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Les voyages de groupes se traduisent par une fréquentation de plus de 5 000 visiteurs à l’année. Un chiffre non-négligeable pour la présidente de l’agence de développement touristique, Yonne Tourisme, Anne JERUSALEM. Grâce au club « Yonne Escapades », un outil constitué en décembre 2017, les professionnels de la filière et leurs partenaires se dotent de tous les moyens nécessaires pour faire progresser leurs potentiels…

TANLAY : Ils ont pour origine l’Aube, le Loiret, la Seine-et-Marne, Paris. « Ils » : ce sont les adeptes des séjours en groupes qui profitent d’un comité d’entreprises ou d’une structure associative pour découvrir un territoire nouveau. Une manne de visiteurs qui se comptabilise par dizaines lorsqu’ils descendent de leur bus.

Entre l’Yonne et cette typologie de touristes, l’hyménée ne date pas d’hier. Cela fait bientôt trente ans que nos instances touristiques départementales travaillent cette cible, une véritable niche, pour assoir la régularité de leurs visites. Avec bonheur, semble-t-il.

Coordonné avec Yonne Réservation, ce club spécifique aux groupes a même vu le jour à l’hiver 2017. « Yonne Escapades » puisque tel est le nom de baptême de ce concept, accueille aujourd’hui une douzaine de membres. Ce sont des professionnels, convaincus par la pertinence de l’initiative, adoubée par l’agence Yonne Tourisme.

Ce club se définit comme un laboratoire d’idées, un espace de coopération étroit entre les diverses composantes : des hôteliers/restaurateurs, des producteurs locaux, des viticulteurs, des gestionnaires de sites patrimoniaux et culturels.

 

Déjà des suggestions pour prolonger l’action en 2020/2021…

 

Susciter de nouvelles opportunités et développer la clientèle de groupes demeurent néanmoins l’unique priorité. Au terme de ces deux premières années d’existence, plusieurs projets d’actions ont émergés : les uns sous l’angle purement formatif (approche des tendances nouvelles sur le marché) ; les autres par le biais d’un concept original fait de rencontres, les Cafés du mardi.

Le premier Salon des professionnels du tourisme de groupes correspond à la concrétisation physique d’une mutualisation des besoins (voir l’article).

« Ce club est voué à grossir, confie Anne JERUSALEM, présidente de l’agence Yonne Tourisme, à l’issue de l’évènement, il est un moteur de cette démarche implicative… ».

 

 

 

Dernièrement, une réunion de concertation a eu lieu entre les membres de ce club qui ne compte pas rester là. Même s’il est encore trop tôt pour annoncer précisément le fil des opérations qui seront déclinées sur l’exercice 2020/2021.

Cependant, les partenaires et Yonne Réservation demeurent à l’affût de toutes nouvelles suggestions. A commencer par celles qui pourraient concerner la création d’offres spécifiques à destination du quatrième âge, la conception d’un document de présentation dudit club, voire la mise en place d’offres innovantes et exclusives pour tous ses membres.

Autant de pistes de réflexion que les acteurs du tourisme passeront au peigne fin dans les proches semaines. Une chose est sûre : il en sortira toujours quelque chose de positif et de concret.

 

 


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Le cadre architectural du Château de Tanlay constituait déjà un avant-goût plutôt prometteur des diverses possibilités touristiques offertes par notre territoire en matière d’accueil et de découverte. La vingtaine d’exposants Icaunais n’eut pas à se plaindre de l’initiative heureuse déclinée par les groupes « Yonne Escapades » et « Yonne Réservation » lors de ce salon professionnel. Contacts et rendez-vous ponctuèrent une animation riche d’enseignements…

 

TANLAY : Cela s’appelle un workshop. Un véritable prétexte pour joindre l’utile à l’agréable afin de réaliser du business. Et surtout assurer la promotion de ses activités professionnelles dans un domaine bien précis, en l’occurrence celui du tourisme.

Dans une ambiance « bon enfant » et des plus sympathiques (rien que la vision mirifique de ce haut-lieu patrimonial méritait amplement le détour), tous les ingrédients étaient ainsi réunis pour faire de cet évènement, premier du nom sur notre département, un succès.

