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Plus de deux cents spectateurs avaient investi les travées du gymnase René-Yves AUBIN à Auxerre. Leur enthousiasme procurait du baume au cœur aux organisateurs de l’évènement. Un match de gala bienvenu après une trop longue période de disette sportive. Pour la première édition de ce Trophée, baptisé les « Champ’Yonne », le Handball Club d’Auxerre a réussi sa soirée. Celle-ci a vu la victoire du CFJ Fleury Loiret face aux filles de la JDA sur un score étriqué, 27-24…

AUXERRE: Au-delà de cette rencontre de gala, annonciatrice de la future saison pour le club local organisateur, il y avait surtout ce plaisir avoué de se retrouver dans une salle de sport. De manière collective mais encore pleine afin d’y recréer l’espace d’une soirée l’atmosphère des grands rendez-vous chargés d’adrénaline.

Le simple prétexte de ce trophée inédit (les « Champ’Yonne » – bravo pour le jeu de mots façon bonne pioche) allait donner raison aux responsables du HBC Auxerre. Et à son nouveau président, Raphaël BESANCENOT d’avoir franchi le cap de ce nouveau défi.

Il a eu cent fois raisons de donner son quitus à l’organisation de cette épreuve de belle envergure devant opposer deux fleurons de l’élite nationale féminine.

D’un côté, se présentaient sur le terrain pour une très longue phase d’échauffement dès 19 heures les voisines du Loiret, les filles de ce club basé dans la périphérie d’Orléans, le CFJ Fleury.

 

 

Face aux rouge et noir, les régionales de l’étape. Soit l’équipe première de la JDA Dijon, renforcée à l’intersaison par sa nouvelle pépite internationale, le pivot Siskia WEISHEITEL, en provenance de Dortmund.

Bref : une explication de texte plutôt alléchante sur le papier qui tint toutes ses promesses durant les soixante minutes de la partie. A la pause, les deux formations se quittaient sur un avantage de deux buts pour les Dijonnaises (15-13).

Le public ravi en redemandera après la pause. Un public où on put distinguer entre autres dans le carré VIP quelques personnalités à l’instar de Gilles DEMERSSEMAN, conseiller régional, Michel DUCLOUX, élu du Département, Vincent VALLE, le nouvel adjoint municipal d’Auxerre en charge des associations ou encore le délégué à la même fonction, Nordine BOUCHROU.

 

 

 

 

 

Une soirée réussie sur toute la ligne…

 

La seconde période fut bien différente pour les joueuses de Côte d’Or qui laissèrent progressivement des forces face à la vista de la gardienne du Loiret. Christophe CASSAN, coach du CFJ Fleury, sut trouver les mots justes pour insuffler une dynamique de conquête à ses protégées qui dépossédèrent les Dijonnaises de leur suprématie en fin de rencontre.  

Au-delà du résultat (27-24 pour l’équipe du Loiret), le plus important fut ce rendez-vous de très belle facture pour le HBC Auxerre et son président qui remit le trophée à la capitaine LACRABERE.

Une chose est sûre : les amateurs de handball devraient retrouver cette compétition originale dès l’année prochaine en début de saison.

 

 

 

 


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Le déploiement de la fibre optique représente un phénoménal coup de pouce pour le développement économique de la commune périphérique d’Auxerre. C’est une évidence qui est partagée par le maire Magloire SIOPATHIS et ses élus. Mais, être à l’heure de la révolution digitale représente aussi un incontestable atout en matière d’attractivité pour accueillir des Franciliens en quête d’horizons plus cléments au niveau du cadre de vie.

APPOIGNY: Le chaud soleil de cette fin d’été n’aura pas perturbé le moins du mode l’enthousiasme manifeste des participants à cette cérémonie protocolaire placée sous le sceau du modernisme et de la technologie. L’inauguration de la discrète armoire métallique placée rue Léon Carré. Tout un symbole pour celle qui accueillera les connexions optiques de l’une des zones de la localité. Elle aura été un bref instant au centre de tous les intérêts de la journée.

Le temps que chacun puisse écouter de manière studieuse les explications fournies par l’un des techniciens de l’opérateur ORANGE, qui déploie sur ses fonds propres la fibre optique jusqu’au logement de la commune.

In fine, ce sont 1 534 foyers qui bénéficieront de cette manne technologique nécessaire pour être reliée convenablement au monde virtuel offert par le numérique. A ce jour, plus de mille foyers et locaux professionnels intègrent cette catégorie privilégiée des raccordables.

