C’est une véritable invitation au voyage vers la ville d’Auxerre que propose le professionnel de l’image avec la réalisation de ce court-métrage. Et surtout, pour celles et ceux qui l’ont déjà visionné, l’occasion de pouvoir découvrir deux des complexes hôteliers du chef-lieu du département bourguignon : l’IBIS Centre et le tout récent, IBIS Budget, qui est fonctionnel depuis le mois de juin. Le professionnel auxerrois a pu ainsi honorer avec sa touche et sa sensibilité personnelles cette commande de film, à la suite d'une sollicitation par le propriétaire des établissements hôteliers, Alain GEHIN.
AUXERRE : Derrière cette réalisation cinématographique originale, il y a surtout le signe fort d’un encouragement à la création audiovisuelle sur la région de l’Auxerrois. Un soutien qui n’est malheureusement pas à l’apanage de la réalité quotidienne.
Travaillant en parfaite symbiose avec le réalisateur de ce court-métrage, bel outil de communication sur les atouts touristiques de la ville et les potentialités offertes par la présence hôtelière du groupe IBIS, Alain GEHIN, propriétaire des deux hôtels IBIS de la rive droite d’Auxerre, était parti sur ce projet avec des idées bien précises. Instigateur du concept, il s’est rapproché du vidéaste Pascal DELAGNEAU, un spécialiste du court-métrage d’entreprise mais aussi de productions audiovisuelles relatant les évènements de la sphère culturelle et artistique.
L’objectif de ce challenge visuel, faisant la part belle à la créativité et à l’esthétisme de l’image, s’inscrivait dans une pure démarche de valorisation de la ville d’Auxerre, vue sous le prisme d’une qualité optimale de l’accueil offerte par ces deux établissements hôteliers.
Le synopsis a mis l’accent sur les opportunités offertes par les hôtels, judicieusement positionnés aux abords de l’Yonne. Mais, à travers ce documentaire, le cinéaste accentuera le trait sur la joliesse du cadre de vie présenté par la ville, sa renommée imputable à la valeur sportive et le poids d’une AJ Auxerre toujours aussi prégnante (l’un des fers de lance des préférences dans les passions qui animent Alain GEHIN depuis longtemps) et le volet festif et convivial de la ville, à travers ses animations régulières.
Une collaboration complice et fructueuse…
« Le chef d’entreprise m’a ensuite entièrement fait confiance pour la mise en scène, confie Pascal DELAGNEAU, ce fut une collaboration sympathique, vécue avec réellement de plaisir aux côtés de ses équipes, des acteurs et des figurants… ».
Techniquement, le réalisateur n’a pas hésité pour la conception de certaines prises de vue à recourir à l’emploi d’un drone. « L’idée conceptuelle sera de suivre tout naturellement le fil de l’eau, la proximité de l’Yonne, comme arcane principal et fil conducteur de ce film, précise le créateur audiovisuel.
Le résultat est proprement réussi. Les images aériennes qui permettent une vision globale insolite de l’infrastructure et de cette partie de la ville émanent de la dextérité vigilante de Pierre-Alexandre DARDOISE, gérant de la société DRONE PAD. Ce passage du court-métrage devait se faire dans les règles de l’art sécuritaire (avec l’aval de la Ville), la présence d’un ensoleillement légitime pour optimiser le rendu de l’image et sa qualité de perception, mais également sans vent qui aurait pu déstabiliser le petit appareil.
« Toutes les courtes scènes du film reflètent de ces petits moments de vie empruntés au quotidien, explique Pascal DELAGNEAU, en fait, je voulais une construction simple mais aussi très efficace… ».
