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Intervenant dans les domaines de la formation en transport et logistique grâce à des cursus qui préparent aux métiers de conducteur routier et conducteur de voyageurs pour les transports en commun, l’organisme dirigé depuis le 01er octobre par Benoît DRILLIEN sur la zone icaunaise, affûte sa ligne stratégique. 2018 n’est plus trop éloignée. Et les projets affluent pour ce groupe national. L’objectif étant de monter en gamme ses offres de service au cours des douze prochains mois à partir de projets très ambitieux…

MONETEAU : « 2018 nous trotte déjà dans la tête ! Nous espérons mettre en place un titre professionnel « grand tourisme » destiné aux conducteurs de car. Il sera un complément de formation au titre professionnel classique. Des unités de valeur spécifiques conçues autour de la maîtrise de la langue anglaise mais aussi la compréhension de l’histoire de l’art ou le fonctionnement des douanes seront requises afin de cibler les bénéficiaires d’un maximum d’atouts orientés vers l’international... ».

Nouveau responsable de la succursale nord-bourguignonne de FORGET FORMATION, référence existante depuis soixante ans en France, Benoît DRILLIEN déroule le film de ce que devrait être l’année 2018. Un exercice plein d’enjeux et de possibilités de croissance. Enregistrant une forte hausse de ses activités en 2016, la structure dépasse aujourd’hui les deux millions d’euros de chiffre d’affaires. Sollicitant une dizaine de partenaires extérieurs, le site de MONETEAU emploie 14 salariés en CDI.

Des axes de formation renforçant les connaissances de la supply chain

« Cette ouverture vers l’international répond à la demande réelle des entreprises de transport de voyageurs, explique le jeune dirigeant, certes, beaucoup de personnes travaillent sur le circuit des autocaristes mais peu se destinent vraiment vers le marché du grand tourisme faute de qualification…et de connaissances ».

L’axe international au niveau du contenu pédagogique constituera le premier temps fort décliné par FORGET FORMATION dès janvier. Il ne sera pas le seul. Il s’accompagnera de nouvelles possibilités comme l’attestation de capacité qui concerne le transport de marchandises. Un bagage indispensable dans l’optique potentielle d’ouvrir une entreprise de transport.

« A l’heure actuelle, il est nécessaire de se rendre à Paris ou en Saône et Loire pour prétendre à cette formation, ajoute Benoît DRILLIEN, nous souhaitons conserver les demandeurs de cette capacité localement… ».

La fonction logistique ne sera pas oubliée par cet apport intense de cycles de formation. Ainsi, la société dont le siège se situe à Rennes (un effectif de 350 personnes dont 220 formateurs pour 23 millions d’euros de chiffre d’affaires…) désire accompagner les futurs préparateurs de commandes vers le savoir. En inculquant vers son public en quête d’éléments informatifs les fondamentaux de la gestion des flux et de la valeur des stocks : bref, les aperçus incontournables de la supply chain.

Parmi les priorités immédiates : un cycle sur la fonction d’ouvrier polyvalent des travaux publics…

Assurant le passage de 35 000 CASES à l’année en France, FORGET FORMATION cible à 95 % des entreprises du tissu industriel ayant des obligations réglementaires obligatoires en matière de transport et logistique (habilitation électrique, chariot élévateur…). C’est l’un des volets de son chiffre d’affaires aux côtés du transport, de la manutention, et du management et de la sécurité.

Fin décembre, le centre de MONETEAU proposera une formation d’ouvrier polyvalent destiné aux travaux publics. « Il s’agira de rechercher la main d’œuvre pour les entreprises de ce segment, explique Benoît DRILLIEN, et d’expliciter à ces stagiaires comment fonctionne un chantier en recevant les bases rudimentaires mais importantes à l’employabilité. Les notions d’assainissement, la découverte des engins, l’AIPR (l’Autorisation d’intervention à proximité des réseaux aériens et enterrés) ou encore l’habilitation électrique avec sa maintenance (un aspect rendu obligatoire au 01er janvier 2018…) serviront de trame à cette cession en petit groupe...».

Pôle Emploi ainsi que les sociétés de travail temporaire devraient fournir le vivier de personnes (une douzaine) en besoin de qualification pour suivre ce programme, conçu en partenariat avec ARICQ BTP, l’organisme de formation et d’accompagnement de la filière en France.