Six points de mutualisation ont été répartis sur les axes névralgiques de la localité afin d’en couvrir la moindre rue, le moindre quartier. Ces armoires optiques permettront l’accès au Très Haut Débit.

 

 

Un facteur d’attractivité pour les entreprises et les nouveaux habitants

 

Un avantage non négligeable que savoure déjà la nouvelle équipe municipale en place. Notamment en matière de développement économique pour les entreprises qui y évoluent et s’y installent. C’est aussi un critère d’attractif pour convaincre des Franciliens en mal d’air pur et de verdure de se délocaliser dans l’Yonne, non loin d’un axe autoroutier stratégique.

La vie en rose en quelque sorte à proximité de la capitale de l’Yonne, elle-même couverte par le programme à l’estampille d’ORANGE.

 

 

 

Dans le département, l’opérateur de télécommunication s’est employé à installer ces fameuses armoires dans la communauté d’agglomération d’Auxerre et de Sens. Plus de 37 900 foyers et locaux professionnels y sont éligibles. Rien que sur l’Auxerrois, plus de 28 000 locaux à usage d’habitation et professionnel profitent de l’extrême réactivité des connexions inhérentes au Très Haut Débit.

Malgré la crise sanitaire, le déploiement de la fibre n’a pas cessé pour ORANGE. L’objectif est de clore le programme d’implantation d’ici 2022 dans l’Hexagone. Afin de respecter le cahier des charges exigé par le gouvernement.

Un nouveau foyer français bénéficie de ce judicieux équipement toutes les quatre secondes à l’échelle de l’Hexagone. Dix mille nouveaux logements sont reliés à la fibre au quotidien !

 

 

Déjà 65 % des foyers et locaux professionnels éligibles…

 

L’édile d’Appoigny Magloire SIOPATHIS ne manquera pas de saluer le travail complémentaire de la Communauté de l’Auxerrois, du Département (Malika OUNES, vice-présidente de la vénérable institution en charge du dossier numérique assistait à cette inauguration) et ORANGE pour l’accélération de ce déploiement.

Déléguée régionale en Bourgogne, Véronique MORLIGHEM, accompagnée du responsable départemental pour la Nièvre et l’Yonne Alexandre ORCEL, rappelèrent les enjeux essentiels pour l’opérateur.

Outre les logements de particuliers, c’est également toutes les entreprises installées sur la commune qui profitent de ce dispositif technologique innovant. Soit un total pour l’heure de 65 % des foyers et locaux professionnels. Une aubaine pour la collectivité qui se projette vers l’avenir avec gourmandise…

 

 


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L’enjeu est de taille pour ce segment essentiel de l’activité économique de notre pays. En adoptant un plan de sortie de crise, assorti à une feuille de route qui vise la transformation écologique optimale, les professionnels de la filière entendent bien occuper les rôles de choix en matière de relance verte. Une stratégie dont a fait sienne le président régional de la FRTP Bourgogne Franche-Comté Vincent MARTIN…

DIJON (Côte d’Or) : Se réinventer, sans cesse. Prendre conscience des enjeux sociétaux, propres à la protection de la nature et à la sauvegarde de l’environnement, et s’adapter coûte que coûte à ces évolutions.

Désormais, ces items majeurs de notre existence intègrent les lignes stratégiques d’une puissante corporation professionnelle, celle des travaux publics. Une filière de poids en Bourgogne Franche-Comté qui possède de multiples atouts avec ses 1 100 entreprises générant onze mille emplois et près de 2 milliards d’euros de chiffre d’affaires (1,8 précisément).

La FRTP vient de donner le cap à suivre pour les années à venir. Un horizon précis lui permettant de tenir une place prépondérante en sa qualité d’actrice de la relance verte.

Profitant d’un récent exercice oratoire face à la presse régionale, le président de la fédération des travaux public Vincent MARTIN a détaillé les deux étapes d’un plan de sortie de crise et de relance ô combien nécessaire pour remettre les entreprises du secteur sur de bons rails. D’autant que la longue crise sanitaire a laissé des traces parmi les trésoreries de certaines entreprises.

La double orientation de ce plan jouera à la fois sur le court terme (une action d’urgence biannuelle se déclinant entre 2020 et 2021) afin de booster très rapidement l’économie en créant de la valeur et des emplois ; et sur une échéance plus ou moins longue sur la décennie quant à la transformation en profondeur des états d’esprit menant vers une économie sans carbone.