S’inspirant souvent de cette impression de voyage et de balades impromptues, le réalisateur a laissé libre cours à son imaginaire pour produire le meilleur de lui-même. On le constate de facto dans la première partie de cet opus, avec la touriste qui rejoint l’hôtel à pied depuis la gare sur une note musicale de bonne tenue « On the road for holidays » de Vincent TELLIER. Autre séquence significative : le jeune couple qui emprunte la fameuse passerelle surplombant la rivière et gagne sa chambre…
La présence de figurants de poids dont l’inusable Guy ROUX…
La diffusion de l’« Ode à la joie », hymne musical devenu le symbole de l’Europe, la vision furtive de Guy ROUX, en figurant populaire ou l’évocation de Chablis assurent une part d’intérêt croissante à ce travail de longue haleine. Pascal DELAGNEAU a pris soin de le fignoler avec minutie. Caméra au poing, il a aussi sublimé le jeune mannequin qui avait œuvré pour l’association Cœur de Ville de Sens, dans une approche candide, et pleine de fraîcheur.
L’illustration de l’IBIS Budget s’est forgée sur la présence d’un jeune couple d’amoureux, originaire de Toulouse, en goguette le temps d’un week-end dans la capitale de l’Yonne. « Nous avons souhaité que ces jeunes gens expriment une joie de vivre, aussi bien dans leur chambre que dans notre ville d'Auxerre, argumente le réalisateur, monté avec des séquences festives, dont le festival CATALPA ou « Fleurs de vigne », Nelly et Thibaut ont joué le jeu dans une parfaite allégresse, et ça se voit ! ».
Recherchant en permanence le maximum de sincérité de ses acteurs et figurants dont Guy ROUX qui n’est plus à un film près (le charismatique ancien entraîneur de l’AJA a prêté sa silhouette à plus d’une vingtaine de réalisations), Pascal DELAGNEAU a voulu rendre crédible chaque scène de son film. Ce fut une expérience inouïe où il y aurait à raconter sur chaque moment et personne immortalisée par l’objectif de la caméra. « C’est l’humain qui a été mis en valeur, et pas les murs ou le mobilier, plaisante-t-il.
Le choix de la musique de Vincent TELLIER est prédominant. « C’est notre quatrième collaboration : elle a été très inspirante lors du montage ».
Celui-ci a été effectué à la maison ! Comme aime le préciser le cinéaste alors que la tendance actuelle, et même parfois pour de grandes marques, est de se servir sur le net pour récupérer des images libres de droits ! Un film à découvrir sur les réseaux sociaux et dans l’univers audiovisuel des établissements hôteliers, référence suivante : https://www.youtube.com/watch?v=sibJJZOxy3A
La remise des prix du label régional « Villes et villages fleuris » s’est déroulée ce samedi 17 novembre dans une ambiance conviviale. Nombreuses sont les villes et les villages, implantés aux quatre coins de la Bourgogne, qui ont obtenu ces précieux accessits. Ils représentent un atout non négligeable pour ces localités qui optimisent ainsi leur image au niveau de la pratique du tourisme vert et environnemental…
DIJON (Côte d’Or) : Président de la commission régionale de fleurissement, Jean RAVISE, à la tête du jury de ce concours annuel, s’est dit très satisfait de la qualité de cette édition 2018.
Aux côtés des jurés, représentants de communes fleuries, professionnels paysagistes et pépiniéristes, acteurs éclairés du tourisme et même quelques bénévoles, passionnés d’horticulture, il a pu remettre les nombreuses récompenses tant attendues par les élus des communes engagées.
Parmi ce vaste palmarès qui sera égrené au fil de la cérémonie officielle, notons quelques particularismes de bon aloi. Notamment pour la commune qui a été proposée au jury national pour l’obtention de la quatrième fleur : Nevers.
Autre ville de poids qui devait recevoir le plébiscite de ce jury : Chalon-sur-Saône. L’agglomération de Saône-et-Loire accède cette année à la quatrième fleur.
Le jury régional a aussi salué les initiatives de plusieurs communes qui obtiennent la première fleur. C’est le cas d’Aiserey (Côte d’Or), Baudrières (Saône-et-Loire), Châtenay (Saône-et-Loire), Flagey-les-Auxonne (Côte d’Or), Francheville (Côte d’Or), Gurgy (Yonne), Quarré-les-Tombes (Yonne) et Rogny-les-Sept-Ecluses (Yonne).