Ce salon des professionnels du tourisme, concocté par les groupes « Yonne Escapades » et « Yonne Réservation », aura été en tout point fort probant pour ses visiteurs.

Des autocaristes, des agents de voyages, des représentants de comités d’entreprises, des amicales, des associations…bref, le potentiel idoine pour initier ce que l’on nomme communément des séjours en groupes !

Une mine d’or à exploiter pour les professionnels de ce secteur économique qui ne peuvent désormais plus négliger un tel filon. 

 

 

Des échanges productifs et fructueux en rendez-vous…

 

La vingtaine d’exposants ayant joué le jeu n’aura nullement regretté cet après-midi convivial, passé en si bonne compagnie. Des contacts : ils en eurent à foison !

Distribution de cartes de visites, dégustation de produits, remise de documents et de flyers, prise de rendez-vous, voire contractualisation immédiate à l’aune de la nouvelle saison : les adhérents du club « Yonne Escapades » ont eu le loisir de rencontrer et de discuter avec les véritables acteurs (les donneurs d’ordre) de ce marché en pleine expansion en France.

Face à eux, une trentaine d’organismes collectifs friands de ces séjours de groupes piochaient çà et là, au détour des stands, le fruit de leurs envies.

Ici la découverte de l’Abbaye de REIGNY (Louis-Marie MAUVAIS, son propriétaire figurait parmi les présences afin d’informer au mieux des potentialités d’accueil offertes par son établissement séculaire), là la sémillante Eglantine BORGNAT qui expliqua les secrets d’une vinification réussie ou encore la maison RABUAT, incontournable producteur de foie gras local dont les épicuriens raffolent.

Signe de l’intérêt grandissant que l’Yonne confère à ses visiteurs : deux tiers de ces quémandeurs d’informations provenaient de territoires limitrophes !

Preuve que quand on aime, on ne compte pas ! Ni les kilomètres ni les distances à parcourir pour se procurer l’information idoine devant transformer les rêves en réalité.

Ceux de vivre très prochainement un merveilleux séjour en terre de l’Yonne !

 

 


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Ils ont pu défendre les intérêts et les valeurs de leur filière. Cette dernière étant plutôt malmenée en termes d’emploi et de recrutement à l’heure actuelle. Reçue par deux conseillers du Premier ministre à Matignon, une petite délégation d’hôteliers/restaurateurs de l’Yonne, accompagnée du député de la seconde circonscription André VILLIERS et de la porte-parole de l’UMIH, Corinne ROGUIER, a eu l’heureuse opportunité, deux heures durant, de pouvoir présenter en toute liberté et sans langue de bois leurs nombreuses doléances au plus haut sommet de l’Etat. Ont-ils été entendus pour autant ?

PARIS : C’est un cri du cœur qui a été prononcé il y a quelques jours par les représentants de la délégation d’hôteliers/restaurateurs de l’Yonne, accueillie à l’hôtel Matignon. Une opportunité unique pour ces dirigeants d’entreprises qui ont pu ainsi, séance tenante, dès leur arrivée et ce, durant deux heures, obtenir une entrevue avec deux proches conseillers du Premier ministre, Edouard PHILIPPE. L’objectif était de faire connaître à la gouvernance étatique leur position quant aux difficultés de recruter dans leur filière de prédilection.

Et à ce jeu-là, celle de la prise parole proposée sous la forme non protocolaire d’un tour de table nourri d’échanges, on peut dire aisément que les professionnels de l’Yonne ont su adresser les messages appropriés à leurs interlocuteurs attentifs.

Certains visiblement étaient déçus de n’avoir pu être accueillis par le Premier ministre en personne.

Mais, l’actualité sociale complexe de ce début d’année ne lui aura pas permis d’honorer ce rendez-vous, pourtant programmé de longue date.

 

 

Qu’importe ! Les Icaunais purent deviser sans retenue avec les deux fonctionnaires en charge de collecter les précieuses informations venant du terrain.