 

 

Quatre milliards d’euros consacrés au plan d’urgence…

 

Côté financements, les petits plats seront mis dans les grands. La déclinaison de ce plan d’urgence a pour vocation d’accélérer les investissements en faisant évoluer les dispositifs en place. Il nécessite une enveloppe conséquente de quatre milliards d’euros. Une paille !

Un premier milliard émanera de l’Agence de Financement des Infrastructures (AFITF). L’affectation en sera l’entretien des réseaux et le développement de nouvelles mobilités.

A titre d’exemples, on peut citer la mise en 2X2 voies de la RN 109 aux abords de Montpellier ou de la fameuse RCEA, cette Route Centre Europe Atlantique qui traverse dans sa partie médiane la Saône-et-Loire. Elle reste de sinistre mémoire pour beaucoup d’automobilistes, figurant parmi les voies de circulation où le taux d’accidentologie est le plus élevé de France.

Sur le registre ferroviaire, il est question également de moderniser la ligne reliant Epinal à Lure ou de favoriser l’interconnexion entre TER et TGV à Montchanin (Saône-et-Loire).

 

 

Un autre milliard (1,3 pour être précis) soutiendra l’investissement public local et permettra ainsi aux collectivités territoriales d’être le moteur de la relance économique par le lancement de nouveaux appels d’offre. Le levier du FCTVA  (Fonds de compensation de la taxe sur la valeur ajoutée) serait boosté afin de l’obtenir.

Le troisième milliard issu des dotations de la DETR (Dotations d’Equipement des Territoires Ruraux) et des DSIL (Dotations de Soutien à l’Investissement Local) sera destiné à la modernisation des réseaux.

Grâce aux Agences de l’Eau, la FRTP obtiendrait un demi-milliard d’euros pour moderniser et entretenir les réseaux d’eau. Enfin, un reliquat de 0,2 milliard facilitera l’accélération au Très Haut Débit afin d’en accroître les usages pratiques (télétravail, télémédecine, e-commerce…) à l’aide du plan France TDH.

 

Dix ans et dix milliards d’euros pour raisonner écologie…

 

Le second volet primordial de ce plan de relance s’appuie sur la transition écologique. Une priorité majeure pour la FRTP. Dix milliards d’euros par an sur dix ans seront ainsi débloqués pour tenir la feuille de route explicitée par Vincent MARTIN. Celle-ci s’articule autour de cinq propositions.

La première concerne le développement des infrastructures qui favorisent les mobilités sans carbone. On pense aux pistes cyclables et à la construction de « véloroutes ». Mais, l’essor progressif des bornes de recharge électrique et l’édification de stations hydrogène intègrent en parallèle cette déclinaison stratégique.

Second aspect : les énergies et réseaux de chaleur renouvelables. Ce sera le cas en Côte d’Or où Dijon Métropole prévoit la conception d’un futur centre de production d’hydrogène.

Troisième point : la préservation des ressources. La FRTP déploie ses entreprises sur des chantiers qui facilitent les interconnexions des réseaux, le stockage et le réemploi des eaux non conventionnelles (eaux usées, eaux de pluie…). Sans omettre la méthanisation des boues d’épuration.

Le quatrième alinéa concerne l’accélération des grands projets consacrés à la transition écologique. A l’instar de la Ligne à Grande Vitesse (LGV) entre Rhin et Rhône.

Reste enfin l’ultime élément de ce plan à cinq entrées : l’accompagnement des territoires au changement climatique. La fédération apporte sa pierre à ce vaste édifice sociétal et environnemental en préservant la biodiversité (restauration des écosystèmes) ou en aménageant des espaces verts et de bien-être au cœur des villes.

Précisons, pour conclure, par une excellente nouvelle. La FRTP BFC envisage via ses entreprises adhérentes la création de deux mille emplois ne pouvant être délocalisés au cours de ces deux prochaines années. Toutefois, un léger bémol est à prendre en compte : il faudra que la commande publique, nerf de la guerre inéluctable pour bon nombre de sociétés, soit favorable aux PME régionales !