D’autres devaient recevoir la bénédiction des professionnels en se voyant accorder une fleur supplémentaire, qui encourageait leur velléité d’embellissement de leur lieu de vie. Citons les communes d’Arc-sur-Tille (Côte d’Or), Branges (Saône-et-Loire), Chaumont-le-Bois (Côte d’Or), Prémeaux-Prissey (Côte d’Or), Avallon (Yonne), Saint-Julien-du-Sault (Yonne) et Savigny-les-Beaune (Côte d’Or).
Le jury et ses coups de cœur…
Plusieurs prix spéciaux ont été délivrés. Dans la catégorie des « Petits jardiniers » qui mettent sous le feu des projecteurs le travail des enfants, l’école maternelle Paul Bert de Migennes (Yonne) a pu se distinguer. A l’instar de l’école publique Les Acacias de Saint-Usuge en Saône-et-Loire ou de l’accueil de loisirs de Pouilly-en-Auxois (Côte d’Or).
Enfin, signalons que le jury a apporté un soin particulier pour créditer de son coup de cœur spécial les communes de Châtenay (Saône-et-Loire), Chaumont-le-Bois (Côte d’Or), Ruages (Nièvre) et Saint-Julien-du-Sault (Yonne).
Le palmarès complet de cette édition 2018 :
Quatre fleurs
Beaune (Côte-d’Or) - 21 661
Chalon-sur-Saône (Saône-et-Loire) - 45 390
Châtenoy-le-Royal (Saône-et-Loire) - 6 229
Mâcon (Saône-et-Loire) - 33 236
Paray-le-Monial (Saône-et-Loire) - 9 201
Quetigny (Côte-d’Or) - 9 651
Sens (Yonne) - 25 784
Appoigny (Yonne) - 3 154
Autun (Saône-et-Loire) - 13 635
Avallon (Yonne) - 6 807
Chablis (Yonne) - 2 300
Charnay-lès-Mâcon (Saône-et-Loire) - 7 018
Charolles (Saône-et-Loire) - 2 758
Chenôve (Côte-d’Or) - 13 962
Clamecy (Nièvre) - 3 867
Cosne-Cours-sur-Loire (Nièvre) - 10 388
Crêches-sur-Saône (Saône-et-Loire) - 2 952
Darois (Côte-d’Or) - 466
Fontaine-lès-Dijon (Côte-d’Or) - 8 881
Gueugnon (Saône-et-Loire) - 7 184
Joigny (Yonne) - 9 580
La Charité-sur-Loire (Nièvre) - 4 966
La Clayette (Saône-et-Loire) - 1 706
Le Creusot (Saône-et-Loire) - 21 887
Longvic (Côte-d’Or) - 8 981
Louhans (Saône-et-Loire) - 6 354
Lucenay-lès-Aix (Nièvre) - 987
Migennes (Yonne) - 7 085
Missery (Côte-d’Or) - 102
Monéteau (Yonne) - 3 993
Montagny-lès-Beaune (Côte-d’Or) - 669
Montbard (Côte-d’Or) - 5 331
Montceau-les-Mines (Saône-et-Loire) - 18 772
Nevers (Nièvre) - 34 228
Nuits-Saint-Georges (Côte-d’Or) - 5 552
Paron (Yonne) - 4 866
Poiseul-la-Grange (Côte-d’Or) - 58
Prémery (Nièvre) - 1 868
Saint-Apollinaire (Côte-d’Or) - 7 302
Saint-Georges-sur-Baulche (Yonne) - 3 277
Saint-Honoré-les-Bains (Nièvre) - 756
Saint-Julien-du-Sault (Yonne) - 2 402
Sancé (Saône-et-Loire) - 1 932
Savigny-lès-Beaune (Côte-d’Or) - 1 315
Sermages (Nièvre) - 193
Talant (Côte-d’Or) - 11 439
Venarey-les-Laumes (Côte-d’Or) - 2 901
Vignoles (Côte-d’Or) - 865
Villebougis (Yonne) - 625
