’idées afin de promouvoir le développement d’une politique énergétique douce et un recours plus affirmé aux énergies renouvelables.

L’entité appelle les prétendants au fauteuil élyséen à se saisir de sujets essentiels en matière de transition énergétique autour de la rénovation performante des bâtiments, le soutien inconditionnel à la mobilité électrique, la stratégie industrielle et relocalisation, la gestion opérationnelle de la trajectoire nucléaire, enfin.

Des axes de réflexion pouvant être les piliers constructifs d’une stratégie qui permettrait à l’Hexagone d’atteindre la neutralité carbone en 2050.

 

Thierry BRET

 

 


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La douleur. Vive, insondable. Elle pique l’esprit avec fulgurance. Comme une aiguille interminable s’enfonçant vers le cœur. Coincé dans un inéluctable étau qui broie la moindre parcelle de bonheur de celles et de ceux qui restent. Un sentiment de légèreté, pourtant, revient aux doux souvenirs des jours heureux. De ceux partagés à ses côtés, au détour d’une existence associative très investie : l’Ordre de Malte ou le Kiwanis Club d’Auxerre. Entre autres…

 

APPOIGNY : « Quel prodige la Mort ! La Mort et son frère, le Sommeil ! L’une, pâle comme la Lune qui là-bas s’évanouit avec les lèvres d’un bleu livide ; l’autre, rosé comme le matin, quand trônant sur la vague de l’océan, il empourpre le monde… ».

Les mots du poète britannique, Percy SHELLEY, posés sur le vélin en 1813, réchauffent l’âme. Pathétiques moments de quête au réconfort où l’on souffre en silence en tentant de se raccrocher à la vie parce qu’il est de notre devoir de poursuivre le chemin entamé. Afin de perpétuer la mémoire du défunt. En pleurant celui ou celle, trop tôt disparu. Et en ravalant péniblement son chagrin parce qu’il faudra toujours soutenir, avec force et vigueur, celui qui survit à ce cap inextricable de la vie que l’on nomme la mort : le survivant. Qu’il soit époux, mari, compagnon…

Personnalité attachante, joyeuse, empathique, impliquée, communicante. Telle était Marie-Aimée SIOPATHIS, épouse du conseiller départemental de l’Yonne et maire d’Appoigny, Magloire. Une figure qui ne s’effacera jamais des mémoires collectives et disparue, trop tôt en ce lundi ensoleillé, en fin de matinée. Dans la clarté incandescente de l’astre diurne, après avoir lutté avec vaillance et courage contre une longue maladie.

 

 

Généreuse et altruiste : deux des caractéristiques d’une femme investie…

 

Quelle belle âme que cette Marie-Aimée (elle portait très bien ce prénom si caractéristique) ! Une fille à l’écoute, en soif de découvertes et de rencontres utiles à sa progression intellectuelle, à son épanouissement personnel au contact des autres. Un rayonnement qu’elle saura mettre en lumière au bénéfice de l’Ordre de Malte, avant d’irradier les actions sociales de l’un des clubs services de l’Auxerrois, qui la pleure, aujourd’hui, le Kiwanis d’Auxerre.

Toujours avec humilité et générosité. Un élan du cœur qui la portera à la présidence de cette structure associative, dont le credo n’est autre que le mot anglais : « we build ». Nous construisons. Au bénéfice de l’enfance. Au profit de l’Humanité.

Gageons qu’au fil de ces expériences, professionnelles, associatives et personnelles, aux côtés de son époux et de ses enfants, elle aura su en construire de belles choses lors de son cheminement sur Terre.