 

 

 

 


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C’est incontestablement l’évènement phare de la rentrée dans le domaine de l’économie, de la transition écologique et…de l’automobile. Très loin d’un simple salon où il serait de bon ton de signer un bon de commande à l’issu d’un essai de véhicule électrique, le concept porté par l’UIMM, le MEDEF et GISAERO se veut novateur, didactique et informatif pour mieux appréhender les réels enjeux de la mobilité électrique. Telle qu’elle se présente devant nous…

INTERVIEW : Pourquoi un tel évènement porté par l’UIMM, le MEDEF et GISAERO ? On est loin des préoccupations purement industrielles de ces structures ?

Au contraire ! Nous sommes au cœur d’un sujet industriel qui trouve nécessairement des implications au niveau des entreprises du territoire icaunais. La question de la mobilité électrique et plus généralement de la mutation des usages du transport qui s’appuient aujourd’hui presqu’exclusivement sur les énergies « carbone », au profit de moyens décarbonés, notamment l’électrique, constitue aujourd’hui un sujet majeur pour l’industrie française. En ce sens d’ailleurs, les annonces du Premier Ministre Jean CASTEX relatives au plan de relance insistent largement sur la nécessité de décarboner l’industrie française et en font une condition quasi sine qua non pour l’attribution des aides aux entreprises.

 

Avez-vous rencontré des difficultés pour organiser ce premier rendez-vous consacré à ce sujet dans l’Yonne ?

 

Il faut se souvenir que cette manifestation était initialement programmée le 02 avril dernier en point d’orgue de la « Semaine de l’industrie ». Nous avons été contraints de la déprogrammer compte tenu de la situation sanitaire liée à la COVID-19 et nous nous sommes interrogés quant à la pertinence de sa reprogrammation le 10 septembre prochain. Très vite, s’est imposée à nous la nécessité de nous placer dans une dynamique positive et volontariste, en maintenant cette journée qui constituera sans aucun doute le point fondateur de notre positionnement sur ce sujet.

D’ailleurs et d’une manière unanime, l’ensemble des partenaires et parties prenantes réunis autour du projet ont souhaité le maintien de cette journée et n’ont à aucun moment émis la moindre réserve quant à sa pertinence. Nous oublierons donc bien vite les obstacles que nous aurons eu à franchir et nous ne retiendrons que cette volonté unanime d’action !

 

La mobilité électrique impacte réellement les stratégies managériales des entreprises ?

 

La mobilité, quels que soit ses modes, est une nécessité à la fois pour la population, dans des usages privés, comme pour l’entreprise pour des usages professionnels, lesquels d’ailleurs sont souvent de natures très diverses. La mobilité électrique doit donc être considérée avant tout comme un moyen et non comme une fin en soi. Elle ne doit pas modifier les usages mais intégrer l’exigence de décarbonation qui devra être associée aux déplacements. Ce qui compte avant tout pour l’entreprise, c’est donc bien de garantir que la mobilité de ses personnels s’effectuera dans les meilleures conditions. A ce titre, les employeurs se posent encore bien des questions quant aux solutions en général, et à l’électrique en particulier. C’est en ce sens que le sujet touche bien la dimension managériale.

 

Assiste-t-on à une réelle prise de conscience sur les évolutions de notre comportement ou est-ce encore un phénomène modal teinté d’utopie ?

 

C’est tout à fait l’objet de cette manifestation et nous attendons au cours de cette journée, un maximum d’éclairages de la part des experts qui participeront aux différentes tables rondes. La question leur est d’ores-et-déjà posée dans la base line de notre communication : « La mobilité électrique : du rêve à la réalité ? Tournant majeur ou effet de mode ? ».

 

 

Le plateau que vous réunissez est de premier choix en y mêlant les acteurs de l’automobile, l’Agence régionale économique, les spécialistes de l’énergie…L’objectif de ce rendez-vous était-il de posséder une vision la plus globale et transversale possible sur cet item ?

 

Nous tenons tout d’abord à saluer l’engagement de ces nombreuses personnalités et leur venue à Auxerre pour cette journée du 10 septembre. Cela montre à quel point le sujet est important et mobilisateur ! Il suscite l’intérêt d’un grand nombre d’acteurs qui gravitent à différents niveaux autour de ce sujet : les universitaires, les industriels, les pouvoirs publics au travers des différentes agences économiques…

Un tel plateau répondra forcément à notre souhait d’aller au fond du sujet grâce à l’éclairage que tous ces experts pourront nous apporter.

 

 

Michel FORISSIER sera le parrain, un peu fil Rouge, de cette manifestation. Un mot sur sa venue ?