Arc-sur-Tille (Côte-d’Or) - 2 617
Arnay-le-Duc (Côte-d’Or) - 1 482
Auxonne (Côte-d’Or) - 7 743
Beaulieu (Nièvre) - 168
Berzé-la-Ville (Saône-et-Loire) - 657
Bèze (Côte-d’Or) - 722
Billey (Côte-d’Or) - 248
Bléneau (Yonne) - 1 352
Bourbon-Lancy (Saône-et-Loire) - 5 054
Branges (Saône-et-Loire) - 2 378
Chagny (Saône-et-Loire) - 5 668
Chardonnay (Saône-et-Loire) - 200
Château-Chinon Ville (Nièvre) - 2 071
Châteauneuf (Côte-d’Or) - 88
Châtillon-sur-Seine (Côte-d’Or) - 5 385
Chaumont-le-Bois (Côte-d’Or) - 82
Cheny (Yonne) - 2 485
Chevannes (Yonne) - 2 192
Chevigny-Saint-Sauveur (Côte-d’Or) - 11 574
Cressy-sur-Somme (Saône-et-Loire) - 190
Darcey (Côte-d’Or) - 336
Decize (Nièvre) - 5 623
Deux Rivières (Yonne) - 1 258
Digoin (Saône-et-Loire) - 7 908
Escamps (Yonne) - 893
Faverolles-lès-Lucey (Côte-d’Or) - 33
Fourchambault (Nièvre) - 4 291
Frontenaud (Saône-et-Loire) - 743
Gron (Yonne) - 1 233
Guérigny (Nièvre) - 2 482
Imphy (Nièvre) - 3 452
Is-sur-Tille (Côte-d’Or) - 4 424
Issy-l’Évêque (Saône-et-Loire) - 758
Lacanche (Côte-d’Or) - 571
Lavau (Yonne) - 475
Levernois (Côte-d’Or) - 306
Luzy (Nièvre) - 1 981
Marcellois (Côte-d’Or) - 49
Marcigny (Saône-et-Loire) - 1 809
Marcilly-sur-Tille (Côte-d’Or) - 1 663
Mirebeau-sur-Bèze (Côte-d’Or) - 2 093
Poisson (Saône-et-Loire) - 568
Pougues-les-Eaux (Nièvre) - 2 422
Pouilly-en-Auxois (Côte-d’Or) - 1 457
Prémeaux-Prissey (Côte-d’Or) - 409
Préty (Saône-et-Loire) - 548
Prissé (Saône-et-Loire) - 2 018
Quincerot (Yonne) - 56
Roilly (Côte-d’Or) - 46
Ruages (Nièvre) - 100
Sagy (Saône-et-Loire) - 1 245
Saint-Clément (Yonne) - 2 795
Saint-Denis-lès-Sens (Yonne) - 768
Saint-Marcel (Saône-et-Loire) - 5 979
Saint-Privé (Yonne) - 554
Saint-Seine (Nièvre) - 209
Saint-Vallier (Saône-et-Loire) - 8 734
Santenay (Côte-d’Or) - 856
Saulieu (Côte-d’Or) - 2 473
Sauvigny-le-Bois (Yonne) - 721
Semur-en-Auxois (Côte-d’Or) - 4 124
Serley (Saône-et-Loire) - 603
Tancon (Saône-et-Loire) - 555
Tonnerre (Yonne) - 4 736
Toucy (Yonne) - 2 732
Tournus (Saône-et-Loire) - 5 663
Trouhaut (Côte-d’Or) - 111
Velogny (Côte-d’Or) - 35
Vendenesse-sur-Arroux (Saône-et-Loire) - 574
Villaines-les-Prévôtes (Côte-d’Or) - 139
Villeneuve-l’Archevêque (Yonne) - 1 162
Aiserey (Côte-d’Or) - 1 373
Alise-Sainte-Reine (Côte-d’Or) - 594
Arces-Dilo (Yonne) - 628
Authiou (Nièvre) - 41
Baudrières (Saône-et-Loire) - 946
Bazoches (Nièvre) - 174
Bonnencontre (Côte-d’Or) - 450
Buxy (Saône-et-Loire) - 2 101
Champcevrais (Yonne) - 321
Champforgeuil (Saône-et-Loire) - 2 449
Champvoux (Nièvre) - 310
Charmes (Côte-d’Or) - 138
Châtenay (Saône-et-Loire) - 160
Chauffailles (Saône-et-Loire) - 3 725
Chevroches (Nièvre) - 126
Chichery (Yonne) - 469