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Portée sur les fonts baptismaux de la création entrepreneuriale le 27 mars 2014, cette société par actions simplifiées (SAS) de MILLY, bourgade proche de Chablis, est aujourd’hui l’une des rares structures sur ce segment d’activité à proposer une alternative originale d’interventions matérielles destinées aux professionnels de la vigne dans leurs travaux d’entretien. Broyage de serments, rognage, épandage de traitements phytosanitaires…la SAS, dirigée par Ludovic BARAT, lui-même cogérant du domaine viticole éponyme avec sa sœur Angèle, et responsable de la CUMA de la Côte de Léchet, poursuit son parcours professionnel sans l’ombre d’une fausse note. L’embauche récente d’un collaborateur aura été nécessaire en vue d’amplifier le potentiel de cette entité…

CHABLIS : Se définissant comme une entreprise de prestations de services viticoles, la SAS JANE doit son acronyme aux prénoms des enfants de la famille BARAT. Elle réalise depuis sa mise en fonction de nombreux travaux mécanisés qui se destinent aux professionnels du vignoble local.

Si le chiffre d’affaires (non communiqué par le chef d’entreprise) se situe néanmoins dans une courbe de progression ascendante confortant ainsi les axes stratégiques déclinés depuis le démarrage de l’entité, c’est qu’il traduit le besoin de nouveaux services à prioriser vers des viticulteurs qui ne peuvent se résoudre à tout faire par eux-mêmes, faute de temps. Voire par absence de moyens mécaniques pour certains.

Une excellente connaissance des besoins des vignerons…

S’inspirant de ce qui se pratique depuis plusieurs années avec succès dans le Bordelais ou plus près de chez nous, aux confins de la Bourgogne Franche-Comté et de Rhône Alpes Auvergne, le Beaujolais, Ludovic BARAT, lui-même co-gérant du domaine familial depuis 1993, a su très tôt appréhender les attentes réelles des viticulteurs face aux problématiques exigeantes de l’exploitation de parcelles.

Testant sa propre offre de services au sein du domaine, qui est par ailleurs l’un des clients essentiels de la jeune SAS, Ludovic décide de se projeter plus en amont en initiant son concept d’interventions mécaniques vers ses coreligionnaires. Outre des travaux usuels et non exhaustifs dans les vignes, la SAS JANE conçoit également l’épandage de traitements phytosanitaires ainsi que les opérations de labour. Au moment des vendanges, la jeune société propose ses services en mécanisant celles-ci.

De l’embauche nouvelle et un parc matériel qui s’agrandit…

Devant l’affluence des demandes d’intervention, Ludovic a eu recours à la création d’emploi. Un poste de chauffeur de tracteur a été créé cette année dans un esprit pragmatique de temps partagé, entre les activités propres à la SAS à 80 % ; le reliquat revenant au domaine BARAT qui exploite 22 hectares de vignes réparties en dix hectares de premier cru, autant en chablis et deux en petit chablis. L’établissement de MILLY produit 70 000 bouteilles annuellement dont 60 % s’exportent vers les destinations classiques du marché chablisien : Etats-Unis, Canada, Pays de l’est, Brésil et Europe continentale.

L’expansion économique devenant réalité, le président de la SAS JANE a acquis un deuxième tracteur pulvérisateur cette année, complétant ainsi sa gamme d’engins mécanisés. Elle est aujourd’hui l’une des rares entreprises de prestations de services viticoles dans l’Yonne et entend bien accroître encore son leadership à l’avenir. Tout en bénéficiant des avantages d’un matériel à la pointe de la technologie. C’est aussi en cela que le concept décliné depuis 2014 par la SAS JANE est innovant et séduit…


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Avec un nombre de commandes dépassant les 11 500 véhicules sur le seul mois d’octobre, le constructeur nippon a réalisé plus de 29 % de volumes de vente par rapport à la période équivalente de 2016. Cette progression historique repose pour l’essentiel sur les ventes de modèles hydrides qui représentent 67 % des achats plébiscités par les consommateurs de véhicules particuliers de la marque. Au cumul sur les dix premiers mois de l’année, TOYOTA atteint une hausse trois fois supérieure à celle du marché avec 16,5 %. Des statistiques qui confortent le constructeur asiatique à la sixième place en volume par marque sur le mois d’octobre. Sur le canal des ventes aux particuliers, TOYOTA occupe une cinquième position en France avec une part de marché de 6,2 % à l’issue de cette période automnale…

PARIS : Acteur majeur de l’industrie automobile sur la planète, le constructeur japonais TOYOTA produit au plus près des marchés sur lesquels sont commercialisés ses véhicules. C’est le cas de la France depuis 1967. Le groupe y conçoit, fabrique et distribue de nombreux véhicules comme viennent de le rappeler les statistiques des ventes du mois d’octobre.