 

C’est un grand honneur pour nous que d’accueillir Michel FORISSIER à Auxerre. Par ses fonctions d’envergure internationale, il est un acteur et un témoin majeur du développement de la filière électrique pour l’automobile. Sa compétence, cultivée tout au long d’une carrière entièrement dédiée à l’automobile ; sa connaissance très fine de la problématique de la transition énergétique associée aux mobilités, laquelle se nourrit d’ailleurs de la grande capacité de benchmark que lui offre sa position internationale, lui confèrent une légitimité indiscutable pour être le grand témoin de cette journée.

 

Le gouvernement accroît les initiatives en versant des primes pour inciter à la transition écologique dans nos moyens de locomotion. Pourtant, l’Etat ne sera pas représenté à votre animation. Serait-ce un paradoxe ?

 

Vous avez raison : l’Etat est un acteur majeur de la réussite de cette transition vers l’électrique. Il va sans dire que sans les aides qu’il verse pour l’achat d’un véhicule dit « propre », il serait extrêmement difficile, notamment aux Français les plus modestes, d’acquérir un tel véhicule. La question de l’achat d’un véhicule électrique se situe en toute fin de la chaîne de valeur et elle est bien évidemment très importante. Notre journée quant à elle, interroge plus, finalement, sur la philosophie générale de la mobilité. Bien entendu, il n’y a pas de notre part, la moindre volonté d’exclure l’Etat. D’ailleurs, le préfet de l’Yonne a été invité et j’espère qu’il lui sera possible de participer au moins à une partie de la journée, tout en étant bien conscient du nombre extraordinaire de sujets et problèmes qu’il doit traiter en ce moment. Et puis comme je le disais précédemment, les Agences de développement économique seront présentes.

Comment les organismes que vous représentez peuvent-ils inciter le tissu entrepreneurial de ce territoire à vivre mieux cette transition écologique ?

 

 

La transition écologique ne va assurément pas représenter, une option pour les entreprises. C’est une exigence qui va s’imposer à nous et l’entreprise doit constituer l’un des rouages essentiels de sa mise en œuvre. De par notre mission auprès des employeurs, nous sommes un acteur majeur de leur accompagnement, bien ancré au cœur de notre territoire. L’information, le conseil, l’incitation et l’accompagnement de nos adhérents, notamment sur un tel sujet qui se situe au carrefour des problématiques économiques, sociales et sociétales, va naturellement de soi. Tout au long de l’année, nous organisons, à l’instar de la journée du 10 septembre, des moments où les chefs d’entreprise sont en capacité de s’inscrire dans des actions conduisant leur entreprise vers ces domaines stratégiques. Et puis bien-sûr, notre souci permanent de nous inscrire dans une dynamique de marketing territorial trouve ici naturellement tout son sens.

 

En matière d’exemplarité, est-ce que les cadres de l’UIMM, MEDEF et GISAERO de l’Yonne roulent électrique ?

 

Si tant est qu’il échoit à la Maison de l’Entreprise une obligation d’exemplarité en la matière ! Pour autant et très sincèrement, ce n’est pas le cas aujourd’hui et notre flotte de véhicules de service reste aujourd’hui entièrement traditionnelle. La question, lors de son renouvellement, se posera, et à l’évidence, il nous faudra arbitrer, compte tenu à la fois de nos besoins, mais aussi et surtout des capacités offertes par les matériels, quelle sera la meilleure formule à mettre en œuvre pour répondre à nos usages de mobilité. Je compte d’ailleurs beaucoup sur tout ce qui se dira le 10 septembre pour éclairer ma prise de décision future en la matière.

 

Ce rendez-vous pourrait-il s’inscrire dans le marbre et devenir un incontournable annuellement ?

 

Notre volonté, par le maintien la semaine prochaine de cet événement dont l’audience est nationale, et ce malgré la situation sanitaire, est bien d’en faire l’événement économique de rentrée pour notre territoire.

Il s’inscrit dans notre volonté de déployer en permanence le marketing territorial au service de l’Yonne dont je parlais précédemment. C’est bien sûr l’occasion de mettre les entreprises icaunaises en avant, mais aussi le département. Le succès de l’édition 2020 conditionnera peu ou prou l’organisation d’une nouvelle manifestation à la rentrée 2021. Mais d’ores et déjà, de nombreux sujets sont susceptibles d’alimenter une prochaine édition. Et puis vous le savez, ce ne sont ni la volonté, ni l’imagination qui nous manquent !