Chitry (Yonne) - 356
Combertault (Côte-d’Or) - 565
Corbigny (Nièvre) - 1 525
Courtivron (Côte-d’Or) - 172
Crain (Yonne) - 391
Crissey (Saône-et-Loire) - 2 500
Cuiseaux (Saône-et-Loire) - 1 870
Drée (Côte-d’Or) - 56
Etang-sur-Arroux (Saône-et-Loire) - 1 910
Flagey-lès-Auxonne (Côte-d’Or) - 201
Foncegrive (Côte-d’Or) - 135
Francheville (Côte-d’Or) - 267
Frénois (Côte-d’Or) - 86
Gergy (Saône-et-Loire) - 2 544
Germigny-sur-Loire (Nièvre) - 770
Gland (Yonne) - 35
Guipy (Nièvre) - 244
Gurgy (Yonne) - 1 744
Ladoix-Serrigny (Côte-d’Or) - 1 820
La Fermeté (Nièvre) - 697
La Machine (Nièvre) - 3 392
La Nocle-Maulaix (Nièvre) - 285
La Roche Vineuse (Saône-et-Loire) - 1 531
Le Breuil (Saône-et-Loire) - 3 570
Leynes (Saône-et-Loire) - 530
L’Isle-sur-Serein (Yonne) - 680
Magny-Cours (Nièvre) - 1 414
Marsannay-la-Côte (Côte-d’Or) - 5 192
Martailly-lès-Brançion (Saône-et-Loire) - 135
Marzy (Nièvre) - 3 661
Merceuil (Côte-d’Or) - 818
Messigny-et-Vantoux (Côte-d’Or) - 1 628
Minot (Côte-d’Or) - 189
Montagny-Près-Louhans (Saône-et-Loire) - 446
Montholon (Yonne) - 2 908
Moulins-Engilbert (Nièvre) - 1 478
Neuvy-sur-Loire (Nièvre) - 1 492
Nolay (Côte-d’Or) - 1477
Ormes (Saône-et-Loire) - 507
Perrecy-les-Forges (Saône-et-Loire) - 1 660
Perrigny (Yonne) - 1 285
Perrigny-lès-Dijon (Côte-d’Or) - 1 800
Quarré-les-Tombes (Yonne) - 650
Rix (Nièvre) - 155
Rogny-les-Sept-Ecluses (Yonne) - 712
Royer (Saône-et-Loire) - 131
Saint-Firmin (Nièvre) - 181
Saint-Florentin (Yonne) - 4 505
Saint-Léger-de-Fougeret (Nièvre) - 387
Saint-Martin-Belle-Roche (Saône-et-Loire) - 1 380
Saint-Martin-sur-Nohain (Nièvre) - 376
Saint-Péreuse (Nièvre) - 238
Saint-Symphorien-des-Bois (Saône-et-Loire) - 442
Sainte-Colombe-sur-Loing (Yonne) - 201
Selongey (Côte-d’Or) - 2 424
Senailly (Côte-d’Or) - 140
Sennecey-le-Grand (Saône-et-Loire) - 3 144
Sermoise-sur-Loire (Nièvre) - 1 566
Seurre (Côte-d’Or) - 2 408
Sevrey (Saône-et-Loire) - 1 282
Soirans (Côte-d’Or) - 471
Toulon-sur-Arroux (Saône-et-Loire) - 1 587
Tronsanges (Nièvre) - 393
Val-de-Mercy (Yonne) - 393
Vaudeurs (Yonne) - 488
Velars-sur-Ouche (Côte-d’Or) - 1 688
Vergisson (Saône-et-Loire) - 253
Villeneuve-sur-Yonne (Yonne) - 5 299
Villers-la-Faye (Côte-d’Or) - 405
Volesvres (Saône-et-Loire) - 613
Profitant de la clôture des 29èmes « Entretiens de Champignelles » pour s’y exprimer devant les élus, le président de la Communauté de communes, Jean-Philippe SAULNIER-ARRIGHI, a exhorté ces derniers à travailler en étroite osmose et de manière fédératrice dans l’intérêt de ce territoire. En s’appropriant ses diverses potentialités, tout en privilégiant le maintien de l’unité et du bien vivre ensemble…