Des choses abouties et inachevées. Peut-être que de là-haut, elle poursuivra sa destinée de créatrices de projets au service d’autrui avec sa grandeur d’âme…

« Paix ! Paix ! Il n’est pas mort, il ne dort pas ! Il (elle en l’occurrence) s’est réveillé du songe de la vie ». Extrait de l’élégie « Adonaïs », de Percy SHELLEY, datant de 1821. Ce n’est qu’au au-revoir et non un adieu, Marie-Aimée…

 

Thierry BRET

 

 

 


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Solennité de l’instant. Décontraction, aussi dans les propos liminaires prononcés par l’édile de Sens. Visiblement, satisfaite de se retrouver là, en pareilles circonstances, prête à se munir de son stylo où elle couchera d’ici peu sa signature au bas du document. Un véritable pavé de…350 pages ! Rien que cela, à l’heure de la dématérialisation ! Celui qui place en orbite le projet de réédification de la nouvelle poste des Champs-Plaisants, partie en fumée, en 2017…

 

SENS: C’est une manière efficace de tourner la page. Radicale, même d’envoyer aux oubliettes de la mémoire collective le sinistre incendie qui avait consumé l’ancien bureau de La Poste dans le quartier des Champs-Plaisants, en 2017. Cinq ans, plus tard, la tonalité n’est plus similaire. La physionomie des faits se veut nettement plus conviviale, voire tranquille, pour noircir un paraphe, déclencheur de nouveaux travaux. Ceux qui concernent la nouvelle agence postale, devant être livrée début juin.

Répondre à une attente. C’était là tout l’enjeu de cette signature conventionnelle entre deux partenaires : la collectivité territoriale de Sens et l’opérateur de services postaux, banque, assurance et autres prestations. Avant l’été, les habitants du quartier des Champs-Plaisants profiteront d’un point d’accueil flambant neuf, d’une surface de 107 mètres carrés. Un bureau recevant également les neuf structures qui opèrent sous le vocable habituel du programme France Services. Précisons, qu’un foyer socio-éducatif verra aussi le jour ainsi que le réaménagement de la place centrale. Histoire de conforter l’offre de prestations auprès des citoyens.

« Et de l’espoir aux gens, complète Marie-Louise FORT, parce qu’ils attendent nombreux le retour fonctionnel de ce bureau de poste ».

 

 

Un budget de 290 000 euros HT répartis entre la CDPPT et la Ville…

 

Financés en majeure partie par la Commission départementale de Présence Postale Territoriale (CDPPT), à hauteur de 150 000 euros, les travaux nécessiteront un budget de 290 000 euros in fine. La charge de la ville sera de 92 000 euros hors taxes.

Commentaires de l’ « asset manager immobilier » du groupe postal en Bourgogne, Sandrine GERLAUD, signataire du document, « nous sommes très contents de nous réinstaller aux Champs-Plaisants, et d’y apporter les services de La Poste. ».

Elle ne sera pas la seule : la fréquence ordinaire des files d’attente sur les autres bureaux postaux de la ville prouve que ce futur point représente une bénédiction pour tous les habitants de ce quartier. Encore un peu de patience, désormais, avant de pouvoir en profiter pleinement…

 

Thierry BRET

 

 


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Les projets sont multiples. Plus d’une dizaine, au total. Patiemment réfléchis. Mûrement élaborés avec l’ensemble des élus de la nouvelle mandature dont bon nombre de représentants fraîchement installés. Ces derniers se retrouveront à partir du 10 mars au siège de la Chambre de Commerce et d’Industrie pour en affiner leurs contours. Pas à pas, le nouveau visage de l’organe consulaire de l’Yonne prend ses marques. En successeur légitime de l’ancienne figure, Alain PEREZ…

 

AUXERRE : Pas de divergence, en vue. Bien au contraire. Les 36 élus qui composent la nouvelle équipe de la chambre consulaire départementale de l’Yonne, afférente au commerce et à l’industrie, sont au diapason. De manière intégrale. Ayant démontré une très forte appétence à s’engager derrière des projets significatifs et concrets.

D’ailleurs, ils seront présents lors de la prochaine assemblée générale de mars, le 10, en vue de l’élaboration du contrat de mandature. Le canevas de toute cette ossature directionnelle, pilotée par Thierry CADEVILLE, nouvellement choisi pour succéder à Alain PEREZ.