 

 

 

Vous faites des émules, puisque le 16 septembre prochain, la Chambre des Métiers et de l’Artisanat organise sa propre vitrine sur une thématique similaire. Un groupe de presse régional envisage d’en faire autant au printemps…N’y a-t-il pas un risque d’en faire trop sur le sujet et de brouiller les messages en cas d’éclosion de ces évènementiels bien ciblés ?

 

La multiplication des initiatives autour du sujet de la mobilité électrique constitue assurément une preuve supplémentaire, si besoin est, de la pertinence de l’organisation de notre évènement. Il ne m’appartient pas de commenter le bien-fondé ou non, de ce qui est mis en œuvre par les uns et les autres. Mais encore une fois, la manifestation organisée à la Maison de l’Entreprise le 10 septembre prochain ne constitue pas une sorte de « salon de l’automobile électrique » au cours duquel il ne s’agirait que de remplir des bons de commande à l’issue des essais des véhicules des différentes marques. Notre volonté est d’aller au fond du sujet, pour que chacun au terme des débats ait enrichi sa capacité à juger si la mobilité électrique constitue bien le tournant majeur dont beaucoup se font les promoteurs, ou bien s’il ne s’agira finalement que d’un effet de mode qui retombera aussi vite qu’un soufflé sorti un peu trop tôt du four.

 

Enfin, en votre qualité de délégué général, quelles sont vos attentes en termes de bilan de ce rendez-vous ?

 

Au-delà de la qualité des débats et des échanges (dont je ne doute pas) qui auront lieu au cours de cette journée, je souhaite que chacune et chacun qui aura participé à l’événement se dise en repartant qu’il n’a vraiment pas perdu son temps et qu’il aura enrichi sa connaissance sur le sujet. Il me semble que c’est le bon moment pour trouver les réponses aux questions que toutes et tous nous nous posons.

Compte tenu du nombre important d’inscrits (exclusivement décideurs économiques et chefs d’entreprise) au moment où l’on se parle, nos objectifs quantitatifs sont d’ores et déjà atteints et je ne doute pas un seul instant que nos objectifs qualitatifs le seront eux aussi !

 

Propos recueillis par Thierry BRET

 

 


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L’artiste est attachant. Son œuvre, colorée, emplie de symboles à la limite de l’ésotérisme et de la spiritualité, l’est tout autant. Une trentaine de ses huiles mettent en relief le génie artistique de ce fils de peintre. Elles sont à admirer dans un lieu à la magie absolue, le Donjon de Cravant, l’antre d’un autre personnage pittoresque de l’univers des arts, Colette BECHET…

CRAVANT : A biffer dans votre agenda : l’exposition de LOL (Laurent NEVEU), le fils prodige du fameux Marcel un autre surdoué de l’art pictural, de la sculpture et de la gravure peut s’apprécier sur les cimaises du Donjon de Cravant jusqu’au 20 septembre. Avec, cerise sur le gâteau, une date inaugurale, le 18 septembre, placée, une fois n’est pas coutume, presque au terme de ce rendez-vous ! Un finissage comme le précise l’artiste dans un large sourire.

Entre-temps, cet artiste aux potentialités multiples aura mené de front deux expositions estivales après des semaines de disette imputables à la conjoncture sanitaire, l’une à Blois, l’autre dans l’Yonne à Cravant. Au cœur de ce fameux Donjon qui prête ses murs à sa trentaine de toiles et quasiment autant de dessins.

Intégré au mouvement Cobra, LOL réalise des œuvres de manière instinctive. A l’aide de coloris dont il a le secret, fabricant lui-même ses tons en fonction des pigments qu’il choisit.

 

 

 

Expressive, évoquant le monde des rêves avec des silhouettes et personnages fantastiques, la peinture de LOL se contemple longuement pour bien en appréhender le sens. L’une de ses toiles évoque la quête de Don Quichotte imaginée par Cervantès. Une autre fait allusion aux chaudes couleurs du Mexique. C’est un festival de coloris chatoyants au regard. Une ouverture vers un autre monde…

Parmi ses projets, Laurent souhaiterait suivre un stage de gravure à la Métairie Bruyère. Pour affiner sa connaissance de la lithographie afin de l’intégrer dans l’un de ces futurs rendez-vous avec les amateurs d’art. Pourquoi pas au Donjon de Cravant en 2021.

 

 


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