CHAMPIGNELLES : Politique de santé, développement économique, circuits de proximité, filière bois, tourisme, aménagement du territoire, culture, enfance et jeunesse…la liste des défis à relever afin d’optimiser le bien-être des 36 000 administrés qui résident en Puisaye-Forterre est exhaustive.
Sans procéder stricto sensu à un inventaire à la Prévert, le président de la Communauté de communes, Jean-Philippe SAULNIER-ARRIGHI, a choisi néanmoins de balayer large durant son exercice oratoire. Il s’est référé à de nombreux exemples, des priorités concrètes vers lesquelles les élus de ce territoire doivent s’engouffrer.
« La Puisaye-Forterre, nous la vivons et nous l’aimons tous : ce doit une être une passion ! ». Partageant son enthousiasme communicatif auprès de son auditoire, l’élu Les Républicains a réaffirmé sa volonté d’être un rassembleur.
« Notre territoire a été trop longtemps délaissé sans toujours saisir toutes les opportunités, concède-t-il, or, si nous voulons aujourd’hui faire venir des médecins, des entrepreneurs ou simplement conserver nos acteurs économiques, il nous faut investir ».
Etre dans une perpétuelle action
Puis, l’homme politique de renchérir : « certains répètent qu’il ne faut pas faire de dépense supplémentaire au risque d’augmenter la pression fiscale. Je suis d’accord avec cet argument. Pour autant, comment renforcer notre attractivité, celle-ci représente une condition non seulement nécessaire mais impérative, et assurer notre développement ? ».
Martelant que les ruraux avaient, eux-aussi, le droit de bénéficier de services et d’infrastructures de qualité, Jean-Philippe SAULNIER-ARRIGHI souhaite la présence d’un territoire fort et dynamique, suscitant la convergence d’intérêt d’éventuels investisseurs et partenaires économiques.
« L’aménagement du territoire et son équilibre nécessitent que chacun d’entre vous trouve dans les décisions de l’intercommunalité un vrai projet équitable. L’attractivité de notre communauté en dépend… ».
Expliquant que la création de richesse était fondamentale pour assurer un essor pérenne à ce territoire, l’élu Icaunais pointa ensuite du doigt le besoin d’être pourvu de services et d’infrastructures à la mesure des attentes des concitoyens et de leurs ambitions.
Le cap est fixé : il faut le tenir !
Au sein de l’intercommunalité, de grandes décisions ont déjà été prises à une large majorité après débat et concertation depuis dix-huit mois. Des décisions qui permettent aujourd’hui de construire cette collectivité de 36 000 habitants.
« C’est une échelle incomparable à celle, beaucoup plus modeste que nous connaissions précédemment, devait-il préciser.