Sur un marché en hausse de 13,8 % par rapport à l’an dernier, les immatriculations de véhicules particuliers subissent une forte poussée de 23,3 % en octobre. Avec 7 900 immatriculations sur le mois, la part de marché de TOYOTA sur ce segment commercial atteint 4,5 % et même 6,2 % sur le canal des particuliers. Depuis le début de l’année 2017, le constructeur de l’archipel du Soleil Levant a vendu 72 862 unités, soit + 16,5 % par rapport à la même période en 2016.

La nouvelle YARIS stylisée remplit ses objectifs…

Mais, ce mois d’octobre demeurera dans les annales pour l’industriel japonais qui dispose d’une unité de production ultra moderne à la périphérie de Valenciennes (Nord). Cette forte progression des ventes coïncide avec la réalisation d’un mois record en termes de commandes avec 11 500 unités, soit 29 % de mieux qu’en octobre de l’année dernière. Soit le meilleur mois d’octobre en matière de vente depuis cinquante ans !

L’explication est rationnelle et se résume au regain d’intérêt des consommateurs autour des modèles hybrides, à commencer dont la part s’élève à 67 % en octobre. Une mention particulière peut être accordée à la YARIS hybride qui a confirmé son succès depuis la présentation de sa nouvelle ligne en avril. Ce modèle bat tous les records de commandes à l’heure actuelle, avec 2 900 exemplaires : 70 % du total des commandes de YARIS.

Près de 90 000 véhicules des deux marques commercialisés en France en 2016

Par ailleurs, la marque du sud-est asiatique enregistre de très belles performances en utilitaires avec 300 commandes de PROACE, soit la meilleure opportunité commerciale depuis le lancement en 2016. Concrètement, ce modèle très prisé des artisans a bénéficié de la seconde édition des « Journées Plus utilitaires » déclinées dans le réseau sur tout le mois d’octobre.  Au niveau de la location longue durée, TOYOTA poursuit sa progression et atteint désormais une part de marché de 3 % sur ce canal. Autant de données chiffrées ayant de quoi satisfaire les neuf mille collaborateurs de l’entreprise dont 4 300 qui interviennent à travers le réseau de 300 sites de distribution autour des deux marques, TOYOTA et LEXUS. Rappelons qu’en 2016, le constructeur japonais a vendu plus de 88 000 véhicules de ses deux marques en France dont plus de 35 000 étaient équipés de la technologie hybride.


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Cinq mille exemplaires par coupon d’une valeur d’une, deux, cinq, dix et vingt « cagnoles » devraient circuler sur le territoire de l’Yonne dès le printemps 2018. Respectant une parité simple à retenir en terme de conversion par rapport à l’euro (une équivalence de un pour un), cette monnaie propre à notre département rejoindra le lot de la centaine d’initiatives financières existantes qui actuellement se développent à la vitesse grand V dans l’Hexagone. Le tout étant ordonnancé depuis Lyon, siège de la NEF (Nouvelle économie fraternelle) et de sa banque centrale à l’origine de cette phase exponentielle de la monétisation en France, sans que rien ne soit laissé au hasard dans ce vaste projet ambitieux initié par l'association COURTS CIRCUITS…

AUXERRE : « Une partie du fonds de garantie (près de 70 %) sera attribuée à des projets globaux à vocation solidaire, tandis que le reliquat sera lui réinjecté dans le développement d’initiatives économiques locales…».

Méthodiquement, Pascal PAQUIN, l’un des interlocuteurs de ce concept très ambitieux d’instaurer une monnaie locale sur le nord de la Bourgogne, explique avec moult détails les mécanismes précis de ce nouveau système monétarisé qui concernera bientôt l’ensemble de la population, qu’elle soit particulière ou professionnelle.