Organisée à la demande du député UDI de la seconde circonscription de l’Yonne, André VILLIERS, la rencontre est née d’une invitation faite par le parlementaire auprès de 270 chefs d’entreprise de l’est et du sud du territoire en novembre 2019. Seuls une douzaine d’entrepreneurs avaient signifié leur présence ce qui est proprement dommageable. Toutefois, il résulta au terme de ce rendez-vous conçu avec Pôle Emploi et la Chambre de Commerce et d’Industrie, qu’une initiative insolite allait poindre à brève échéance. La venue d’une délégation icaunaise vers le plus haut degré de la sphère gouvernementale !

 

Des contrats d’apprentissage qui se résilient à qui mieux mieux…

 

A la tête de celle-ci, une figure emblématique de l’art culinaire de Bourgogne mena les discussions. Francis SALAMOLARD, éminente toque de « L’Auberge de l’âtre » énonça bille en tête une longue litanie de dysfonctionnements et d’absurdités administratives qui pénalisent quotidiennement les artisans dans l’exercice de leurs fonctions.

Il dénonça au passage l’instauration du revenu universel et l’abondance de contrats de résiliation qui fleurissent désormais çà et là dans le paysage de l’hôtellerie-restauration.

Réduisant à néant tous les efforts d’intégration entrepris en amont.

« Les jeunes restent six mois à peine en entreprise, précisa le chef établi au cœur du Morvan, avant de nous claquer leur contrat de résiliation presque au nez et à la barbe en moins de quarante-huit heures ! C’est navrant… ».

Chiffres à l’appui, le nombre de résiliations de contrats d’apprentissage s’élève presque à 30 % désormais. Alors qu’à l’autre bout de la lorgnette, 7 % de contrats d’apprentissage sont signés. Le différentiel se faisant en défaveur de l’employeur…

 

 

Ironie du sort : là, où les choses deviennent cruelles dans ce type d’exemple, c’est que les frais de formation sont intégralement pris en charge par les entreprises même quand les apprentis se rendent dans les centres de formation pour y suivre leur période d’alternance pédagogique.

 

 

Quant au vivier de jeunes apprenants, il s’amenuise d’année en année. La plupart des centres de formation n’ont toujours pas atteint leurs quotas de remplissage prévus en début de saison scolaire ; ainsi, il manquerait entre 250 et 350 jeunes par établissement. Un paradoxe quand on sait que des milliers de jeunes gens pointent toujours au chômage.

Un autre problème, connexe, fut également abordé : celui des conditions offertes pour rejoindre un établissement situé en zone rurale. Problématiques du transport, du logement, des salaires intègrent le paramètre des difficultés dont il sera nécessaire de résoudre dès que possible afin de pérenniser les futurs emplois sur ces secteurs géographiques dépourvus de candidats.

Alors, l’image renvoyée par « Top Chef » autour de cette profession serait-elle un tantinet galvaudée dans la réalité ?

Changer les clichés, liés à cette filière, entre pénibilité et bas salaire (ce qui est loin d’être le cas parmi les exemples réunis sous le ciel parisien ce jour-là) mettra encore beaucoup de temps.

Les professionnels, par manque de personnel, sont contraints de plus en plus de refuser de la clientèle. Ainsi, une restauratrice d’Avallon s’est même privée de 30 500 euros de rentrée d’argent, faute de main d’œuvre qualifiée ! Un fait préjudiciable, à la limite du scandale pour l’honorable maison.

 

 

Quelques pistes à approfondir en guise de solutions ?

 

Au gré des exemples, abondamment donnés, qu’espèrent au final ces professionnels en proie à de sérieux doutes quant à la pérennité de leur outil de travail ? Quelques pistes furent ainsi glissées parmi cet inventaire à la Prévert de ce qui ne fonctionne vraiment plus en France, côté emplois, et dans cette filière. Faudrait-il accentuer les manifestations qui permettent de sensibiliser les familles et leur progéniture aux vertus positives de ces métiers de bouche ? Faudra-t-il créer une opération pilote que l’Etat viendrait soutenir et appuyer dans l’Yonne afin de revaloriser l’artisanat et ses nobles valeurs autour de métiers ayant un avenir, y compris à l’international ?  

Une chose est apparue évidente au terme de ces entretiens : remettre le mot travail au goût du jour semble être aujourd’hui l’impérieuse obligation aujourd’hui.