Un premier critère de satisfaction pour l’entrepreneur icaunais (il dirige la société de services industriels ALGAN SIREC) : « on jouera notre partition comme une équipe soudée ».

Ce jour-là, il s’agira de peaufiner ce contrat de mandature, d’en enlever les aspérités, de le rendre plus conciliable entre toutes ces personnes à la composante hétérogène. Une dizaine de grands projets y seront dévoilés. Ceux qui tiennent à cœur à Thierry CADEVILLE, dans la continuité à la fois de son prédécesseur mais tout en y apportant sa marque de fabrique.

 

Des dotations de l’Etat qui ont réduit considérablement la voilure organisationnelle…

 

Parmi les lignes tendancielles : l’attractivité du territoire, la formation professionnelle, l’enseignement. Le soutien à l’entrepreneuriat, aussi, on en s’en doute !

Dans un contexte économique délétère, coincé entre crise sanitaire et situation extrême aux portes de l’Europe, le milieu économique doit s’arrimer solidement à ses convictions pour avancer. Des éléments conjoncturels qui n’ont pas l’heur de perturber le flegme quasi britannique de notre interlocuteur qui a su apprivoiser tous les rouages de l’organisme consulaire, durant ces onze premières années de mandat en qualité d’élu. Aux côtés d’Alain PEREZ, le garçon a su apprendre méticuleusement le fil d’Ariane de cet édifice institutionnel.

 

 

Même si les dotations de la CCI en provenance de l’Etat ont fondu comme neige au soleil en l’espace de quelques années. Des ponctions drastiques qui ont mis à mal le système organisationnel et financier de la chambre, en secouant très sérieusement le cocotier.

Faisant fi de ces décisions qui pourraient paraître arbitraires à bien des égards en y regardant de plus près, Thierry CADEVILLE s’appuie sur trois axes de travail. Le conseil aux entreprises est l’un d’entre eux. La formation, le deuxième, rappelle que CCI France propose à travers l’Hexagone un dispositif chevronné auprès des apprenants qui en fait l’un des premiers de France. Enfin, pour clore ce tiercé gagnant, il y a les pépinières. Ou hôtels d’entreprises. Un lieu d’accueil qui offre la judicieuse opportunité aux néophytes de l’entrepreneuriat de se frotter les ailes à leurs marchés en bénéficiant de multiples prestations et services, façon tremplin.

 

Amplifier les services marchands générateurs de possibilités financières…

 

Si le site de Joigny est tombé dans l’escarcelle de BGE Nièvre Yonne en 2021, que dire des 130 structures professionnelles accueillant leurs 450 emplois qui forment cette vitrine éclectique d’un savoir-faire made in Yonne ?

A Saint-Florentin comme à Sens, à Tonnerre ou à Toucy mais aussi à Auxerre, voire à Avallon sous le sceau de la Chambre économique du secteur, la CCI quadrille le terrain de ces initiatives.

« Je compte mener à bien tous les projets déjà amorcés, insiste Thierry CADEVILLE, notamment l’amplification des services marchands afin de pallier au désengagement de l’Etat et des collectivités… ».

Des services qui se déclineraient moyennant contributions financières et seraient optimisés grâce aux possibilités de partenariats, les aides à la création des entreprises, l’expertise comptable. Générer des recettes pour contribuer à l’équilibre financier est devenu le fil conducteur stratégique de la vénérable maison.

Dans son for intérieur, le nouveau président de cette entité structurelle qui fédère plus de quinze mille sociétés dans l’Yonne veut redorer le blason de l’organe dans le microcosme professionnel.

« Les entrepreneurs n’ont pas toujours conscience des aides que nous pouvons leur apporter, souligne-t-il.

Gageons que Thierry CADEVILLE en fin tacticien et adepte de la communication saura trouver les mots justes pour leur rappeler !

 

Thierry BRET

 


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