Car, LA CAGNOLE n’est pas le fruit d’une expression anachronique ni régionaliste à la sauce folklorique. Bien au contraire, le précepte repose sur une historicité établie et surtout de nombreuses velléités qui éclosent çà et là à travers le pays. Par comparaison, il existait en 2015 une quarantaine de monnaies territoriales qui avaient libre cours. Aujourd’hui, on en dénombre déjà une centaine. Mais, ce palier devrait très vite s’étendre puisque ce sont plus de deux cents projets qui sont en voie de développement à l’heure actuelle dont beaucoup pourraient faire florès en Bretagne, notamment parmi ses grands centres urbains…

Le lancement de la monnaie se travaille d’arrache-pied…

Quant à l’Yonne, elle s’inscrit déjà dans un singulier particularisme à l’instar du Puy de Dôme avec son environnement rural très prononcé à l’échelle du département.  Le lancement inaugural conçu en harmonie avec l’association Le Jour de la Terre se peaufine déjà parmi la quarantaine de membres qui travaille avec sérieux à l’aboutissement de ce projet. Le jour J, la présence de Philippe DERUDDER, grande figure de l’explosion des monnaies locales à travers la planète, pourrait se confirmer sous la forme d’une conférence très attendue. La parole de cet entrepreneur d’origine canadienne est respectée dans le giron des nouvelles économies. Son vécu professionnel démontre que ce personnage charismatique n’a rien d’un doux rêveur. Même si il existe quelques exemples désagréables ici et là du bien-fondé de ces monnaies (Nantes, Toulouse, des villes où le subventionnement à outrance des municipalités devait nuire à la bonne faisabilité du concept), ailleurs, l’essor des monnaies locales n’est plus à mettre en doute depuis 2015.

« Toutes les règles propres au fonctionnement de « La CAGNOLE » ont été posées depuis un an et demi, confie Pascal PAQUIN, les bases initiales du projet ont vu le jour en juin 2016 avec le concours du groupe fondateur « ALTERNATIBA », un mouvement qui travaille à la mise en valeur concrète de nouvelles approches économiques et environnementales. Ce groupe a reçu le renfort d’une vingtaine de personnes convaincues de faire évoluer les choses après avoir visionné l’excellent film « Demain », une référence du genre… ».

Durant six mois, les représentants de la structure associative COURTS CIRCUITS s’affaireront à l’écriture de la charte et de ses statuts, à concevoir une collégiale fonctionnant à partir de commissions de travail spécifique où se prennent les décisions, à affiner le développement de ce projet ambitieux et insolite.

« Nous ne sommes pas dans une aventure avant-gardiste, ajoute Pascal PAQUIN, nous sommes juste situés dans un espace citoyen qui peut être rejoint à tout moment par celles et ceux qui le désirent… ».

Tous les quinze jours, une quarantaine de personnes se réunissent au sein de sept commissions et apportent leurs expériences à la mise en exergue de ce nouveau projet selon un mode opératoire qui ne requiert pas le besoin de désigner un président. A contrario, deux membres de cette structure s’occupent de la trésorerie et l’ensemble des adhérents sont déclarés à la préfecture. En bonne et due forme.

« Nonobstant, explique Pascal PAQUIN, et d’un point de vue légal, pour prétendre utiliser la monnaie, il faudra adhérer à l’association : soit 5 euros pour les citoyens et 25 euros pour les entreprises… ».

Un système de transaction proche du chèque vacance…

Comparables dans sa phase utilitaire aux chèques vacances ou aux chèques déjeuners, les coupons de la CAGNOLE serviront aux paiements de prestations commerciales diverses qu’elles soient culturelles, alimentaires ou autres. Le prestataire ne pourra rendre en revanche l’argent en euro, en faisant l’appoint.

Quant aux entreprises, il n’y aura pas de double affichage du prix ou du devis, tout sera effectué en euros. Au niveau comptable, l’amorce de ce nouveau mode de paiement ne modifiera en rien les usages habituels. La seule incidence effective apparaîtra au niveau de la saisie manuelle d’une caisse.

« Pourquoi une entreprise aurait-elle intérêt à employer cette monnaie locale à l’avenir ? C’est simple, concède Pascal PAQUIN, elle prouvera avec la mise en valeur à ce concept son engagement vers la transition environnementale et aux nouvelles approches de l’économie. Référencé sur un annuaire et un site Internet, l’entrepreneur volontaire bénéficiera d’une aide substantielle de la part de l’association quant à la recherche de fournisseurs et de clientèle. Quant au consommateur citoyen lambda, il profitera de remises régulières selon les volontés des entreprises (offres commerciales), en étant respectueux dans son acte consumériste… Les entreprises partenaires ciblées seront exclusivement des commerces et des structures de type TPE/PME… ».