Sinon, au-delà de cette sonnette d’alarme qui a été tirée à Matignon avec cette visite, la filière peut s’attendre si rien n’est fait à des lendemains qui déchantent. De manière inéluctable…Ce qui n’arrangerait pas les affaires du gouvernement.

 

 


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On ne peut décemment pas parler de victoire pour qualifier le résultat positif obtenu par les deux établissements de l’Yonne, nos seuls représentants, lors du concours de cuisine national « La Meilleure brigade de France ». Un challenge annuel organisé par METRO sous le parrainage de la Toque triplement étoilé Gilles GOUJON. Mais bel et bien d’une véritable razzia quant aux résultats et accessits !

PARIS : « La Côte Saint-Jacques », la maison deux étoiles au MICHELIN de Jean-Michel LORAIN a remporté brillamment le premier prix de ce challenge annuel en ajoutant dans sa besace deux prix spéciaux : celui de commis de cuisine et celui de maître d’hôtel.

Le second sur le podium n’est autre que « Le Rive Gauche », dont l’exploitante est sa sœur, Catherine. L’établissement a lui aussi glané un sésame supplémentaire avec le prix du chef 2020.

Les deux références de l’art culinaire de Bourgogne ont donc trusté à eux seuls les distinctions principales lors de ce prestigieux concours gastronomique accueilli la semaine dernière à l’école FERRANDI de Saint-Gratien (Val d’Oise).  

Cette compétition, sixième du nom, mettait en présence six équipes sélectionnées au niveau de l’Hexagone. Le thème était de rendre un hommage appuyé à deux légendes éternelles de la gastronomie française, et internationale, Paul BOCUSE et Joël ROBUCHON.

 

 

Deux recettes ont ainsi été travaillées : les ravioles de langoustines sans truffes mais avec une sauce servie à l’anglaise en guise d’entrée et la poularde de Bresse en vessie accompagnée de trois garnitures dont une tourte devant être confectionnée à base de crêtes et rognons de coq…

L’équipe de « La Côte Saint-Jacques » était composée du chef Alexandre BONDOUX, Nicolas KELLER, apprenti et du maître d’hôtel, Pascal BONDOUX. Le restaurant « Le Rive gauche » s’est appuyé sur le savoir-faire expérimenté du chef Jérôme JOUBERT, de l’apprenti Nicolas GIRARD et du maître d’hôtel, Edwige COUPERY.

Précisons pour mémoire que la troisième place de ce concours est revenue au restaurant parisien, « JA Evènements », et à l’équipe emmenée par le chef  Alexis BLANCHARD.

 


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Sélectionnés par une centaine de jurés présents à la salle des fêtes de BEINES ce jeudi 23 janvier, les nectars de toutes les appellations millésimées 2018, sauf exception qui auront obtenu les accessits requis, concourront lors de la finale nationale organisée porte de Versailles au Salon international de l’agriculture de Paris le 23 février prochain…

AUXERRE : Voilà une présélection qui ne manque pas d’être biffée chaque année sur les agendas des amateurs de la chose vineuse. La Chambre départementale d’agriculture accueillera ce jeudi à partir de 9h30, et ce pour la matinée entière, une centaine d’aficionados de la dive bouteille pour qu’ils puissent exercer leur talent de dégustateurs hors pair d’échantillons représentatifs du millésime 2018. Sauf pour les grands crus, les Irancy millésimés 2017 et les crémants.

Ce sont en effet quatre-et-vint un viticulteurs de l’Yonne dont trois jeunes néophytes béotiens en la matière mais aussi des coopératives et négociants qui soumettront leurs produits de conception artisanale à la sagacité d’un jury éclectique mais connaisseur !

Créé en 1870 par le ministère de l'Agriculture, le Concours Général Agricole est la seule manifestation de ce type à être organisée sous le contrôle de l'État.

Attendu des professionnels comme du grand public, sa notoriété est tangible en France comme à l’étranger.

Ce concours est le rendez-vous annuel incontournable pour la viticulture icaunaise. Il permet de valoriser les productions, de mieux faire reconnaître les terroirs et de se faire référencer sur un marché de produits de haute qualité.

Quant aux enjeux économiques pour le département, ils restent incontestables. Ce concours représente une vitrine de la qualité des vins de notre terroir auprès d'une clientèle française et internationale.

 

 

 


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