Citant la parole du poète de CHAMFORT (« les raisonnables ont duré, les passionnés ont vécu »), Jean-Philippe SAULNIER-ARRIGHI a également salué le travail de Jacques GILET, fondateur et président actuel de l’association des Entretiens de Champignelles. Tout en émettant une suggestion.
« Je souhaite que la Communauté soit invitée à ces travaux et soit intégrée à la vie de cette structure. De par ses compétences, notre organisme est un acteur incontournable de la vie politique du territoire… ».
Espérant que chacun des élus puisse poursuivre l’œuvre de cette association dont l’unique objectif demeure leur formation, le président de Puisaye-Forterre a émis l’idée que des déplacements en France, comme ce fut le cas par le passé en Balagne, soient privilégiés à l’avenir. Se remémorant ainsi la qualité des échanges qu’il avait eus avec les élus corses.
Conçue à partir d’un matériau qualitatif, une série de deux mille récipients, façon gobelet, vient d’être réalisée dans la commune périphérique d’Auxerre. Sa sérigraphie représentative de la localité est l’œuvre de l’un des conseillers municipaux, l’entrepreneur Alvaro de CARVALHO…
VENOY : L’objet a été officiellement présenté par l’édile de la localité, Christophe BONNEFOND, lors de la soirée inaugurale de la fresque qui habille désormais le préau de la cour de l’école primaire (voir notre article).
Œuvre de l’un des conseillers municipaux pour sa partie illustrative, il a été fabriqué en petite série par la municipalité.
Dans le souci, d’une part, de disposer d’un produit qui sera utile à la célébration de cérémonies qui nécessitent le sacro-saint partage du verre de l’amitié.
D’autre part, de disposer de cet objet pour pouvoir communiquer intelligemment et de manière subliminale autour des valeurs de la localité en le faisant circuler.
Une première série de deux mille récipients a donc été réalisée en ce mois de novembre. Ces gobelets seront mis à la disposition des associations qui en auraient usage et en feraient la demande auprès de la mairie. Engendrant de facto un judicieux système de consigne.
Il n’est pas exclu en cas de désir d’appropriation de ce produit par les habitants de la commune que la municipalité procède à d’autres tirages à l’avenir si le besoin s’en faisait réellement ressentir…
Satisfecit pour le chef d’entreprise Icaunais, Denis PETIT. Deux de ses recettes à base d’escargots ont été distinguées au terme de la récente Foire internationale et gastronomique de Dijon. Les produits commercialisés sous l’égide de la SARL « L’Escargot Roulant » ont retenu l’intérêt des membres d’un jury, structuré autour du Groupement régional des héliculteurs, à l’origine de ce concours culinaire très prisé.
DIJON (Côte d’Or) : Elevés par Dominique ROUYER, gérant de la société « Les Escargots d’Armeau », les gastéropodes savamment cuisinés et préparés par l’entreprise de Denis PETIT ont su conquérir par la qualité de leur texture et la succulence de leurs recettes les membres du jury de ce challenge annuel.
A l’issue de l’épreuve, fleurant bon le terroir de Bourgogne, « L’Escargot Roulant » glane deux médailles d’argent. L’entreprise les obtient dans deux catégories respectives où les produits étaient soumis à l’appréciation et à la sagacité du jury.
Cet accessit sur le podium récompense ainsi le travail qualitatif fourni depuis une vingtaine d’années par Denis PETIT. Celui-ci commercialise de manière itinérante, grâce à son camion food truck, les incontournables vecteurs de la gastronomie régionale. A consommer sans l’once d’une modération !
Dans l’absolu, ses recettes d’escargots à la Bourguignonne et les escargots préparés au court bouillon se classent parmi les meilleures références de l’année.
A quelques semaines de la période des fêtes, ces deux médailles honorifiques augurent d’agréables perspectives pour l’entrepreneur Icaunais.
Rappelons que les plus grandes maisons de la gastronomie hexagonale s’approvisionnent chez lui : Ducasse, Loiseau, le Georges V, le Bristol ou le Prince de Galles…