Créer un véritable engouement économique de proximité…

A l’origine, ces envies de monétisation locale constituent un geste purement politique et contestataire afin de retirer en partie l’argent des flux financiers traditionnels qui alimentent le terreau de la spéculation au détriment des échanges.

Quant à l’association initiatrice du concept, elle pourra aussi garantir des prêts à court terme et à taux zéro en vue de développer les projets des entreprises. La possibilité de créer une paire d’emplois d’ici deux à trois années n’est d’ailleurs pas exclue pour assurer la gestion de ce processus. Comme l’ont fait les auteurs de la monnaie locale de Saint-Etienne en créant des emplois partagés…

De même, les collectivités auront la faculté de pouvoir signer une convention de partenariat avec l’association gestionnaire de la monnaie locale : cela leur permettra de payer des services locaux en cagnole. Sur le volet des collectivités, Pascal PAQUIN est formel dans ses arguments : « notre projet est viable économiquement de lui-même tout en conservant son indépendance : il sera fondé sur le principe des cotisations de ses membres.. ».

D’autres idées germent dans les esprits réfléchis des membres de la collégiale qui anticipent la suite de ce programme ambitieux. L’Auxerrois et la Puisaye seront les premiers points d’ancrage de l’implantation progressive de la CAGNOLE avant que les autres secteurs géographiques de l’Yonne ne disposent réellement des précieux coupons au printemps 2018.


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Comptabilisant aujourd’hui près de 500 millions d’utilisateurs aux quatre coins de la planète dont dix millions exercent leurs talents de fins observateurs en France, le réseau social INSTAGRAM est considéré à juste titre comme l’une des très belles vitrines promotionnelles de l’agence de développement touristique du département. Avec 2 090 fidèles qui ont publiés près de 28 500 images de notre contrée depuis trois saisons, YONNE TOURISME s’appuie sur ses précieux auxiliaires de la communication pour intensifier la présence du territoire bourguignon sur les réseaux sociaux…

AUXERRE : Donner l’envie de découvrir un territoire pittoresque grâce aux photographies relayées largement par le canal des réseaux sociaux. Ce qui passait pour être anodin il fut un temps s’inscrit dorénavant dans une véritable logique de développement incitatif pour la plupart des acteurs professionnels exerçant dans le tourisme.

L’agence YONNE TOURISME n’a pas dérogé à la règle, travaillant cet aspect collaboratif en étroite osmose avec les internautes de manière assidue, ludique et conviviale. Ce fut le cas au soir du vendredi 24 novembre à Auxerre où une vingtaine d’aficionados du réseau social INSTAGRAM étaient conviés à un anniversaire spécifique au sein de l’agence afin d’y célébrer dans la bonne humeur les trois années de présence officielle de cette dernière sur ce réseau.

Une collaboration qui est amenée à se renforcer à l’avenir…

Gourmandises et surprises attendaient les instagramers qui depuis cette échéance partagent sans compter le mot-clé « #yonnetourisme » mis en place au lancement du compte, @yonnetourisme. Les 2 090 abonnés ont déjà likés 57 909 fois, publiés 684 visuels et diffusés 28 499 photos portant le hashtag #yonnetourisme.

A cela, il est nécessaire d’ajouter les opérations spéciales menées par les responsables de l’agence icaunaise, à destination de ce public, afin d’optimiser et qualifier cette collaboration inventive : trois concours organisés depuis 2014, un « Instameet » rassemblant près d’une trentaine de participants sur les sites du Château de Maulnes et de Noyer sur Serein (plus de 400 clichés à l’issue) et un Instanniversaire.

Comme devait le préciser la directrice de l’agence de développement touristique, Bénédicte NASTORG, dans un prélude à la soirée, « cette collaboration se poursuivra à l’avenir car les rencontres avec les adeptes du réseau social INSTAGRAM sont indéniablement un bon moyen de valoriser le territoire… ».

La soirée anniversaire se clôturait autour d’un jeu conçu en équipe afin de découvrir 120 mots relatif au département de l’Yonne…


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